Programme de 17 à 23 mars 1933



Livret de programme

Source: FelixArchief no. 1968#930

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Don­der­dag

1. Eclair­Jour­nal

Actua­li­tés sonores

2. Jalou­sie du Gang­ster

Des­sins ani­més sonores

3. Schu­bert­lie­der

Chan­tés par

RICHARD TAU­BER

1. Eclair­Nieuws­be­rich­ten

Aktua­li­tei­ten op den klank­film

2. Gang­ster s Jaloe­zie

Klank­tee­ken­film

3. Schu­bert­lie­der

Gezon­gen door

Disques

jP AFi­LiO­PHONE - Gram­mo­foon­pla­ten

1. F. 1 NE REPOND PLUS I. F. 1 ANT­WOORDT NIET

chanté par gezon­gen door

- CHARLES BOYER —

MOI ET LA IMPÉ­RA­TRICE IK EN DE KEI­ZE­RIN

chanté par gezon­gen door

— LILIAN HAR­VEY —

4. I. F. 1 ne répond plus

4. I. F. 1 ant­woordt niet

Un film d’ Een film van

ERiCH POM­MER

Sce­na­rio de Sce­na­rio Musique : Muziek :

WAL­TER REISCH ALLAN GRAY

D’après naa-den gelijk­na­mi­gen Lyrics: Zang­teks­ten :

le roman de roman van BER­NARD ZIM­MER

k'iinT cin­nuAiz Prises de vues: Zich­top­na­men:

KUR I blOD­MAK Gun­ther RIT­TAU et Kons­tan­tin TCHET

Rea­li­sa­tion; Ver­we­zen­lij­king van : n 4 . T/-i i

wjr, J & Prises de sons: Klan­kop­na­men;

KARL HARTH FRITZ THIERY

Adap­ta­tion Fran­çaise; Fransche Bewer­king: D;cors • Scher­men

ANDRÉ BEU­CLER ' ERICH KET­TEL­HUT

DRA­MA­TIS PER­SONÆ

Elles­sen. . CHARLES BOYER Georges Pierre Bras­seur

Droste . Dam­ski Mar­cel Val­lée

Nora . . Mathieu . . - . . Ernest Ferny Le Pho­to­graphe, . . De Foto­graaf Repor­ter j Pierre Pié­rade


I. F. 1 ne répon­d'plus

Grand, por­tant beau 1 habit, spor­tif, le visage basané, un homme tra­verse le hall du Golf-Club et s approche du télé­phone.

« Allo! vous avez bien com­pris, ce soir, à 1 1 heures, devant les chan­tiers Len­nartz. Les repor­ters ne se déran­ge­ront pas en vain. Natu­rel­le­ment, aucun nom ne peut être pro­noncé. »

A l’autre bout du fil, un homme d’as­pect comique, por­tant un appa­reil pho­to­gra­phique, prend mys­té­rieu­se­ment la com­mu­ni­ca­tion.

Dhns le hall, cepen­dant, une jeune femme, jolie, élan­cée, en robe du soir, entend, mal­gré elle, cette conver­sa­tion,

et son atten­tion est atti­rée par les mots «Chan­tiers Len­nartz». Elle veut savoir, adresse la parole à l’in­connu, mais celui-ci pré­tend ne pas avoir pro­noncé ce nom.

Pour men­tir de la sorte, il parle d'une voix chaude, qui cherche à plaire.

La glace étant bri­sée, il l’in­vite à dan­ser. Quand tous deux se séparent, la jeune fille apprend seule­ment que son dan­seur n’était autre que le célèbre avia­teur Ellis­sen.

A 1 1 heures cepen­dant, devant les Chan­tiers Len­nartz, les repor­ters des prin­ci­paux jour­naux sont réunis; le pho­to­graphe est là éga­le­ment. Qn réveille les veilleurs de nuit, qui ne sont au cou­rant de

DES PRA­LINES? DU CHO­CO­LAT? DES BON­BONS?

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rien. A ce moment, la jeune fille en robe de soir, arrive en auto. C’est Nora Len-nartz.

Est-ce une fausse alerte, une mau­vaise plai­san­te­rie? Mais que voit-on à l’étage? Une lumière vient de s’al­lu­mer. Nora se pré­ci­pite avec deux poli­ciers: les archives sont en désordre, les plans de « 1. F. 1 » ont dis­paru; le dos­sier vide est à terre. Les frères de Nora, Georges et Mathieu, arrivent sur ces entre­faites, accom­pa­gnés de l’in­ven­teur de « I. F.! », le lieu­te­nant de vais­seau Droste.

