Programma van 17 tot 23 okt. 1930



Brochure

Bron: FelixArchief nr. 1968#696

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Pro­gram­me ö Speel­wij­zer

Ven­d­re­di -t nr Sa­me­di i o Di­man­che Vrij­dag -*-/ Za­ter­dag Zon­dag

rv Lundi rj/Y Jeudi oc­to­b­re , Q-irv

1 Maan­dag Don­der­dag " Oc­to­ber

1 Eclair-Jour­nal

Ac­tu­a­lités filmées

2- Un film do­cu­men­tai­re

3- Un film co­mi­que

4‘ Elle s*en va t’en gu­er­re

1* Eclair-Nieuws­be­rich­ten.

Ver­film­de ak­tu­a­li­tei­ten

2* Een do­ku­ment film

3- Een Ko­mi­sche film

4- Zij trekt ten oor­log

Dra­ma­tisch film­spel naar het roman

Comédie dra­ma­ti­que

d’après le roman

"SHE GOES TO WAR"

de van

RU­PERT HUG­HES

Scénario de Sce­na­rio van

HO­WARD ES­TA­BROOK

Mise en scène de: Insce­nee­ring van :

HENRY KINO

DRA­MA­TIS PER­SONÆ:

Joan Mo­rant Ele­a­nor Board­man

Tom Pike John Hol­land

Reg­gie Van Ruy­per .... . Ed­mund Burns

Rosie . Alma Ru­bens

Bill Al. St. John

Katie . Glen Wal­ters

La mère de Tom (Tom's moe­der) Mar­ga­ret Sed­don

Yvet­te Yola d’Avril

La tante de Joan (Joan’s tante). . Eve­lyn Hall

Le Ma­joor (De Ma­joor) . . Capt. Zier

Top . Ed­ward Chand­ler

Lady Hos­tess . Ann War­ring­ton

Prise de vues: Zicht­op­na­men :

TONY GAU­DIO


ELLE S’EN VA

En 1917, 1 Amérique vient au se­cours des Alliés. Joan Mo­rant, jeune fille très snob, rêve de se joind­re au mou­ve­ment.

Elle est fiancée à Reg­gie Van Ruy­per, jeune homme de son monde. Ce­lui-ci n est que sim­ple sol­dat et Joan re­gret­te l’ab­sen­ce de pe­tits ga­lons.

A une soirée d’adi­eux, donnée aux sol­dats par les dames de la haute société, Joan s’aperçoit que son ga­ra­gis­te, Tom Pike, porte le cos­tu­me d’of­fi­cier. Ce der­nier lui ap­prend que, de­puis trois ans déjà, il sui­vait les cours de la Na­ti­o­nal Guard et que, le matin même, il avait reçu sa no­mi­na­ti­on. Reg­gie ne com­prend pas que son Gou­ver­ne­ment nomme of­fi­cier des hom­mes de la clas­se ouvrière...

Pour­tant Joan ac­cor­de une danse au jeune homme. En tour­noy­ant, un cou­ple ac­cro­che le jeune of­fi­cier qui, per­dant l’équi­li­b­re, tombe en entraînant sa ca­va­lière. Joan ne peut ex­cu­ser un pareil af­front et, sans écou­ter les re­grets de Tom, elle le quit­te brusque­ment_

Au front, Tom Pike est main­te­nant ca­pi­tai­ne. Reg­gie a réussi à se faire nom­mer ser­gent d'ap­pro­vi­si­on­ne­ment. Joan n’a pas aban­donné son idée, et, un soir, sous une pluie bat­tan­te, elle ar­ri­ve au petit vil­la­ge de l’arrière où le l’Y.W.C.A. a établi un can­ton­ne­ment. Elle est envoyée pour faire par­tie de la can­ti­ne où trois fem­mes sont déjà occupées.

Ce pre­mier con­tact lui fait voir sous des cou­leurs moins agréables, la vie qu’elle en­vi­s­a­ge. Elle doit par­ta­ger une cham­bre avec deux com­pag­nes. Ces dernières sont

T’EN GU­ER­RE

an­ci­en­nes do­mes­ti­ques et leur fa­mi­li­a­rité ami­ca­le cho­que la riche de­moi­sel­le. Dès l’aube, elle sort à la re­cher­che de la can­ti­ne. La vue du vil­la­ge en rui­nes, le sol la­bouré par les obus, tout lui est sujet à éton­ne­ment. S’em­bour­bant, elle ap­pel­le à son aide un homme qui se lave à une fon­tai­ne. Ce­lui-ci se préci­pi­te. C’est Tom, et les deux jeu­nes gens sont stupéfaits de se ren­con­trer de cette manière.

La jeune fille se rend à la can­ti­ne. Elle ne peut d’abord com­pren­d­re le genre de tra­vail que l’on at­tend d’elle. Laver les plan­chers!... Elle n’est cer­tai­ne­ment pas venue d’Amérique pour cela! Pour­tant elle doit s’in­cli­ner ou re­par­tir. La mort dans l’âme, ses beaux rêves d héroïsme détrui­ts, Joan prend la bros­se. Reg­gie, prévenu par Tom, la trou­ve à ge­n­oux au mi­li­eu des seaux; il ne re­con­naît plus sa jolie fiancée. 11 veut ob­te­nir une per­mis­si­on pour re­con­dui­re Joan à Paris. Cel­le-ci enlève son ta­blier, se re­fait une beauté. Elle est in­ter­rom­pue par l’arrivée de Tom Pike. Les am­bu­lan­ces vi­en­nent d’ame­ner de nom­breux blessés; l’un d’entre eux se. meurt et, dans son délire, réclame sa mère. Le jeune ca­pi­tai­ne vient à l’Y.​W.​GA. cher­cher une femme pour don­ner l’il­lu­si­on au mou­rant. Joan ne com­prend pas une pareil­le de­man­de. Tom re­part et, ren­con­trant les deux au­tres ser­van­tes du foyer, les emmènent à l’am­bu­lan­ce. Joan, in­tri­guée, les suit. Elle aperçoit une de ses com­pag­nes s’age­n­ouil­ler près du mo­ri­bond, lui dire de dou­ces pa­ro­les et le blessé s’éteint dou­ce­ment dans les bras de celle qu’il prend pour sa mère.

Joan com­men­ce à com­pren­d­re la gu­er­re. Elle re­vient au « Foyer », re­prend son

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ta­blier et se remet à son hum­ble be­sog­ne.

