Programme from 6 to 12 Oct. 1933



Booklet

Bron: FelixArchief nr. 1968#938

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AU BON COIN

Ven­dredi

Vri­jdag

Samedi

Za­ter­dag

Pro­gramme 2 Speel­wi­jzer

7 Di­manche o Lundi A Jeudi 1 o oc­to­bre

Zondag

Maandna

Don­derdag

Oc­to­ber

1033

1. Eclair-Jour­nal 1. Eclair-Nieuws­berichten

Ac­tu­alités sonores Ak­tu­aliteiten op den klank­film

2. L’Océan n’a plus de 2. De Oceaan heeft geen

secrèt geheimen meer

Doc­u­men­taire Doc­u­ment­film

Dis­ques A H LOF1 H O N El - Gram­mo­foon­platen

Ja­mais je ne pour­rais vivre loin de toi. (Valse) Après tout, faire un peu, les fous (Fox-trot) par LIL­IAN HAR­VEY du film l'IMPÉRA­TRICE et MOI. No B 17171 Fidèle (Tano) Prenez-Garde Messieurs (Paso-doble) du film L'ETOILE de VA­LEN­CIA No 85681

3. Moi et l’Impéra­trice 3. IK... en de Keiz­erin

Pro­duc­tion Pro­dukt ie

ERICH POM­MER Réal­i­sa­tion de Ver­wezen­lijk­ing van

FRIEDRICH HOL­LAN­DER

DRAMA­TIS PER­SONAE

Juli­ette . . . LIL­IAN HAR­VEY

Le Duc de Campo Formio . . . CH ROYER

Di­dier

I Tmpérat ice. . . .

Ara­bella

Of­fen­baeh

Le Médecin Major . . . Carette

Mar­i­anne

Eti­enne

Les deux In­ven­teurs . .

KER­CK­HOVE’S HOE­DEN

DE BESTE DAMBRÜGGE8­TRAAT, 10


MOI ET L’IMPÉRA­TRICE

Au mi­lieu du sec­ond Em­pire, à la belle époque des crino­lines, une jar­retière et une valse fail­lirent être la cause d'un scan­dale épou­vantable à la Cour.

A cette époque, où grâce au « vélocipède », on pou­vait mener sur les routes un train d’enfer à peu près de 12 km. à l’heure et où les per­fec­tion­nements de la téléphonie élec­trique per­me­t­taient d’en­ten­dre la voix d’un cor­re­spon­dant, à plus de 100 mètres de dis­tance, le Duc de Gampo était un des gen­til­hommes les plus en vues à la Cour, aussi bien par sa for­tune que par son orig­i­nalité. Voici l’aven­ture que nous conte la chronique, et dont il fut à la fois la vic­time et le héros.

Un jour, à là chasse, le duc aperçoit sur le chemin, une ravis­sante jar­retière de femme. C’était bien un objet à cap­tiver son at­ten­tion. Il veut de­scen­dre de cheval pour la ra­masser, mais l’an­i­mal fait un écart, le désarçonne et le traîne sur un long par­cours.

Juli­ette, coif­feuse de Sa Ma­jesté l’Impéra­trice Eugénie, a vu l’ac­ci­dent, elle se précip­ite et ap­pelle à l’aide. Dteux sol­dats ac­courent et trans­portent le blessé jusqu’à la caserne proche. La jeune fille re­connaît tout à coup dans la main crispée du Duc la jar­retière qu elle avait per­due, elle veut la repren­dre, mais les sol­dats lui in­ter­dis­ent l’entrée du quartier.

Prof­i­tant d’un mo­ment d'inat­ten­tion, elle s'in­tro­duit jusque dans la cham­bre du blessé, qui, dans sa demi in­con­science, la prend pour Mar­i­anne, son pre­mier amour, et lui de­mande de chanter. Juli­ette, émue, se prête à cette comédie et chante une valse que son fiancé Di­dier, élève d’O'f-fen­bach, a com­posée pour elle, puis elle

se sauve en em­por­tant sa jar­retière. Déjouant tous les di­ag­nos­tics, le Duc se rétablit rapi­de­ment et ap­prend le sub­terfuge dont il a été vic­time. Il n’a plus qu’une idée, retrou­ver celle dont la voix l’a charmé, ainsi que la musique dont quelques vagues pas­sages lui sont restés en tête, mais l’un et l’autre de­meurent in­trou­vables.