Et celui-ci d’ex­pli­quer que « 1. F. I » est une île arti­fi­cielle,- qui doit être construite au milieu de l’At­lan­tique, au croi­se­ment de tra­fics inter­con­ti­nen­taux aériens; les avions y pour­ront atter­rir et s’ap­pro­vi­sion­ner, vingt-quatre heures suf­fi­ront pour relier une par­tie du monde à l’autre.

Ellis­sen est au bar de l’Hô­tel Atlan­tic. Entre Nora, qui se fait connaître à lui, et lui reproche véhé­men­te­ment l’ef­frac­tion dont il est cer­tai­ne­ment l’au­teur. Ellis­sen ne se dépar­tit pas de son calme, et bien­tôt, Nora, retrou­vant toute sa gaîté, peut indi­quer à ses frères et à la police, l’en­droit où se trouve le plan volé.

Le but d’El­lis­sen, le meilleur ami de Droste, n’était pas de déro­ber ce docu­ment, mais sim­ple­ment d’at­ti­rer l’at­ten­tion des diri­geants des Usines Len­nartz sur l’in­té­rêt du pro­jet qui dor­mait dans la pous­sière des archives.

Le fameux plan est ainsi révélé, et les Usines Len­nartz décident d’en entre­prendre la réa­li­sa­tion. Droste, sans tar­der, se met au tra­vail, qui durera plu­sieurs années.

Ellis­sen, de son côté, songe à des nou­veaux raids polaires. Il a à lut­ter contre son amour pour Nora, car il veut être libre des chaînes du cœur, tan­dis que Nora cherche à sau­ver l'homme aimé des nou­veaux dan­gers qui le guettent. Déjà elle croit avoir atteint son but.

, Maïs Ellis­sen est alors sol­li­cité pour accom­plir un raid autour du monde: du Bour­get au Bour­get sans escale. Il accepte; ainsi s’in­ter­rompt le rêve de la jeune fille,..

Dteux ans après, les sta­tions radio­pho­niques du monde entier font savoir que «I . F. I » est ter­mi­née: Véri­table ville d’acier et de verre, ancrée au milieu de

I Océan. Le capi­taine D'roste, qui crai­gnait le sabo­tage, n’a pas cessé sa vigi­lante sur­veillance.

Fen­dant ce temps, dans un petit hôtel, un homme, l’air abattu, misé­rable, apprend la nou­velle; c’est Ellis­sen, contre lequel la mal­chance s’est achar­née. Il a tout perdu, jus­qu’à l’amour de Nora, dont le cœur a été ravi par Droste, le cou­ra­geux inven­teur. Mais Ellis­sen n’en conserve pas moins l’es­poir de recon­qué­rir la bien-aimée: un éven­tail reçu d’elle lui sert de talis­man.

Cepen­dant, au cours d’une com­mu­ni­ca­tion avec l’île flot­tante, les diri­geants des Chan­tiers Len­nartz n’en­tendent que cris, coups de feu, le bruit de toute une lutte à mort, et sou­dain, la com­mu­ni­ca­tion est inter­rom­pue. «I. F. 1 ne répond plus ».

Que s’est-il passé, où est Dîoste, vit-il encore? Com­ment réta­blir la com­mu­ni­ca­tion?

Pour accom­plir le voyage aérien, seul un excellent pilote pour­rait ten­ter l’aven­ture. Nora songe à Ellis­sen qu elle va trou­ver en toute hâte. Peu après, l avion trans­por­tant Nora et Ellis­sen, vole vers le lar­gef et bien­tôt « I. F. I », silen­cieu­se­ment éten­due au milieu des flots, appa­raît...

Les vents contraires obligent Ellis­sen à un atter­ris­sage périlleux, son avion se brise, tan­dis qu’un canot s’éloigne de l’île. C’est Dam­ski, ingé­nieur en chef, qui fuit... A la solde des enne­mis de Droste, Dam­ski était chargé de détruire «LF. I».

II a blessé Droste, il a ouvert les soupa pes des piliers pour faire som­brer l’île, il


laissé cou­ler les car­bu­rants des tanks pour immo­bi­li­ser les Die­sel. Par le gaz, il a étourdi tout le per­son­nel de l'île.

