Programma van 11 tot 17 okt. 1935



Brochure

Bron: FelixArchief nr. 1968#965

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PRO­GRAM­ME 3 SPEKE WIJ­ZER

Ven­d­re­di-* -t Sa­me­di t» Di­man­che-* 1 Lundi 1 t Za­ter­dag

; Vrij­dag

Zon­dag

Maan­dag

1Æ Mardi -j g- Jeudi -| rj oc­to­b­re *| ATC

Dins­dag Don­der­dag• Oc­to­ber

1. Gau­mont-Jour­nal

Ac­tu­a­lités so­no­res

2. Vieil­les Chan­sons

d’Amour

film en cou­leurs

3. Les Hom­mes dans la

neige

do­cu­men­tai­re

1. Gau­mont-Nieuws­be­rich­ten

Ak­tu­a­li­tei­ten op den klank­film

2. Oude Lief­de­lie­de­ren

film in kleu­ren

3. Men­schen in de sneeuw

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SUSY VER­NON .. Ja­net­te.

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UN HOMME EN OR

Au re­gard de cer­tains hom­mes, l’ig­no­ran­ce de l’in­for­tu­ne est en­co­re ce qu’il y a de mieux pour sau­ve­gar­der sa tran­quil­lité per­son­nel­le et pour s’as­su­rer une manière de bon­heur con­ju­gal.

Papon, dont on peut dire qu’il est bien « un homme en or », n’est cer­tai­ne­ment pas de cet avis. Il se­rait même tout prêt à vous ad­mi­ni­strer la preu­ve du con­trai­re.

II fut un temps où le héros de cette his­toi­re était un ex­cel­lent ser­vi­teur de l’Etat. Il avait gagné la croix à la gu­er­re, et, dans les bu­reaux du Mi­nistère des Tra­vaux Pu­blics, ne son­g­e­ait derrière les car­ton­niers pous­siéreux, qu’à l’heure dè la sor­tie et aux per­spec­ti­ves d’une con­for­ta­ble re­trai­te.

Papon n’était ni beau, ni séduisant. Au de­meu­rant, le meil­leur des bra­ves hom­mes. Il était par­ve­nu à ce qu’il est con­ve­nu d’ap­pe­ler l’âge mûr sans trop se de­man­der si Ja­net­te, son épouse, beau­coup plus jeune que lui, ne re­gar­dait pas par­fois avec quel­que secrète com­miséra­ti­on ses vête­ments mal coupés et sa pipe ma­lo­do­ran­te.

Or, Ja­net­te, précisément, rêvait d’ho­ri­zons plus lar­ges que ceux dont Papon sa­vait se con­ten­ter. Et un char­mant garçon, élégant, pro­ba­ble­ment assez riche, était passé sur le che­min. L’épouse n’était point restée in­sen­si­ble aux avan­ces de ce bril­lant per­son­na­ge. L’adultère lui ap­pa­rais­sait déjà comme une échappée pos­si­ble sur des per­spec­ti­ves nou­vel­les, libéra­tri­ces de la médi­o­creté quo­ti­di­en­ne.

Ne cher­chez pas pour­quoi Moi­neau, com­pag­non du bu­reau de Papon, s’en fut un jour révéler à ce der­nier l’éten­due de son in­for­tu­ne. La bêtise hu­mai­ne est in­son­da­ble, comme les des­seins de la Pro­vi­den­ce d’ail­leurs, car, ô plai­san­te ven­ge­an­ce du sort! ce Moi­neau, pro­fes­seur de vertu, ig­no­re to­ta­le­ment qu’il n’a rien à en­vier à Ge­or­ges Dandin. Et il l’ig­no­re­ra toute sa vie...

Le mari trompé al­lait-il, pre­n­ant des mains de ce moi­neau, stu­pi­de­ment imbu de prin­ci­pes mo­raux, trop mo­raux, le fatal re­vol­ver, abat­tre la femme adultère comme une chi­en­ne et se faire en­s­ui­te jus­ti­ce? Non, Papon a de la phi­lo­so­p­hie. Il a aussi un mi­roir dans le­quel il se re­gar­de et qui lui donne une lqçon d’in­dul­gen­ce. Pour un peu, il se sen­ti­rait res­pon­sa­ble de l’in­con­dui­te de sa femme. Il sait, mais il n’en fera rien voir. Il a son plan. Et ce plan est sim­ple.