Or, voici qu'en al­lant ren­dre ses de­voirs à l’Em­pereur à Saint-Cloud, le duc en­tend une voix, qui chante la valse en­ten­due naguère. Il se précip­ite et trouve l’Impéra­trice fre­donnant les dernières mesures de l’air qui l’obsède, pen­dant que Juli­ette la coiffe.

Il en déduit sans hési­ta­tion que sa mystérieuse in­con­nue n’était autre que 11m-péra­trice en per­sonne. Juli­ette, témoin de sa méprise, ne sait com­ment lui faire com­pren­dre la vérité. L’Impéra­trice est of­fusquée des re­gards du DUc, ainsi que des al­lu­sions qu’il fait, aux­quelles, bien en­tendu, elle ne com­prend pas un traître mot.

A la Cour l’his­toire de Campo Formio est con­nue, car les cour­tisans n ont pas été sans re­mar­quer l'at­ti­tude du DUc auprès de l’Impéra­trice. Oti com­mence à jaser, le scan­dale est près d’éclater.

Juli­ette, pour sauver la sit­u­a­tion, va trou­ver le DUc chez lui et lui ex­plique tout. 11 com­prend enfin son er­reur, mais le charme de la jeune fille lui fait vite ou­blier ce rêve irréal­is­able; de son côté Juli­ette, désil­lu­sionnée par son fiancé qui ne pense qu’à sa musique, ne résiste pas à l’at­trait du beau DUc.

Ainsi se ter­mina le plus heureuse­ment du monde une aven­ture fer­tile en péripéties, née d'une jar­retière et d’une valse.

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Les Récep­teurs

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IK.... EN DE KEIZ­ERIN

In het mid­den van het tweede keiz­er­rijk, in den schoo­nen tijd der crino­li­nen, waren een kouse­band en een wals bijna oorzaak van een groot schan­daal aan het Hof.

In dien tijd toen men, dank zij het ri­jwiel, reeds de fan­tastieke snel­heid van 12

km. per uur kon bereiken en de elec­trieke tele­foon toeliet ie­mands stem op hon­derd meter af­s­tand te hooren, was de her­tog de Campo Formio een der best geziene edel­lieden van het Hof, zoowel wat be­treft zijne for­tuin als zijne orig­i­naliteit.

Ziehier het avon­tuur waar­van hij zoowel het slachtof­fer als de held was:

Op jacht zi­jnde vindt de her­tog een schoone vrouwenk­ousen­band op den weg. Hij wil af­sti­j­gen om hem op te rapen maar het paard schrikt, werpt hem uit den zadel en sleurt hem een groot eind weegs mede.

Juli­ette, haarkap­ster harer Ma­jesteit Keiz­erin Eu­ge­nie, heeft het ongeval be­merkt en roept om hulp. Twee sol­daten komen toegeloopen en dra­gen den gek­wet­ste naar de kaz­erne. Het meisje herkent een­sklaps in de toegek­lemde hand des her­togs den door haar ver­loren kousen­band; zij wil hem terugne­men maar de de sol­daten weigeren haar den toe­gang tot de kaz­erne.

Van een oogen­blik ono­plet­tend­heid ge­bruik mak­end, gelukt zij erin tot bij den gek­wet­ste te komen welke, half on­be­wust, haar aanziet voor Mar­i­anne, zijne eerste liefde, en haar vraagt te zin­gen. On­troerd, leent Juli­ette zich tot deze kome­die en zingt een wals welke haar ver­loofde Di­dier, leer­ling van Of­fen­bach, voor haar getoondicht heeft; dan vlucht zij weg en

neemt haar kousen­band mede. Alle di­ag­nos­tieken ten spijt, her­stelt de Her­tog spoedig. Hij heeft slechts eene gedachte, haar terugvin­den wier stem hem beko­ord heeft zoowel als de muziek, waar­van eenige vage dee­len hem bi­jge­bleven zijn: maar een en ander zijn on­vin­d­baar.