Ellis­sen et Nora voient, effrayés, toute cette dévas­ta­tion. Bien que blessé. Droste leur raconte le drame, et Ellis­sen s’aper­çoit alors que le cœur de Nora appar­tient non plus à lui, mais à D'roste. Déçu et jaloux, il devient indif­fé­rent au sort de

« I. F. 1 » com­mence à som­brer. Droste

essaye de mettre en marche un des avions; mal­gré son bras cassé, il veut voler lui-même cher­cher du secours, mais devant le dan­ger trop grand, Ellis­sen revient à de meilleurs sen­ti­ments et s’en­vole à sa place.

Il aper­çoit un bateau, se jette à la mer, monte à bord et donne l’alarme. De tous côtés, les secours arrivent: avions, navires. « I. F. 1 » est sau­vée!

Over Trans­oceaanv­luch­ten

Als hoof­de­le­ment van belang­stel­ling van deze film, komt het « kunst­ma­tig eiland » voor, het­welk als vlot­tend vlieg­tuig­sta­tion gean­kerd ligt te mid­den van den Oteaan!

Om tot de ver­we­zen­lij­king hier­van te komen, waren zeer zware finan­cieele offers noo­dig. Inder­daad, mid­den in de Oost­zeer, op de Greif­swal­der Oie, wer­den zulke gebou­wen opge­richt, die de juiste afme­tin­gen weer­ge­ven van wat, in een bes­list niet zoo verre toe­komst meer, als « Trans­oceaan-tus­schens­ta­tion voor lucht­ver­keer » kan bes­tem­peld wor­den.

De plan­nen van arch. Ket­tel­hut en van inge­nieur H. B. Hen­nin­ger heb­ben alle bij­hoo­ri­ghe­den ver­me­den, die, behoo­rend tot het rijk der fan­ta­zie, prak­tisch onuit­voer­baar zou­den zijn.

Begri­j­pe­lij­ker­wi­jze was het de U.F.A.,

-— die genoemde film opneemt, — niet moge­lijk, alleen voor fil­mop­name een echt eiland met de daar­voor ver­ba­zende tech­nische uitrus­tin­gen te laten oprich­ten. Van­wege mate­rieele rede­nen moest men zich beper­ken: een deel van zulk vlot­tend eiland werd opge­richt, noch­tans nogj met een lan­ding­splaats voor lich­tere

vlieg­tui­gen van 180 M. lengte en 50 M. breedte.

Voor de tech­nische uitrus­ting liet de Ufa zich niet lei­den door zui­vere fan­tas-tiek; inte­gen­deel, het eiland werd gebouwd vol­gens de onaan­vecht­bare en juist-uit­ge­werkte plan­nen van den Duit-schen inge­nieur A . B. Hen­nin­ger, 2e voor­zit­ter van het « Stu­die­ge­noot­schap voor aan­wen­ding van trans­oceaan lucht­ver­keer ».

Ing. Hen­nin­ger houdt zich reeds sinds 1924 bezig met het vraag­stuk van het oceaan-lucht­ver­keer. Het is uit de gevolg­trek­kin­gen, welke hij van uit de tot heden uit­ge­voerde oceaanv­luch­ten en ook uit zeer door­ge­dre­ven stu­die, dat hij tot de over­tui­ging kwam dat een regel­ma­tige vlieg­dienst, wer­kend vol­gens een voo­raf gereed gemaakt plan, in den stand der hui­dige bouw­tech­niek der vlieg­tui­gen, niet moge­lijk was zon­der tus­schen­lan­ding op daar­voor geëi­gende plaat­sen.

Toen is hij begon­nen aan de uit­wer­king van zijn grootsche ont­wer­pen van vlot­tend eiland, waar­van wij in dezen film »een voors­maakje kun­nen heb­ben.

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I. F. 1 ant­woordt niet

Een heer in rok wan­delt dwars door het park naar de tele­foon­cel. « Ho-tdl Atlan­tic, alstu­blieft! ». Direct daa­rop tele­fo­neert een kleine, komieke

man aan den ande­ren kant van de lijn en kri­jgt zeer dis­creet de opdracht, om I 1 uur ’s nachts de repor­ters van de grootste kran­ten naar de Len­nartz-werf te stu­ren.


Daar zou iets gaande zijn;! Maar geen namen noe­men! Een slanke jon­ge­dame heett onge­wild mee­ge­luis­terd. Wan­neer ze ech­ter net woord Len­nartz-werf hoort, spitst ze haar ooren. Z.e spreekt den heer aan, deze ech­ter ont­wijkt haar; ze moet ver­keerd gehoord heb­ben. Ove­ri­gens bevalt haar de vreemde wel, ze dan­sen samen, maar ze ver­neemt niets; eerst wan­neer hij weg is, hoort ze, dat haar dan­ser de beroemde oceaanv­lie­ger EJlis­sen is. Wat heeft die met de Len­nartz-werf te maken?

