Programma van 2 tot 8 maart 1934



Brochure

Bron: FelixArchief nr. 1968#984

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Pro­gram­me 22

Ven­d­re­di f% Sa­me­di »x Di­man­che a Lundi ç? Jeudi Q mars tq-ia

Vrij­dag & Za­ter­dag Zon­dag Maan­dag 3 Don­der­dag Maart

1. Eclair-Jour­nal 1. Eclair-Nieuws­be­rich­ten

Ac­tu­a­lités so­no­res Ak­tu­a­li­tei­ten op den klank­film

2. Les Boud­dahs de la Jun­gle 2. De Boud­dahs der Wil­der­nis

Do­cu­men­tai­re Do­ku­ment­film

3. NOCES et BAN­QUETS 3. Hu­we­lij­ken en Ban­ket­ten

Sketsch avec Schetch met

Pau­let­te DU­BOST - Maxi­mi­li­en­ne MAX " Clau­de LEH­MANN

Dis­ques A JT LOF* H ONE- Gram­mo­foon­pla­ten

"AIDA'' par ” ETOI­LE DE VA­LEN­CIA"

Jean KIE­PU­RA par Bri­git­te HELM

B 17188 B 85681

s. L’ETOI­LE DE VA­LEN­CIA 3 Oe STER van VA­LEN­CIA

Pro­duc­ti­on Pro­duc­tie

Al­fred ZEIS­LER

DRA­MA­TIS PER­SONÆ

Ma­ri­on Sa­ve­dra . . . . . . BRI­GIT­TE HELM

Pedro Sa­ve­dra . . .

Ca­pi­tai­ne Men­doz­za . . .

Pa­tes­co

Ca­pi­tai­ne Rus­tan ....

Le Com­mis­sai­re de Po­li­ce . Roger Karl

Li­eu­te­nant Diaz ....

KER­CK­HO­VE’8 HOE­DEN

__ DE BESTE

10


" De Ster van Va­len­cia''

tfr

Pedro, of­fi­cier-me­ca­ni­cien aan boord van het po­li­tie­vaar­tuig « Le Leone », heeft een jaar ge­le­den zijne vrouw, Ma­ri­on, ver­la­ten. Een zij­ner ka­me­ra­den had hem ge­zegd, dat Ma­ri­on hem be­droog.

Dien dag on­der­zocht Pedro « Dte Ster van Va­len­cia », een ver­dacht schip op de reede van Pa­ler­mo en ont­moet er, als ma­troos, zijn maat die hem het wan­ge­drag van Ma­ri­on me­de­deel­de.

De maat be­kent aan Pedro dat die las­ter enkel « eene goede grap » was en dat Ma­ri­on hem al­tijd trouw was. Na zijn ka­me­raad eene wel­ver­dien­de straf ge­ge­ven te heb­ben, gaat Pedro op zoek naar zijne vrouw. Ma­ri­on is als dan­se­res aan­ge­wor­ven in het « Pa­ra­di­sio », een huis van ple­zier, be­stuurd door den ge­heim­zin­ni­gen Pa­tes­co en zijne vrouw Eli­nor. Pedro vindt zijne vrouw in het « Pa­ra­di­sio », ver­zoent zich met haar en be­sluit haar aan dit mid­den te ont­ruk­ken.

Maar de hou­ders van het huis heb­ben het zoo ge­schikt dat Ma­ri­on bij hen diep in de schuld staat en niet kan ver­trek­ken zon­der deze eerst te be­ta­len. Pedro zal zich het ont­bre­ken­de geld be­zor­gen met eene ma­chien te her­stel­len aan boord van « De Ster van Va­len­cia », waar hem eene groote som ge­bo­den wordt voor een on­be­dui­dend werk. Na­tuur­lijk is de ka­pi­tein

van «De Ster van Va­len­cia» Pa­tes­co’s me­de­plich­ti­ge en wordt Pedro in een val­strik ge­lokt.