Op weg om zijne plichten te vervullen bij de Keizer te Saint-Cloud, hoort de her­tog eene stem welke de vroeger geho­orde wals zingt. Hij snelt toe en vindt de Keiz­erin welke de laat­ste tonen neuriet, ter­wijl Juli­ette haar haar­tooi schikt.

Zon­der aarze­len denkt hij dat zijne geheimzin­nige on­bek­ende nie­mand an­ders is dan de Keiz­erin zelve. Juli­ette, ge­tu­ige zi­jner ver­giss­ing, weet niet hoe hem de waarheid bek­end te maken. De Keiz­erin is geërgerd door de blikken en zin­spelin­gen van den her­tog, waar­van zij natu­urlijk niet het min­ste be­gri­jpt.

A.​an het Hof is het voor­val Campo Formio bek­end gewor­den, want de hov­elin­gen hebben de han­del­swi­jze van den her­tog tegen­over de Keiz­erin be­merkt. Men be­gint te babbe­len, het schan­daal is op het punt uit te breken.

Cm den toe­s­tand te red­den gaat Juli­ette den her­tog thuis op­zoeken om de zaak uit te leggen. Hij be­gri­jpt ein­delijk zijne ver­giss­ing, maar de be­val­ligheid van het jonge meisje doet hem snel zi­j­nen onmo-gelijken droom ver­geten. Van haren kant weer­staat Juli­ette niet aan den schoo­nen her­tog, ont­goocheld als zij is door haar ver­loofde die enkel aan muziek denkt.

Zoo eindigt heel gelukkig een avon­tuur, rijk aan wed­er­warighe­den, ontstaan door een kousen­band en een wals.


Au Temps des Crino­lines

Le Sec­ond Em­pire fut une époque de gaîté et d’amu-ge­ments dont Paris et la Cour impériale étaient les cen­tres prin­ci­paux.

Lorsque la Comtesse Eugénie de Mb­n­tijo devint l’Impéra­trice Eugénie, elle trouva une cour tout à fait à son goût. Les spec­ta­cles et les bals se succédaient 1 un à 1 autre. La gaîté ray­on­nait de partout. Les com­pos­i­teurs et les poètes étaient fêtés. Ce sont ces quelques années bril­lantes que nous fait re­vivre «Moi et l’Impéra­trice», le film qui passe sur notre écran. In­terprétée par Lil­ian Har­vey et Charles Boyer, cette su­per­pro­duc­tion Erich Pom­mer de la Ufa est bercée par une musique adaptée d’airs d’Gf­fen­bach, d’Au­dran et Le-cocq. Une déli­cieuse valse très Sec­ond Em­pire et com­posée par Fr. Holländer, complète agréable­ment « Moi et l’Impéra­trice » à qui tout sem­ble présager un succès égal à celui du «Congrès» d'heureuse mémoire.

Les autres in­terprètes sont: Pierre

Brasseur, Danièle Brégis, Renée Devil- j der, Pierre Stephen, J. Falken­steyn, Ca- j rette, Michel Duvau, Hilda Dupiessy, Fer- j nand Frey, MMi. Léardy et Verly. |

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Un film d’aven­tures dans un paysage de rêve HH au Corso


LA SE­MAINE PROCHAINE

TROIS HOMMES EN HABIT

UNE RAVIS­SANTE COME­DIE MU­SICA LE AVEC LE CELE­BRE TITO' SCHIPA.