1 I uur s nachts. Voor den hoof­din­gang van de werf staan de repor­ters: T)ë kleine, komieke man is er ook. De dame in de witte avond­ja­pon komt eve­neens in een auto aan­ge­re­den. Het is Claire Len­nartz. In een kamer op de eerste etage brandt licht. Claire met twee agen­ten ren­nen er naar toe. Inbraak! Het archief is ver­bro­ken, de plan­nen voor « I. F. 1 » zijn weg. Dé broers van Claire, de eige­naars van de werf, komen, als­mede de construc­teur en uit­vir­j­der van « I. F. 1 », reserve-Iui­te­nant D*roste. Hij verk­laart, wat «1. F. 1 » is. In de bar van « Atlan­tic » zit EJlis­sen. Claire komt bin­nen en beticht hem van de inbraak. EJlis­sen ver­liest geen oogen­blik zijn kalmte en spoe­dig daa­rop kan Claire lachend haar broers als­mede de poli­tie naar de plek stu­ren, waar de plan­nen lig­gen. EJlis­sen wilde slechts de aan­dacht van de direc­tie op de geniale plan­nen van zijn vriend Dtoste ves­ti­gen. Het plan is gelukt. De Len­nartz-Werke bes­lui­ten het ont­werp van « I. F. I » uit te voe­ren.

EJl­js­sen maakt reeds weer een plan voor een poolv­lucht. Zijn heele wezen ver­zet zich tegen zijn liefde voor Claire. Hij wil zich niet bin­den, hij wil vrij zijn. Claire pro­beert hem voor nieuwe geva­ren te bewa­ren, en reeds meent ze haar doel bereikt te heb­ben, wan­neer een ver­lok­kende aan­bie­ding van de Mte­teor-Wer-ke komt, die hun pas gebouwd vlieg­tuig

te zij­ner bes­chik­king stel­len voor een non-stopv­lucht Ber­lijn-—Ber­lijn, het­geen hij geest­drif­tig aan­neemt.

Door rus­te­loo­zen arbeid is op de Len­nartz-werf het tech­nische won­der «I.F. I» onts­taan. Drostes oogen zijn ove­ral, want onbe­drie­ge­lijke ken­tee­ke­nen bewi­j­zen hem, dat spion­nage en sabo­tage aan het werk zijn. Na 2 jaren dee­len de luid­spre­kers van de radio­zen­ders der geheele wereld ijjede, dat het groote werk afge­maakt is.

Len kleine stad uit staal en glas met vlie­gha­vens, radio­sta­tions, vuur­to­ren, werk­plaat­sen, hotels en han­gars, ligt veran­kerd mid­den in den oceaan. Het trans­at­lan­tische lucht­ver­keer kan begin­nen. In een klein haven­ho­tel hoort een man, moe en afge­mat, zon­der inter­esse naar het bericht. Hij ziet er ellen­dig uit. Het is EJlis­sen, wien alles mis­lukte. O'ok Claire heeft hij ver­lo­ren, zij behoort nu aan Droste, den ener­gie­ken inge­nieur, maar nog hoopt EJlis­sen op Claires liefde. Dte kleine waaier, die hij haar eens spe­len­der­wijs afnam, is een talis­man.

Er ges­chiedt ech­ter iets vree­se­lijks. Bij een tele­foon­ges­prek tus­schen de werf en « I. F. I » hoort men eerst een hef­tige woor­den­wis­se­ling, dan dui­de­lijk scho­ten. Rin­ke­lend val­len appa­ra­ten om, het schreeu­wen ver­raadt een gevecht op leven­den dood. Plot­se­ling wordt de ver­bin­ding ver­bro­ken. «I.F. 1 » ant­woordt niet meer!

Slechts een vlie­ge­nier kan de ver­bin­ding met het dri­j­vende eiland hers­tel­len. Bij het storm­weer kan slechts de beste piloot de vlucht wagen.

EJlis­sen, denkt Claire, en haast zich naar den vlie­ge­nier. Kort daa­rop sti­jgt het vlieg­tuig in een gewel­di­gen regen op. Op het eiland moet hij ech­ter een noo­dlan­ding maken. Een boot ver­laat snel de haven. Het is Dam­sky. Hij was het, die D*roste op het eiland over­viel. Hij was in

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" 1. F. 1 ne répond plus "

Le but pour­suivi par les réa­li­sa­teurs, était de créer une île arti­fi­cielle flot­tante, en plein océan, véri­table relais du futur tra­fic inter­con­ti­nen­tal aérien: l’Ile Flot­tante N° I.