Le régi­ment doit re­mon­ter en ligne. Reg­gie, que son poste a exempté jusqu’ici des coups durs, doit par­tir avec son ba­tail­lon. Pour se don­ner du cou­ra­ge, il boit. Joan, venue lui faire ses adi­eux, le trou­ve ivre-mort.

Les avi­ons en­ne­mis ayant repéré les mou­ve­ments des Améri­cains, lan­cent des gaz asp­hyxi­ants sur le vil­la­ge. Tous les sol­dats met­tent leur mas­que. Les hom­mes sont comptés. Un d’entre eux man­que, mais... le voici qui ar­ri­ve en cou­rant. Ce re­tar­dai­re n’est autre que Joan qui, pour éviter le Con­seil de Gu­er­re à son fiancé, a pris sa place.

L’at­ta­que est déclanchée. L’en­ne­mi ne bouge pas, mais soud­ain des li­qui­des en­flammés bar­rent la route. Les A.méri-cains doi­vent re­cu­ler en toute hâte jusqu’aux tanks où Tom Pike or­don­ne à ses hom­mes de pren­d­re place. Joan, pen­dant ces mo­ments ter­ri­bles, ap­prend à connaître le véri­ta­ble ca­ractère de son jeune com­pa­tri­ote. C’est un homme dont on peut être fier!

Les Al­le­mands ont dû s’en­fuir de­vant les tanks, les sol­dats char­gent à la baïon­net­te, mais une mi­trail­leu­se en­ne­mie les fau­che. Le ca­pi­tai­ne améri­cain donne l’ordre de s'en em­pa­rer... les vo­lon­tai­res sont tués.

Joan, ne se ren­dant pas comp­te de la si­tu­a­ti­on exac­te, est sor­tie de la tranchée

pour échap­per aux ta­qui­ne­ries de deux sol­dats. Elle est bientôt près de la mi­trail­leu­se, un tronc d’arbre mort la protège et la cache. Sur­pri­se de se trou­ver si près, elle a pour­tant la présence d’es­prit de tirer son re­vol­ver. Elle tue le mi­trail­leur, mais el­le-même, les nerfs à bout, tombe évan­ouie.

A la tête de ses hom­mes, Tom re­prend l’at­ta­que. Voy­ant un de ses hom­mes étendu près de la mi­trail­leu­se, il s’arrête. Ce­lui-ci a fait un geste. Tom prend sa gour­de pour faire boire le jeune Sammy... à sa gran­de sur­pri­se il re­con­naît Joan.

L’at­ta­que a réussi... les sol­dats re­vi­en­nent au can­ton­ne­ment. Tom ramène la jeune fille sur ses épau­les.

Dans sa cham­bre, Reg­gie cuve son alcool. Joan l’y re­trou­ve et le re­gar­de avec mépris. La présence de la jeune fille rap­pel­le le ser­gent à la réalité... il a peur du Con­seil de Gu­er­re, Joan le ras­su­re, mais lui fait com­pren­d­re qu’il ne lui est plus rien.

A 1Y.W.Ç.A., Tom déjeûne... il a des lar­mes dans les yeux... soud­ain, il sent une présence près de lui. Joan est là... in­stallée, et le re­gar­de ten­d­re­ment. La barrière qui les sépa­rait n’exis­te plus, ils ont ap­pris à se connaître et, sans un mot, leurs lèvres s’unis­sent.


ZIJ TREKT TEN OOR­LOG

In 1917 schaart Ame­ri­ka zich aan de zijde der Ver­bon­de­nen en zendt zijn beste zonen naar Eu­ro­pa. Joan Mo-rant, een zeer met zich zelf in­ge­no­men meis­je droomt ervan mede te ver­trek­ken. Zon­der haar is geen over­win­ning mo­ge­lijk!

Zij is ver­loofd met Reg­gie van Cuy­per, een jong­mensch van haar stand. Hij is een­vou­dig sol­daat, wan­neer Joan hem graag met veel graad­stre­pen had op­ge­smukt ge­zien!

Tij­dens een af­scheids­avond­feest, in­ge­richt ter eere der sol­da­ten, door de dames der « so­ci­e­ty », be­merkt Joan dat haar au­to­voer­der Tom Pike in een of­fi-ciers­pak steekt. Tom ver­klaart haar dat hij, sinds drie jaren, de kur­sus­sen van de Na­ti­o­nal Guard volg­de en dat hij dien­zelf­den mor­gen zijn be­noe­ming ver­kreeg. Reg­gie be­grijpt niet dat zijn Re­geering man­nen uit de ar­bei­ders­klas tot of­fi­cier wil ver­hef­fen...

Joan staat noch­tans den jon­gen man een dans toe. Tij­dens dezen dans stoot een pie­re­waai­end paar den jon­gen of­fi­cier zoozeer tegen het lijf, dat hij het even­wicht ver­liest en zijn Part­nerin in zijn val mee­sleurt. Joan voelt zich zoozeer daar­door ge­krenkt dat zij, zon­der naar Tom’s ver­ont­schul­di­gin­gen te luis­te­ren hem vol woede ver­laat...

Aan het front. Tom Pike is tot ka­pi­tein be­vor­derd. Reg­gie is er in ge­lukt zich tot ser­ge­ant te ver­hef­fen, bij den be­voor­ra-dings­dienst. Joan heeft haar plan niet op­ge­ge­ven en op ze­ke­ren avond, in een stort­re­gen, komt zij in een dorp­je aan

ach­ter de vuur­lijn, waar de Y. W. C. A. een op­slag­plaats heeft in­ge­richt. Zij wordt naar de kan­tien ge­stuurd, waar reeds drie vrou­wen werk­zaam zijn. Die eer­ste ken­nis­ma­king geeft een flin­ke deuk aan haar droom­beel­den. Zij moet de­zelf­de kamer met twee harer ge­zel­lin­nen dee-len. Deze laat­sten waren eens in haar dienst en hun on­ge­dwon­gen, vriend­schap-pe­lij­ken om­gang kwetst de rijke freu­le. In den vroe­gen mor­gen gaat zij op zoek naar de kan­tien. Het beeld van het ver­woes­te dorp, van de aarde door­ploegd met obust­rech­ters, die troos­te­looze een­zaam­heid wekt haar ver­won­de­ring op. Zij zakt in het slijk en roept een man, die zich juist aan het was­schen is, ter hulp. Deze snelt toe: het is Tom en beide zijn ver­baasd el­kaar op zulke wijze terug te vin­den.

