Programma van 25 tot 31 maart 1932



Brochure

Bron: FelixArchief nr. 1968#755

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Pro­gram­me 30 Speel­wij­zer

Ven­d­re­di

Vrijd­eg

Sa­me­di

Za­ter­dag

Di­man­che

Zon­dag

Lundi

Maan­dag

Jeudi

Don­der­dag

mars

Maart

1932

1. AU FEUr

2. Com­ment Ali et Medor sont

de­venus amis

3. Le Zoo s'amuse.

Do­cu­men­tai­re du ser­vi­ce sci­en­ti­fi­que de l’U. F. A.

4. Eclair­Jour­nal

Ac­tu­a­lités so­no­res

ENTR'ACTE

Pen­dant l’entr’acte -

Au­di­ti­on de dis­ques

PARL

1. BRAN­DI

2. Hoe Ali en Medor vrien­den zijn

ge­wor­den.

3. Ver­maak in de Die­ren­we­reld.

Do­ku­men­ta­ri­sche film van de kul­tuur­af­deel­ing der U. F. A.

4. Eclair­Nieuws­be­rich­ten

Ak­tu­a­li­tei­ten op den klank­film

POOS

Tij­dens de poos - Uit­voe­ring van gram­mo­foon­pl.

Chantés par LI­LI­AN HAR­VEY & JEAN BOYER ge­zon­gen door

Mor­ceaux ex­traits du film U.F.A. * Uit­trek­sels uit den U.F.A. film LA FILLE ET LE GARÇON * HET MEIS­JE FN DE JON­GEN in­ter­prété par - ver­tolkt door LI­LI­AN HAR­VEY et HENRY GARAT

5 RONNY

(No 17147 et 17148)

Ope­ret­te à grand spec­ta­cle - Ope­ret­te met groot­sche insce­nee­ring

Sce­na­rio: Réali­sa­ti­on : Ver­we­zen­lij­king :

Rein­hold Schünzel Cou­plets: Koeplet­ten :

Jean Boyer Or­ches­tre: Or­kest :

Marek Weber Pri­ses de sons: Toon­op­na­men :

H. Fritz­sching Cos­tu­mes: Kostümen :

Benno von Arent

Scénario:

Rein­hold Schünzel & E. Pressbur­ger

Dia­lo­gues: Dia­lo­gen :

Raoul Plo­quin Mu­si­que: Mu­ziek :

Em­me­rich Kàlmân Pri­ses de vues: Zicht­op­na­men :

Fritz Arno Wag­ner Décors: Scher­men :

W. Schlich­ting & Benno von Arent

DRA­MA­TIS PHR­SONÆ Ronn>' • • • Kütc V0N Nagy Le Mi­ni­stre de la Cour .

Le Prin­ce de Pe­ru­sa De Prins van Pe­ru­sa . Marc Dant­zer De Mi­nis­ter van het Hof An­toi­ne .... Georg. De­neu­bourg Lu­cien Cal­l­e­band

L’In­ten­dant du Théâ’re . De Schouw­burg in­ten­dant Lu­cien Ba­roux Lisa .... Mo­ni­que Casty

Le Mi­ni­stre d’Etat. De Mi­nis­ter van State Char­les Fal­lot Bom­bo­ni Le Ma­jordo­me Guy Sloux

Le Mi­ni­stre de la Gu­er­re De Mi­nis­ter van Oor­log Gusta­ve Hu­ber­deau De Ma­jordoom Fer­nand Frey


RONNY

A Vi­en­ne, la jeune Ronny est des­si­na­tri­ce, aussi ta­len­tu­eu­se que mal payée, chez les plus im­por­tants cos­tu­miers de la ville. Elle a fait les ma­quet­tes de tous les cos­tu­mes de La Prin­ces­se Char­man­te, une opérette écrite par un vrai prin­ce, Ro­dolp­he 1er, sou­ver­ain d’Ana­gos-tie. Ronny s’est sur­passé pour les cos­tu­mes de cette pièce que le Prin­ce doit faire représen­ter dans son prop­re théâtre, en sa ca­pi­ta­le de Pérusa. C’est que Ronny est cap­tivée par cette par­ti­ti­on, elle en aime la mu­si­que qu’elle connaît déjà par cœur, et elle en fre­don­ne les mo­tifs prin­ci­paux sous l’œil répro­ba­teur d’An­toi­ne, le garçon de bu­reau.

L'au­teur de La Prin­ces­se Char­man­te a, lui-même, toujt du Prin­ce Char­mant. Nous voy­ons au château prin­cier ce jeune homme, plus doué pour les arts que pour la po­li­ti­que, en­touré d’une cli­que de mi­ni­stres in­tri­gants. 1 oute cette ca­ma­ril­la est ac­tu­el­le­ment en ef­fer­vescen­ce; Pérusa, en effet, est la ca­pi­ta­le d’un état qui, de temps immémo­ri­al, a été gou­verné par des fem­mes, et le Prin­ce n’a pas en­co­re de fa­vo­ri­te. Le choix de cette nou­vel­le Pom­pa­dour est bien dif­fi­ci­le. A l’insu du Prin­ce, les mi­ni­stres déci­dent de con­fier ce poste délicat à la fu­tu­re ve­det­te de La Prin­ces­se Char­man­te pas en­co­re choi­sie. Il faud­rait une can­ta­tri­ce plei­ne de grâce et de ta­lent, fort ca­pa­ble de se met­tre à la tête des af­fai­res de la Prin­cipauté. L’in­ten­dant va spéci­a­le­ment à Paris pour en­ga­ger une gran­de can­ta­tri­ce qui sem­ble avoir ces qua­lités. L’in­ten­dant est re­ve­nu en avion an­non­cer l'arrivée de l’ar­tis­te pour le lend­emain. Pen­dant ce temps, les pa­trons de Ronny déci­dent d’en­voy­er la jeune des­si­na­tri­ce li­vrer les cos­tu­mes à Pérusa en com­pag­nie du fidèle An­toi­ne