« 1. F. 1 » est u ne gigan­tesque île flot­tante, étu­diée jus­qu’aux moindres détails. Le colosse flot­tant d’acier, ancré à 2.000 mètres de pro­fon­deur, à un pont de 500 mètres de long sur 150 Mi. de large. Sur ce pont, lequel s’élève à 25 Mi. du niveau de la mer, se trouvent séma­phores, grues, locaux admi­nis­tra­tifs et un hôtel.

Sous la plate-forme, se trouvent les machines, la salle des moteurs Die­sel, la sta­tion de radio et le dépôt de car­bu­rant; le tout deux fois aussi impor­tant que le plus grand paque­bot actuel, repose sur trois ran­gées de piliers rem­plis d’air ou d’eau, à volonté, pour per­mettre l’élé­va­tion ou l’abais­se­ment de l’île, sui­vant l’état de l’océan. Le poids total de 1 île atteint envi­ron 100.000 tonnes.

Par les mers les plus démon­tées, le pont est pro­tégé du rou­lis, du tan­gage et des inon­da­tions, de manière à ce que même par ces temps dan­ge­reux, les avions puissent atter­rir tran­quille­ment.

Pour réa­li­ser en décor cette île flot­tan­zijn slaap door gas ver­doofd. Als EJlis­sen ziet, dat Claire van Droste houdt, ver­gaat hij van jalou­zie. Wat hem betreft, kan de « I .F. I » naar de hel loo­pen. Ten laatste bes­luit hij toch hulp te halen.

Spoe­dig daa­rop heeft hij een schip ont­dekt, springt in t water, klimt aan booïfl en tele­gra­feert om hulp voor de

Van alle kan­ten komen sche­pen en grgote vlieg­tui­gen te hulp.

te, il a fallu que U.F.A. four­nisse un effort gigan­tesque; jamais réa­li­sa­tion ciné­ma­to­gra­phique n a ren­con­tré autant de dif­fi­cul­tés, dont les pre­mières com­men­cèrent par la recherche d'un endroit appro­prié à la construc­tion de l’île.

11 fal­lait, en effet, trou­ver une île non acci­den­tée, située à 15 18 ML du niveau de la mer, proche de la côte, et suf­fi­sam­ment éloi­gnée de toute route mari­time, pour faci­li­ter les prises de vue.

Après de longues semaines d’études, le choix s’ar­rêta sur 1 île Greif­swal­der Oie de la mer Bal­tique; pour toute habi­ta­tion, il n’existe sur cette île qu’une auberge munie d’un phare, et qui abrite, en été, quelques chas­seurs d’oi­seaux.

Les dif­fi­cul­tés de construc­tion furent très nom­breuses, car ce sont de véri­tables appa­reils et de vraies machines qui furent ins­tal­lés, confor­mé­ment au pro­jet de A. B. Hen­nin­ger. 11 a été trans­porté trente wagons de plaques en fer, sans par­ler de tous autres maté­riaux de construc­tion. Le tra­vail a exigé, durant dix semaines, les efforts inin­ter­rom­pus de près d'une cen­taine d’ou­vriers et de spé­cia­listes.

Fina­le­ment, l’île fut ter­mi­née, après avoir mis en effer­ves­cence toute la côte Bal­tique.

Nous ne par­le­rons pas ici de l’ef­fort inven­tif fourni par les réa­li­sa­teurs, les mots seraient trop faibles pour le décrire.

Nous voyons, au cours du film, l’at­ter­ris­sage plein de vir­tuo­sité de deux avions sur la plate-forme de 1 île.

« I. F. I ne répond plus, mais on trou­vera pour­tant son écho de par le monde ». Ainsi s’ex­pri­mait, non sans rai­son, un des nom­breux jour­na­listes qui avaient fait le voyage de la Bal­tique, pour assis­ter aux prises de vue de ce film unique.