Het jonge meis­je gaat naar de kan­tien. Zij kan eerst maar niet be­grij­pen, dat men haar met zulke taak kan be­las­ten... de vloer schu­ren! Zij is toch niet daar­voor van Ame­ri­ka ge­ko­men. Doch hier valt niet te re­de­twis­ten. Al haar droo­men van held­haf­tig­heid zijn aan flar­den, wan­neer zij de bor­stel op­neemt. Reg­gie, door Tom ver­wit­tigd, vindt ze op haar knieën te mid­den der em­mers. Hij her­kent waar­lijk zijn mooie ver­loof­de niet. Hij wil een ver­lof be­ko­men, om Joan naar Pa­rijs te voe­ren. Dteze legt haar werk­kleed af en knapt zich op. Zij wordt daar­in on­der­bro­ken door de komst van Tom Pike. De am-bu­lan­cie­wa­gens voer­den tal van ge­kwet­sten aan. Een dezer ligt te ziel­to­gen en in zijn ijl­koorts, roept hij op zijn moe­der­tje. De jonge ka­pi­tein komt in de Y.W.C.A. een vrouw halen om den ster­ven­de de laat­ste il­lu­sie te geven, Joan be­grijpt zulke vraag niet. Tom ver­trekt en de twee

GLOBE

Le Globe est une bois­son rafraîchis­san­te d’une pureté et d’une fi­nes­se in­com­pa­ra­bles.

Son goût ex­quis, son par­fum suave et sa déli­ci­eu­se fraîcheur, lui ont valu son surn­om —

L'AME DU CI­TRON

CH­WEP­PES: LON­DON


an­de­re vrou­wen ont­moe­tend, voert hij ze mede naar den zie­ken­wa­gen. Joan’s nieuws­gie­rig­heid is ge­prik­keld en zij volgt hen.

Zij ziet als­dan hoe een harer ge­zel­lin­nen neer­knielt bij den ster­ven­de, hem zoete woor­den toe­fluis­te­rend tot de ge­kwet­ste zacht­jes neer­zinkt in de armen van de­ge­ne, welke hij voor zijn moe­der aan­zag.

Joan be­gint te be­grij­pen. Zij keert naar de Y.W.C.A. terug, neemt haar werk-kleed op en zet zich aan haar scha­mel werk...

Het re­gi­ment moet naar de vuur­lijn. Reg­gie, die tot dus­ver geen harde sla­gen hoef­de mede te maken, moet met zijn ba­tal­jon op­trek­ken. Om zich moed te geven, drinkt hij. Joan, die hem nog be­groe­ten kwam, vindt hem smoor­dron­ken.

Dte vij­an­de­lij­ke vlie­ge­niers heb­ben de troe­pen-be­we­gin­gen der Ame­ri­ka­nen ge­snapt en wer­pen stik­gas­sen op het dorp uit. Alle sol­da­ten doen hun gas­mas­kers voor. De man­schap­pen wor­den ge­teld. Een hun­ner ont­breekt, maar... daar komt hij aan­ge­loop­en.

Dle te­laat­ko­mer is Joan die, om haar ver­loof­de van den Krijgs­raad te red­den, zijn plaats heeft in­ge­no­men.

De aan­val is be­gon­nen. De vij­and ver­roert niet, doch plots komt een vloed van bran­den­de vloei­stof­fen aan­ge­rold. De Ame­ri­ka­nen moe­ten wij­ken in al­ler­ijl, tot aan de tanks. Het is in deze vree­se­lij­ke oog­en­blik]$en, dat Joan Tom Pike leert ken­nen: hij is een man waar­over men fier mag zijn!

D'e Duit­schers moesten vluch­ten voor de sta­len mon­sters. De Ame­ri­ka­nen char­geeren. Doch een vij­an­de­lijk ma­chien­ge-weer maait ze weg. De ka­pi­tein be­veelt, dat men er zich van mees­ter make— de vrij­wil­li­gers wor­den ge­dood.

Joan, die geen juist besef van den toe­stand heeft, ver­laat de loop­graaf om aan de pla­ge­rij­en van twee sol­da­ten te ont­ko­men. Zij is wel­dra bij het ma­chi­ne­ge­weer. Een boom­stam be­schermt en ver­bergt haar. Ver­rast zoo dicht bij den vij­and te zijn, heeft zij noch­tans de te­gen­woor­dig­heid van geest om den mi­tral­jeur met een re­vol­ver­schot te dooden. Doch, dan stort zij zelf be­wus­te­loos neer.

Tom her­vat de aan­val. Hij ziet een zij­ner sol­da­ten neer­lig­gen bij het ma­chi­ne­ge­weer, laat de jonge Sammy drin­ken en ... her­kent in hem Joan!

De aan­val is ge­lukt... de sol­da­ten kee-ren terug. Tom draagt het jonge meis­je op zijn schou­ders weg.

In zijn kamer slaapt Reg­gie zijn roes uit. Joan vindt hem er weer en ziet hem met mis­prij­zen aan. De komst van het jonge meis­je roept den ser­ge­ant tot de wer­ke­lijk­heid terug... hij is bang voor den Krijgs­raad. Joan stelt hem ge­rust, maar laat hem ver­staan dat hij niets meer voor haar is.

In de Y.W.C.A... Tom ont­blijt... tra­nen staan hem in de oogen. Plots voelt hij ie­mand rond hem. Het is Joan, die hem vol tee­der­heid aan­kijkt. De af­grond die bei­den scheid­de, be­staat niet meer. Zij leer­den me­kaar ken­nen en zon­der één woord te spre­ken, val­len zij in ei­k­aars armen.


Ele­a­nor BOARD­MAN

Ele­a­nor Board­man, bin­nen­huis-spe­cia-lis­te en ar­tis­te van er­ken­de be­kwaam­heid, is en­ke­le jaren ge­le­den de « East­man Kodak girl » ge­weest. Zij is ge­fo­to­gra­fi­eerd en ge­re­pro­du­ceerd ge­wor­den in haast alle ste­den en meer dan welke an­de­re per­soon­lijk­heid van de Ver­ee-nig­de Sta­ten. Zij werd te Phi­l­a­delp­hia ge­bo­ren en deed haar stu­dies in de scho­len dezer stad.

Van jongs af had zij een zwak voor zaken van ar­tis­tie­ken aard en het is geens­zins te ver­won­de­ren, dat zij naar New-York City kwam; het mid­den­punt van het Ame­ri­kaansch kunst­le­ven.

Haar eer­ste stap op den weg van den bij­val waag­de zij, door op ze­ke­ren dag in het film­stu­dio van Fort Lee te drin­gen, rriet de hoop daar de een of an­de­re op­ga­ve te be­ko­men.