Hij ge­lukt erin te ont­snap­pen en wil nu met ge­weld zijne vrouw te­rug­heb­ben. Maar Pedro is in on­ge­wet­tig­de af­we­zig­heid en in het « Pa­ra­di­sio » ont­moet hij zijn ka­pi­tein die hem naar zijn post te­rug­zend.

De ka­pi­tein van « Le Leone » wil ook de vrouw van zijn on­der­ge­schik­te ver­los­sen; een twist ont­staat met Pa­tes­co tij­dens de­wel­ke de ka­pi­tein ge­dood wordt. Pa­tes­co ge­lukt erin Ma­ri­on ervan te over­tui­gen dat haar echt­ge­noot de moor­de­naar is. Hij jaagt haar schrik aan door met de po­li­tie te drei­gen en, om haar in vei­lig­heid te bren­gen, stelt hij haar voor aan boord te gaan van « De Ster van Va­len­cia », waar dien avond een feest plaats heeft waar­aan al de dan­se­res­sen van het « Pa­ra­di­sio » zul­len deel­ne­men.

Eens op « De Ster » in­ge­scheept, be­mer­ken de dan­se­res­sen dat het schip zee kiest... voor welke be­stem­ming?

Ge­luk­kig­lijk gaat « Le Leone », onder bevel van lui­te­nant Diaz en Pedro, uit ter ach­ter­vol­ging der tra­fi­kan­ten en, na een ho­me­ri­sche strijd, ge­lukt de po­li­tie erin het schip te en­te­ren en de men­sche­lij­ke la­ding van « Db Ster van Va­len­cia » te ver­los­sen.

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L'Etoi­le de Va­len­cia"

Pedro, of­fi­cier-méca­ni­cien à bord d’un na­vi­re de la po­li­ce ma­ri­ti­me, "« Le Leone », a aban­donné, voici un an, sa femme Ma­ri­on. Un de ces ca­ma­ra­des lui avait dit que Ma­ri­on le trom­pait. Au­jourd’hui Pedro vi­si­te un na­vi­re sus­pect en rade de Palma, «L’Etoi­le de Va­len­cia», et re­trou­ve, marin à bord, le co­pain qui lui avait dénoncé l’in­con­dui­te de Ma­ri­on. Le co­pain avoue à Pedro que cette ca­lom­nie était une « bonne bla­gue » et que Ma­ri­on ne l avait ja­mais trompé. Après avoir cor­rigé comme il le méri­tait son ca­ma­ra­de, Pedro part à la re­cher­che de sa femme. Ma­ri­on, vient d’en­trer comme dan­seu­se au <( Pa­ra­di­sio», lieu de plai­sir dirigé par l’inquétant Pa­tes­co et sa femme Eli­nor. Pedro re­trou­ve sa femme au « Pa­ra­di­sio », se re­con­ci­lie avec elle et décide de l’ar­ra­cher à ce mi­li­eu.

Mais les tenan­ciers se sont ar­rangés pour que Ma­ri­on ait chez eux des det­tes assez co­quet­tes et ne lui per­met­tent pas de quit­ter le local si elle ne s’est pas libérée. Pedro se pro­cu­re­ra la somme qui lui man­que en répa­rant une ma­chi­ne à bord de « L’Etoi­le de Va­len­cia » où on lui offre une somme im­por­tan­te pour un tra­vail in­sig­ni­fi­ant. Na­tu­rel­le­ment, le ca­pi­tai­ne de « L’Etoi­le de Va­len­cia » a par­tie liée avec Pa­tes­co et c’est dans un guet-apens que Pedro a été attiré.

11 par­vient à s’échap­per et veut, par la force, sor­tir sa femme du «Pa­ra­di­sio». Mais Pedro est en ab­sen­ce illégale et au « Pa­ra­di­sio » il ren­con­tre son ca­pi­tai­ne, qui le ren­voie à son poste.