La réa­li­sa­tion de

Le véri­table per­son­nage du nou­veau film d'Erich Pom­mer c’est cette île flot­tante, chef-d’œuvre de tech­nique moderne, qui existe en plein océan comme une île de terre et de roc, une île connue, décou­verte, vieille comme les conti­nents et les mers!... Mais cette fois, c’est une île, une île indis­pen­sable qu'au­cun hasard oro­gé­nique n’au­rait fixée en cet endroit. Une île qui res­sem­ble­rait à Glé­ron ou à Nico­bar ne ren­drait aucun ser­vice. Celle qui a été inven­tée par M. Hen­nin­ger, l’in­gé­nieur ber­li­nois bien connu, décrite par Kurt Siod­mak, le roman­cier, esquis­sée par l’au­teur du scé­na­rio et enfin ani­mée par Pom­mer, en trois langues, pour trois pays, avec la col­la­bo­ra­tion de tech­ni­ciens endu­rants et avi­sés, évoque à la fois un pays, une ville, un palais, un port, une gare aérienne, un cui­rassé et une demeure déli­cieu­se­ment actuelle. Elle est pour­vue de tout ce que peut dési­rer un civi­lisé du type 1933: hôtel, pis­cine, salle de jeux et de lec­ture, res­tau­rant, ter­rasses et sta­tion radio­télé-gra­phique reliée à tous les postes impor­tants du monde.

Dte leurs cabines, les pas­sa­gers trans­at­lan­tiques voient res­plen­dir un aéro­drome de haute mer, preuve d’une magni­fique vic­toire rem­por­tée par les hommes sur les espaces infran­chis­sables! Illu­sion de construc­teur? Empor­te­ment de poète?

Non! Ce film indique au contraire une cer­taine actua­lité. Une île flot­tante dans l’océan Atlan­tique, une île flot­tante qui assu­re­rait la liai­son aérienne de conti­nent à conti­nent de façon régu­lière et pra­tique, fàit aujour­d'hui par­tie des pré­oc­cu­pa­tions d'un grand nombre de tech­ni­ciens, écri­vains et pro­duc­teurs de films. C'est une idée qui est dans l'air, qui prend forme.

Que le cinéma s’en soit emparé, cela in-

I. F. 1 ne répond plus

dique beau­coup en sa faveur. Ainsi le public s’ha­bi­tue à cette nou­veauté.

C’est dans la Bal­tique, au large de Rügen, dans la petite île de Greif­swal­der Oie, que cette île arti­fi­cielle de verre et de fer fut édi­fiée.

Greif­swal­der Oie est une miette dans la Bal­tique, que l’on aper­çoit par temps clair de l’île de Rügen et du rivage pomé-ranien. Fré­quen­tée sur­tout par quelques pêcheurs de harengs et par une famille d’oi­se­leurs qui s’y fixe à l’époque des migra­tions, cette île minus­cule ne compte qu’une ving­taine d’ha­bi­tants que la lumière d’un phare sauve de la soli­tude défi­ni­tive. Ven­due en 1833 pour 52.000 Mks à la Prusse, elle n'est longue que de 1500 mètres, mais ejle a un passé abon­dant, des légendes et mêmç une lit­té­ra­ture. Elle vient d’en­trer brus­que­ment dans l’his­toire ciné­ma­to­gra­phique, et certes, l’ar­ri­vée de la camera, des pro­jec­teurs et du micro sur ce bout de terre, équi­vaut à une sorte de conquête dont les insu­laires se sou­vien­dront leur vie durant.

C’est sur la par­tie nord-est, expo­sée aux vents gla­cés et vio­lents, que la fameuse plate-forme de l’île flot­tante numéro I a été posée. Ce décor, qui fait son­ger à une grande place de ville archi-moderne ou à quelque gigan­tesque navire porte-avions, est dû à l’in­ven­teur bien connu Mi. A.-P. Hen­nin­ger, de Ber­lin, qui a eu l’idée de cet d aéro­drome de haute mer » bien avant le roman­cier.

L: impres­sion que les acteurs, pour­tant pré­pa­rés à cette sur­prise, ont res­sen­tie devant ces construc­tions ingé­nieuses et sur ce sol métal­lique où les avions peuvent atter­rir et décol­ler, sera longue à s’ef­fa­cer et l'as­pect de cette île mi-natu-


relie, mi-arti­fi­cielle, où se mélangent aujour­d’hui les détails les plus oppo­sés et les élé­ments les plus cocasses: poste de 1.5.K., dyna­mos, appa­reil de son, jour­naux fran­çais et maga­zines anglais, din­dons, vaches, pêcheurs illet­trés, pho­no­graphes, can­tine quasi mili­taire, oise­leurs, hgu­rants, cette île qui abrite en ce moment des vedettes inter­na­tio­nales et des rem­pailleurs de filets qui n ont pas encore vu de film de leur vie, est assu­ré­ment bien faite pour ins­pi­rer les créa­teurs quels qu’ils soient: poètes, ingé­nieurs, roman-icers, met­teurs en scène. Ce qui explique aussi la pré­sence d'une nuée d’ap­pa­reils pho­to­gra­phiques sur le « set », cha­cun dési­rant gar­der l image de son com­pa­triote, de son col­lègue ou de son voi­sin.