Doch haar moe­der wou niet, onder welk voor­wend­sel ook dat haar doch­ter aan film deed. Aan tooneel, dat zou nog gaan!

Ele­a­nor wist als­dan een rol te be­mach­ti­gen in een stuk dat door Arthur Hopkins in New-York werd op­ge­voerd. Sa­mu­el Gol­dwyn zag ze in dit spel en noo-dig­de ze uit in film­land toch haar geluk te wagen.

Het ge­beur­de alzoo, nu zoowat zes jaar ge­le­den. En ach­ter­een­vol­gens zal men ze dat jaar zien in 5 films: « Vani­ty Fair », « Three Wise Fools », «The Day of Faith» en « Souls for Sale ».

Wan­neer Gol­dwyn’s on­der­ne­ming ver­smolt met deze van Mar­cus Loew zal Miss Board­man, van 1924 tot einde 1927 op­tre­den in 15 van de beste films, ver­we­zen­lijkt in de ML G. M.-stu­dio’s.

Tus­schen haar jong­ste pres­ta­ties zijn in

John HOL­LAND

Ge­bo­ren te Kenosha-Wis. 1 oen hij nog een piep­jong vent­je was, trok­ken zijn ou­ders naar Green­boro (Noord-Caro­li­na).

D'aar ging hij ter school en later volg­de hij de Fish­bur­ne Mi­li­ta­ry Aca­de­my, in­ge­richt in Wag­nes­boro.

Hij moet wel door een in­ge­bo­ren « Wan­der­lust » ge­dre­ven zijn ge­weest, toen hij van Wag­nes­boro op eigen hand­je naar de Webb-school en Bell Buckle (Tenn.) trok. Doch het avon­tuur zat hem in het bloed en pas zes­tien jaar oud mon­ster­de hij aan bij de U. S. Navy en bracht het van ka­bien­boy tot ma­troos. Toen brak de oor­log uit en hij was een der eer­sten, die naar Eu­ro­pa over­kwam en zoo maar naar Wla­di­vo­stok.

Twee jaar lang bleef hij daar.

Na den oor­log ge­raak­te hij - - hij weet het zelf niet goed hoe — aan het tooneel. Tij­dens een rond­reis zag Henry King hem op­tre­den en hij vond hem een ide­a­le ver­tol­ker voor zijn « She Goes to War ».

En zoo trad hij in deze rol­prent voor het eerst op in film­land.

hoofd­zaak te ver­noe­men: The Auc­ti­on Block, Me­mo­ry Lane, Bard­leys the Mag­ni­fi­cent, Tell it to the Ma­ri­nes en The Crowd.

King Vidor, de echt­ge­noot van Ele­a­nor Board­man, was haar re­gis­seur in « Bard­leys » en « The Crowd ».

Tus­schen ver­schil­len­de kan­di­da­ten koos Henry King ze uit om de vrou­we­lij­ke hoofd­rol te ver­tol­ken in « She Goes to War! » en waar­in zij een der tref­fend­ste uit­beel­din­gen harer loop­baan wist uit te wer­ken.

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RE­SER­VE — VOOR­BE­HOU­DEN AAN

DE MEU­LE­NAE­RE

MAMAN

CO­LI­BRI

MARIA JA­CO­BI NA

FRANZ LE­DE­RER HE­LE­NE HAL­LIER

Pro­duc­ti­on: M.​VANDALet CH. DELAC.


Ju­lien Du­vi­vier est un met­teur en scène très adroit, il l’a prou­ve. Il le prou­ve en­co­re. De rien il sait faire quel­que chose, car il a au suprême degré le sens du cinéma Du­vi­vier a ex­trait de Maman Co­li­bri, la pièce qu’Henri Ba­tail­le écri­vit il y a main­te­nant 26 années, tout ce qu’il pou­vait en tirer.

Le film est agréable, adroi­te­ment réalisé, avec beau­coup de détails ty­pi­ques et pit­to­resques.

Les pho­to­grap­hes ont, en effet, droit à beau­coup de com­pli­menrs, pour les très beaux clichés qu’ils ont rap­portés d’Af­ri­que.

A tra­vers un fa­tras de grands décors, de pa­no­ra­mas algériens et de robes à traînes, l’his­toi­re hu­mai­ne et dou­lou­reu­se sur­git, gran­de, fière et noble et qui tou­che­ra tou­jours les cœurs.

Maria Jacc­bi­ni se vieil­lit avec beau­coup de grâce et de char­me. Elle a de su­per­bes vi­o­len­ces et vers la fin du film des ex­pres­si­ons de détres­se émou­van­tes.

A côté d’elle Franz Le­de­rer, jeune et joy­eux; Jean Ger­rard, char­mant et dis­tin­gué; Jean D'ax, ex­cel­lent comme tou­jours; Hélène Hal­lier aux toi­let­tes fraîches et la grâce un peu acide.

LA SE­MAI­NE PRO­CHAI­NE

MAMAN

CO­LI­BRI

Gran­de su­per­pro­duc­ti­on dra­ma­ti­que d'après l'œuvre célèbre d'

Groote dra­ma­ti­sche su­per­pro­duc­tie naar het be­roem­de tooneel­werk van

Henry BA­TAIL­LE

ver­we­zen­lijkt

door

réalisée par

Ju­lien DU­VI­VIER

DE VO­LOEN­DE WEEK

Op 8 No­vem­ber 1904 werd dit tooneel­stuk, in 4 be­drij­ven, van Henry Ba­tail­le voor het eerst op­ge­voerd in het « Théâtre du Vau­de­vil­le » te Pa­rijs.

Ber­the Bady, de be­faam­de tooneel­speel­ster, ver­vul­de de roi van Irène de Rys­ber­gue. André Brulé was de Burg­graaf Ge­or­ges de Cham­bry en Lérand de Baron de Rys­ber­gue.

Het werk, voor­al ge­zien in het kader van zijn tijd, ver­wierf een bui­ten­ge­wo­nen bij­val.

Uit dit tooneehverk heb­ben twee ge­ken­de ci­ne­as­ten: Joë May en Hans Sze­ke­ly een film be­werkt, welke door Ju­lien Du­vi­vier werd ver­we­zen­lijkt.

Het was wer­ke­lijk moei­lijk met meer ge­we­tens­vol­heid en schroom­val­lig­heid het werk van den schrij­ver van « De Naak­te Vrouw », « Het Kind der Lief­de », « De Dwaze Maagd » en zoo­veel an­de­re ge­ken­de tooneel­stuk­ken, over te bren­gen op de Rol­prent.