Les unes après les autres, toutes les grandes vedettes du chant vi­en­nent au cinéma. Ce fut d’abord André Baugé dans « La Route est belle » et « La Ronde des Heures »; en­suite, ce fut le tour de Mu­ra­tore, dans « Le Chanteur inl'heure actuelle, comme le plus grand chanteur du monde. C’est un véri­ta­ble en­chante­ment que d'en­ten­dre sa voix ad­mirable détailler avec une rare vir­tu­osité de ten­dres et fraîches mélodies, pleine d’un charme in­fini. Oil est comme envoûté par

connu»; Richard Tauber, Kiepura, d autres en­core ont suivi. Voici, au­jourd’hui, que la toile blanche va nous dévoiler la per­son­nalité du fameux Tito Schipa, qui n'est pas seule­ment le plus célèbre ténor ital­ien, mais qu’on peut con­sidérer, à

cette voix puis­sante, au tim­bre clair et pur, qui fait vi­brer jusqu’à nos sen­ti­ments les plus se­crets.

Le film qui a servi de prétexte aux débuts à l’écran de Tito Schipa est d’ailleurs tout à fait char­mant, d’une sen­ti­men­talité

DE VOL­GENDE WEEK

chanteur du monde, et sa voix ad­mirable. Avec cette comédie mu­si­cale, il ne pou­vait y avoir de sujet meilleur pour servir le tal­ent d'un aussi célèbre chanteur. Les nom­breux am­a­teurs du « bel canto », qui se presseront pour l’en­ten­dre, seront charcer­taine­ment un gros, tres gros suc­ces c’est un film qui doit plaire à tous les pu blies.

prenante qu’ac­centue en­core, par con-l traste, des scènes d’une fan­taisie étour­dis-1, santé et d'une folle gaieté. |

L’anec­dote sem­ble em­pruntée à un chapitre nou­veau sur l’éter­nelle vie de bohème. Elle est sim­ple, amu­sante, pleine d’hu­mour. J

La musique est suave et cer­taines mélodies au­ront tôt fait de conquérir le pub­lic. Enfin, il y a Tito Schipa, le plus grand

més par la vir­tu­osité qu’il déploie dans cha­cune des scènes où sa voix chaude et nuancée crée un en­chante­ment in­fini.

Aux côtés de Tito Schipa, il y a le pres­tigieux comédien Pasquali qui prodigue les trésors de son étour­dis­sante fan­taisie dans le rcle de Gilbert; il y a égale­ment l'hu­moris­tique Jean Gobet et la char­mante Si­mone Vaudry.

«Trois hommes en habit» re­cueillera


On­ver­saag­den f

Er werd te Lon­den een eige­naardige vereenig­ing ges­ticht: « The League of Death ».

Het ware echter een groote ver­giss­ing te gelooven dat hare leden, al hebben ze zich vereenigt onder het teeken des doods, het op een an­der­mans leven gemunt hebben. De leden dezer vereenig­ing zijn vijf jonge ac­teurs, welke op zich genomen hebben al wat ze on­derne­men te volvo­eren of te ster­ven. In­der­daad, het zijn vijf der beroemd­ste dubbel­gangers die de fa­belachtig­ste rollen, waar­voor alle an­dere ac­teurs terugdeinzen, aan­nemen.

MET' ZIJN VI­JVEN!

De vijf leden der » League of Dteath » zijn bereid deel te nemen aan botsin­gen per trein of per vlieg­machien, duiv­elachtige au­toren­nen, spron­gen in het water, op den rug van een op hol ger­aakt paard of buf­fel, in één woord tot het wagen van hun leven op gelijk welke manier als... er maar ge­noeg voer be­taald wordt.

Het is niet zon­der be­lang deze vereenig­ing, eenig in haa, r aard, van dicht­bij te on­der­zoeken.