Le ca­pi­tai­ne du-« Léonè» veut, lui aussi, déli­vrer la femme de son sub­or­donné, il s’en­s­uit une ba­g­ar­re avec Pa­tes­co au cours de la­quel­le le ca­pi­tai­ne est tué. Pa­tes­co ar­ri­ve à per­su­a­der Ma­ri­on que c’est

son mari le meur­t­rier. Il l’ef­fraie en évo­quant les enquêtes de la po­li­ce et, pour la met­tre à l’abri, pro­po­se de l’em­bar­quer sur « L’Etoi­le de Va­len­cia », où aura lieu ce soir une fête à la­quel­le par­ti­ci­peront les dan­seu­ses du «Pa­ra­di­sio».

Les dan­seu­ses em­bar­qués sur « L’Etoi­le » s’aperçoi­vent que le na­vi­re prend la mer... vers quel­le des­ti­na­ti­on?

Heu­reu­se­ment «Le Léone», com­mandé par le li­eu­te­nant Diaz et par Pedro, part à la pours­ui­te des tra­fi­quants, et après une lutte épique la po­li­ce par­vien­dra à abor­der « L’Etoi­le de Va­len­cia » et à sau­ver sa car­gai­son hu­mai­ne.

Noces et Ban­quets

Ma­da­me Pa­rent et son fils Eugène ti­en­nent un res­tau­rant pour « Noces et Ban­quets ». Eugène, brave garçon, mais très ti­mi­de, sur­tout avec les fem­mes, fait le dése­spoir de sa mère qui voud­rait le voir marié. Eugène aime la fille de gros com­merçants, Ma­de­moi­sel­le Le­plat, qui doit épou­ser le fils de Mon­si­eur Ra­di­cal, maire de l’en­droit. Bien en­ten­du le repas de noces doit avoir lieu au res­tau­rant de Ma­da­me Pa­rent. Le grand jour ar­ri­ve. Le cui­si­nier de « Noces et Ban­quets » s’est sur­passé.

Au der­nier mo­ment le fiancé fait faux bond, il est parti pour Paris en com­pag­nie de la ven­deu­se du ma­gas­in de Mon­si­eur Ra­di­cal. Gros émoi, la fiancée s’évan­ouit.

Le jeune Eugène, étouf­fant sa ti­mi­dité, se présente aux pa­rents éplorés et se pro­po­se çomme rem­p­laçant. Il est ac­cepté avec en­thou­si­as­me.

Tout finit pour le mieux et l’ex­cel­lent déjeu­ner ne sera pas perdu.


BRI­GIT­TE HELM

Op a beau­coup parlé ces temps der­niers, de la belle ve­det­te in­ter­na­ti­o­na­le Bri­git­te Helm, qui avait connu un très gros succès avec son in­ter­préta­ti­on des deux grands films de la Ufa « Adieu les beaux jours » et « L’Etoi­le de Va­len­cia ». Cette dernière pro­duc­ti­on con­sti­tue, au dire de cha­cun, une création par­ti­cu­lièrement émou­van­te de Bri­git­te Helm.