Ju­lien Ddvi­vier, die reeds zoo­veel knap­pe uit­voe­rin­gen op zijn ak­tief heeft, bracht ons hier een film van zeer ont­roe­ren­de, zeer


in­ni­ge dra­ma­tiek.

Twee thema’s wer­den hier ont­wik­keld: de strijd tus­schen de harts­tocht en de moe­der­lij­ke lief­de een­er­zijds; de schrij­nen­de bit­ter­heid van het be­rouw, wan­neer de pas­sie bij den min­naar is uit­ge­doofd en de vrouw al­leen blijft, zon­der lief­de, zon­der kin­de­ren an­ders­zijds.

Met een zeer dra­ma­ti­schen cli­max is hier dit diep-men­sche­lijk, pak­kend ge­ge­ven ont­wik­keld, dat de toe­schou­wers tot in het diep­st van hun wezen zal aan­grij-pen.

Dfe Al­ge­ri­aan­sche at­mos­feer, die, als zoel van harts­tocht, over het groot­ste ge­deel­te van dit drama van schijn en wezen ligt, geeft er nog een groo­ter aan­trek­ke­lijk­heid aan.

Ook heeft de insce­neer­der, met zeer ge­luk­ki­ge toet­sen, die exo­ti­sche stem­ming in zijn regie ge­legd en heer­lij­ke land­schap­pen als ach­ter­grond ge­bruikt voor het dra­ma­tisch ge­beu­ren.

De cre­a­tie van Maria Ja­co­bi­ni is prach­tig. Zij leeft de gan­sche tra­giek mede van die vrouw die, als be­de­lend om lief­de, het groote Avon­tuur volgt om als­dan, ver­la­ten, de schrij­nen­de, ont­stel­len­de wreed­heid te ken­nen van de ver­ga­ne be­goo­che­lin­gen. Zij maakt oog­en­blik­ken van op­per­ste smart door met zoo­veel op­rech­te deer­nis, dat zij bij een­ie­der de tra­nen in de oogen doet komen. Zij heeft, voor­al aan het einde van den film, wan­neer zij al haar wee, al haar nood door­peilt, uit­druk­kin­gen van on­ver­ge­te­lij­ke ont­roe­ring.

Franz Le­de­rer teek­ent per­fekt de fi­guur uit van de Cham­bry, le­vens­waar, on­be-wust-cy­nisch, wiens jeugd wreed maakt.

Jean Dax weet een ras­ech­te voor­naam­heid te geven aan den Baron de Rys­ber-gue, in juis­te maat, waar, Be­grij­pend.

L'Au­tom­ne de l'Amour

Les dra­mes que pro­vo­quent, chez la femme, le déclin de sa beauté et l’ap­pro­che de la vieil­les­se, sont moins ta­pa­geurs, en général, que les au­tres tragédies de l’amour. Mais ils ne sont pas moins poig­nants.

Vieil­lir... sen­tir que, peu à peu, s’ef­fa­ce tout ce qui con­sti­tu­ait votre char­me, votre grâce, votre beauté: tout ce qui vous ren­dait ai­ma­ble, dési­ra­ble! Ah! le cruel des­tin, que celui de la femme de 40 ans! Les ro­man­ciers, les au­teurs dra­ma­ti­ques de tous les temps se sont émus de cette lutte pathétique entre le cœur et le corps de la femme qui vieil­lit. Mais celui qui ana­ly­sa avec le plus d’hu­ma­nité, le plus de pénétra­ti­on, les pha­ses de ce con­flit, fut sans con­tre­dit le grand dra­ma­tur­ge Henry Ba­tail­le, à qui nous de­vons La Mar­che Nup­ti­a­le, L’En­fant de l’Amour, La Pos­ses­si­on et ce chef-d’œuvre qu’est Maman Co­li­bri.

Qui ig­no­re en­co­re le dou­lou­reux cal­vai­re d’Irène de Rys­ber­gue, épouse délaissée, qui, pour répond­re à l’appel de l’amour, aban­don­ne son foyer, ces en­fants et va rejoind­re en Algérie le jeune of­fi­cier de spa­his, Ge­or­ges de Cham­bry? Tous ceux qui voudront se rap­pe­ler les mi­nu­tes poig­nan­tes que leur a fait vivre la pièce, tous ceux qui voudront connaître le drame le plus pathétique qui ait ja­mais porté à l’écran, voudront voir l’ad­mi­ra­ble film que Ju­lien Du­vi­vier a tiré de l’œuvre de Ba­tail­le: Maman Co­li­bri, su­per­pro­duc­ti­on française, in­ter­prétée par la gran­de ar­tis­te Maria Ja­co­bi­ni.

Helène Hal­lier is al­ler­be­koor­lijkst met een tikje per­ver­se aan­min­ne­lijk­heid.

(( Maman Co­li­bri » is een dier films, die men steeds op­nieuw wil zien.

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Lais­sez-moi dire tout l’amour, toute la pas­si­on et toute la dou­leur que j’ai ap­portées à ma création du rôle d’Irène de Rys­ber­gue dans ce grand film tiré du chef-d’œuvre d’Henry Ba­tail­le. Ce rôle a été pour moi un des plus poig­nants de ma lon­gue carrière. Et ce­pen­dant, Maria Ja­co­bi­ni, vous le savez, fut 1 in­ter­prète de plus de cent films, qui m’ont valu votre préci­eu­se fa­veur...

Mais, cette fois, je puis dire que j’ai joué avec tout mon cœur, avec tou­tes mes lar­mes, ce per­son­na­ge de la femme qui vieil­lit et qui, après avoir tout sa­cri­fié à

son amour: foyer, réputa­ti­on, en­fants, s'aperçoit qu elle est sup­plantée, dans le cœur de l’homme qu elle aime, par une ri­va­le plus jeune... plus forte de tout l’éclat de ses vingt ans tri­omp­hants! Si je puis avoir extéri­o­siré tou­tes les tor­tu­res de la femme de 40 ans délaissée, si je puis avoir trans­crit fidèle­ment le ter­ri­ble con­flit ana­lysé par Ba­tail­le, vos ap­plau­dis­se­ments me pai­eront de la souf­fran­ce véri­ta­ble que j’ai con­nue en in­car­nant la mal­heu­reu­se Irène de Rys­ber­gue.