Dte Voorzit­ter, M. Red Ka­vanagh, is alom gek­end onder den naam « De roode duivel ». Hij is trotsch op dien bi­j­naam, welke hij in groote let­ters op de deur van zijn bu­reel heeft staan. Red Ka­vanagh’s spe­cialiteit is de wed­strijd « diet track », welke een bi­jeen­bren­gen is van zeer gevaar­lijke ko­ersen. In Bres­lau, te 1930, sloeg hij een record dat tot nog­toe door nie­mand werd overtrof­fen. Melden wij hier dat hij de eenige overbli­jvende is van een groep van zes leden, die de eene na de an­dere den dood von­den in het vol­bren­gen van de gevaar­lijk­ste waaghalz­er­i­jen. Ml. Ka­vanagh heeft zelf al menig­maal den dood van nabij aan­schouwd; zijn lichaam heeft er dan ook menig spoor van be­houden. Twee jaar gele­den nam hij deel aan een zeer gevaar­lijke vlieg­tocht, in gezelschap van den beroem­den Dtiit-schen vlieger Otto Miller. Het vlieg­machien kan­telde en kwam naar bene­den, doch wijl Miller er zijn leven bij in­schoot kwam Ka­vanagh er met vijf ge­bro­ken ribben van af. Voor het oogen­blik is hij een « truc » aan t repeteeren welke nog nooit zijn voor­gaande had, namelijk het af­sprin­gen van een in duiv­elsche snel­heid ri­j­dende auto op een laag vliegend vlieg­machien, en, ter­wijl het laat­ste zich in de hoogte begeefd zal hij er on­gelooflijke gevaar­lijke ac­ro­batieën op uitvo­eren.

Die, stout­moedigheid der vijf.

D'e an­dere leden der vereenig­ing moeten voor M. Ka­vanagh niet on­der­doen. Een van hen, Ml. Wing­dam, bi­j­ge­naamd Wing, heeft zijn roem verkre­gen in de stu­dio’s te Hol­ly­wood, waar hij de bi­j­zon­der­ste rol dou­bleerde van de fil­men «De Vleugels» en «Het laat­ste Es­cadron».

Het derde lid, M. Roy Sher­man, heeft zich gespe­cialiseerd voor de auto-ongeval-ljn. Hij houdt van botsin­gen van allen aard en laat zich, zoo het noodig is, aan een on­be­waak­ten over­gang ver­plet­teren.

Num­mer vier van het gezelschap, M. Long Longinetto, houdt van alle «vallen ». Hij wierp zich menig­maal uit een vlieg­machien of... van een tafel. Hij be­weert dat voor hem het tweede menig­maal gevaar­lijker was dan het eerste.

Ein­delijk, het vi­jfde lid is M. Pep­per Fletcher, vroeger danser van beroep, welke nu een as gewor­den is van de ren­baan.

« The League of Dteath » is een der mod­ern­ste vereenigin­gen van dezen tijd waar de dorst naar avon­tuur en helden­moed won­der­baar gepaard gaat met den za­k­engeest.

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JL ’eau qui

Cor­rige les écarts de régime

M. FRITZ LANG

pour la première lois va tourner à l'ans

foi

Dans quelques se­maines, M. Fritz Lang com­mencera à Joinville la réal­i­sa­tion de son pre­mier film français «Lil­iom». Ml. Erich Pom­mer sera le di­recteur artis­tique de cette pro­duc­tion.

L'autre jour, ici même, M. Erich Pom­mer avait exposé ce qui était alors un pro­jet... C’est au­jourd’hui une cer­ti­tude.

Grand, mince, mais musclé — glacial même — ML Fritz Lang, de prime abord, étonne. Com­ment, c’est l’au­teur de ce poème vi­suel « Les Niebelun­gen », cet homme à la fig­ure forte­ment sculptée, au re­gard dur, auquel le mon­o­cle donne plus de dureté en­core? Mais qu’il cause — assez avare de paroles pour­tant — et douce­ment, im­per­cep­ti­ble­ment, il vous charme.

Par son as­pect, Mi. Fritz Lang au­rait pu jouer les pan­doures; mais il a préféré ani­mer pour notre joie et notre émo­tion des per­son­nages de légen­des, des aven­turi­ers, ou tout sim­ple­ment des héros de faits divers, aux­quels son sens du cinéma donne un sai­sis­sant re­lief d’hu­manité sincère.

« LES TROIS LU­MIERES».

