Programma van 9 tot 15 dec. 1932



Brochure

Bron: FelixArchief nr. 1968#775

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Pro­gram­me Î3 Speel­wij­zer

Ven­d­re­di

Vrij­dag

Sa­me­di

Za­ter­dag

Di­man­che

Zon­dag

Lundi

Maan­dag

Jeudi

Don­der­dag

décem­bre

De­cem­ber

1. La­veurs de grat­te-ciel

Co­mi­que

2. Un pa­ra­dis dans l'em­pi­re

de mi­li­eu

Do­cu­men­tai­re du ser­vi­ce sci­en­ti­fi­que de l’U, F. A.

3. Char­meurs de sirènes

Des­sin animé so­no­re

4. Eclair-Jour­nal

Ac­tu­a­lités so­no­res

1. Als men wol­ken­krab­bers

was­schen moet

Ko­mi­sche film

2. Pa­ra­dijs in China

Do­ku­men­ta­ri­sche film van de kui­tuur af­deel­ing der U.F A.

3. Si­re­ne-be­koor­ders

Klankteeken­film

4. Eclair-Nieuws­be­rich­ten

Ak­tu­a­li­tei­ten op den klank­film

Dis­ques F* A. JFt L O P H ONE• Gram­mo­foon­pla­ten

LE RÊVE bLOND No 17154 EEN BLON­DE DROOM

Quel­que part dans un coin. Plus de prop­riétai­res Chanté par (ge­zon­gen door) LI­LI­AN HAR­VEY

5. COUP DE FEU A 5 HET VUUR­SCHOT IN DE

L'AUBE T y MOR­GEN­SCHE­ME­RING

Grand drar­re po­li­cier d’ Groot poii­tie­dra­ma van

AL­FRED ZEIS­LER

Scénario: Ge­ge­ven: Pri­ses de vues: Beeld­op­na­me :

O. KÄTSCHER & E. EIS TSCHET & BOHNE

d'après naar een ge­ge­ven van Pri­ses de sons; Klan­k­op­na­me-:

HARRY JENKINS KA­OEL­MANN & POLD­BAUM

Réali­sa­ti­on: Ver­we­zen­lij­king; De­cors: Scher­men :

SERGE DE PO­LI­O­NY HER­MANN & LIPP­SCHITZ

DRA­MA­TIS PER­SONÆ

Sand­egg . . . G aston Modot Holz­knecht . Pier­re Ser­ge­ol

Irène Taft . Annie Du­caux Bobbv Guy De­ri­an

Pe­ter­sen . .lean Gal­land Klotz Jean Ro­zem­berg

Schmit­ter . iMar­cel André Lola Genia Ni­ko­lai­e­va

Taft . . Roger Karl I.e préposé à la pompe à es-

Bach­mann . An­ton­in Artaud sence. - De tank­waard Pier­re Pie­ra­de


Coup de feu à 1 aube

A l’aube, deux in­spec­teurs de la sûreté ont ren­dez-vous sur une route de ban­li­eue avec un de leurs in­di­ca­teurs: Mul­ler Cadet. Ce­lui-ci doit leur don­ner des renseig­ne­ments précieux con­cer­nant une bande de dange­reux mal­fai­teurs.

Voici que la voi­tu­re de Mul­ler ar­ri­ve en zig­za­gant, puis s arrête net: au vo­lant Mul­ler a été tué d’un coup de fusil.

Qui a tué? Suc­ces­si­ve­ment nous fai­sons con­nais­san­ce avec la bande si­ni­stre du ((Trem­bleur» avec Sand­egg et avec le mystérieux Pe­ter­sen.

Ces deux der­niers pour­sui­vent de leur as­siduité la char­man­te Irène Taft, épouse di­vorcé d’un grand bi­jou­tier.

Taft en­tre­tient d’ail­leurs des rap­ports clan­destins avec la bande du Trem­bleur, à qui il in­di­que cer­tains coups à faire.

C’est ainsi qu'il désigne aux mal­fai­teurs un dia­mant précieux que possède son an­ci­en­ne femme.

Le dia­mant tombé en la pos­ses­si­on des voleurs est faux. Taft est tué par ses com­pli­ces, fu­ri­eux d’avoir été dupés.

Qui a volé le véri­ta­ble bijou? Qui a tué Mul­ler?

Tel­les sont les énig­mes dont la fin du film ap­por­te­ra la so­lu­ti­on, au cours d’une ba­tail­le enragée entre hors-la-loi et défen­seurs de la Société.

Het vuur­sck­ot in de

mor­gen­sc­ke­me­ring

Twee in­spec­teurs der op­spo­rings­bri­ga-de wach­ten, in de mor­gen­sche­me­ring, op de baan. Zij wach­ten Mul­ler Cadet, een hun­ner re­cher­cheurs.

Deze moest hun kost­ba­re in­lich­tin­gen ver­schaf­fen, no­pens een bende ge­vaar­lij­ke boos­doe­ners.

Dbar na­dert Mul­ler’s auto in ver­vaar­lij­ke zig­zag-lijn. Men doet het ge­vaar­te stop­pen. Aan het stuur zit Mul­ler, roer­loos, ge­dood door een ge­weer­schot. Wie heeft ge­dood? Ach­ter­een­vol­gens leeren wij de som­be­re bende van den « Bever » ken­nen, Sand­egg en den ge­heim­zin­ni­gen Pe­ter­sen.

D'eze twee laat­sten maken het hof aan de be­koor­lij­ke Irène Taft, de ge­schei­den echt­ge­noote van een be­kend ju­we­lier.

Taft on­der­houdt ge­hei­me be­trek­kin­gen met de ge­vrees­de bende en hij wijst ze meer dan eens aan waar kan « ge­werkt » wor­den!

Zoo open­baart hij de boos­doe­ners dat zijn vrouw een bui­ten­ge­woon-zeld­za­me dia­mant bezit.

De schur­ken gaan er op af, doch de dia­mant welke in hun han­den viel is valsch. Woe­dend door Taft beet­ge­no­men te zijn, schie­ten zij hem dood­een­vou­dig neer.​Wie heeft het echte ju­weel ge­sto­len? Wie heeft Mul­ler ge­dood?