MARIA JA­CO­BI­NI.


ftA­MAN CO­LI­BRI

et la pres­se cor­po­ra­ti­ve française

Comœaia:

« Sous une ap­pa­ren­te sim­pli­cité, cette réali­sa­ti­on cache une somme de tech­ni­que con­sidérable. Et com­ment décrire avec des mots toute la poésie des nuits af­ri­cai­nes, la cou­leur des ciels, les che­vauchées dans le désert, et cette fan­ta­sia de spa­his, qui est l’un des plus beaux pas­sa­ges du film. Tou­tes les scènes de la fin, lorsque Irène voit qu elle n’a plus qu à par­tir, puis­que son amant na l’aime plus, sont traitées de main de maître et avec une tristes­se poig­nan­te, dont en se défend mal. Maria Ja­co­bi­ni, dans le rôle d’Irène de Rys­ber­gue, est in­ou­blia­ble. Elle a joué de toute son âme avec une maîtrise et une sen­si­bi­lité ra­re­ment égalée. C’est une très gran­de ar­tis­te et nous ne croy­ons pas, en le disant, dépas­ser notre pensée. Toute la dis­tri­bu­ti­on, qui com­prend Hélène Hal­lier, Franz Le­de­rer, Jean Ger­rard, Jean de Baere et Jean Dax, nous sem­ble ne mériter que des éloges. »

Le Matin:

De jo­lies pho­tos de pay­sa­ges af­ri­cains, de bon­nes mises en scène d intéri­eurs agrémen­tent le film. Les in­ter­prètes: M'’ICS Maria Ja­co­bi­ni, Hélène Hal­lier; MIMI. Jean Dax, Jean Ger­rard et Franz Le­de­rer, se mon­trent ex­cel­lents dans leurs différents rôles. »

Le Cinéphile:

<( Il con­vient de féli­ci­ter Mària Ja­co­bi­ni et Jean Dax pour les deux bel­les créati­ons fai­tes dans ce film. Dans un petit rôle Jean Ger­rard a fait mon­tre de fort bel­les qua­lités, ainsi que Franz Le­de­rer. »

Le Cour­ri­er Cinéma­to­grap­hi­que:

Ml. Ju­lien Dùvi­vier a réalisé là un très beau film où l’on ad­mi­re­ra par­ti­cu­lièrement les scènes algéri­en­nes, splen­di­des par leur lumière, leur mou­ve­ment, et où le drame, so­bre­ment traité, donne son maxi­mum d’in­ten­sité émou­van­te. Les che­vauchées, les manœuvres des spa­his, la fête algéri­en­ne, sont à re­te­nir peur leur va­leur spec­ta­cu­lai­re. Maria Ja­co­bi­ni trou­ve dans le per­son­na­ge d’Irène un rôle tout à fait à sa tail­le. Jean Dax joue avec élégance le rôle du baron de Rys­ber­gue. Hélène Hal­lier in­car­ne avec tout le char­me per­vers néces­sai­re, miss De­a­con. Franz Le­de­rer a un jeu pri­mes­au­tier, très plai­sant; Jean Ger­rard et Jean de Eaere jou­ent con­scien­cieu­se­ment. »

Filma:

« Du­vi­vier a tiré ce film de la pièce de Ba­tail­le. Chaque nou­vel­le pro­duc­ti­on de ce réali­sa­teur, mar­que un pas en avant. Dùvi­vier af­fir­me sa maîtrise chaque jour da­van­ta­ge. Il a le don de la me­sure; aucun détail ne vient en­tra­ver le mou­ve­ment scénique, et ceci est très ap­pa­rant, no­tam­ment dans la scène du bal. Et les extéri­eurs comme ils sont bien choi­sis! Que de féérie dans ces scènes algéri­en­nes, les che­vauchées des spa­his, la fête! Quel­le pro­fu­si­on de lumière, de mou­ve­ment, de vie! Servi par une in­ter­préta­ti­on de choix et par des opéra­teurs qui ont la tech­ni­que et qui con­nais­sent leur « pa­tron » par cœur, Dùvi­vier a réussi une très gran­de et très belle chose. Maria Ja­co­bi­ni, dans le rôle d’Irène, est ad­mi­ra­ble; Jean Dax, élégant; Hélène Hal­lier, Jean Ger­rard et Franz Le­de­rer sont tous ex­cel­lents. »

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Ge­luk­ki­ge Film-Hu­we­lij­ken

Ook in Hol­ly­wood treft men, hoe on­ge­loof­lijk en on­waar­schijn­lijk het ook moge klin­ken, een groot aan­tal ge­luk­ki­ge hu­we­lij­ken aan, on­danks de elk oog­en­blik op­dui­ken­de sen­sa­ti­o­neele schei-dings­be­rich­ten.

In deze film­stad is men na­me­lijk na den ar­beid ge­dwon­gen zich bij eeni­ge mo­ge­lij­ke ont­span­ning, de « hui­se­lijk­heid », te be­pa­len. Er zijn geen nacht­clubs, er vin­den geen zes­daag­sche ren­nen plaats, en bui­ten de bios­co­pen en the­a­ters zijn er geen an­de­re « amu­se­men­ten ». Men blijft thuis in de smaak­vol­le en rijk-in­ge­rich­te wo­nin­gen of... men legt be­zoe­ken af bij vrien­den en col­le­ga's.

Dat er zoo­veel over echt­schei­din­gen in Hol­ly­wood wordt ge­fluis­terd, be­wijst met dat de be­tref­fen­de per­soon uit re­cla­me-oog­punt zoo ge­wich­tig zijn, maar Hol­ly­wood ves­tigt zelf de op­merk­zaam­heid van de film­we­reld op zich. Ieder geval wordt enorm op­ge­bla­zen en uit­ge­spon­nen, waar­bij het on­be­lang­rij­ke van der­ge­lij­ke ge­beur­te­nis­sen, ten­min­ste voor de « film »-lief­heb­bers niets ter zake doet. Men wil nu een­maal van schei­din­gen spre­ken en de ge­luk­ki­ge hu­we­lij­ken zijn niet in­te­res­sant. Wan­neer meiv wat meer van de be­ken­de ac­teurs en ac­tri­ces af­weet, dan zal men ver­baasd staan, hoe velen in de beste har­mo­nie met el­kaar leven. Hu­we­lij­ken als van Dou­g­las Fair­banks en Mary Pick­ford, van de Mc Cor­micks — me­vrouw Mc Cor­mick is Col­leen Moore —, van de Mil­ton Sills’ — me­vrouw Mil­ton Sills is Doris Ken­yon — kun­nen als voor­beeld van een voor­tref­fe­lijk hu­we­lijk wor­den be­schouwd. Ge­or­ge Ban­cro­ft deelt reeds meer­de­re jaren in trou­we ka­me­raad­schap lief en leed met zijn vrouw Es­ther Ral­s­ton. Zij gaan nu, na een twee­ja­rig hu­we­lijks­le­ven, nog met el­kaar om als in de wit­te­broods­we­ken. Ha­rold Lloyd en « me­vrouw Ka­rel­tje » heb­ben een be­nij­dens­waar­dig ge­luk­kig fa­mi­lie­le­ven. — Clive Brook heeft twee aar­di­ge kin­de­ren. Ook Neil Ha­mil­ton’s en Ri­chard Aden’s hu­we­lij­ken (bei­den zijn kort ge­le­den in het tra­di­ti­o­neele boot­je ge­stapt) be­hoo­ren tot de meest har­mo­ni­sche. Eve­lyn Brent, die even­eens kort ge­le­den ge­huwd is, zweert bij het hu­we­lijk!