L’accès de Pérusa n’est guère aisé. Une chaîne de mon­tag­ne sépare la Prin­cipauté des pays voi­sins et seul un pous­sif tor­til­lard, le train de 4 heures, éta­blit chaque jour une com­mu­ni­ca­ti­on in­ter­na­ti­o­na­le. Le train de 4 heures ar­ri­ve d'ail­leurs ha­bi­tu­el­le­ment à 6 heures à Pérusa, mais le jour de la venue de Ronny un fait inouï se produit: le train est à l’heure. An­toi­ne et Ronny ne trou­vent en débar­quant qu’un gro­tesque Bom­bo­ni, le­quel cu­mu­le les fonc­ti­ons de chef de gare, de lam­pis­te, de télégraphis­te, de por­teur de ba­ga­ges et de li­mo­na­dier. Tan­dis qij’An­toi­ne s’oc­cu­pe des ba­ga­ges, Ronny part seule à la re­cher­che d’un hôtel, l’uni­que du pays, que lui a in­di­qué Bom­bo­ni. Elle tra­ver­se le parc du château, ren­con­tre le Prin­ce tout occupé à com­po­ser sur le sable et lui de­man­de son che­min. Bien en­ten­du, le prin­ce ne révèle pas son iden­tité; quant à Ronny, elle se fait va­loir, se dit chargée d’une mis­si­on ar­tis­ti­que auprès de Son Al­tes­se et ce­lui-ci — qui n’a pas de peine à se faire pas­ser pour un co­pis­te de mu­si­que — prend Ronny pour la can­ta­tri­ce an­noncée. Ga­lam­ment, il la débar­ras­se de ses sac, man­teau, pa­ra­p­luie, puis il s offre à l’ac­com­pag­ner à son hôtel. Ronny n’est pas peu sur­pri­se de voir dans les rues de Pérusa toute la po­pu­la­ti­on les sa­lu­er, son com­pag­non et elle. Jusqu’à la garde, qui leur présente les armes et joue 1 hymne na­ti­o­nal! Le Prin­ce per­su­a­de Ronny que ces hon­neurs s adres­sent à tout nou­veau venu dans la prin­cipauté, mais un port­rait de Son Al­tes­se exposé dans une li­brai­rie vient des­sil­ler les yeux de la jeune fille. In­timidée et affolée, elle se sauve en lais­sant son pa­ra­p­luie aux mains du jeune homme. Le Prin­ce est ravi! Il re­vient au château et féli­ci­te son in­ten­dant pour le choix de la chan­teu­se. L’in­ten­dant, qui venait de re­ce­voir un télégram­me par le-

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quel la can­ta­tri­ce se décom­man­dait, reste in­ter­lo­qué, mais, après un mo­ment d’ahu­ris­se­ment, il ne perd pas le nord et va tout de suite à l’hôtel où An­toi­ne et Ronny sont des­cen­dus. L'in­ten­dant de­man­de à la jeune fille si elle sait chan­ter et sur sa réponse af­fir­ma­ti­ve l’en­ga­ge en lui. disant qu elle devra ap­pren­d­re son rôle en trois jours. Cela se trou­ve bien, Ronny connaît La Prin­ces­se Char­man­te par cœur. Tout va donc de ce côté-là. Une heure plus tard, une calèche de Son Al­tes­se vient cher­cher notre héroïne pour la con­dui­re à l'au­dien­ce of­fi­ciel­le que le pro­to­co­le lui fait ac­cor­der par le Prin­ce. In­timidée par le luxe, le déploi­e­ment de faste, l’éti­quet­te et les nom­breux sa­lons où on 1 a fait pas­ser, Ronny, laissée seule dans une ga­le­rie, plan­te tout là et se sauve à tou­tes jam­bes. Le Prin­ce l’a vue par sa fenêtre. Sans façon, il part à sa pours­ui­te, la rat­tra­pe et la ramène au château, où l’au­dien­ce se pro­lon­ge au delà des li­mi­tes prévues au­tour d’un piano, où nos jeu­nes gens tra­vail­lent à l’opérette prin­cière. Ces in­ci­dents et la lon­gueur de cette en­tre­vue défrai­ent déjà la chro­ni­que scan­da­leu­se de Pérusa. « Enfin! », di­sent les mi­ni­stres, « nous avons notre Pom­pa­dour! » et la po­pu­la­ti­on chucho­te: « Enfin, nous avons notre Pom­pa­dour! ».

Lout ar­ri­ve, la première de gala de La Prin­ces­se Char­man­te a lieu. Ronny em­por­te un succès fou, êt à la fin de la représen­ta­ti­on, la salle crou­le littéra­le­ment sous les ap­plau­dis­se­ments dont une foule en délire ova­ti­on­ne l’au­teur et la prin­ci­pa­le in­ter­prète. Un succès aussi com­plet dépasse toute at­ten­te, il grise jusqu’aux mi­ni­stres eux-mêmes. Dans leur hâte de for­mer une fa­vo­ri­te qui leur doive tout, ils vont même un peu fort. Ronny, dans sa loge, où la foule défile pour la féli­ci­ter, vient de re­ce­voir de la part du Prin­ce une

cor­beil­le de roses rou­ges et un dia­mant mag­ni­fi­que, hom­ma­ge de l'au­teur à son in­ter­prète. Le pre­mier mi­ni­stre, por­teur de ce ca­deau prin­cier et d’une déco­ra­ti­on poui An­toi­ne, vient cy­ni­que­ment an­non­cer à Ronny ce que les dig­ni­tai­res at­ten­dent d elle. Il faut qu elle de­vi­en­ne le soir même, dans un sou­per en tête-à-tête de «Mon­bi­jou», la maîtres­se du prin­ce. Une fois dans la place, qu elle s’ar­ran­ge pour protéger les dig­ni­tai­res, à qui elle est re­de­va­ble de cette for­tu­ne inespérée.

A son arrivée au château de « Mon­bi­jou », Ronny est happée par tou­tes sor­tes de pa­ra­si­tes qui ten­tent de s’ac­cro­cher à son étoile nais­san­te et lui pro­po­sent d’im­por­tants pots-de-vin dans des af­fai­res plus ou moins lou­ches. Laissée en tête-à-tête avec le Prin­ce, Ronny, fu­ri­eu­se de la manière dont on l a traitée, s’in­dig­ne, s’em­por­te, révèle qui elle est, dévoile tou­tes les ma­chi­na­ti­ons et quit­te la salle du sou­per en cla­quant la porte. Le Prin­ce est ravi; il avait flairé une com­bi­nai­son et donné ordre de re­con­dui­re le soir même sa trop jolie chan­teu­se; mais le cour­roux ver­tu­eux de la jeune fille a complète­ment trans­formé ses sen­ti­ments; il se préci­pi­te vers la cham­bre de Ronny, ouvre la porte et trou­ve la pièce vide dans un grand désor­d­re. Les or­d­res de Son Al­tes­se ont été bien exécutés, on a re­conduit Ronny à la gare.

Le Prin­ce court et se préci­pi­te. Se­ra-t-il à temps à la gare pour rat­tra­per Ronny? Il ar­ri­ve enfin au mo­ment où le train s'ébran­le. Dieu merci, le tor­til­lard na­ti­o­nal n’a guère d’élan, le Prin­ce le rat­tra­pe en quel­ques en­jambées. Par la gril­le entr ou­ver­te du parc, deux om­bres enlacées vi­en­nent main­te­nant de se glis­ser dans la nuit, ce sont le Prin­ce et Ronny, qui ren­trent au château, récon­ci­liés et amou­reux.


RONNY

Ru­dolf-de-Eer­ste, Vorst van Ana­gos-tió, houdt on­ein­dig meer van mu­ziek dan van po­li­tiek. Hij heeft zelfs een ope­ret­te ge­com­po­neerd, De be­koor­lij­ke Prin­ses, en laat er­voor in de beste kos-tuum­zaak uit Wee­nen splin­ter­nieu­we kos-tu­mes ver­vaar­di­gen. Het is Ronny, zeer be­gaaf­de, maar slecht be­taal­de (dat ge­beurt, he­laas, zoo dik­werf!) teek­e­naar­ster van het huis die alle ont­wer­pen er voor schiep en zoozeer in haar taak op­ging dat zij, uit eigen pret, de gan­sche par­ti­tuur van bui­ten leer­de.