Raad­sel! Men zal er slechts den sleu­tel van vin­den hee­le­maal aan het slot van den film, tij­dens een ver­woed ge­vecht tus-schen de bui­ten de wet ge­stel­den en de ver­de­di­gers der maat­schap­pe­lij­ke orde.

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SEIG­NEUR DES HEE­REN

d'après la célèbre pièce de naar het be­roem­de tooneel­werk van

Ro­bert de Fiers & Fran­cis de Crois­set

Réali­sa­ti­on de , Verfd­ming van

René Her­vil

VIC­TOR BOU­CHER

HENRI LE­VRIER

Mady Berry Mme Bonji an

Jean Dax Hu­bert

Vic­tor Oar­land Jack

Jac­quel. Made

Yvon­ne

SI­MO­NE CER­DAN

GI­SE­LE


En tour­nant ' LES VIG­NES DU SEIG­NEUR

René Her­vil au tra­vail

ené Her­vil est in­nom­bra­ble!

Telle est, du moins, 1 im­pres­si­on de celui qui a eu 1 oc­ca­si­on de ren­con­trer en quel­ques cir­con­stan­ces différen­tes, ce probe et zélé tra­vail­leur, at­taché à son art avec fer­veur et avec foi.

Nous voici au stu­dio, en « plein sun­light », ose-t-on dire... René Her­vil est par­tout, s'agite, s’ac­ti­ve. En moins de temps qu il n en faut pour l’écrire, il a réglé un rayon, cadré son « champ », repéré tou­tes les res­sour­ces du décor et de la si­tu­a­ti­on; le voici auprès des ar­tis­tes... 11 les anime, leur com­mu­ni­que comme un sang nou­veau sa réserve inépuis­a­ble de vi­va­cité et d adapta­ti­on in­stan­tanée.

Her­vil! Une visière en ba­tail­le sur un front im­men­se, un « bla­zer » passé à la va-vi­te, le verbe bref, brusque, puis soud­ain per­su­a­sif, « con­duc­teur ».

— Tu com­prends... comme ça.

Et, tou­jours son éter­nel­le pipe se ba­lad­ant sur une lèvre gou­ail­leu­se, une pipe légen­dai­re qu'il mâchon­ne de­puis si long­temps qu’il faut bien croi­re qu elle est en acier blindé...

11 ne fait pas bon, alors, d’être im­por­tun, et tou­tes les ma­jestés de la terre pour­rai­ent ar­ri­ver sur « son pla­teau » que cela n’empêche­rait pas Her­vil de tempêter con­tre les gêneurs, ceux qui vi­en­nent trou­bler le tra­vail et ig­no­rent la sua­vité de l’ex­pres­si­on « fi­cher la paix! ».

Voici main­te­nant Her­vil au mon­ta­ge. 11 est plus calme, plus sou­ci­eux aussi. En sa cer­vel­le, tout est par­fai­te­ment com­biné, cal­culé... Ici telle scène, et là tel pre­mier plan... trois mètres ail­leurs, et il fau­d­ra cou­per plus loin... les cent cin­quan­te

mille ima­ges de son film sont là; bien classés, prêtes à sur­gir. Pro­di­gi­eux tra­vail!

Voici main­te­nant Her­vil, loin du stu­dio, reposé, sou­ri­ant, amène comme le sont trop ra­re­ment ceux que fa­vo­ri­se le succès. Cet homme qui, pen­dant le tra­vail, se donne entièrement, avec pas­si­on, à P ob­jec­tif qu il s’est pro­posé d’at­t­eind­re, sans plai­san­te­ries, sans fai­bles­ses, de­vient alors le plus sou­ri­ant des in­ter­lo­cu­teurs, fin, spi­ri­tu­el, d’un en­thou­si­as­me qui déborde en mots qu’il ne mâche pas...

D'es se­mai­nes du­rant, René Her­vil s est astreint au rude tra­vail d adap­ter à l’écran « Les Vig­nes du Seig­neur », la célèbre comédie de Ro­bert de Fiers et de Fran­cis de Crois­set. Nous l’avons vu au stu­dio — en ca­ti­mi­ni, s’en­tend — se dépen­ser avec ar­deur... Derrière lui, «Le Mystère de la Villa Rose », « La dou­ceur d'Aimer », « Azaïs »... Il faut faire mieux en­co­re.

Beau spec­ta­cle que celui de Her­vil di­ri­ge­ant un film, fonçant sur les dif­fi­cultés, les résol­vant avec joie, at­tri­bu­ant à chaque mi­nu­te sa va­leur vraie.

Et, alors même qu’il pour­rait s’at­tri­bu­er le mérite en­tier d’un résul­tat des plus réussis, il s’em­pres­se de s’éclip­ser de­vant ses col­la­bo­ra­teurs:

«... les décors épa­tants de d’Eau­bon­ne, la photo clai­re et gaie de Cot­te­ret, la mu­si­que de Louis Mas­son, ma script­girl Renée... Et, avant tout, l’œuvre de de Fiers et de Crois­set, et leur dia­lo­gue d’une ri­ches­se sans pareil­le... Et là, un point à sig­na­ler, mon film com­por­te­ra des dia­lo­gues que d’au­cuns pour­ront trou­ver im­por­tants, mais com­ment s’évader du texte étin­ce­lant des deux au­teurs? N’était-il point im­pos­si­ble de l éli­mi­ner? Sou­ve­nez-

Paon Royal

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Les Récep­teurs

Strom­berg-Carl­son

seront pour vous une révéla­ti­on de tout ce que la radio peut

don­ner comme pureté de récep­ti­on et de qua­lité mu­si­ca­le.

Pour nous per­met­tre de four­nir aux dil­let­tan­ti, ces mer­veil­leux in­stru­ments de vraie mu­si­que, à des prix aussi modérés, nous avons décidé de four­nir di­rec­te­ment du pro­duc­teur, dont nous som­mes les délégués, aux ama­teurs.

De­man­dez le ca­ta­lo­gue il­lu­stré N° 21 ou venez en­ten­d­re les

Strom­berg-Carl­son

dans notre au­di­to­ri­um.