Een klein be­grip van het voor­beel­di­ge fa­mi­lie­le­ven der Hol­ly­wood­sche be­roemd­he­den, kan men krij­gen door op een Zon­dag­mid­dag eens een kijk­je te gaan nemen op het strand van Ma­li­bu Beach. Daar zoe­ken de film­men­schen ont­span­ning na den ver­moei­en­den ar­beid in de stu­dio’s. Daar zijn zij ge­heel vrij, laten zich bruin bran­den en door het water af­koe­len. Zij stoei­en er met hun kin­de­ren, die zich al heel wei­nig be­kom­me­ren om de po­pu­la­ri­teit van hun ou­ders.

Na­tuur­lijk: tooneel­spe­lers en film­ar­tis-ten zijn niet tem­pe­ra­ment­loos! Zij twis­ten wel eens met el­kaar, maar zijn even spoe­dig weer ver­zoend. Hol­ly­wood wordt door nieuw­tjes­ja­gen­de re­por­ters over­stroomd. Alle klei­ne ge­beur­te­nis­sen wor­den door de We­reld ge­ba­zuind, ter­wijl in wer­ke­lijk­heid een klei­ne hu­we­lijkson­eenig­heid mis­schien al lang is bij­ge­legd, moe­ten de be­tref­fen­de echt­ge­noo­t­en tot hun ver­ba­zing in een cou­ran­ten­be­richt lezen, dat zij zich onder sen­sa­ti­o­neele om­stan­dig­he­den zul­len laten schei­den.

Zoo gaat het in Hol­ly­wood. Doch de wer­ke­lijk­heid is ech­ter lang niet zoo erg als het soms in de oogen van de bui­ten­we­reld schijnt.


DANS LE MONDE DU CI­NE­MA

La société « Osso » à Bruxel­les.

Mî. Alp­hon­se Osso est venu à Bruxel­les avec M. Keith Tre­vor, en vue de la con­sti­tu­ti­on de la Société belge des Films Osso. Le siège pro­vi­soi­re de cette Société est ac­tu­el­le­ment à la Scala, place de Brou­ckè-re, à Bruxel­les. E,n effet, la Société d Ex­ploita­ti­on Cinéma­to­grap­hi­que a confié la di­rec­ti­on générale de cet éta­blis­se­ment à la Société des Films Osso.

Le con­tin­gen­te­ment en Hong­rie.

On an­non­ce de Bud­a­pest que les mi­ni­stre de l’Intérieur sig­ne­ra pro­chai­ne­ment une or­don­nan­ce d’après la­quel­le tous les di­rec­teurs de cinémas seront obligés de pro­je­t­er 25 pour cent de films na­ti­o­naux au cours de chaque pro­gram­me.

On ig­no­re où ces di­rec­teurs pren­dront leurs films na­ti­o­naux.

O Prude Ana­sta­sie!

Dans un film qu' elle tour­nait à Lond­res et qui était tourné dans les trois ver­si­ons, française, an­glai­se et al­le­man­de, la blon­de ar­tis­te avait à tour­ner une scène en che­mi­se.

La che­mi­se, four­nie par le met­teur en scène, n’ayant pas eu l’hon­neur de lui plai­re parce que trop lon­gue et pas en soie, la blon­de D... fit venir de Paris, par avion, une arachnéenne che­mi­se de soie, aussi cour­te que pos­si­ble.

Quand la ver­si­on française fut ter­minée, la frau­lein qui tour­nait la ver­si­on al­le­man­de et la girl qui tour­nait la ver­si­on an­glai­se, sup­plièrement M6”0 D... de prêter la che­mi­se, ce qu’elle fit de bonne grâce.

Mais, à la pro­jec­ti­on, si la scène fut jugée par­fai­te à Paris et... pas trop ha­billée à Ber­lin, à Lond­res la cen­su­re an­glai­se se fâcha et coupa la scène.

Pola Negri a de­mandé le di­vor­ce.

An­noncé à grand fracas, voici quel­ques mois, le di­vor­ce de l ar­tis­te de cinéma Pola Negri avec le prin­ce Ge­or­gien Serge Md­vi­a­ni, pour­rait bien être chose faite sous peu. Pola Negri s’est, en effet, ren­due au Pa­lais de Jus­ti­ce de Paris, où elle a déposé sa de­man­de of­fi­ciel­le. Bien que la jeune femme se soit montrée fort discrète sur les mo­bi­les de sa déci­si­on, on disait que l’em­pres­se­ment du prin­ce Mld­vi­a­ni auprès de la can­ta­tri­ce miss Mary Mac Cor­mick, qui fit dernièrement un séjour en Fran­ce, n’en se­rait pas étran­ger.

A ce sujet on ra­con­te en effet ce qui suit:

Lorsque le train trans­at­lan­ti­que démarra de la gare Saint-La­za­re, em­por­tant vers Cher­bourg, parmi les pas­sa­gers du « Bre­men », la belle Miary Mac Cor­mic, cer­tain re­por­ter avisé ne man­qua pas de re­mar­quer que le prin­ce Md­vi­a­ni, époux de Pola Negri, ac­com­pag­nait la po­pu­lai­re chan­teu­se améri­cai­ne.

A Cher­bourg, au mo­ment de la sépa­ra­ti­on, le re­por­ter se trou­vait comme par ha­sard tout près du cou­ple et en­ten­dit l'homme mur­mu­rer quel­que chose comme: <( Par­tir, c’est mou­rir un peu ».

Et lorsque la belle Mary eut dis­pa­ru, notre homme n’hésita plus à in­ter­vie­wer le prin­ce.