In­tus­schen be­reidt men in den schouw­burg van Pe­ru­sa, de hoofd­stad, alles voor om het ko­nink­lij­ke werk vóór het voet­licht te bren­gen. Voor al de in­tri­geeren­de mi­nis­ters moet deze ge­le­gen­heid wor­den te baat ge­no­men om aan t land een « nieu­we Pom­pa­dour » te schen­ken. De zan­ge­res die naar Pe­ru­sa zal komen om De be­koor­lij­ke Prin­ses te zijn, moet dus haar rol ook in de wer­ke­lijk­heid over­spe­len. Met zulke op­dracht trekt de schouw­burg-in­ten­dent naar Pa­rijs en keert terug, vol­daan over zijn zen­ding.

Wan­neer alle kos­tu­mes kant en klaar zijn, wordt Ronny door haar pa­troons naar Pe­ru­sa ge­zon­den. An­toi­ne, de kan­toor­jon­gen, zal haar ver­ge­zel­len.

Bei­den vin­den bij hunne aan­komst slechts Bom­bo­ni, die is: sta­ti­ons­over­ste, gla­zen­was­scher, te­le­gra­fist, sjou­wer en her­ber­gier! Ter­wijl An­toi­ne zich met het gepak be­zig­houdt gaat Ronny op zoek naar het eeni­ge gast­hof van de stad. Zij ont­moet de Prins, dien zij ech­ter niet kent, en vraagt hem den weg. Hij neemt ze voor de aan­ge­kon­dig­de zan­ge­res en doet zich heel ga­lant voor. In de stad wor­den zij eer­bie­dig be­groet en de wacht speelt het na­ti­o­naal lied. « Dat ge­beurt

zóó voor alle vreem­de­lin­gen », liegt de Prins Ronny voor, wan­neer hij haar ver­ba­zing merkt. Een toe­val ech­ter brengt haar op de hoog­te en gansch ont­daan vlucht zij weg.

In­tus­schen kwam het be­richt toe dat de « zan­ge­res » van haar plan afzag. De in-ten­dent laat zich niet mat zet­ten en gaat da­de­lijk Ronny — wier komst hij ver­nam — op­zoe­ken: Zij zal de hoofd­rol ver­tol­ken. Zie­daar!

Een uur later stopt de karos van den prins vóór het gast­hof; zij wordt « ten pa-lei­ze ge­noodigd voor een of­fi­ci­eel on­der­houd met den Vorst »! Daar ge­ko­men wil zij weer vluch­ten, doch de Prins zet ze ach­ter­na en voert ze in de mu­ziek­zaal van het pa­leis. En de audiëntie wordt al maar door ver­lengd rond een piano, waar beide de ope­ret­te in­stu­deeren... Ein reeds doen de mi­nis­ters den volke kond: « Ein­de­lijk heb­ben wij onze Pom­pa­dour! ».

De eer­ste op­voe­ring van De be­koor­lij­ke Prin­ses heeft plaats: een ware tri­omf!

Ronny wordt van alle kan­ten ge­luk­ge-wen­scht. De eer­ste mi­nis­ter komt ze ech­ter op cy­ni­sche wijze zeg­gen wat men van haar wacht: Zij moet de vrien­din van den Vorst wor­den. En dan na­dien zal zij zeker hen ge­den­ken aan wie zij haar snel­len op­gang te dan­ken heeft!

In­tus­schen wordt zij op­ge­wacht om naar het vor­ste­lijk kas­teel « Mon­bi­jou » te wor­den ge­leid. Zij neemt zich ech­ter voor den prins z’n vier waar­he­den te zeg­gen, wat ook ge­beurt, waar­na zij ver­ont­waar­digd het kas­teel ver­laat en naar het sta­ti­on trekt.

Dóch hij zet ze ach­ter­na en be­reikt het meis­je op het oog­en­blik dat het aam­bor­stig lokomo­tief­je in gang ge­raak­te.

Daar trek­ken twee scha­du­wen, in den nacht, door het vor­ste­lijk pa­leis. En de... scha­du­wen zoe­nen zich: Ronny en Rudi.

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Rein­hold Schünzel

Mijn ge­loofs­be­lij­de­nis zou ik ge­mak­ke­lijk kun­nen sa­men­vat­ten in deze be­trach­ting: « Moge de film, welke wij met vreug­de heb­ben ge­maakt, de men-schen blij­ge­zind maken!».Weg met zwaar­moe­di­ge vraag­stuk­ken, weg met som­be­re uit­zich­ten! De we­reld is te­gen­woor­dig zóó vol pro­ble­ma­tiek en duis­ter­heid, dat een op­ge­wek­te stem­ming al­leen ver­los­sing bren­gen kan.

Ik heb ge­leerd de din­gen, het le­ven-zelf, heel nuch­ter te be­schou­wen. En zoo komt mijn eigen leven mij heel nuch­ter voor. Een re­por­ter die « bi­o­gra­fi­sche nota’s » hen­ge­len kwam, kon ik slechts zeg­gen: « Het leven van den tooneel- en film-mensch Schünzel ver­liep, in groote lij­nen, zooals het leven van 555 an­de­re tooneel-en film­men­schen. Eerst de nood­za­ke­lij­ke te­gen­stand tegen de ou­der­lij­ke ver­lan­gens, ik moest koop­man wor­den. Dan lau­wer­kran­sen in de klei­ne stad­jes voor den tra­gi­schen hel­den- en ka­rak­tei­uit­beel­der! Her­rie in diie stads­schouw­bur­gen; ein­de­lijk ver­bin­te­nis bij Mein­hard en Ber­nau­er, die toen de lei­ding had­den van drie the­a­ters te Ber­lijn.

Jaar 1916: een post­kaart «Wilt gij fil­men?» — Na­tuur­lijk be­proefd. Carl Frölich, mijn eer­ste film­re­gis­seur, heeft goede woor­den voor mij: « Man, gij hebt een gan­sche loop­baan vóór u! » — Ik heb ge­tracht die woor­den tot waar­heid te bren­gen. In­tus­schen We­dekind en Strind­berg fi­gu­ren op het tooneel. In 1920 mijn eer­ste re­gie­proef. Dan weder als ver­tol­ker voor den film werk­zaam. Dé toon­film komt. Reinh. Schünzel, — dus ik, — die van het tooneel komt, leeft op. Weder film­re­gis­seur. Jong­ste pro­dukt: Ronny!

Ik begon aldus met het tra­gi­sche en be­land­de, zoowel als ver­tol­ker, als re­gis­seur bij de lich­te­re Muzen. Laat ons vrool­ijk zijn! Rein­hold SCHÜNZEL,.

CHAN­SONS — LIE­DE­REN.

Les 7 chan­sons De 7 lie­de­ren uit du film den film

Il vaut beau­coup mieux,

Les reces que nous fai­sons,

Qua­tre Di­man­ches,

Si tu me veux.