ROT­HER­MEL COR­PORtt­flÖrTsTA.

27, Quai du Com­mer­ce, 27 BRUXEL­LES

vous d'Azaïs... A-t-on songé à se plaind­re du dia­lo­gue? Je ne crois pas, parce qu’il était drôle. De même, cette fois en­co­re, mais j’avoue ne pas m’en plaind­re. Le sujet? Qui ig­no­re les ex­tra­or­di­nai­res et hi­la­ran­tes ave­n­tu­res de Henri Lévrier qui s’égare trop sou­vent dans les Vig­nes du Seig­neur?

Epouse­ra-t-il la séduisan­te Yvon­ne ou son aussi char­man­te soeur Gisèle? Sa... qua­lité de po­chard lui per­met­tra de dis­si­mu­ler bien des événe­ments, d’user de bien des sub­ter­fu­ges et de con­clu­re fort heu-eu­s­e­ment la plus sur­pre­n­an­te des ave­n­tu­res!

« Et, évi­dem­ment, la fa­meu­se scène « d’ivres­se », celle au cours de la­quel­le le héros de l'his­toi­re en état d’ébriété, avoue à son ami d’en­fan­ce que sa femme est sa maîtres­se. Si­tu­a­ti­on d’au­tant plus co­cas­se

que le « po­chard » en l oc­cur­ren­ce Vic­tor Bou­cher, qui a donné à cette si­tu­a­ti­on un ca­ractère... met­tons clas­si­que, s agrip­pe à son ami, s ac­cro­che à lui, ne lui éparg­ne aucun détail de sa... détres­se.

» Un autre détail en pas­sant, j'ai tenté d'extéri­o­ri­ser l'es­prit général du sujet dans les décors. Voici Ihôtel par­ti­cu­lier de Ma­da­me Bour­je­on, au style vo­lon­tai­re­ment com­po­si­te et évi­dem­ment amu­sant... Chaque meu­ble n évo­que-t-il pas pour leur prop­riétaire un sou­ve­nir, une étape de sa vie?

» Et com­bien j’ai été servi par mes in­ter­prètes, Vic­tor Bou­cher, plus fin, plus étin­ce­lant que ja­mais dans son rôle fait sur me­sure; Si­mo­ne Cer­dan, séduisan­te et sen­si­ble par­te­nai­re; Mady Berry, plei­ne de tru­cu­len­ce; IVlaxi­mi­li­en­ne Max, Jac­que­li­ne Made, Vic­tor Gar­land, Jean Dax... »


FIR­MIN GÉMIER

UN HOMME SANS NOM

SCE­NA­RIO DE RO­BERT L/BB­MANN ADAPTA­TI­ON FRANÇAISE D'A FLAM ENT RE­A­LI­SA­TI­ON DE G UC/CKY SU­PER­VI­SI­ON: ANDRE DAVEN AVEC

FRAN­CE ELLYS. YVON­NE hE­BEPT, Chl­SLAI­NE 8R(J PAUL AM/OT t FER­NAN­DEL, GOU­PIL

C'EST UN PAR­LANT <&> DE G.​STAPEN­HORST

Le Matin:

Un bon scénario, une mise en scène de pre­mier ordre et une in­ter­préta­ti­on hors pair qui a à sa tête Fir­min Gémier et Fran­ce Eilys: telle ainsi résume une

Opi­ni­ons de Pres­se

œuvre vi­van­te, dra­ma­ti­que, dont l’intérêt ne fai­blit ja­mais et dont tous les détails sont ex­pres­sifs. On ne peut sou­hai­ter plus gran­de réus­si­te. On ima­gi­ne fa­ci­le­ment avec quel­le puis­san­ce et quel­le maîtrise Ml. Fir­min Gémier in­ter­prète ce rôle écrasant. Il y est phatétique et sim­ple à la fois. Il fait là une ex­tra­or­di­nai­re création. Mme Fran­ce Eilys est Eve-Ma­ria; elle donne à son per­son­na­ge une vraie émo­ti­on. Mf“° Yvon­ne Hébert est Grete avec du char­me et de la vi­gueur. Les au­tres rôles sont bien tenus par M"110 Ghis­lai­ne Brû; Paul Amiot, Fer­nan­del, Gou­pil, Wal­ther, Dte­neu­bourg.

Na­ti­on belge:

Fir­min Gémier y est ad­mi­ra­ble de vérité et de me­sure. Il vit son rôle... Les scènes qui met­tent en présence 1 an­cien com­bat­tant et le juge sont re­mar­qua­bles. La mise en scène est le plus sou­vent d'un ar­tis­te et tou­jours d’un homme qui connaît son métier. A noter tout par­ti­cu­lièrement, parmi d’au­tres la scène où le « re­ve­nant » pénètre dans le Roy­au­me des fi­ches dans le but de pren­d­re con­nais­san­ce de la si­en­ne, cel­les qui le met­tent aux pri­ses avec son suc­ces­seur et ses juges; et sur­tout, cette éva­si­on plei­ne d à-pro­pos qui nous mon­tre un sol­dat russe vi­si­tant un musée où sont exposés les ob­jets ayant assuré la vie aux com­bat­tants.

L’avant-scène:

Pro­duc­ti­on cu­ri­eu­se. Une in­tri­ge at­ta­chan­te, d’une re­mar­qua­ble puis­san­ce, un dia­lo­gue traité avec es­prit et sou­ples­se, des vues par­fai­tes de Ber­lin.

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le cœur du con­ti­nent de stem on s ge­o­pen­noir. baard wor­den.

