un danger réel menace: ouvrant des gueules énormes, la Tnras-que, le Doudou, la Béte de l’Apocalypse, la Bète humaine, la Bête noire, la Chimère, le Sphinx, l’Hydre de Lerne et les Dragons de Viîlars...pour la vente ou la représentation de la production. Il s’occupe de la publicité, — qui sera sombre, mais constante -* et se crée des marchés...dans la demi-obscurité de la salle, jusqu’à heurter le coude de la jeune personne... Toute la salle éclata de rire. Confus, il retira son bras... Il s’aperçut . . .
heures d’obscurité, d’où impossibilité de prendre la moindre photo en plein air. Il faut donc placer la plante dans un endroit abrité et ne la photographier qu’au moyen de lumière artificielle. On sait...l’opération, est placé, obturateur fermé, dans la cabine à la distance voulue de la plante.
Un mignon petit moteur électrique qui tourne sans arrêt...le fait développer, tirer et contrôle sur l’écran la parfaite exécution de l’opération Alors, comme sous la baguette de quelque moderne Merlin, la plante vibre, se développe, s’agite des frissons de la croissance; le bouton grossit, s’entrouvre, s’épanouit; la fleur se forme en auréole au haut de la tige, tandis que les pétales s’étirent jusqu’à former une couronne . . .