Il m’a été donné de pou­voir ap­pro­cher la gran­de ar­tis­te, non pas seu­le­ment au mi­li­eu de la fiévreu­se ac­ti­vité des stu­dios, mais au con­trai­re dans le calme de son intérieur, calme plus pro­pi­ce aux in­ter­views et aux con­fi­den­ces. Dans un cadre mo­der­ne aux lig­nes sim­ples et dépouillées, la jeune femme me reçoit avec la même grâce char­man­te qui a con­tri­bué à sa réus­si­te sur l’écran. Elle m’entraîne vers une pièce lar­ge­ment éclairée par de gran­des baies don­nant sur un bal­con fleu­ri. Aux murs, des pein­tu­res de Fou­ji­ta at­tes­tent l’intérêt que prend Bri­git­te à tout ce qui Con­cer­ne le pays du so­leil le­vant. Mais, au mo­ment de poser les ques­ti­ons tra­di­ti­on­nel­les sur ce qu’on pour­rait ap­pe­ler le « cur­ri­cu­lum vitae » de 1 ac­tri­ce, je m’aperçois que mon ques­ti­on­nai­re va être bien fa­ci­lité par un objet in­at­ten­du que Bri­git­te Helm me désigne en sou­ri­ant. C’est un tapis de table sur le­quel se trou­vent brodés en soies de cou­leurs vives et différen­tes, les ti­tres de tous les films que la ve­det­te a in­ter­prétés de­puis ses débuts. Je relève des noms qui sont au­tant de ti­tres de gloi­re du pal­marès cinéma­to­grap­hi­que! Métro­po­lis, Man­dra­g­o­re, Le Yacht des 7 Péchés, Le mer­veil­leux mens­on­ge de Nina Pe­tro­v­na, L’Amour de Je­an­ne Ney, Crise, Le Scan­da­le de Ba­den-Ba­den, L’Ar­gent, Ma­no­le­s­co, roi des voleurs, La ville qui chan­te, La Com­tes­se de Mon­te-Chris­to; et, au ha­sard des cou­leurs (rouge, vert, bleu, blanc) c’est chaque fois une per­son­na­lité différente de l’ar­tis­te qui se révèle: sa­cri­fi­ce, pas­si­on, souf­fran­ce, amour, tous les sen­ti­ments qu’un être hu­main peut éprou­ver!

« Mais, chère Ma­da­me, le pu­blic s est posé la ques­ti­on et je me suis moi-même

étonné de la rapi­dité avec la­quel­le vous avez ap­pris le français que vous par­lez d’une manière par­fai­te. Pou­vez-vous me dire quel­le méthode accélérée vous avez sui­vie? »

Avec un sou­ri­re mystérieux, Bri­git­te Helm se lève et va vers un petit meu­ble qu elle ouvre: c'est un phono. « Voilà mon pro­fes­seur de français », me dit-el­le en me ten­dant des dis­ques: « chaque jour, au lieu d’écou­ter de la mu­si­que de jazz ou d’opéra, je mets en mar­che l’ap­pareil et j’ai ainsi, à do­mi­ci­le, un pro­fes­seur par­ti­cu­lier au­quel je peux faire répétçr jusqu’à 20 fois la même phra­se sans fa­tigue pour

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lui et sans im­pa­ti­en­ce pour moi! Mais, at- Bri­git­te Helm se re­cu­eil­le et c*est cette ten­dez; pour vous je vais met­tre un dis- dernière image que j em­por­te d elle: le que que vous con­nais­sez sûrement...» beau pro­fil régu­lier de H ve­det­te rêvant Grave et pas­si­onnée, la voix de Lu­ci­en­ne g de­vant les pa­ro­les de la chan­teu­se: « Par-Boy­er s’élève dans la pièce, pen­dant que lez-moi d amour... »

Château de Rêve

C’est un mag­ni­fi­que film que nous vous présen­tons la se­mai­ne pro­chai­ne sur notre écran.

Le scénario de Zer­lett est animé et cap­ti­vant, et le met­teur en scène G. de Bol­va­ry, qui a donné de si édi­fi­an­tes preu­ves déjà de son ta­lent in­ven­tif et di­sert, en tire le meil­leur parti. La tech­ni­que de ce film est ab­so­lu­ment re­mar­qua­ble, et le rhyth­me est à la fois exal­tant et ex­pres­sif. Les pho­tos sont de toute beauté; les éclai­ra­ges sa­vam­ment dis­posés, la mise en page du meil­leur style et les décou­pa­ges fort réussis. L a mu­si­que de Gro­the ajou­te en­co­re à l’im­pres­si­on déli­ca­te de cette pro­duc­ti­on, dont les dia­lo­gues et l’as­sis­tan­ce pour la ver­si­on française fu­rent confiés à Mi. Clou­zot.