11 ne res­tera à l’écran de ce pay­sage à la fois pri­mi­tif et fée­rique que 1 île flot­tante pro­pre­ment dite, telle que l’a conçue le réa­li­sa­teur du film « I. F. I », avec son hôtel pour pas­sa­gers trans­at­lan­tiques, son ter­rain d’at­ter­ris­sage, son luxe sou­dain au milieu de l’q­céan, son phare et son roof­gar­den. C’est un triomphe de tech­nique auda­cieuse et sans aucun doute une indi­ca­tion pleine de pro­messes pour les construc­teurs de l’ave­nir que pré­oc­cupe le voyage aérien du vieux monde au nou­veau.

Cet automne cinq Fran­çais ont pré­cieuse occa­sion de pas­ser près

eu la d’un

mois sur la pre­mière ébauche, si l’on peut ainsi s’ex­pri­mer, de cette construc­tion. Cinq Fran­çais, c’est-à-dire Charles Boyer, Danièle Parola, Jean Murat, Mar­cel Val­lée et le signa­taire de ces lignes. Com­men­cés au début de 1 été, les tra­vaux se

par­tie de son éten­due. Du jour au len­de­main, le ter­ri­toire minus­cule où régnait un gar­dien de phare entouré de sa famille, a été envahi par une troupe de figu­rants, enri­chi de décors, de pro­jec­teurs, visité par les avions. Le soir, après le départ de ce que nous appe­lons le gros de l’ar­mée, qui ren­trait à Goh­ren par le bateau, nous demeu­rions sur 1 île bat­tue par les flots de toutes parts, où nous avions élu domi­cile.

Murat qui, dans ce film, joue le rôle du créa­teur de 1 plate-forme flot­tante, com­man­dant de l’«l.F. I », ne se devait-il pas d’ha­bi­ter dans File, non loin de son poste de com­man­de­ment? Dans cette île qui dis­pa­raî­trait au fond de la mer si l avia­teur Ellis­sen, Charles Boyer en l’oc­cu­rence, ne se sacri­fiait pour la sau­ver?

Certes, il faut s’éclai­rer à la bou­gie, faire par­fois sa cor­res­pon­dance au crayon, écra­ser le long des murs des insectes bizarres avant de s'en­dor­mir et se conten­ter de peu en matière d’hy­giène. Pas de blan­chis­seuse, pas de bureau de poste, pas d’eau cou­rante. Les jours de tem­pête, quand le bateau ne peut accos­ter, on doit pas­ser des heures entières sans pain blanc et sans tabac. Danièle Parola, l’hé­roïne, dans toute l’ac­cep­ta­tion du terme, de ce film dont la dis­tri­bu­tion ne com­porte qu’une seule femme, s’ac­com­mode avec une bonne grâce déli­cieuse de F incon­fort de l’île et se montre aussi mater­nelle que char­mante à l’égard de ses cama­rades. Actrice brillante et sen­sible, elle est aussi une maî­tresse de mai­son incom­pa­rable. Assis à l’ex­tré­mité du môle, dans un cos­tume qui rap­pelle

sont pro­lon­gés jus­qu’à l’en­trée de F au- F à la fois la tenue du sca­phan­drier et l’ac-tomne. Cet îlot de la Bal­tique, qui fit cou­tre­ment du trap­peur, Charles Boyer autre­fois par­tie de la Hanse, et dont lai jpêche avec flegme des pois­sons de forme super­fi­cie est insi­gni­fiante, a été brusque- 'as­sez ppu répan­due. Le soir, sous la lam-ment recou­vert de métal sur une cer­tai­ne'-4 pe à pétrole de la salle à man­ger nordi-

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que, il nous enchante par mille sou­ve­nirs de Paris ou d’Hol­ly­wood, car sa voix est irré­sis­tible et sa mémoire éblouis­sante. Sous pré­texte de tirer un lièvre, un fai san, ou de cher­cher des cham­pi­gnons, Jean Murat court la cam­pagne limi­tée et trouble les filles de File qui ne dorment plus depuis qu elles Font aperçu, dans un uni­forme impres­sion­nant, tenir tête-à-tête à une révolte de marins sur sa plate-forme sonore. Mar­cel Val­lée danse la valse au son de l’ac­cor­déon, se fait com­prendre mieux que per­sonne, encore qu’il ne sache pas l’al­le­mand, et joue à la belote comme on ne joue qu’à Paris, dans les bons endroits.