M!. Fritz Lang ne veut rien déceler de ce qu’il fera... Il tourn­era à Paris... On verra... Ce début — détail révéla­teur d’une sen­si­bilité aiguë — in­timide ce . maître de l’écran qui débuta en dotant; l’Alle­magne d'une oeu­vre pres­tigieuse qui! fit école: « Les trois lumières ».

Puis ce furent le « Doc­teur Mabuse », les «Niebelun­gen», pre­mier film alle­mand qui passa sur les Boule­vards après la guerre; « Me­trop­o­lis », où Brigitte Helm se révéla; les « Es­pi­ons », « Une femme dans la lune », « Le Mau­dit » et enfin «Le Tes­ta­ment du doc­teur M'abuse».

Quand on parle à ML Fritz Lang de la ver­sion française de ce film, il vous re­garde avec ironie.

— Je ne l’ai ja­mais vue... Que voulez-vous, on ne me mon­tre pas tout... D’ailleurs le mon­tage n’a pas été fait par moi...

Eh! Eh! Voilà qui ex­plique bien des choses.

— Le mon­tage, pour­suit M;. Fritz Lang, c'est tout aussi im­por­tant et... peut-être plus im­por­tant que la mise en scène...

ML Erich Pom­mer, qui survient à cet in­stant, chargé de dossiers, des ma­que­ttes de cos­tumes sous un bras, un grand rouleau de pa­pier sous l’autre, ap­prouve cette af­fir­ma­tion. Entre ces deux hommes — égale­ment sûr de leur métier — une vieille amitié s’est af­firmée. M. Fritz Lang n’a-t-il pas débuté au temps du muet sous les aus­pices de ML Erich Pom­mer, col­lab­o­ra­tion qui dura jusqu’à «Me­trop­o­lis»? Le hasard de la vie de­vait les rap­procher.

Mais, pour ML Fritz Lang, l’heure de tra­vailler est venue... Sur la grande table, un secrétaire a déroulé un plan. Ml. Fritz Lang et Mi. Erich Pom­mer, penchés sur jces im­ages, tra­vail­lent en une cor­diale sym­pa­thie.


Le Procès de Mary Dugan, Big House, Tu­multes, I. F. 1 né répond plus, Moi et l’Impéra­trice, cinq films d es­prit divers dont M. Charles Boyer a in­com­pa­ra­ble­ment campé le per­son­nage... A ses cinq créations répon­dent d’autres créations à la scène: « Mélo », par ex­em­ple, ou « Le Bon­heur ».

Aux mêmes heures, les mêmes soirs, M1. Charles Boyer est ap­plaudi à la scène et sur l’écran avec « Le Bon­heur » et « Moi

et 1 impéra­trice », sans compter les salles où passe « I. F. 1 ne répond plus ».

- L’ac­teur de cinéma est mul­ti­ple, l’ac­teur de théâtre est un, nous di­s­ait un jour M. Charles Boyer.

Mais ne red­outez pas une in­ter­view où deux messieurs gravent échangent comme balles de ten­nis ques­tions et réponses, l'avan­tage du « set » de­meu­rant au plus hardi.

M1. Charles Boyer est un ac­teur — seul

De la scène à l’écran

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Le Globe

est une bois­son rafraîchissante d’une pureté et d’une fi­nesse in­com­pa­ra­bles.

Son goût ex­quis, son par­fum suave et sa déli­cieuse fraîcheur, lui ont valu

son

surnom —

L'AME DU CIT­RON

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pour lui compte le résul­tat de l’ef­fort et s’il ne veut point le for­muler, red­outant le péché d’orgueil, il vous di­rait volon­tiers: « Allez au cinéma et au théâtre, et jugez moi », car Ml. Charles Boyer possède au suprême degré cette mesure de bon aloi qui chasse tout cabo­tin­isme. Il est allé tourner en A,mérique_ à un mo­ment où par­tir là-bas c’était sinon décou­vrir le Nou­veau Monde, du moins décou­vrir — chose bien plus grave pour un artiste! — ses pos­si­bilités pho­togéniques. M. Charles Boyer n’ac­corda au­cune in­ter­view, ne fit point de décla­ra­tions, mais il donna un film: « Big House »!