Bref, une bande qui bénéficia des soins les plus at­ten­tifs, et qui ne man­que­ra pas

de four­nir une bril­lan­te carrière, d’au­tant plus qu’elle est défen­due par des in­ter­prètes de tout pre­mier rang, avec Edith Me-ra et Lu­cien Ba­roux, en ve­det­te. Oti sait le ta­lent de ces ar­tis­tes éprouvés, leur jeu sobre et na­tu­rel, leur char­me et le pho­togénique as­pect de leurs at­ti­tu­des, comme la sou­ple ai­san­ce qu ils déploi­ent à l’écran. Ils sont en­tourés de la façon la plus par­fai­te, par Dan­niel­le Dar­ri­eux, Le Gallo, Roger Dann, Mar­cel André, Pier­re Ser­ge­ol, Vi­vi­an Grey.

Jaques Ca­te­lain fi­gu­re aussi en ve­det­te dans ce film, pour le­quel, décidément, les pro­duc­teurs ont mis les pe­tits plats dans les grands.

Un film ra­vis­sant, aux péripéties con­stam­ment at­ta­chan­tes, et qu’une jolie fraîcheur de sen­ti­ments anime d’un bout à l’autre.


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AN­VERS


L 'eau qui Cor­ri­ge les écarts de régime

N eu­ba­hels­berg

Je ne con­nais pas de nom qui puis­se s’ap­pli­quer plus ju­di­ci­eu­se­ment aux im­men­ses stu­dios que possède la Ufa à quel­ques 25 kilomètres de Ber­lin. La nou­vel­le Babel...

En effet, dans chaque ate­lier, ce qui me frap­pe au pre­mier abord, c’est la di­ver­sité des lan­gues que I on parle au­tour de moi: al­le­mand, français, an­glais, russe, es­pag­nol, ita­lien et même... chi­nois. Je dis bien: chi­nois, car une véri­ta­ble co­lo­nie d'A.​siatiques s’est in­stallée aux stu­dios de la Ufa pour la réali­sa­ti­on db4u bout du monde, un film qui re­con­sti­tue [ at­mos­phère de révo­lu­ti­on et de gu­er­re ci­vi­le, où se débat la Chine mo­der­ne.

Ce­pen­dant, cha­cun s’en­tend foil bien, car le per­son­nel em­ployé est po­ly­glot­te et parle au moins l’al­le­mand, le français et l’an­glais, et c’est suf­fisant pour se faire com­pren­d­re dans le monde en­tier.

Au ha­sard de ma pro­me­na­de à tra­vers cette véri­ta­ble ville qui com­por­te sa cen­tra­le élec­tri­que spéciale, ses res­tau­rants, son ac­ti­vité per­son­nel­le, je tra­ver­se dans la por­ti­on con­sa­crée aux extéri­eurs des rues entières, dont les mai­sons s’arrêtent à hau­teur des pre­miers étages et se ter­mi­nent en écha­fau­da­ges hérissés de lat­tes, de plan­ches et de plâtre. Ici, c est une rue de Paris avec — oh! nos­tal­gie — un au­to­bus qui sem­ble sor­tir des ga­ra­ges de la T. C. R. P.; plus loin une rue de Lond­res avec la re­con­sti­tu­ti­on fidèle de la façade du Savoy Hôtel, cen­tre des élégan­ces du Strand et de Fic­ca­dil­ly. 1 outes ces rues animées, sil­lonnées en tous sens de pro­me­neurs qui vont, vi­en­nent, sor­tent du « champ » et re­brous­sent che­min pour re­tour­ner sur leurs pas et créer ainsi, par ce va-et-vient, l’il­lu­si­on d’une foule dense et