C’est bon tout d’même,

Cher­chons une Pom­pa­dour,' Mar­che Mi­li­tai­re, cou­plets de Fran­sche tek­sten van Jean Boyer mu­si­que de mu­ziek van

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Dis­ques de gramoph. Gram­mo­foon­pla­ten

H IS MAS­TERS VOICE .

E G 2460.

Les Rêves que Ce Droo­men die

nous fai­sons, ons sus­sen...

La Mar­che de Pérusa, Pe­ru­sa-Mar­sch.

K 6459.

C’est bon tout II vaut beau­coup

d’même, mieux.

’t Is, ja, zoo goed... t Is beter zoo I

— PO­LY­DOR —

522162 2.

Mar­che de Pérusa, Pe­ru­sa-Mar­sch,

C’est bon tout ’t Is, ja, zoo goed...

d’même,

in­ter­prété par ge­zon­gen door

Marc Dant­zer.

PAR­L­OP­HO­NE


avo­cat peut-il men­tir de­vant les juges pour sau­ver celle qu il aime?

Tel est le pas­si­on­nant problème que pose

II DE­FEN­SEUR

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Maxu­di­an

(M. de Per­nois)

Na een zeer hef­ti­ge woor­den­wis­se­ling met zijn ver­spil­zie­ken zoon Roger — twist welke door de dienst­bo­den werd ge­hoord wordt M. de Per­nois dood ge­von­den, met een dolk in het hart.

Men heeft nie­mand in het huis zien komen — mevr. de Per­nois was bij vrien­den. Toch, voor­al­eer den laat­sten adem uit te bla­zen, weet M. de Per­nois en­ke­le lij­nen te schrij­ven, open­ba­rend dat zijn vrouw de moor­de­na­res is...

Welk vreemd en vree­se­lijk ge­heim schuilt er in dit som­ber drama?...


UNE GRAN­DE COMÊPIE MU­SI­CA­LE

LI­LI­AN HAR­VEY

Frag­ments du jour­nal de bord de Jean, valet de cham­bre au ser­vi­ce du mil­li­ar­dai­re M AC­FER­SON

DANS

A bord de l’Odj/sseus, 5 mars 1931.

11 y aura dans un mois exac­te­ment xinq ans que nous na­vi­gu­ons par delà les mers sans avoir ja­mais eu la per­mis­si­on de voir et d’ap­pro­cher une femme.

Quel­le drôle d’idée a eu M. Mac­fer­son d’en­ga­ger ce pari: ne pas voir de femme pen­dant cinq ans!...

Lui, si em­pressé auprès du beau sexe! 11 est vrai que l’enjeu en vaut la peine: 500.000 dol­lars. Mlais il n’a pas be­soin de ça. Il est riche, riche, im­mensément riche et, de plus, le moque to­ta­le­ment de T ar­gent. Seu­le­ment, voilà: Mon­si­eur venait d'avoir une pe­ti­te décep-/y# tion amou­reu­se, et, dans l’exal-A ta­ti­on de son dépit, il a par bra­va­de engagé ce pari, dont j ima­gi­ne il est le pre­mier à souf­frir.Quant aux hom­mes qui com­po­sent notre équi­pa­ge!... Ah! quel mal n’ai-je pas eu pou­lie re­cru­ter, ce satané équi­pa­ge! Pensez donc, per­son­ne ne vou­lait ac­cep­ter de de­meu­rer cinq ans privé de société fémi­ni­ne. Heu­reu­se­ment qu’il y a pas de mal de re­pris de jus­ti­ce dans les bou­ges de Mar­seil­le. Ce sont les seuls êtres qui aient eu du cran parmi ceux que j’ai voulu en­ga­ger. Mfais il faut dire qu ils avai­ent eu à souf­frir, eux aussi, des fem­mes. Ils n’ont pas hésité à s’exi­ler pen­dant cinq ans et, ma foi! ça mar­che vrai­ment très bien de­puis que nous na­vi­gu­ons. Le nègre s’est révélé un cui­si­nier par­fait, le bon­hom­me cha­fi­on sans pro­fes­si­on ni lieu s’est taillé un rôle de médecin qu’il a revêtu avec une dig­nité à la­quel­le moi-même je me lais­se pren­d­re! Les au­tres sont éga­le­ment par­faits, et s’il leur

CA­LAIS

DOU­VRES

oeA.​LITVAK

.AVEC

ANDRÉ RO­AN­NE

RO­BERT DART­HEZ

AR­MAND BER­NARD

MU­SI­QUE DE M.​SPOUANSKy

c’est

Réali­sa­ti­on de

ANA­TOL LIT V A K

Mu­si­cue de

MI­SCHA SFO­LIAN­SKI

ar­ri­ve par­fois de chan­ter des ro­man­ces sen­ti­men­ta­les, ce n’est que pour mieux rire de leurs ave­n­tu­res passées.

Moi, je trou­ve que c’est la bonne vie. Ja­mais je n’ai été si heu­reux, plus de tracas à cause des pe­ti­tes amies de Mon­si­eur, plus be­soin de re­dou­ter la venue in­tem­pes­ti­ve et dange­reu­se d’un mari ja­l­oux!... Je suis tran­quil­le. Je mange, je dors et je m ini­tie aux mystères des astres lorsque les nuits sont clai­res et la mer clémente.

Et dire que dans un mois mon bon temps sera fini!...

1931

UNE GRAN­DE COMÉDIE MU­SI­CA­LE

LI­LI­AN HAR­VEY

DANS

CA­LAIS'

DOU­VRES

DE A. LIT­VAK «.AVEC

ANDRÉ RO­AN­NE

RO­BERT DART­HEZ

AR­MAND­BER­NARD

MU­SI­QUE DE M.​SPOUANSKy

C’EST

Hé! hé! je crois que j’ai eu tort d écrire que tout mar­chait bien à bord.

Je ne sais pas ce qu ils ont de­puis quel­ques jours, mais on di­rait bien qu’un vent de fron­de souf­fle dans les bérets. Ils 9H­HHBHB­HI sont tous ir­ri­ta­bles, se cha­mail­lent pour des riens et n’ont pas coupé leur barbe de­puis huit jours. Et puis, c’est qu’il ne faut rien leur dire... Ils ont le ca­fard, di­sent-ils, et ils m’ac­cu­sent de les avoir traîtreu­se­ment incités à sig­ner l’en­ga­ge­ment que leur of­frait mon maître, alors queux-mêmes, outrés de la con­dui­te de leurs com­pag­nes, avai­ent décidé de rom­p­re tou­tes re­la­ti­ons fémi­ni­nes. Et voilà main­te­nant qu ils sou­pi­rent après ces créatu­res sans pu­deur! Pouah! Même sur un ba­teau, ce que les gens peu­vent être ter­re-à-ter­re!

Jusqu’à mon maître, tou­jours si poli avec moi, qui m’a, ce matin, traité d idiot, comme je lui de­man­dais s il avait passé une bonne nuit.

Vrai­ment, je n’y com­prends rien.