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de la pro­duc­ti­on der pro­duc­tie

Er­teil Pom­mer

de la van de

réalisé par

ver­we­zen­lijkt door Paul Al­ar­tin

M usic­pie de Al.​uziek van

Wer­ner R. Hey­mann

HENRY GAR­RAT

Een blon­de Droom

Un film Een Eran­sc­ke

par­lant français de spreek­film van

Ber­nard Zim­mer

édité par uit­ge­ge­ven door à

Scénario de Cre­ge­ven van

W. Reis­cli en Bil. Wil­det

Décors de Scher­men van

Erick Ket­tel­kut


Le pro­du­cer om­ni­po­tent disait: La ve­det­te nous plait, mais elle n’a pas une fi­gu­re in­ter­na­ti­o­na­le. Cou­pons-lui donc la tête et con­fec­ti­on­nons-lui au­tant d’au­tres qu’il y a de tri­bus parmi les sau­va­ges... 7t

JW I E rions pas d’une telle uto­pie, puis­que nous ac­cep­tons au­jour-d’hui et très bénévole­ment qu’on in­ter­chan­ge méca­ni­que­ment la voix de la ve­det­te par celle d’une il­lu­s­tre in­con­nue. Sinon: Con­dam­nons le DUB­BING comme étant une véri­ta­ble hérésie ar­tis­ti­que et sau­ve­gar­dons intégra­le­ment la per­son­na­lité et le ta­lent des in­ter­prètes.

DUB­BING van een rol­prent staat ge­lijk met ar­tis­tie­ke hei­lig­schen­nis: het is een aan­val, door lou­ter tech­ni­sche vaar­dig­heid, op de per­soon­lijk­heid zelve van den kun­ste­naar. Wat zou men ervan zeg­gen in­dien men b.v. Greta Garbo, Marlène Diet­rich, Joan Craw­ford — om slechts deze drie te noe­men — zou zien rond­loop­en met het hoofd van ge­lijk wie op de schou­ders? Hun stem maakt toch even­zeer deel uit van hun wezen?

DUB­BING is, onder alle op­zich­ten, zon­der meer te ver­oor­dee­len; het is een lap­mid­del waar­te­gen de Spreek­film zich kan­ten moet, wil hij er zelf niet door ten onder gaan.

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De iS­ma­li­ilm... op­komst

Uit Ber­lijn wordt ge­meld, dat men zich bin­nen­kort mag ver­wach­ten aan een nieu­we om­wen­te­ling in het film­be­drijf: het heet dat on­der­han­de­lin­gen wor­den ge­voerd om ge­wo­ne ci­ne­ma’s toe te rus­ten voor het pro­jek­tee­ren van smal­films.

Door smal­films ver­staan men de pel­li­kuul, die tot dus­ver enkel door de lief­heb-bers-fil­mers werd ge­bruikt en die maar 16 mil­li­me­ter breed is. Op te mer­ken valt, dat ook die pel­li­kuul thans toe­laat prent en klank te­ge­lijk te re­gi­stree­ren. Reeds blijkt men dus bij­zon­de­re toe­stel­len voor op­na­me en voor pro­jek­tie aan het bou­wen ge­gaan te zijn. In Ame­ri­ka ver­schilt de smal­film niet al­leen door zijn af­me­tin­gen van de ge­wo­ne pel­li­kuul, maar ook door wat an­ders: de per­fo­ra­ties, die de voort­stu­wing mo­ge­lijk maken in de ka­me­ra, wor­den weg­ge­la­ten aan één kant, zoo-dat op de pel­li­kuul de an­ders te enge ruim­te voor prent en klank eenigs­zins groo­ter wordt. Die me­tho­de blijkt men voor de in­du­stri­a­li­seering van den smal­film te wil­len over­ne­men, ook in Eu­ro­pa.

Tot dus­ver het be­richt. Wij zul­len er de juist­heid niet van be­twis­ten, maar vra­gen ons toch af, of die nieu­wig­heid wel als een om­wen­te­ling kan door­gaan. In geen geval toch zal zij ver­ge­lijk­baar zijn bij wat het uit­bren­gen van de spreek­film voor de ci­ne­ma­to­gra­fie is ge­weest. Im­mers, deze vulde het schouw­spel aan met een ele­ment, dat er tot dus­ver hee­le­maal vreemd was aan ge­weest: klank en woord.

Iets der­ge­lijks is met de smal­film niet het geval. Toch dient men de beteek­e­nis van de in­du­stri­a­li­seering niet te on­der­schat­ten. Im­mers, deze pel­li­kuul is veel goed­koo­per dan de ge­wo­ne. Zoodat er mis­schien voor de krach­ten uit de film­we-

De tl ank­film... 25 jaar ge­le­den

De eer­ste ci­ne­ma te Pa­rijs werd ge­o­pend einde 1895. In 1896 reeds deed de film haar in­tre­de te Brus­sel, in een revue, die op­ge­voerd werd in een schouw­burg aan de Aren­bergstraat.

Reeds van in de eer­ste jaren pro­beer­den toen­ma­li­ge fil­mers prent en foto te kop­pe­len. De in­span­nin­gen van Edi­son, Fer­di­nand Zecca, Franz Por­ten, Raoul, Gi­i­moin-San­son ge­tui­gen dit.

Thans ver­ze­kert het Luiksch blad «La Mleu­se », dat ook twee Luik­sche in­ge­ni­eurs proe­ven namen, meer dan 25 jaar ge­le­den, om de ci­ne­ma te leeren spre­ken. Bei­den waren werk­zaam in een staal­fa­briek te An­g­leur. De eene heet­te Guill. Win­ty­ens, de an­de­re Léon An­ci­on. Léopold An­sen­ne, een mu­zi­kant, ver­leen­de zijn me­de­wer­king. Op 29 Ja­nu­a­ri 1904 vroe­gen zij een bre­vet aan voor hun « ci-ne­ma­to­foon A. H.W. », die kor­ten tijd na­dien bij kont­rakt geëxploi­teerd werd door ze­ke­ren Bel­lai­re, op de ker­mis­sen in de om­ge­ving.

Vast had­den de bou­wers van het toe­stel aan de on­vol­ko­men­he­den, die het nog ver­toon­de, ge­mak­ke­lijk kun­nen ver­hel­pen, maar de om­stan­dig­he­den ver­hin­der­den dit. Win­ty­ens, die in­ge­ni­eur-elek­trie­ker was, werd geëlek­tro­kut­eerd op zijn werk, op 14 Mei 1906. An­ci­on was in 1905 reeds naar Kongo ver­trok­ken. Zoodat er ten­slot­te niets an­ders over­bleef dan de zaak tj lik­wi­deeren.