Pour connaître un artiste, in­utile de le pour­suivre sur le « set » ou le « plateau », afin de noter ses réac­tions, en ces min­utes de création ou la ner­vosité le dis­pute par­fois à la pa­tience. Cer­tains artistes, et M!. Charles Boyer est de ceux-là, ne man­i­fes­tent rien de leur ef­fort. Ils tra­vail­lent... Ju­geons-les, puisque tel est le mot, sur ce qu’ils nous pro­posent.

Nous nous sou­venons d’avoir ren­contré pour la première fois au stu­dio, Mi. Charles Boyer, il y a quelques mois. Il tour­nait alors un rôle de mar­quis dans un film que M. Al­berto Cav­al­canti réal­i­sait d’après « Le Cap­i­taine Fra­casse » de Théophile Gau­tier. C’était en­core le temps des mises en scène com­pliquées et le grand stu­dio de la rue Francœur était en­combré de nom­breux an­i­maux, qui de­vaient pe­u­pler la grange où les comédiens er­rants pre­naient gîte avant de paraître au château. M. Charles Boyer, en cos­tume de ville, as­sis­tait à une prise de vues et dis­cu­tait d’un détail de mise en scène avec M. Cav­al­canti. De leur en­tre­tien nous nous sou­venons d’un mot: « Dle la sim­plicité ». Mais M. Charles Boyer, in­ter­rogé, ne voulut rien répon­dre, ne se croy­ant pas

au­gure pour dévoiler ce que pour lui était l’avenir du cinéma...

Ironie des choses! C’est au Cirque d’Hiver, du­rant une répétition de la fête de l’Union des Artistes, que nous pûmes mieux connaître sen opin­ion sur son art. Il ne tour­nait pas, il ne jouait pas, il préparait sim­ple­ment — chose dif­fi­cile cepen­dant — un numéro d’ac­ro­batie à bi­cy­clette.

Le théâtre est une grande chose, et par atavisme comme par notre cul­ture, di­s­ait-il, assis sur la ban­quette, nous le con­sidérons comme un art supérieur, alors que le cinéma n’est en­core pour beau­coup qu’une suite d’im­ages. Mjais c’est aussi la vie... Tenez, le met­teur en scène qui ren­dra le grouille­ment de ce cirque en tra­vail, qui nous mon­tr­era par l’image, que vous ap­pelez gros plans, des vis­ages où nous lirons la pensée de cha­cun, celui-là sera un cinéaste...

Aucun nom ne fut prononcé, mais peut-être M. Charles Boyer songeait-il à cette tech­nique qui de­vait se dévelop­per si vite et faire du cinéma un art d’ex­pres­sion dont la puis­sance dans la sim­plicité pour­rait égaler cer­taines scènes de théâtre.

Or, l’art même de M. Charles Boyer — voyez-le dans « Le Bon­heur », sou­venez-vous de lui dans « I. F. I ne répond plus » — est la puis­sance dans la sim­plicité. Une spec­ta­trice nous di­s­ait un soir: « Charles Boyer jeue avec ses yeux ». Ft elle ajoutait cepen­dant: « Il a aussi une bien belle voix! ».

Re­mar­quez le masque de cet artiste. Vis­age os­seux, traits accusés, en­sem­ble tour­menté qu’éclaire ce re­gard magnétique qui « porte» mieux qu’aucun geste — serait-il précis. Sobre de paroles, lorsque le texte le lui per­met, et ne le lui per­me­t­trait-il pas il forcerait le texte, il parvient


à don­ner un sens aux moin­dres mots. Ml. Charles Boyer n’a point une car­rure athlétique, il sem­ble presque fluet par­fois et pour­tant, qu’il soit en scène ou qu’il paraisse à l’écran, on ne voit plus que lui, il s’im­pose et mène le jeu, son pou­voir a quelque chose de magnétique...