Eh bien, il s’en passe de bel­les de­puis deux jours!... Non, c’est in­croy­a­ble!... Je ne sais pas ce que nous al­lons de­venir. Une femme est à notre bord! Une femme, oui, une vraie. Et la­quel­le! Elle est belle, si belle, avec un corps de poupée, des che­veux aussi fins, aussi irréels que les fils lu­mi­neux qui tra­ver­sent les airs du prin­temps. Et des yeux! Une bou­che! Des jam­bes! Enfin, de quoi ren­d­re fous tous les Diogène de la terre... Elle est là, dans la ca­bi­ne « 13);, en­fermée sur l’ordre de Mon­si­eur, et c’est moi qui suis chargé de veil­ler à ce qu elle ne s’échap­pe pas. D'où vient-el­le? Je l’ig­no­re. Tou­jours est-il que je voud­rais bien la voir ail­leurs que sui notre ba­teau.

Voici com­ment les cho­ses se sont passées:

L’Odys­seus vo­gu­ait tran­quil­le­ment non loin de Ca­lais, lorsque soud­ain re­ten­tit le cri: « Un homme à la mer! ». Tout le monde se préci­pi­ta. En effet, à quel­ques en­ca­blu­res du yacht, un na­geur pa­rais­sait en dif­fi­culté. On le re­cu­eil­lit. C’était une femme! Elle déclara se nom­mer Miss Gla­dys C’Hal­lo­ran et s’entraîner pour la tra­versée Ca­lais-Dou­vres. Je vous de­man­de un peu!

« M. Mac­fer­son, eut-el­le l’au­dace de dire à mon maître, pou­vez-vous m’of­frir l’hos­pi­ta­lité pen­dant quel­ques heures? » Heu­reu­se­ment, mon maître a du cran. 11 or­don­na de re­con­dui­re à terre cette trop séduisan­te créature. Pfft! il n’avait pas fini de par­ler qu’elle était déjà dans l’eau et cri­ait qu elle était îepor­ter du «Times» et que tout le monde al­lait rire de Màcfer-son et de son équi­pa­ge. C’est alors que Mon­si­eur décida de la faire repêcher et de la séquestrer sur le ba­teau.

Voilà! Mais j’ai bien peur que mon maître se lais­se pren­d­re au char­me de cette déesse et qu’il perde ainsi son pari. Ce se­rait vrai­ment stu­pi­de!

25 mars 1931.

Elle est tou­jours là! Mais quel­le peste! Ah, elle m en a déjà fait voir, la mâtine! Il ne se passe pas de jour, que dis-je! de mi­nu­tes, qu elle n em­ploie à me tracas­ser. Un jour, elle m’échap­pe par un hu­blot et se met à dan­ser sur le pont avec les hom­mes de l’équi­pa­ge, qui l’ado­rent (pas moi)! Un autre jour, elle ima­gi­ne de se faire un désha­billé élégant et sug­ge­s­tif avec les ri­de­aux qui gar­nis­sent sa ca­bi­ne et de si­mu­ler un em­pois­son­ne­ment. Tout le monde est affolé; Mon­si­eur se préci­pi­te, de­meu­re seul à son che­vet. Par­bleu! c était bien là ce qu elle vou­lait, la rusée: seu­le­ment, moi, je suis là! J’ai, moi aussi, joué la comédie et an­noncé à Mon­si­eur -bien près de tom­ber dans les bras de la belle — qu’un cy­clo­ne menaçait à l’ho­ri­zon et que sa présence était in­dis­pen­sa­ble sur le pont. Cuf!

Mais au­jourd’hui, je crois que je vais, moi aussi, lui jouer un tour à ma façon. Car je sais qui elle est véri­ta­ble­ment: une dange­reu­se ave­n­tu­rière. M'on maître n’a pas voulu la li­vrer lorsqu’une cha­l­ou­pe de po­li­ce est venue de­man­der si 1 on n avait pas vu une per­son­ne dont le sig­na­le­ment est iden­ti­que à celui de notre pri­son­nière. M. Mac­fer­son est — j’en ai main­te­nant la cer­ti­tu­de fol­le­ment amou­reux de Miss Gla­dys.

11 va fal­loir agir si je ne veux pas que Mon­si­eur perde son pari.

26 mars 1931 .

Du nou­veau à bord, ce matin. Miss Gla­dys s’est échappée, em­por­tant avec elle les bi­joux et le por­te­feuil­le de M. Mac­fer­son.

Mi­onsi­eur ne veut pas por­ter plain­te, mais or­don­ne qu’on jette l’ancre et qu’on se mette à la re­cher­che de cette femme.

Bon Dieu! pour­vu qu’il ne la re­trou­ve pas avant d’avoir gagné son pari!

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Deman dfe z ca­ta­lo­gue

Agent général pour la Bel­gi­que:

ROT­MER­MEL COR­PO­RA­TI­ON S. A.

27, Quai du Com­mer­ce, 27 BRUXEL­LES

ONZE FILM­CA­ME­RA

Over de trou­we be­ge­leid­ster van al onze film­toch­ten wordt ei­gen­lijk veel te wei­nig ge­schre­ven. Zon­der la­waai en zon­der klach­ten ver­ge­zelt zij ons op de hoog­ste ber­gen, in de diep­ste val­lei­en, is zij bij ons in het water, op het dob­be­rend schip en over­al waar­heen ons film-nood-lot ons voert. Goede, trou­we film­ca­me­ra, mijne ee;re­sa­luut!

E,n welke avon­tu­ren moet zij soms niet me­de­ma­ken!

Ik wil hier een kort voor­val ver­tel­len, ge­beurd tij­dens de op­na­men van Do­ver-Ca­lais.

Wij, onze re­gis­seur Ana­tol Lit­wak, A.n-dré Ro­an­ne en de ca­me­ra­man F. Pla­ner waren naar Nizza ge­trok­ken om er een reeks bui­ten­op­na­men te maken.

Wij draai­den alzoo op ver­schil­len­de klei­ne stoom­boo­ten op de Mid­del­land­sche Zee, tij­dens het voor­jaar, het­welk nu juist ta­me­lijk storm­ach­tig en vrij koud was. Ook daar be­ne­den.Ter­wijl wij, men-schen, allen zon­der on­der­scheid leer­den wat » zee­ziek-zijn » beteek­ent, was onze ca­me­ra de eeni­ge die on­ver­dro­ten op post bleef. Zelfs een bru­ta­le ken­nis­ma­king, bij een plot­sen golf­slag, met de re­ling van het schip door­stond zij uit­ste­kend. Is het omdat — zooals men zeker al meer dan eens zal ge­le­zen heb­ben de ca­me­ra zich weer heeft « be­vrijd » en alle ban­den, die een oog­en­blik ze om­knel­den, over­won­nen heeft?

Ver­tolkt door

LI­LI­AN HAR­VEY

AN DRÉ RO­AN­NE

Naar het tooneel­stuk van

J. BERSTL

Ver­filmd door Ana­tol LIT­WAK

Wij draai­den dus op het schip, naar land toe, doch ook van land uit naar het yacht, het­welk wij voor de ge­le­gen­heid had­den af ge­mon­sterd. Zoo stond Franz Pla­ner met zijn ca­me­ra, en­ke­le dagen vóór onze af­reis, op een stei­le rots die boven de zee uit­stak.