Pas twin­tig jaar later zou Ame­ri­ka, ge­diend door bui­ten­ge­woon ka­pi­taal­krach­tigs ci­ne­ma- en elek­tri­ci­teits­fir­ma’s, de op merk­waar­di­ge wijze ver­be­ter­de spreek-ci­ne­ma­to­gra­fie uit­zen­den ter ver­o­ve­ring van de we­reld.


Niet ver­we­zen lijkt e o

Onze on­der­vin­ding heeft ons ge­leerd hoe­zeer wij op onze hoede moe­ten zijn met de be­richt­ge­ving in­za­ke films. Vele aan­kon­di­gin­gen van films blij­ven bij deze aan­kon­di­ging, an­de­re films wor­den niet vol­tooid of een­vou­dig niet ver­toond. Het ge­beurt ook wel dat een maat­schap­pij een be­richt de we­reld in­zendt al­leen maar om te zien hoe men op het be­richt re­a­geert.

On­langs lazen wij in een Fransch ki­ne-ma-week­blad een heel lijst­je van films, — die wel aan­ge­kon­digd wer­den, maar die men nooit heeft te zien ge­kre­gen om een van de re­de­nen hier­bo­ven ver­meld.

Wij weer­staan niet aan den lust om het onze le­zers ook onder het oog te bren­gen.

Zie­hier dus een lijst­je van films, aan­ge­kon­digd door groote me­neeren, — die de aan­kon­di­ging blijk­baar weder ver­ga­ten: Char­lie Chap­lin (ja, ook hij!): «Jood Süss », « Ham­let », « Na­po­le­on », met Ra-quel Mel­ler als Joséphine.

Hij kon­digt thans een « Club der Zelf­moor­de­naars » aan, maar...

Ei­sen­stein: « Het Goud », naar Blai­se Cen­drars, « Het Ka­pi­taal », naar Marx.

Jac­ques Fey­der: « De oude Dames uit het Ge­sticht », « t Jaar 4000 ».

René Clair: « Mis­daad ».Voor deze film waren reeds Asta Niel­sen en De Féraudy geënga­geerd.

met ver­toon de lil nis

Mar­cel L’Her­bier: «Het Por­tret van Dbri­an Grey ».

A . Gance: « Jezus Chris­tus » en « 1932 ».

Karl Drey­er: « Dé Eend en het Lu­ci­fer­tje ».

Pabst: «Twee Zeep­bel­len».

King Vidor: «Man­hat­tan Trans­fer», naar Dbs Pas­sos.

Stro­heim: « Dé Kroeg », naar Zola.

Ver­schil­len­de re­gis­seurs toon­den nei­ging om en­ke­le er­ken­de mees­ter­wer­ken van de ro­man­li­te­ra­tuur te ver­fil­men.

In 1926 werd « Les dieux ont soif » aan­ge­kon­digd, « Obrlog en Vrede » werd in Rus­land en Frank­rijk, «Sieg­fried», van Gi­rau­doux, in 1930 ge­an­non­ceerd. Lu-bitsch zou het met «Dé Re­vi­sor», naar het be­ken­de werk van Gogol, wagen. « La Char­treu­se de Parme » zou in Italië en Frank­rijk ver­filmd wor­den. Rus­land zou « Kyra Ky­ra­li­na », van Istra­ti, ver­fil­men; in En­ge­land bleef een film van Du­pont ste­ken. En waar ble­ven de aan­ge­kon­dig­de ver­fil­min­gen van « Het Einde van Cheri », naar het boek van Co­let­te; « Dinah, Miami », naar Mac C'rlan; « De Ko­me­die van het Geluk », door Evrei­noff, en de films naar wer­ken van Wells, Ramuz, Edgar Poe?

Mis­schien wor­den die Pro­jek­ten wel eens her­no­men, mis­schien is het maar goed dat men ze ver­gat...

De Smal­film... (ver­volg).

reld, die op zelf­stan­dig­heid ge­steld zijn, weer mo­ge­lijk­heid ont­staat hee­le­maal op eigen hand te wer­ken. Iets wat nu haast hee­le­maal uit­ge­slo­ten is we­gens de hooge kos­ten, die het ver­vaar­di­gen van de min­ste klank­film me­de­brengt.

Ook is de smal­film van beteek­e­nis als hulp­mid­del voor het on­der­wijs.

Voor het ove­ri­ge kan de nieu­wig­heid enkel de per­so­nen uit het film­be­drijf be­lang in­boe­ze­men door de nood­za­ke­lijk­heid waar­in zij zich zui­len be­vin­den, zoo de cmal­film ooit de hui­di­ge ver­dringt, hun op-neem- en pro­jek­tie­ma­te­ri­eel met nieu­we on­der­de­den aan te vul­len en mis­schien zelfs hee­le­maal te ver­nieu­wen.

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LA TECH­NI­QUE DU FILM «g

La Ma­quet­te

Réali­ser une ma­quet­te sem­ble, à première vue, une chose des plus fa­ci­les, mais une fois la ma­quet­te filmée, en s’aperçoit que son ren­de­ment,à l'écran, est des plus médi­o­cres et qu’une foule d im­per­fec­ti­ons ap­pa­rais­sent, que l’œil n’avait pu dis­cerner au­pa­ra­vant.

Ce non-ren­de­ment de la ma­quet­te à 1 écran pro­vient le plus sou­vent de ce que son réali­sa­teur a oublié, ou sim­ple­ment ne s’est pas rendu comp­te des con­di­ti­ons très spéci­a­les de sa prise de vue.

Dans la pra­ti­que or­di­nai­re du cinéma, 1 objet filmé est rendu à l’écran en gran­deur na­tu­rel­le. Ses im­per­fec­ti­ons sur la pro­jec­ti­on ne sont pas plus vi­si­bles que sur l’ori­gi­nal; au con­trai­re, une ma­quet­te sera à l’écran très for­te­ment agran­die et, de ce fait, les moind­res im­per­fec­ti­ons vont être agran­dies et de­viendront tiès vi­si­bles à la pro­jec­ti­on. L’il­lu­si­on cherchée ne sera pas at­tein­te.