À la vérité, c’était le mo­ment ou ja­mais de sa­voir si, ainsi que le bruit en court de­puis plu­si­eurs mois, la voy­a­geu­se de­viendrait ou non prin­ces­se Md­vi­a­ni, aus­sitôt le di­vor­ce pro­noncé entre le prin­ce et Pola Negri.

— Il n’y a, entre Mary et moi, que des rap­ports de ca­ma­ra­de­rie, déclara le prin­ce. Je ferai d’ail­leurs à se sujet une décla­ra­ti­on à la pres­se, dès mon re­tour à Paris.

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UIT FILM­LAND

4e Ju­lien Du­vi­vier, de insce­neer­der van « Maman Co­li­bri », is be­gon­nen aan zijn nieu­wen film « David G older ».

* De Opera van Malta, die ge­bouwd werd in 1731 en die se­dert­dien geen en­ke­le ver­an­de­ring had on­der­gaan, gaat gansch van be­stem­ming ver­an­de­ren. Men zal er geen Wag­ner, Ber­lioz of Rims­ky -Korsak­ov meer hoo­ren, doch nog slechts zang- en spreek­films...

4e Het schijnt dat Uni­ted Ar­tists een pas ge­draai­de film « The bat Whis­pers » zou op­ge­no­men heb­ben op film van ge­wo­ne breed­te en op film van 65 mm., de z.g. « wide film ». De op­na­me op bree­de film zou ge­heim ge­beurd zijn, zoodat dit de eer­ste film zou zijn ge­heel met film van het nieu­we for­maat op­ge­no­men.

4< «Uni­ted Ar­tists» zal te Lon­den een film­schouw­burg be­zit­ten. In­der­daad, Jo­seph Ml. Schen­ck’s be­spre­kin­gen met de Bucha­nan Es­ta­tes Ltd leid­den tot de over­een­komst waar­door U. A. de nieu­we bi­os-koop, welke in Lei­ces­ter Squa­re in op­bouw is, in huur neemt om uit­slui­tend de pro­duc­ties dezer maat­schap­pij te ver­too-nen. De reeks zou wor­den in­ge­zet met Chap­lin’s « City Lights ».

4e De Ver­ee­ni­ging der Zwit­ser­sche bi­os-koop­be­stuur­ders heeft be­slist, voort­aan alle En­gel­sche dia­lo­gen te ver­bie­den.

Al­leen dia­lo­gen in Fransch, Düitsch en Ita­li­aansch zul­len toe­ge­la­ten wor­den.

4< Roger Lion be­ij­vert zich aan de voor­be­rei­ding van den nieu­wen spreek- en klank­film «La Reine des Quatz’Arts».

4e Adel­qui Mil­lar is be­gon­nen aan de ver­we­zen­lij­king van den Spaan­schen ge­spro­ken film « Lie­ve­ling », waar­van Ro­ber­to Ray de man­ne­lij­ke hoofd­ver­tol­ker is. Leo Mitt­ler zal er een Duit­sche ver­sie van maken.

4< E. A. Du­pont is van plan een groote spreek­film (in het Duitsch, En­gelsch en Fransch) te ver­we­zen­lij­ken, waar­van Dan­ton de hoofd­fi­guur zou uit­ma­ken. Reeds vroe­ger ge­bruik­te Buchowetz­ki deze fi­guur der Fran­sche Re­vo­lu­tie ejr_ welke geïncar­neerd werd door nie­mand min­der dan Emil Jan­nings.

4e G. W. Pabst, bij­ge­staan door Ge­or­ges Root is te Ber­lijn be­gon­nen aan de klan­k­op­na­men van zijn eer­sten film, die in­te­graal in het Fransch wordt ver­we­zen­lijkt: « L’Opéra des qua­tre Gous », voor de War­ner Bros van Ame­ri­ka. Als hoofd­ver­tol­kers: Al­bert Fréjean, Gas­ton Mo-dot, Flo­rel­le, Jac­ques Hen­ley, Mevr. de

Matha.

4< Mten spreekt ervan dat Jac­ques de Ba­ron­cel­li zin­nens is een her­ver­fil­ming te maken, in klank en spreek­film, van « De Droom » van Zola, een zij­ner heer­lijk­ste schep­pin­gen.

4e « Te­le­vi­sie », een zeer ak­tu­eel on­der­werp wordt op­ge­no­men in het Fransch door Di­mi­tri Buchowetz­ki (met Gas­ton Jac­quet, Ma­de­lei­ne Guit­ty, Fanny Clair, Lu­cien Galas) in het Duitsch door M. Gib­bon.

:4e Da­nie­le Pa­rola, de diva van « aan­bid u, maar Waar­om? » is ook de hoofd­ver­tolk­ster van « Op een Ver­la­ten ei­land ».

4< Henri Fes­court beëin­digt de film « La Mai­son de la Flèche », groote spreek­film met Leon Ma­thot in de hoofd­rol.

4e Te Dus­sel­dorp zal van 6 tot 8 De­cem­ber een door de plaat­se­lij­ke af­deel­ing van het « Duit­sche In­sti­tuut voor we­ten­schap­pe­lij­ke Pa­e­da­go­giek » ge­or­ga­ni­seerd Con­gres wor­den ge­hou­den, waar­op de be­tee-ke­nis van fo­to­gra­fie, film, radio en gra-mo­foon in dienst van het on­der­wijs zal wor­den be­spro­ken.


IVAN MOf­JOU­KI­NE

Lil Dago­ver BeH-y Amman ig/ji­i­aii

DE WITTE DUI­VEL

HADJI MOU­RAD de reus uit het ge­berg­te

EN ZANG­F1LM

AVIS

Par suite de cir­con­stan­ces imprévues, il a été im­pos­si­ble d’éditer la bro­chu­re-pros­pec­tus de la sai­son 1930-31.

Nous nous ex­cusons auprès de notre Pu­blic. Tou­te­fois, les pro­chains pro­gram­mes seront con­sa­crés, eh ma­jeu­re par­tie, aux gran­des pro­duc­ti­ons que nous avons sélec­ti­onnées pour la sai­son 1930-31.

La Di­rec­ti­on de Ciné Zool­ogie.

BE­RICHT

Van­we­ge on­voor­zie­ne om­stan­dig­he­den is het pros­pec­tus voor het sei­zoen 1930-31 niet kun­nen ver­schij­nen.

Wij ver­ont­schul­di­gen ons hier­voor bij ons Ge­acht Pu­bliek-

Noch­tans zul­len de eerst­ko­men­de spel­wij­zers groo­ten­deels ge­wijd wor­den aan een over­zicht der groote films, Welke wij tij­dens dit sei­zoen zul­len aan­bie­den.

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