Lit­wak, onze re­gis­seur, be­vond zich bij ons op het yacht. Ro­an­ne en ik ston­den op het voor­dek.

Lit­wak riep Pla­ner toe: « Zijt gij ge­reed? » — « Ja! », klonk het van land.

« Voor­uit dan, op­na­me! » Wij draai­den een klein tooneel, tij­dens het­welk wij dich­ter en dich­ter de kust na­der­den. Pla­ner volg­de ons met zijn ca­me­ra en kwam, van op­na­me tot op­na­me, een stap voor­waarts.

Plot­se­ling, te mid­den van het tooneel, een on­ver­wacht « Ver­dui­veld! ». Wij zagen: de goede Pla­ner dook onder in het brui­send water. Hij was in het « vuur van het ge­vecht » neer­ge­tui­meld en zijn goede ca­me­ra stond gansch al­leen op de rots.

Pla­ner is een uit­mun­ten­de zwem­mer; hij had ons en­ke­le dagen te­vo­ren het be­wijs ge­le­verd zij­ner zwem­kunst. Zoo namen wij het klei­ne on­ge­val niet ver­der tra­gisch op. Na en­ke­le se­kon­den dook hij op en Lit­wak riep zijn op han­den en voe­ten aan wal krui­pen­den ca­me­ra­man toe: « Zie, Pla­ner, eens en voor al­tijd, bij mijn film ben ik met de «be­vrij­de» ca­me­ra in m’n schik, maar een « zich be­vrij­den­de ca­me­ra­man » maakt mij on­rus­tig, hoor! »

—CA­LAIS


"Don Qui­chot­te" à l’écran

On sait que Char­lie Chap­lin a l’in­ten­ti­on de faire de la pro­duc­ti­on de films par­lants dans lesquels, fidèle aux prin­ci­pes qu'il af­fir­ma, il ne paraîtrait pas.​Tous ceux qui se sou­vi­en­nent d’« Opi­ni­on pu­bli­que » sa­vent que Cha­ri­ot est un aussi grand réali­sa­teur qu’il est un grand ar­tis­te.

On sait aussi que Cha­ri­ot avait en­tre­pris avec le célèbre chan­teur russe Cha-li­a­pi­ne, des négo­ci­a­ti­ons pour qu il soit le pro­ta­go­nis­te de son pre­mier film par­lant. Un scénario, que Cha­ri­ot au­rait écrit lui-même, avait même été en­vi­sagé, dont le thème n’était autre que... l exis­ten­ce de Cha­li­a­pi­ne, qui décou­vrit la vie so­ci­a­le et l’hu­ma­nité quand on vint lui ap­pren­d­re que son fils avait été tué à la gu­er­re. Mais Cha­li­a­pi­ne fit re­mar­quer à Char­lie Chap­lin qu’aucun îôle n’était plus dif­fi­ci­le à jouer que son prop­re per­son­na­ge, et Cha­ri­ot, qui est bien de cet avis, se ren­dit à ses rai­sons. 11 renonça alors à son pro­jet et dépêcha à Lausan­ne, pour en aver­tir Cha-li­aui­ne, l’ex­cel­lent met­teur en scène français Jean de Limur, qui fut son col­la­bo­ra­teur déjà à Hol­ly­wood.

— Cha­li­a­pi­ne, dit M. Jean de Limur, est un homme « épa­tant », cour­tois, af­fa­ble et cul­tivé. J’ai eu avec lui de lon­gues et intéres­san­tes con­ver­sa­ti­ons. C est au cours de l une d elles que l’idée nous vint de por­ter à l’écran le per­son­na­ge de Don Qui­chot­te que Cha­li­a­pi­ne a in­carné d'une façon in­ou­blia­ble au théâtre.

« Char­lie Chap­lin, que je vis quel­ques jours après à Saint-Mo­ritz, me con­seil­la vi­ve­ment de tour­ner ce « Don Qui­chot­te » et, comme je lui fai­sais part de mon in­ten­ti­on de de­man­der à Paul Mo­rand d’en écrire le scénario, m y en­cou­ra­gea.

» Paul Mo­rand fu tout de suite séduit,

Pe­tits métiers des Ve­det­tes

Les ve­det­tes de cinéma à Hol­ly­wood ne pla­cent pas tou­jours leur ar­gent dans des af­fai­res bour­sières. Beau­coup s’intéres­sent à des com­mer­ces ou à des en­tre­pri­ses. Les deux Grif­fiths, Ray­mond et Co­rin­ne, ven­dent des pri­meurs. Con­rad Nagel avait déjà une bou­ti­que de fruits et légumes; il va en ou­vrir une se­con­de. Chai lie Chap­lin a des intérêts dans le fa­meux res­tau­rant Henry du grand bou­le­vard d Hol­ly­wood. Char­les Bick­ford a un salon de con­som­ma­ti­on avec, à la porte, une pompe à es­sen­ce pour autos. Noah Beery élève des trui­tes. Es­ther Ral­s­ton, Ethel Clay­ton et Ka­th­leen Clif­ford ont des in­sti­tuts de beauté, où elles font ven­d­re leurs spéci­a­lités.

Eddie Nu­gent, Vera Gor­don et sur­tout Wil­li­am Hay­nes s’oc­cu­pent d’an­ti­quités; Jetta Goud­al de déco­ra­ti­on. Betty Comp-son fait bâtir un hôtel, Dou­g­las Fair­banks est prop­riétaire de bou­ti­ques très bien louées. Les Tal­m­ad­ge, les Schen­ck, Lewis Stone, Mae Mur­ray et les Vidor sont prop­riétai­res de puits de pétrole. Gil­bert Emery est fleu­ris­te, Hal­lam Coo­ley a un ca­bi­net d'af­fai­res im­mo­bi­lières, Cecil B. de Mille est ban­qui­er et enfin Hoot Gib­son possède un cir­que am­bu­lant où fréquem­ment il paraît lui-même.

et, après avoir pris les con­seils de Ci­i­arl-lie, par­tit avec moi pour Vil­le­fran­che, d’où nous re­ven­ons à l in­stant avec un « Don Qui­chot­te » qui a le mérite de res­pec­ter à la fois entièrement l’idée et même le texte de Cer­vantès et d’être pour­tant une oeu­vre ab­so­lu­ment ori­gi­na­le. »

Nous ver­rons donc bientôt sur les écrans, grâce à Cha­ri­ot, Don Qui­chot­te par­tir pour de nou­vel­les ave­n­tu­res ima­ginées par l’au­teur de « Lewis et Irène ».

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Son goût ex­quis, son par­fum suave et sa déli­ci­eu­se fraîcheur, lui ont valu

son

surn­om —

L'AME DU CI­TRON

Hebt ge iets noo­ci­ig?