Pren­ons 1 exem­ple très sim­ple d’une ferme quel­con­que, em­ployée cou­ram­ment dans les con­struc­ti­ons métal­li­ques. Les matériaux em­ployés à sa con­struc­ti­on sont sou­vent bruts de la­mi­na­ge, mais les rugo­sités du métal sont peu vi­si­bles à l’œil et des fau­tes d’as­sem­bla­ge de 2 mm. dans sa con­struc­ti­on sont cho­ses cou­ran­tes et nul ne s en aperçoit, ni en réalité, ni sur l’écran.

Au con­trai­re, dans le cas où I on se se­rait servi pour la prise de vues d'une ma­quet­te de cette ferme à l’échel­le, par exem­ple du 25me, son image à l’écran va se trou­ver très for­te­ment agran­die. Une er­reur de 2 dixièmes de mil­limètre dans ces as­sem­bla­ges sera, si la pro­jec­ti­on réta­blit 1 échel­le exac­te, de un de­mi-cen­timètre sur l’écran et, de ce fait, vi­si­ble. Un trait de lime, une ba­vu­re du métal emet le Cinéma

ployé, de­viendront si vi­si­bles que le spec­ta­teur le moins aver­ti va sen­tir le tru­qua­ge.

Nous ar­ri­vons à ce pa­ra­doxe que, même dans le cas d’un objet brut de fa­bri­ca­ti­on métal­li­que peu soignée, si l’on veut le pro-oui­re en ma­quet­te, cel­le-ci de­vient une pièce de métal poli, de fa­bri­ca­ti­on méca­ni­que de gran­de préci­si­on.

Pren­ons main­te­nant une réali­sa­ti­on plus com­plexe. Sim­ple­ment une voi­tu­re au­to­mo­bi­le dans son as­pect extérieur. A la per­fec­ti­on de fa­bri­ca­ti­on va immédia­te­ment, je dirai au­to­ma­ti­que­ment, de­voir s ajou­ter la par­fai­te con­cor­dan­ce de tou­tes les par­ties de l’œuvre, car à l’échel­le du 25nu, un mètre n’est représenté que par 4 cm. seu­le­ment. Une au­to­mo­bi­le de 3 m. de long à cette échel­le n'aura que 12 cm. i jn châssis, en sup­po­sant qu’il ait 10 cm. de haut en réalité, sera représenté par 4 mm. Si, par ha­sard, il avait 4 mm. 2/10, la véiité se­rait faussée à l’écran comme précédem­ment, de un de­mi-cen­timètre. Or, ceux dixièmes ne sont pas appréci­a­bles à l’œil.

Cette exac­ti­tu­de ri­gou­reu­se devra être pour­sui­vie jusque dans les moind­res détails; les lo­quets des por­tes, les mon­tants de.: pa­re-bri­ses, les at­ta­ches du capot, les phr.​res, etc., de­vront être tra­vaillés avec une préci­si­on de l’ordre de I centième de mil­limètre pour qu’à la pro­jec­ti­on tou­tes ces par­ties soi­ent en con­cor­dan­ce.

Cette ri­gou­reu­se préci­si­on doit être aussi res­pectée, non seu­le­ment dans le pro­fil des pièces, mais aussi dans leur cour­bu­re et dans leur as­sem­bla­ge si 1 on veut parer à une bais­se rapi­de du ren­de­ment à l’écran.

Dans lecas d’un ba­teau, cette exac­ti­tu­de doit être res­pectée non seu­le­ment dans les


for­mes, mais aussi dans 1 épais­seur des tôles vi­si­bles, dans la lorme et le nom­bre aes ri­vets qui les as­sem­ble, dans la cour­bu­re des mem­bru­res qui les sou­ti­en­nent, dans tou­tes les su­per­struc­tu­res. Dn un mot, il taut que T échel­le soit ri­gou­reu­se aepuis le pa­vil­lon qui tlot­te à la corne du mat, jusqu à la quil­le du ba­teau.

Avec un navne, nous al­lons nous heur­ter, sans nous en dou­ter, à un autre problème. Un ba­teau est généra­le­ment tait pour tlot­ter; notre ma­quet­te doit, elle, non seu­le­ment rlot­ter de taçon iden­ti­que à son ori­gi­nal, mais aussi en avoir la meme sta­bi­lité. 11 taut donc qu il y ait con­cor­dan­ce ab­so­lue entre le poids de la ma­quet­te et son échel­le. Cette con­cor­dan­ce est non seu­le­ment liée à la na­tu­re des matériaux em­ployés, à la pro­por­ti­on qui les régit entre eux,' mais aussi à la réduc­ti­on des cour­bes et des ga­ba­rits. De plus, les réduc­ti­ons en dépla­ce­ment d eau ne sui­vent pas les mêmes régies que les réduc­ti­ons en échel­les métal­li­ques, et seule une lon­gue expérien­ce per­met de les déter­mi­ner ri­gou­reu­se­ment.

Üe ce qui précède, nous pou­vons tirer les con­clu­si­ons sui­van­tes: hour don­ner son plein ren­de­ment à l’écran et représen­ter 1 ori­gi­nal de taçon si par­tai­te que le spec-tau­teur s’y trom­pe­ra, il faut qu’une ma­quet­te soit de fa­bri­ca­ti­on imp­ec­ca­ble, d une ri­gou­reu­se exac­ti­tu­de et léchel­le de ses poids doit être en con­cor­dan­ce par­fai­te avec son échel­le métri­que.

Les lec­teurs com­pren­dront sans peine que de tels résul­tats néces­si­tent un ou­til­la­ge de gran­de préci­si­on, un per­son­nel tech­ni­que de pre­mier ordre, et une lon­gue pra­ti­que en la matière, que seule une usine spéci­a­lisée peut posséder.

Jusqu’ici, nous n’avons en­vi­sagé que des cas d’une extrême sim­pli­cité.Bien plus com­pli­qué est le problème des échel­les quand il se rap­por­te à des réali­sa­ti­ons

d’ordre spécial. Pren­ons pour exem­ple une ma­quet­te re­pro­duisant fidèle­ment les in­stal­la­ti­ons néces­sai­res pour em­bar­quer des phosp­ha­tes dès leur sor­tie de la mine.