nouve He B abel

agitée. Sur la chaussée, des taxis sta­ti­on­nent ou cir­cu­lent selon la même for­mu­le d aller et re­tour, que règlent con­scien­cieu­se­ment des régis­seurs sérieux comme des agents de la cir­cu­la­ti­on. Au mi­li­eu de ce désor­d­re or­ga­nisé, un char­ri­ot se glis­se, sup­por­tant la ca­me­ra, deux as­sis­tants et le met­teur en scène qui réalise un « tra­ve­ling » par­ti­cu­lièrement délicat. Poussé à bras d’homme, le char­ri­ot monté sur roues ca­out­choutées, des­tinées à amor­tir tous les chocs qui pour­rai­ent dérégler la ca­me­ra, évolue dans la cohue et suit pas à pas l’in­ter­prète prin­ci­pal, dont le rôle est de tra­ver­ser cette rue. Le micro sus­pen­du au-des­sus des têtes suit éga­le­ment le mou­ve­ment et la mise au point de tou­tes ces di­ver­ses ac­ti­ons pa­rallèlent de­man­de de nom­breux tâton­ne­ments avant la per­fec­ti­on to­ta­le d’une scène qui, à la pro­jec­ti­on, du­re­ra quel­ques se­con­des et aura néces­sité toute une journée de tra­vail!

A l’intérieur de chaque stu­dio, c’est un décor différent qui a été con­struit spéci­a­le­ment pour le film en cours; dans le grand stu­dio cen­tral, voici la re­pro­duc­ti­on ab­so­lu­ment exac­te et mi­nu­ti­eu­se d’un im­men­se la­bo­ra­toi­re mo­der­ne, muni de tous les per­fec­ti­on­ne­ments élec­tri­ques néces­sai­res à la di­vi­si­on des ato­mes. On a uti­lisé pour cette véri­ta­ble usine qui doit pro­dui­re l’or synthétique, des in­stru­ments et des ap­pareils au­then­ti­ques, dont la va­leur seule at­teint presque deux mil­li­ons de fran­cs.

Dans un stu­dio voi­sin, c est un château en­tier qui se reflète dans une pièce d’eau, d eau véri­ta­ble, où, sur un léger canot, Kate de Nagy et Jean-Pier­re Au­mont échan­gent « les ser­ments que I on fait à vingt ans! ».


Et, tra­ver­sant un cou­loir, je heur­te un petit jeune homme blond, moulé dans un habit imp­ec­ca­ble et l’air bien im­per­ti­nent sous le ma­quil­la­ge...

— Par­don, mon­si­eur.

— Mon­si­eur! Tu ne me re­con­nais donc plus, toi aussi!

Ce tu­toi­e­ment, cette voix... Je re­gar­de de plus près l'im­per­ti­nent jeune homme.

— Mais, ma pa­ro­le, c’est Meg; Meg Le­mon­nier. Et tes che­veux?...

— Coupés, collés, ca­la­mistrés... Oh! c’est toute une his­toi­re... Ecou­te...

Et Meg m’entraîne en me de­man­dant le se­cret le plus ab­so­lu... Donc, ne vous at­ten­dez à au­cu­ne con­fi­den­ce sa­vou­reu­se... Pour sa­voir le fin mot de 1 his­toi­re, il vous fau­d­ra at­ten­d­re la sor­tie de Ge­or­ges et Ge­or­get­te, dont le moins que je puis­se dire est que vous as­sis­te­rez à une série de com­pli­ca­ti­ons et de quipro­quos tous plus af­fo­lants les uns que les au­tres.

Ma vi­si­te se pour­s­uit jusqu au soir, et tan­dis que je m’éloig­ne, l’usine aux chimères con­ti­nue à vivre d une vie in­ten­se et fébrile que la nuit n’arrête pas, cette nuit qui ne pénètre ja­mais dans ces stu­dios, où la lumière des so­l­eils ar­ti­fi­ciels (sun­lights) rem­pla­ce celle de l’astre dis­pa­ru.