De plaats der zeld­zaams­te en zon­der­ling­ste rek­lame is on­ge­twij­feld Hol­ly­wood. On­ge­wo­ne be­drij­ven en zaken zijn daar als het ware als pad­den­stoe­len uit den grond ge­re­zen om de even ei­gen­aar­di­ge aan­vra­gen om de mo­ge­lijk­ste en on­mo­ge­lijk­ste din­gen te le­ve­ren, te kun­nen vol­doen. Want wie zal wel ooit een vol­le­di­ge in­ven­ta­ris kun­nen op­ma­ken van al het­geen voor die ki­lo­me­ters-films ge­bruikt wordt?

Ie­de­re maand ont­van­gen de groote film-ge­zel­schap­pen een aan­kon­di­gin­gen-adres-bcek. In dit lij­vig boek zijn uit­slui­tend ad­ver­ten­ties op­ge­no­men van lie­den die iets aan te bie­den heb­ben, be­trek­king heb­bend op het film­be­drijf.

Daar­in wor­den aan­ge­bo­den: sneeuw en bloed, dra­ken en an­de­re min of meer wilde die­ren, maar ook alle soor­ten huis­die­ren, waar­tus­schen vlie­gen en vlooi­en.Ver­huur­ders van vlieg­tui­gen, zep­pe­lins, yach-ten, roei­boo­ten, wal­vis­schen — in ieder geval kunst­ma­ti­ge! — ad­ver­tee­ren naast hand- en voet­ver­zor­gers, spraak­lee­r­aars, tooneel­scho­len, enz. Voor­al de blad­zij­den dezer laatst ge­noem­de reeks groei­en zien-de­roógen aan, sinds de komst van den toon­film!

Ren­n­fro, ei­ge­naar van een groote hon-den-farm, her­in­nert de hee­ren « di­rec­tors » eraan dat men bij hem 65 hon­den van alle ras­sen en ge­slach­ten vin­den kan en die allen voor z n minst in staat zijn op twee poo­ten te gaan en te ge­hoor­za­men op het « woord » en op het « teek­en » (wat, na­tuur­lijk, ab­so­luut noodig is voor den klank-film).

De ei­gen­aar­di­ge hon­den-films van de Metro Gol­dwyn Mayer zijn o. a. door me­de­wer­king van dezen hon­den­lief­heb­ber ver­we­zen­lijkt.

Stelt men ech­ter meer be­lang in vlieg­dienst, zoo belle men Van Nuys 621 W j op. Een zeer hof­fe­lij­ke man aan het an­de­re uit­ein­de van den spreek­draad zal be- ( reid­wil­lig mee­dee­len dat spe­ci­a­le ca­me­ra- ( vlieg­tui­gen, waar­in toe­stel­len van ie­de­re j groot­te en ieder fa­bri­kaat kun­nen aan­ge­past wor­den, ter be­schik­king staan. j

Een an­de­re heer, die als slag­woord ge- j bruikt « Call me Jack! », ver­klaart dat men | bij hem alle men­sche­lij­ke en dier­lij­ke... j wan­ge­droch­ten be­ko­men kan, tegen een j over­een te komen ho­no­ra­ri­um, het­welk 1 be­re­kend wordt vol­gens de zeld­zaam­heid j en de graad van mon­ster­ach­tig­heid van j het su­jekt. Van de reu­zenda­me hot het f Li­li­put-vent­je, van het kalf met zwij­nen- { poo­ten tot de kat met den hon­den­kop, I van de dik­s­te dik­kerd ter we­reld tot de uit­ge­mer­gel­de skel­e­t­aap: alles is hier te vin­den!

Weer an­de­re firma’s spe­ci­a­li­see­ren zich in per­ruk­ken en baar­den. Goede ver­dien­sten heb­ben ook de kos­tuum­ver­huur­ders te boe­ken.

Twee an­de­re firma s maken be­kend dat zij ge­bruik­te « ont­wik­ke­laars » koop­en. Djeze vloei­stof is, zooals men weet, rijk aan zil­ver (door het be­han­de­len van den film­band, die een ge­deel­te van zijn broom-zil­ver af staat) .Door een spe­ci­aal che­misch pro­ces­sus kan men het zil­ver te­rug­win­nen. Deze beide firma’s be­staan zool­ang als de film­in­du­strie zelf en heb­ben in­der­daad goede zaken ge­daan.

« Staal en an­de­re me­taal­ar­ti­ke­len van alle soort en van ie­de­ren tijd » biedt weder een an­de­re on­der­ne­mer aan. En deze ge­denkt met wee­moed terug aan de ver­fil­ming van K Ben Hurl»'... Dat was een goe­den tijd.

En zoo zou men kun­nen voort­gaan, veel blad­zij­den. In­tus­schen ver­schijnt reeds een nieuw num­mer van het vreemd­soor­tig adres­boek. En daar­in vindt men weer wat an­ders: het is on­uit­put­te­lijk!


L’avi­a­ti­on au ser­vi­ce du Cinéma

Toute une série de grands re­por­ta­ges cinéma­to­grap­hi­ques récents vient de démon­trer élo­quem­ment la gran­de part prise par l’avi­a­ti­on dans cette bran­che si intéres­san­te du progrès et de l’ac­ti­vité mo­der­nes.

Pour­tant le re­por­ta­ge cinéma­to­grap­hi­que en avion, qui a été élevé de­puis quel­que temps par des « ca­me­ra­men » d élite jusqu’à la hau­teur d’un art ne date pas d’hier. On en ju­ge­ra d’ail­leurs par cette pe­ti­te in­cur­si­on dans un passé qui s’es­tom­pe à peine dans nos sou­ve­nirs.

Le pre­mier re­por­ta­ge en avion fut réalisé par l’opéra­teur Le Saint, qui tour­na cer­tain jour de 1910 une « chas­se au ca­nard sau­va­ge » avec Mar­ti­net et Le­ga-gneux. Oin ra­con­te en­co­re dans le mi­li­eu du cinéma d'ac­tu­a­lités l’ave­n­tu­re de Ro­bert Molin, qui est au­jourd’hui l’un des tout pre­miers col­la­bo­ra­teurs de « Pathé-Jour­nal » et en même temps l’un des plus an­ciens de la cor­po­ra­ti­on. Molin al­lait par­tir un jour avec le pi­lo­te Cham­pel pour une prise de vues dans les en­vi­rons de Ju­vi­sy et il avait déjà pris place dans l'ap­pareil lorsque 1 avion — on disait alors l’aéro­pla­ne — prit le départ tout seul comme on met­tait le mo­teur en mar­che. Mblin n’hésita nas, quoi­que complète­ment pro­fa­ne en la matière, il tira sur le man­che comme l'Orge s’annonçait à quel­ques mètres de lui, il prit de la hau­teur, es­ca­la­da la rivière, puis lâcha petit à petit et vint at­ter­rir tant bien que mal. Mais on avait eu chaud ce ma­tin-là à Ju­vi­sy! Par ail­leurs, Maxi­me D'ely, que Pi­vo­lo avait bap­tisé « Rou­le­ta­bil­le », se tail­la une belle po­pu­la­rité en ef­fec­tu­ant un re­por­ta­ge aérien de gran­de en­ver­gu­re avec la

Le nom­bre de cinémas dans le monde!