Le problème était le sui­vant: re­pro­dui­re ces in­stal­la­ti­ons en mou­ve­ment avec tou­tes leurs per­spec­ti­ves arrières jusqu à la ligne d ho­ri­zon. Ur, la ma­quet­te une fois ter­minée ne de­vait avoir plus, et n a pas plus, de 1 m. 8U de pro­fon­deur.

Du fait que le trans­por­teur aérien, la coupe de l’usine et les ap­pareils d em­bar­que­ment de­vai­ent fonc­ti­on­ner, l’on fut obligé d adop­ter, pour leur réali­sa­ti­on, une échel­le assez forte pour que les pièces puis­sent être assez résis­tan­tes et per­met­tre le mou­ve­ment. Ce tut T échel­le de 1/51)"", soit de 1 mil­limètre par mètre, qui tut adoptée.

Le se­cond plan était formé dans la réalité par les na­vi­res mouillés sur rade. Si, dans la ma­quet­te, on les avait représentés à fe­chel­le de 1/80"", 1 on com­pren­dra fa­ci­le­ment qu’ils au­rai­ent faussé la per­spec­ti­ve et donné au­cu­ne im­pres­si­on de recul ou de pro­fon­deur. D autre part, si on les avait représentés à une échel­le trop fai­ble, ils au­rai­ent faussé la per­spec­ti­ve en sens con­trai­re, en don­nant une im­pres­si­on de trop gran­de pro­fon­deur. Hn se ba­sant sur les règles de la per­spec­ti­ve et sur le cal­cul, le même en l’oc­cur­ren­ce que celui ap­pli­qué dans les télémètres. I on a adopté l’échel­le du l/500me, soit 2 mil­limètres par mètre. A cette échel­le, un na­vi­re de I 10 mètres de long aura 22 cen­timètres. L’im­pres­si­on de recul qu’il donne est d en­vi­ron 5 à 800 mètres. A pareil­le dis­tan­ce, tous les détails d’un na­vi­re de cette im­por­tan­ce sont vi­si­bles. L’on se ren­dra comp­te fa­ci­le­ment de la déli­ca­tes­se d un pareil tra­vail, en son­g­e­ant que les hau bans d’un de ses mâts, pour cor­res­pond­re à la réalité, ne doit avoir que quel­que 1/10 de mil­limètre.

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Le Globe est une bois­son rafraîchis­san­te d’une pureté et d’une fi­nes­se in­com­pa­ra­bles.

Son goût ex­quis, son par­fum suave et sa déli­ci­eu­se fraîcheur, lui ont valu

son

surn­om —

Enfin, pour compléter l’il­lu­si­on et re­pous­ser la pro­fon­deur jusqu’à l’ho­ri­zon, il fal­lut représen­ter les na­vi­res qui ar­ri­vai­ent ou par­tai­ent, d’où l’obli­ga­ti­on de for­mer un troi­sième plan à une échel­le plus réduite, aug­men­tant dans de for­tes pro­por­ti­ons la per­spec­ti­ve. Le cal­cul fit adop­ter l’échel­le de I/IOQQ"1', soit I mil­limètre pour I mètre.

En résumé, trois plans à trois échel­les différen­tes, fu­rent néces­sai­res et suf­fisants pour représen­ter une per­spec­ti­ve de plu­si­eurs kilomètres, dans 1 es­pa­ce imposé de 1 m. 80.

Il n’y avait pas que la per­spec­ti­ve à res­pec­ter; il fal­lait que l’effet de vérité fût sai­sis­sant et l’on dut se gar­der même, pour l’extrême plan, d’uti­li­ser des pan­neaux découpés et fi­ne­ment décorés, comme mal­heu­reu­se­ment on le fait trop sou­vent. En effet, des spec­ta­teurs, ou même sim­ple­ment un ob­jec­tif d’ap­pareil de prise de vues, sont appelés à voir des di­o­ra­mas sous des an­g­les différents, sui­vant qu’ils se trou­veront placés à leur droi­te, à leur cen­tre ou à leur gau­che. A ces différents points de vue, cer­tains détails seront vi­si­bles ou in­vi­si­bles de l’un par rap­port à l'autre, d’où, pour le ma­quet­tis­te, l’obli­ga­ti­on de res­pec­ter les trois di­men­si­ons.

Enfin, cer­tains détails sont ap­pa­rents de près, flous à une cer­tai­ne dis­tan­ce et con­fon­dus avec d’au­tres dans les loin­tains. Donc, à l’échel­le du l/50me, tout doit être ab­so­lu­ment net et vi­si­ble. Cette net­teté devra être atténuée à l’échel­le du l/500me, tout en res­pec­tant la vi­si­bi­lité des détails. Par con­tre, à l’échel­le du 1/1000™, cor­res­pon­dant à un na­vi­re vu de plu­si­eurs kilomètres, il ne fau­d­ra représen­ter que les for­mes, sans in­di­quer de trop nom­breux détails, sous peine de di­mi­nu­er la per­spec­ti­ve et de détrui­re l’effet cherché.

Nos lec­teurs com­pren­dront sans peine main­te­nant les dif­fi­cultés d’une telle réali-

De eer­ste roi van

Je­an­net .​M.​ac Do­nald

eet men hoe Je­an­net­te Mac Do­nald haar eer­ste rol kreeg?

Zij bood zich ze­ke­ren mor­gen aan bij een im­pre­sa­rio om hem een en­ga­ge? ment te vra­gen. Niet­te­gen­staan­de een wei­nig aan­moe­di­gend ont­haal van den se-kre­ta­ris, drong zij door in het di­rek­t­o­ri­aal ka­bi­net.

— Ik zou Mr. Dil­ling­ham wil­len zien.

— Dût ben ik. Maar hoe zijt gij hier bin­nen ge­ko­men?

— D'oor de deur, ant­woord­de Je­an­net­te koel­bloe­dig.

Ge­trof­fen door de kra­nig­heid van Je­an­net­te, raad­de Dil­ling­ham haar aan zich aan te bie­den bij het Buf­fa­lo The­a­ter, waar een der ar­tis­ten ziek was. Toen zij er aan­kwam, was de ar­tis­te ge­ne­zen.

— Er is nog een plaats over van ko-ris­te?