M. Charles Boyer est de tous nos ac­teurs celui qui garde un ro­man­tisme dans le mod­ernisme. Parce qu'il in­carna sou­vent à l’écran les mau­vais garçons, on l’au­rait presque classé dans le genre «gars du mi­lieu». Quelle er­reur! Rien de pon­cif chez ses dévoyés, mais des vi­o­lents, des pas­sionnés, des gens qui n ab­diquent pas — et au­cune grossièreté! Mi. Charles Boyer sait aussi, lorsque son rôle l’exige

L’AN­GLETERRE VA AVOIR UN IN­STI­TUT NA­TIONAL DU CIN­EMA

La création d’un In­sti­tut na­tional du cinéma en An­gleterre, qui avait recom­mandé avec in­sis­tance 1 in­sti­tu­tion d’une com­mis­sion des films éduca­teurs et «cul­turels», peut main­tenant être re­gardée comme chose faite.

Toutes les dif­fi­cultés qui s’op­po­saient à la réal­i­sa­tion de cette idée, ont été sur­montées et le mois prochain la nou­velle or­gan­i­sa­tion com­mencera à fonc­tion­ner régulière­ment.

Le but général pour­suivi par l’In­sti­tut na­tional sera d’en­cour­ager l'usage et le développe­ment du cinéma comme moyen de dis­trac­tion et d’in­struc­tion.

L’In­sti­tut n’ex­ercera au­cune cen­sure, mais il s’em­ploiera à con­tribuer à l’éléva­tion du niveau in­tel­lectuel des films fab­riqués en Grande-Bre­tagne.

11 sera une sorte de « Clear­ing house », cen­trale d’in­for­ma­tions se rap­por­tant à toutes les branches d'ac­tivité cinématographique.

— et cette ex­i­gence lui plaît — être un gen­tle­man, voire même un duc ro­man­tique qui, pour une chan­son en­ten­due, boule­verserait une cour impériale I

Nous ne pou­vons dire que Ml. Charles Boyer est ceci ou cela, il est hu­main avant tout et pour connaître ce qu’est l’art d'un ac­teur, après avoir vu « Moi et l'Impéra­trice », opérette filmée, voyez « Le Bon­heur ».

D'ans lac­cusé qui suit les dépo­si­tions et dont les yeux dis­ent le drame intérieur, vous ne re­connaîtriez pas le duc de Cam-po Formio qui, pour­suiv­ant un rêve ailé, de­vient le très doux mari d’une jolie coif­feuse de l’impéra­trice.

Jean MAR­GUET. (Jour­nal « Ex­cel­sior »)

L’In­sti­tut possédera égale­ment une grande bib­liothèque de films et il est prob­a­ble que la riche col­lec­tion ac­cu­mulée par 1’« Em­pire Mar­ket­ing Board» passera entre ses mains.

Les sommes néces­saires pour cou­vrir les dépenses de l’In­sti­tut na­tional, proviendraient, en par­tie, des re­cettes des taxes supplémen­taires sur les spec­ta­cles du di­manche des cinémas et, en par­tie, des souscrip­tions privées.

L’In­sti­tut sera complètement au­tonome, libre de tout contrôle de l’Etat, néan­moins la con­sti­tu­tion de cette com­mis­sion a été élaborée en col­lab­o­ra­tion avec le « Board of Trade » (le min­istère du Com­merce) .

Il aura à sa tête un comité de di­rec­tion com­posé de dix mem­bres, dont l’un avec fonc­tions de président.

Neuf mem­bre du comité — à part le président — seront répar­tis de la façon suiv­ante: trois nommés par l’in­dus­trie cinématographique, trois par la « Com­mis­sion des films éduca­teurs » et trois représen­teront l’intérêt du pub­lic.

VE R WER IJ A. VAN WEER EN

ANTWER­PEN

DE COLS, HEM­DEN, MANCHET­TEN

WOR­DEN BIJ

A. VAN WEEREN

OP NIEUW GEWASSŒEN

GEEN GESCHEURDE DASSEN MEER door gerev­eleerd stelsel

GEEN CHLOOR VER­ZORGD WERK MIN­I­MUM SLEET

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