Van ailes en nog wat over M al­lor­ca

door Paul WES­TER­MEI­ER.

een sprook­je. Het was mid­den De­cem­ber, men

Het begon al on­ge­veer

liep heen en weer tus­schen film en tooneel, en was ei­gen­lijk al­door be­zorgd, dat men zich de on­ver­mij­de­lij­ke D'ecem-ber-ver­koud­heid op den hals zou halen. Op een mor­gen trof ik Al­fred Zeis­ler. « Wes­ter­mei­er, ik wou je juist van­daag op­bel­len. Ik heb een prach­ti­ge rol voor je in mijn nieu­we film « De Ster van Va­len­cia ».

Nu, als ac­teur ben je al­tijd blij, als je weet wat er de vol­gen­de maand ge­beurt. «*D[us», vroeg Zeis­ler, «kun je je eind Dte­cem­ber vrij maken? Wij gaan na­me­lijk da­de­lijk na Kerst­mis weg om de film op Mal­lor­ca te draai­en. »

Ik slik­te nog net een ver­ruk­ten kreet in. Men moet n.l. met zijn toe­kom­sti­gen re­gis­seur al­tijd voor­zich­tig zijn, zoodat een uit­druk­king als « heer­lijk » of « fijn » later niet om­ge­keerd even­re­dig met het sa­la­ris wordt ge­maakt! Ik dacht dus: « Fijn! » en zei op ge­wild za­ke­lij­ken toon: « Goed, ik doe mee. »

De dagen in Ber­lijn gin­gen snel voor­bij. Zoo kwam spoe­dig de dag, waar­op Zeis­ler en zijn staf af­scheid namen: « Wij varen al­vast voor­uit om een ge­schik­te plaats te zoe­ken en jij, Wes­ter­mei­er, komt ons vier dagen later ach­ter­na met je col­le­ga’s Peter Er­ke­lenz en Edu­ard We­s­e­ner.n

Men­schen, zoo n film­reis mid­den in den win­ter naar het zon­ni­ge Zui­den en naar een ei­land, dat, zooals ik­zelf op de land­kaart heb uit­ge­me­ten, zoo sym­pa­thiek tus­schen Span­je en Afri­ka ligt, dat is je ware! Dte blau­we lucht en de blau­we zee, mid­den in den win­ter een vrije ge­le­gen­heid om te baden!

De stad Ber­lijn toon.​de zich op den dag van onze af­reis van haar bes­ten kant: een stra­len­de, zon­ni­ge dag. In Pa­rijs begon het al te re­ge­nen, in Tou­lou­se was het on­aan­ge­naam koel en toen wij in Bar­cel­o­na aan­kwa­men, lag er zoo n dikke mist over de stad, zooals wij drieën nog nooit van ons leven had­den ge­zien. Doch — aldus ver­ze­ker­de ons de dikke por­tier in ons Spaan­sche hotel — tegen elf uur zou de

MAI­SON — HUIS

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L'AME DU CI­TRON

mist op trek­ken. En hij had ge­lijk.

’s Avonds laat gin­gen wij aan boord van het schip naar Palma de Mlal­lor­ca; de maan scheen hel­der en spie­gel­de zich in het klare, rus­ti­ge water van de zee! Wij waren moe van de reis en gin­gen spoe­dig na het ver­trek naar onze hut­ten.

Mid­den in den nacht werd ik wak­ker en be­dacht: « Waar ben je nu ei­gen­lijk? Al­le­mach­tig, er moet een aar­dig storm­pje staan bui­ten, want de boot slin­gert op een ver­schrik­ke­lij­ke ma­nier. »

Ik stond op om eens te kij­ken hoe de Mïddel­land­sche Zee, waar­van de teere, blau­we rust ons sinds onze kin­der­ja­ren uit boe­ken is in­ge­prent, er bij storm uit­ziet.