— Goed. Ik aan­vaard...

Of zij het ge­wenscht heeft, is niet ge­we­ten: na de derde ver­toon­ing deed een van de ar­tis­ten een val. Je­an­net­te sprong da­de­lijk in, over­zong en over­troef­de da­de­lijk ie­der­een... Haar naam was da­de­lijk ge­maakt... Dan kwam de film en de we­reld­roem.. .

sa­ti­on. Dif­fi­cultés aug­mentées par le fait que, dans la ma­quet­te en ques­ti­on, il est re­produit au­to­ma­ti­que­ment les di­ver­ses pha­ses des 24 heures: au­ro­re, petit jour, grand jour, crépus­cu­le et nuit; que sui­vant ces pha­ses les méca­nis­mes se met­tent en mou­ve­ment ou s’arrêtent; les na­vi­res sur rade, aussi bien que ceux des loin­tains, s’il­lu­mi­nent, et de plus, ces der­niers défi­lent sur la ligne d’ho­ri­zon.


UIT FILM­LAND

Pathé-Na­tan heeft be­slist een nieu­we Casa­no­va-film te ver­we­zen­lij­ken.

S- 1 ur­kije bezit ein­de­lijk zijn eigen film­jour­naal.

Dou­g­lais Fair­banks Jr. zou in Eu­ro­pa een Fran­sche ver­sie ver­we­zen­lij­ken van « Five bear Final », zoo men ten min­ste de be­rich­ten mag ge­looven.

¥ Ame­ri­ka be­schikt sinds kor­ten tijd over een stel­sel van ver­be­ter­de klan­k­op­na­me. Men noemt het de « in­te­gra­le klank-weer­ga­ve ».

Dit stel­sel laat toe bui­ten­ge­woon zwak­ke ge­lui­den vast te leg­gen en weer te geven, ge­lui­den die tot dus­ver aan de re­gi­stra­tie op tilm ont­snap­ten. Som­mi­ge ge­lui­den wm­nerj ge­wel­dig aan na­tuur­lijk­heid; de vrou­wen- en de kin­der­stem­men, bijv., als­me­de de hoog­ste noten. An­de­re, zoo-als het ge­luid van stap­pen op een vloer, het kreu­ken van pa­pier, enz., die thans zoo hin­der­lijk hard van het doek op­klin­ken, wor­den mer­ke­lijk ver­zacht.

Deze ver­be­ter­de me­tho­de heeft haar eer­ste prak­ti­sche toe­pas­sing ge­von­den in de film «Rain (Regen), naar den roman van So­mer­set Maughan, met Joan Craw­ford in de hoofd­rol.

Er be­staat te Hol­ly­wood een mu­se­um, dat aan de film is ge­wijd.

Het wordt met een nieu­we af­deel­ing aan­ge­vuld, waar­in hon­derd was­sen pop­pen, die be­roemd­he­den uit de film­we­reld voor­stel­len, zul­len plaats vin­den.

Te Ge­de­ra, in Pa­les­ti­na, wordt op het oog­en­blik de eer­ste spreek­film in de He-breeuw­sche taal ge­maakt.

Isa­bel­la von Papen, een nicht van den ex-Duit­schen Rijks­kan­se­lier, treedt op in een film, die op het oog­en­blik te Ber­lijn wordt ge­maakt.

Fil­men kan wel eens ge­vaar op­le­ve­ren. Aldus heeft, zoo meldt men uit Hol­ly­wood, een En­gel­sche film­speel­ster bij een vuur­werk-on­ge­luk het rech­ter­oog ver­lo­ren.

Einde Ja­nu­a­ri 1933 zal te Pa­rijs een con­gres der groote film­voort­bren­gers ge­hou­den wor­den.

Emma Gram­a­ti­ca, de be­roem­de Ita-li­aan­sche kun­ste­na­res, is nu klaar met haar twee­de spre­ken­de film, na­me­lijk « La Sig­no­ri­na Con­stan­za », naar een sce­na­rio van Gal­die­ri en met Pa­ler­mi, die ook de eer­ste Gram­a­ti­ca­film « De oude Vrouw » maak­te, als re­gis­seur.

’k Ro­bert Fla­her­ty is de dich­ter van « Na­noek » en « Moana », de me­de­wer­ker van W. S. Van Dyke en Mur­nau voor hun pren­ten «Wit­te­Scha­du­wen » en « 1 aboe ». ln lang was van hem niets meer ver­no­men.

Thans heet het, dat hij aan het wer­ken is op wilde, on­be­woon­de Schot­sche ei­lan­den, waar hij, samen met Mi­chael Bal­con, een do­ku­men­tai­re op­neemt.

Te Bel­gra­do is de eer­ste Zuid-Sla­vi-sche klank­film ver­toond ge­wor­den. Het is een do­ku­men­tai­re over Dal­ma­tië en heet « De Kust van de dui­zend Ei­lan­den ».

Wan­neer de eer­ste «Vlaam­sche » klank­film?

Glo­ria Swan­son koes­tert het plan een film op te nemen te Bi­ar­ritz.

Marcÿa Capri, die sinds 1928 niet meer film­de, is naar het stu­dio weer­ge­keerd.

Jo­seph van Stern­berg is be­gon­nen aan de voor­be­rei­ding van den nieu­wen Marlène Diet­rich-film: « Deep Night ».

>k Raimu en Alice Field zul­len de hoofd­rol­len ver­tol­ken in « Clo­dor­nir ».

]jes PI­ON­NIERS Je 1 en­re­gi­stre

il­leurs Films

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les VE­DET­TES

RE­PER­TOI­RE IN­TER­NA­TI­O­NAL

par

L. Bas­te­nie-Pehrs­son

OF­FE­RAN­DE­STRAAT, 31 ANT­WER­PEN

Ka­chels, Haar­den, Pracht­vu­ren

van

N. MAR­TIN A FON­DE­RIES BRUXEL­LOI­SES A CINEy A JAARSMÀ A SUR­DIAC A A A A PER­MA­NENT A TU­REN­NE A A A Spe­ci­a­li­teit van

Cui­sinières

IN EIGEN GE­MAAK

LET WEL OP HET ADRES