D après les données publiées par le Dépar­te­ment du com­mer­ce des Etats-Unis, il exi­s­tait, dans le monde en­tier, vers la fin de 1931, 64 mille cinémas, ce qui représente, par rap­port à 1930, une aug­men­ta­ti­on de 2.000 cinémas.

Dans ce nom­bre, 28.250 cinémas ont été ou­tillés pour la pro­jec­ti­on des films so­no­res (aug­men­ta­ti­on, pour l’année, de 8.800).

Hol­ly­wood con­ser­ve tou­jours la première place dans la pro­duc­ti­on, les Etats-Unis ont beau­coup perdu dans ce do­mai­ne, et la pro­duc­ti­on cinéma­to­grap­hi­que des au­tres pays du monde, par son total, se rap­pro­che très sen­si­ble­ment de la leur.

Cela, en par­ti­cu­lier a été le résul­tat de l’ap­pa­ri­ti­on du cinéma par­lant, ce qui a pro­vo­qué par­tout une ten­dan­ce pour la réali­sa­ti­on des films avec ver­si­on en lan­gue na­ti­o­na­le. Le cinéma par­lant se mon­tre très lent à pénétrer, seu­le­ment, dans les pays du Pro­che-Orient.

En 1931, il y exi­s­tait en tout pour tout 16 cinémas so­no­res, alors qu’en 1930 il n’y en avait pas un seul.

Par con­tre, l’en­gou­e­ment pour le cinéma s’accroît d’une façon rapi­de dans les loin­tai­nes contrées de l’Extrême-Otient.

En 1931, on y comp­tait déjà 4.925 cinémas, dont 1.545 so­no­res.

C’est aux Etats-Unis qu exis­te le plus grand nom­bre de sal­les de cinéma. 11 at­teint 22.000, dont 13.000 cinémas so­no­res.

mis­si­on Vuil­le­min vers le lac Tchad.

Par la suite, ces sor­tes de re­por­ta­ges ul­tra-mo­der­nes se mul­ti­plièrent et ils sont au­jourd’hui par­fai­te­ment cou­rants.

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De tech­niek van den film

De syn­the­ti­sche klank

De mo­der­ne film­tech­niek heeft weer wat nieuws aan het licht ge­bracht. Het ding heet: de syn­the­ti­sche klank. Wat men hier­door ver­staat? Zie­hier:

Een klank kan zood­a­nig wor­den ge­re­gi­streerd, dat hij kunst­ma­tig kan wor­den weer­ge­ge­ven. Daar­toe deed men vroe­ger enkel be­roep op de was­sen fo­nop­laat, sinds kort ook op de cel­lu­loïden film­strook. Cp de fo­nop­laat staat de klank ge­grift, op de pel­li­kuul is hij ge­fo­to­gra­feerd. In beide ge­val­len was eerst het wer­ke­lijk voort­bren­gen van den klank noodig, wou men hem kun­nen re­gi­stree­ren.

Dé tech­ni­ci zijn er nu in ge­slaagd den klank op de pel­li­kuul te bren­gen, zon­der dat hij voor­af hoor­baar heeft be­staan. Zij heb­ben na­me­lijk op de spreek­films de in pren­ten om­ge­zet­te ge­lui­den zood­a­nig be­stu­deerd, dat zij nu nauw­keu­rig weten hoe elk « klank­beeld » er uit­ziet. Nu tee-ke­nen zij klan­ken naar goed­vin­den, fo­to-gra­feeren ze, en bij de pro­jek­tie klin­ken ze hoor­baar op.

Dit noemt men de «syn­the­ti­sche klank». Dat hier voor de ci­ne­ma­to­gra­fie on­ver­moe­de toe­komst­mo­ge­lijk­he­den in schui­len, is dui­de­lijk. Im­mers, de ge­lui­den die tot­dus­ver hin­der­lijk klon­ken bij de pro­jek­tie, kun­nen nu na de op­na­men door meer fo­n­o­ge­ni­sche wor­den ver­van­gen. Aan de stem­men b.v. kan men een ander «vo­lu­me » geven. Zelfs kan men nu klan­ken maken, die in de wer­ke­lijk­heid niet be­staan of die tot dus­ver niet te re­gi­stree­ren waren.

De spreek­flim ver­o­vert dus weer een! nieuw ge­bied, dat van het on­we­zen­lij­ke, i De D'uit­scher Ru­dolf Pfen­ni­ger is reeds / be­gon­nen met aldus films te maken, waar-j van niet enkel de pren­ten, maar ook de

Dans Ie Monde du Cinéma

Pour amor­tir les pièces de théâtre.

Un pro­jet pour la con­struc­ti­on de douze cinémas-théâtres va être mis en exécu­ti­on par le cir­cuit an­glais Bern­stein.

La première salle sera élevée à Shrews­bu­ry, et son érec­ti­on com­men­ce­ra dans un mois en­vi­ron. Le reste des sal­les sera con­sti­uit dans la période de trois ans.

Ces sal­les jou­eront une pièce une se­mai­ne par mois, et le reste du temps on y pro­jet­te­ra des films. M. Bern­stein, qui aime le théâtre, prétend que seu­le­ment, par cette ini­ti­a­ti­ve, on pour­ra lui con­ser­ver lon­gue vie; une trou­pe pou­vant voy­a­ger ainsi de quar­tier en quar­tier et de ville en ville, comme le font les films.

Un étran­ge scéna­ris­te.

Cn se­rait bien in­ca­pa­ble de de­vi­ner qui est l’au­teur du scénario du film La­dies of the Big House, que l’on vient de présen­ter à Paris, dans sa ver­si­on an­glai­se. Eh bien! voilà, c’est tout sim­ple­ment l’œuvre d’un con­damné à perpétuité de la pri­son de Fol­som (U. S. A.).

Cet au­teur - bag­nard, Er­nest Booth, a écrit une let­tre à M. Louis Weitzen­korn — l adap­ta­teur de ce film — lui disant qu il a eu 1 oc­ca­si­on de lire les cri­ti­ques très élo­gi­eu­ses de son scénario, lors de sa présen­ta­ti­on à New-York. Voici la tou­chan­te phra­se qui ter­mi­ne sa let­tre:

«Alors que je ne ver­rai sans doute ja­mais mon film, c’est une gran­de joie pour moi de sa­voir que vous en avez fait une si belle chose ».

heele mu­ziek geteek­end werd. Bij de pro­jek­tie krijgt men een kon­cert te hoo­ren, zon­der dat één mu­zi­kant aan de ver­we­zen­lij­king me­de­werk­te.


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SO­PRA­NO

TÉNOR de *’ OPÉRA de Pa­pris..

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OR­CHES­TRE SYMP­HO­NIQUE DE LA SOCIÉTÉ ROY­A­LE DE ZOOL­OGIE SYM­FO­NISCH OR­KEST DER KO­NINK­LIJ­KE MAAT­SCHAP­PIJ VOOR DIER­KUN­DE

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PRIX DES PLA­CES PRIJ­ZEN DER PLAAT­SEN