Que veut Ja­net­te? Sor­tir de sa con­di­ti­on, goûter aux mille plai­sirs dont l’ar­gent seul per­met de se pas­ser la fan­tai­sie? Avoir un mari bien ha­billé au­tant que généreux? Elle aura tout cela.

Car l’im­por­tan­ce réveil­le chez le petit fonc­ti­on­nai­re une vo­lonté d’ac­ti­vité pro­duc­tri­ce qui s’ig­no­rait. La lec­tu­re des pe­ti­tes an­non­ces va l'ame­ner dans le bu­reau d’un négo­ci­ant en cho­co­lat qui est au bord de la fail­li­te, et Papon lan­ce­ra ses éco­no­mies de Français moyen, sur le tapis de cet es­croc au cau­ti­on­ne­ment.

La chan­ce, dit-on, est la maîtres­se des maris trompés. La chan­ce sou­rit à Papon, qui, après s’être trans­formé lui-même en revêtant la livrée de l’homme de bon ton, s’ap­pli­que avec une ténacité désespérée à ren­d­re à la cho­co­la­te­rie en décon­fi­tu­re sa loin­tai­ne prospérité. Il est si éton­nant de vo­lonté cal­culée d’as­su­ran­ce ac­qui­se au prix d’un im­men­se ef­fort de ca­ractère, qu’il émeut le cœur de sa dac­ty­lo, une fil­let­te ro­ma­nesque de dix-huit ans.

Non, ce n’est point si banal que vous pou­vez le croi­re. Papon ne pro­fi­te­ra de cette vic­toi­re

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que dans la me­sure où elle ren­for­ce à sa con­fi­an­ce en soi. Et la cho­co­la­te­rie croît et mul­ti­ple. Papon, l'homme en or, sem­bla­ble au héros de cer­tai­ne fable, trans­for­me en or tout ce qu’il tou­che. Ja­net­te connaît l’ai­san­ce, puis la for­tu­ne, puis le grand luxe. Est-el­le heu­reu­se? Peut-être. Ses rêves d’éva­si­on, en com­pag­nie d’ur. jeune homme séduisant, se font moins pres­sants de­puis qu’elle ne connaît plus la gêne.- Papon est près du but. Pas en­co­re...

Sa femme méprise l’homme lâche qui feint de ne pas sa­voir qu’il a été trompé. Les con­fi­den­ces de Ma­da­me Moi­neau lui révèlent soud­ain tout. Du coup, celui qui lui a donné tant de sa-, tis­fac­ti­ons matériel­les va n'être plus à ses yeux qu’un être vil. Elle est prête à fuir avec l’amant...

Mais Papon, le cœur tou­jours en éveil, at­ti­re ha­bi­le­ment le séduc­teur, le con­fes­se sans en avoir l'air et lui mon­tre qu’il n’a réalisé ses am­bi­ti­ons que par amour pour Ja­net­te. L’égoïste jeune homme pa­rait de­meu­rer in­sen­si­ble. Par bon­heur, Ja­net­te a sur­pris la con­ver­sa­ti­on à tra­vers une porte, et le voile se déchire. Elle com­prend, alors qu’il en est temps en­co­re, l’éten­due des sa­cri­fi­ces que s’est imposés Papon pour elle seule. Peut-être pres­sent-el­le aussi que, s’il sa­vait vrai­ment, il n’a refusé l’ex­pli­ca­ti­on dou­lou­reu­se, que pour éviter de con­som­mer l’irrépa­ra­ble. Et rien ne peut désor­mais s’opp­ser à ce qu’elle de­meu­re pour tou­jours l’épouse fidèle dont tant de déli­ca­tes­se, alliée à tant de générosité a préservé l’image.

EEN MAN VAN GOUD

Voor ze­ke­re man­nen is on­we­tend te schij­nen nog het beste mid­del om den hui­se­lij­ken vrede te be­wa­ren.

Papon, van wien men noch­tans mocht zeg­gen dat hij « een man van goud » was, hield ér ech­ter an­de­re ge­dach­ten op na. Hij was een voor­beel­dig staats­be­dien­de, ver­eerd met het oor­logs­kruis en dacht enkel aan het ge­luk­kig oog­en­blik dat hij op pen­si­oen zou ge­steld wor­den.

Papon was noch schoon, noch ver­lei­de­lijk, maar een op­recht braaf man. Van rij­pe­ren ou­der­dom had hij zich nooit af­ge­vraagd of Je­an­net­te, zijne veel jon­ge­re vrouw, ook met haar lot te­vre­den was. Maar Je­an­net­te droom­de van een beter leven. Zij ont­moet­te een ele­gant jon­ge­ling, oog­en­schijn­lijk rijk, en was aan dezes voor­stel­len niet on­ge­voe­lig ge­ble­ven.