's Mor­gens vroeg kwa­men wij te Palma aan. Zeis­ler ont­ving ons met de woor­den: «Tot gis­ter­mid­dag is het schit­te­rend weer ge­weest; nu re­gent het na­tuur­lijk.» Nu, dat had­den wij, de drie nieu­we­lin­gen, bij het bin­nen­va­ren van de haven ook wel ge­merkt!

Zoo kwam het dat wij tijd had­den om Palma te be­zich­ti­gen, de voor­stad Terre -no en het heele ei­land. Het was heer­lijk, want op de re­gen­da­gen maak­ten wij de mooi­ste uit­stap­jes. Het waren er niet veel, maar toch vol­doen­de om de zeer af­wis­se­len­de schoon­heid van het ei­land te be­zien.

Ik zal nu maar geen Bae­de­ker over Mal­lor­ca gaan schrij­ven, maar een paar klei­nig­he­den, die mij zijn op­ge­val­len, moet ik toch even me­mo­reeren.

Wij woon­den in de voor­stad Ter­re­no, twin­tig mi­nu­ten tram­men van Palma af. Ter­re­no is een soort vil­la­stad­je, zooals dat vaak bij groote ste­den voor­komt. Den eer­sten dag ging ik met den ca­me­ra­man Bran­des in de tram, die maar drie cent kost, om mij een beet­je onder het «Spaan-sche» volk te be­we­gen. Merk­waar­di­ge typen. Voor­aan zat een ma­ge­re, ge­heel grij­ze Span­jaard, die er uit­zag als een « Gran­de », daar­ach­ter een zon-ver­brand echt­paar, blijk­baar Spaan­sche let­ter­kun­di­gen, dan een paar zeer ele­gan­te Spaan­sche dames, te­za­men on­ge­veer twin­tig per­so­nen.

Jk maak­te een klei­ne stu­die. Toen zei ik tegen Bran­des — wij ston­den beide op het voor-bal­con —: « Kijk toch eens naar die prach­ti­ge Spaan­sche typen! »

Bran­des keek ver­baasd om.

« Spaan­sche typen? Ik zie geen en­ke­len Span­jaard, be­hal­ve den con­tro­leur. »

En toen bleek, dat de Spaan­sche «Gran­de» een En­gelsch ma­joor van 72 jaar was, die hier zijn le­vens­avond door­bracht. Het bruin ver­bran­de echt­paar was de be­ken­de Duit­sche schrij­ver Wil­helm Sch­midt­bonn en zijn vrouw. De Spaan­sche dames waren drie Fran­sche on­der­wij­ze­res­jes van een meis­jes­kost­school en ook het an­de­re pu­bliek ont­pop­te zich bij na­de­re in­for­ma­tie als Hol­lan­ders, Driit­schers en voor­al En­gel­schen.

Nog dien­zelf­den dag hoor­de ik in ons hotel, dat er op Mal­lor­ca 30.000 vreem­de­lin­gen woon­den.

Doch ook wij heb­ben een bij­zon­de­ren in­druk ge­maakt en wel op onzen chauf­feur Al­fon­so. Hoe­wel onze reis­gids, de Spaan­sche ac­teur Felix de Pomes, lang en breed had uit­ge­legd, waar­om wij al­leen bij slecht weer uit­stap­jes kon­den maken, schud­de hij steeds weer het hoofd, als hij ons op een re­gen­ach­ti­ge mor­gen af­haal­de. Pomes ver­tel­de ons, dat Al­fon­so ons van harte be­klaag­de (hoe­wel hij bij regen voor ie­de­ren tocht tien pe­se­ta’s meer re­ken­de). «Waar­om zou een mensch leven, als je al­tijd wer­ken moet, als de zon schijnt? »

Dit is nu een vrij be­werkt ver­slag van! mijn eigen er­va­rin­gen tus­schen de op­na­men van de Ufa-toon­film « 13e ster van Va­len­cia», die voor een groot deel spéélt in de haven van Palma de Mlal­lor­ca.


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