De echt­breuk scheen haar reeds het mid­del om uit den da­ge­lijk­schen sleur te ge­ra­ken.

Tracht niet te weten waar­om Moi­neau, col­le­ga van Papon, dezen ze­ke­ren dag op de hoog­te stel­de van zijn on­ge­luk, want Moi­neau, de ze-de­lee­r­aar, weet niet dat hij aan Ge­or­ges Dan-din niets te be­nij­den heeft. Hij zal het nooit weten.

Zal de be­dro­gen echt­ge­noot,, wan­neer hij van den ze­de­pre­ker Moi­neau den re­vol­ver aan-néémt, zijne óntrou­we echt­ge­noote neer­schie­ten en zich zelve dan recht doen? Neen, Papon is een wijs­geer. Hij be­ziet zich in den spie­gel en deze geeft hem eene les van toe­ge­vend­heid. Nog een wei­nig en hij zou zich zelf ver­ant­woor­de­lijk ach­ten voor het ge­beur­de. Hij heeft een een­vou­dig plan.

Wat ver­langt Je­an­net­te? Haar toe­stand ver-


Î be­te­ren en ge­nie­ten van al de ge­noe­gens welke

) het geld al­leen kan be­zor­gen? Een goed ge-

J klee­de en edel­moe­dig man te heb­ben? Zij zal

dit alles be­ko­men.

I Op le­zing eener aan­kon­di­ging komt hij te-

• recht bij een han­de­laar, welke op het punt is

( fail­liet te gaan en Papon steekt al zijne spaarj cen­ten in dezes zaak.

Het geluk, zegt men, is voor de be­dro­gen ( echt­ge­noo­t­en. Het geluk lacht Papon toe, welke i zich met hart en ziel aan de zaak wijdt. Hij is } zoo won­der­baar van wils­kracht dat zijne dac-{ tylo, een ro­ma­nesk acht­tien­ja­rig meis­je, op I hem ver­liefd ge­raakt; maar Papon zal hier­van

• geen mis­bruik maken.

De zaak bloeit boven ver­wach­ting. Je­an­ne? heeft nu for­tuin, de groote weel­de. Is zij geil luk­kig? Mis­schien. Haar ont­vluch­tings­plan­nen Î zijn nu min­der drin­gend, daar zij de weel­de t kent. Papon heeft het doel bijna be­reikt.

Zijne vrouw mis­prijst den man die, we­tens en wil­lens, be­dro­gen werd. Zij kan zich niet in­den­ken dat hij alles zou kun­nen ge­ra­den heb­ben tot op ze­ke­ren dag Mme Moi­neau haar op de hoog­te brengt. Je­an­net­te aan­ziet voor laf­heid wat bij haar man enkel ka­rak­ter is en zij is weder be­reid met den min­naar te vluch­ten.

Maar Papon, al­tijd op zijne hoede, doet den ver­lei­der komen en, zon­der er den schijn van te heb­ben, spelt hem de les en be­wijst hem wat hij deed uit lief­de voor Je­an­net­te. Dit laat den egoi­sti­schen jon­ge­ling schijn­baar on­ver­schil­lig. Ge­luk­kig­lijk heeft Je­an­net­te de sa­men­spraak ge­hoord. Zij be­grijpt, nu het nog tijd is, welke op­of­fe­rin­gen Papon zich voor haar al­leen ge­troost­te. Mis­schien ge­voelt zij ook dat, in­dien hij wer­ke­lijk alles wist en allen pijn­lij­ken uit­leg wei­ger­de, dit enkel was om het on­her­stel­ba­re te ver­mij­den.

Niets staat haar nu nog in den weg om voor al­tijd eene trou­we echt­ge­noote te blij­ven.

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Un film de Ve­det­tes: Cette ex­pres­si­on I uti­lisée pour la pu­bli­cité de tant de pro-j duc­ti­ons, prend vrai­ment sa va­leur pour S « Ma­lac­ca ».

Sans doute, il ne s’agit pas d’ac­teurs j ayant déjà fait leurs preu­ves sur les scè-j nés des Bou­le­vards, ou des chan­teurs en

renom, car ce sont les indigènes ma­lais î et si­a­mo­si et les grands fau­ves de la jun-« gle, les vrais « Seig­neurs du Tro­pi­que » { qui jou­ent dans tous les actes de cette ( œuvre ar­rachée à l'ombre mystéri­eu­se de j la jun­gle ma­lai­se. Et tantôt, c’est le Sei-j gneur Tigre, tantôt c’est le Seig­neur Elé-j phant, des py­thons dange­reux et les Sla-s dangs in­ap­pro­cha­bles qui vi­vent à l’écran 1 dans ce film inouï que l’on ne sau­rait

C’est afin de pho­to­grap­hier le mystérieux «slad­ang», ce cu­ri­eux ancêtre du bœuf, que Mi. Harry Schen­ck or­ga­ni­sa avec Miiss Bal­d­win, jeune sa­van­te an­glai­se, l’expédi­ti­on fan­tas­ti­que dont « Màlacca » (Les Seig­neurs du Tro­pi­que) est une re­la­ti­on fidèle.

Cette expédi­ti­on, par­ti­cu­lièrement pénible et dange­reu­se puis­qu’il lui fallu par­cou­rir plus de 28.000 kilomètres, de­puis l’Amérique, à tra­vers la Bir­ma­nie, le Siam et la presqu’île de Ma­lac­ca, a ce­pen­dant at­teint, malgré les dif­fi­cultés, le but qu elle se pro­po­sait.

Le «Slad­ang», dont peu de jardins zool­ogi­ques peu­vent se van­ter de posséder un spécimen, a été pho­to­grap­hié dans son do­mai­ne.

Malgré sa cour­se rapi­de (on le com­pa­re à l’an­ti­lo­pe à ce point de vue), sa sus­cep­ti­bi­lité, son sens de l’ouïe aigu et sa

vue perçante, des hom­mes sont par­ve­nus à l’ap­pro­cher... Au prix de mille dangers, ils en ont rap­porté le do­cu­ment à leurs sem­bla­bles et ce avec des détails inédits sur la vie mul­ti­ple et féroce de la forêt vier­ge.

Néan­moins, lhom­me blanc malgré son cou­ra­ge et son astu­ce, n’au­rait guère réussi dans son en­tre­pri­se sans la loy­a­le col­la­bo­ra­ti­on des indigènes. Ci’est pour­quoi Ml. Harry Schen­ck a dédié son film aux auxi­li­ai­res ma­lais et si­a­mois, dont le dévou­e­ment sur­pas­sa tou­tes les épreu­ves, et en a fait éga­le­ment l’hom­ma­ge à S. A. le Sul­tan de Pérak, sans le con­cours du­quel l’expédi­ti­on n’au­rait pas été pos­si­ble.

C’est dans « Mia­lac­ca » (Les Seig­neurs du Tro­pi­que), que l’on voit la scène la plus im­pres­si­on­nan­te qui ait ja­mais été tournée.

En effet, au cours de T expédi­ti­on de Ml, Harry Schen­ck, à qui nous de­vons ce film, la ca­ra­va­ne de ce der­nier dût fran­chir une rivière littéra­le­ment grouil­lan­te de cro­co­dil­les, afin de ra­me­ner un de ses mem­bres mou­rant de fièvre au vil­la­ge le plus pro­che. Entre les hom­mes et les mon­stres affamés une lutte ef­f­roy­a­ble et ter­ri­ble s’en­ga­gea dans l’eau. Lutte dont l homme sor­tit vic­to­ri­eux, mais non sans mal, car si l’expédi­ti­on put ra­me­ner tous ses blessés, ceux-ci étai­ent, hélas! nom­breux...

« Ma­lac­ca », qui abon­de en ima­ges dra­ma­ti­ques, .trou­ve dans cette scène le sum­mum de sa beauté et de sa gran­deur, car elle démon­tre que le cou­ra­ge et la vo­lonté de l’homme vi­en­nent à bout des plus re­dou­ta­bles dangers.

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I « Mbon­light on the River », qu’in­ter­prèteront Ann So­thern et James Dunn.

+ Frank Mlac Db­nald va réali­ser «From this dark stay away » avec Ri­car­do Cor­tez, Mary Astor, Lyle Tal­bot, et une nou­vel­le venue: Lynn Acker.

Ed­mond Goul­ding di­ri­ge­ra « May­ti­me » de Ron­jberg, qui sera in­ter­prété par Nel­son Fddy et Je­an­net­te Mc Do­nald.

André Hor­nez réali­se­ra la ver­si­on française de « La Chan­son d’Amour » avec Jac­que­li­ne Fran­cell, Pi­zel­la et Pas-qua­li.

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