La nuit, tan­dis que le rayon du phare ges­ti­cule au-des­sus de l’île avec une hâte de fan­tôme, le bridge a une allure de com­plot dans l’au­berge sombre. Oh échange des romans poli­ciers sur le seuil de sa porte et l’on se dit bon­soir à voix basse. Séjour pénible et char­mant. Nous avions véri­ta­ble­ment l’illu­sion de vivre en pleine mer, sur un sol arti­fi­ciel, nou­veau, ajouté au monde, d’at­tendre le cour­rier d’Eu­ruope, les voya­geurs des Etats Unis, les dépêches d’Afrique et du Bré­sil. Si forte était l’im­pres­sion pro­duite sur nous par l’aven­ture! Il faut ajou­ter que le créa­teur de cette plate-forme flot­tante, aujour­d’hui ciné­ma­to­gra­phique et demain réelle, se trou­vait parmi nous, et que c’était un ieu pour lui d’en­traî­ner nos esprits vers l’ave­nir.

A ndré Beu­cler.

Hoe L F. 1 er uit­ziet

Lon­den ligt zoo­wat op 5500 Km. van New York, Kadix eve­neens van Natal. Een regel­ma­tige overv­lucht van zulke afstan­den zon­der tus­schen­lan­ding, met lucht­vaart­tui­gen zwaar­der dan de lucht, is niet moge­lijk in den hui­di­gen stand der tech­niek, en in aan­mer­king nemend de bruik­bare las­ten, welke uit eco­no­misch opzicht dienen mede­ge­voerd. » Zoo sprak Dr. Dor­nier, de geniale bou­wer van de « DO X », nadat het reu­zenv­lieg­tuig de terugv­lucht Ame­rika-Europa had uit­ge­voerd. Vol­gens Dr. Dor­nier zal een tus­schen­lan­ding nog wen­sche­lijk zijn, wan­neer de vlieg­tui­gen zóó zul­len ver­be­terd zijn dat de reis in circa 210 kilo­me­ter per uur kan af gelegd. Mten denke maar alleen aan de benoo­digde brand­stof (zoo-wat 4 1 /2 ton nafte) voor de vlucht van den noor­de­lij­ken Atlan­ti­schen Oceaan.

Des te belang­wek­ken­der is dus de arbeid van een klein getal inge­nieurs, die zich met het pro­blema onle­dig hou­den de onme­te­lijke waterv­lakte door kunst­ma­tige eilan­den te « ver­dee­len ».

Alle tech­nische nieuwe vin­din­gen wor­den over het alge­meen aan­gek­leed met bes­taande vor­men, althans tot in de jong­ste jaren.

De eerste spoor­wa­gens gele­ken, tot op den laats­ten spij­ker, op de afge­dankte dili­gen­ties, voor de bouw der eerste vlieg­tui­gen werd de ges­talte van den vogel als voor­beeld geno­men. Zoo begon men ook de kunst­ma­tige eilan­den, die als tus­schen-land­plaat­sen moe­ten dienen, en vorm van een schip te geven. Men had één tref­fend voor­beeld: het « vlieg­tui­gen­moe­der­schip » van de kri­jg­sv­loo­ten, door tor­pe­do­boo­ten en onder­zeeërs bewaakt!

De « Deutsche Luf­thansa » denkt er zelfs aan het vol­gend jaar zulk schip, omge­bouwd natuur­lijk voor zijn doel, te gebrui­ken als lan­ding­sha­ven op den zuide lij­ken Atlan­ti­schen Oceaan.

Doch andere schep­pers zijn tot de kon-


klu­sie geko­men, dat dus­da­nige kunst­ma­tige eilan­den vol­gens geheel nieuwe kon-cep­ties dienen ver­we­zen­lijkt. De modernste opvat­ting is onget­wi­j­feld deze van den vader der Duitsche inge­nieurs, Ing. A. B. Hen­nin­ger. Deze ging van het inzicht uit dat de scheeps­vorm bij zwaar ontij geen vol­doende rus­tige lan­ding­splaats biedt. Daa­rom, in plaats van een scheeps­kiel voor­ziet hij een groot aan­tal vlot­ters, welke hij « boi­lers » noemt die, lucht­le­dig gepompt het eigen­lijke plat­form dra­gen.

Deze flot­ters gaan 50 meter diep onder water. Zij zijn alzoo onge­veer eens zoo hocrg als een woon­huis van 4 ver­die­pen in een grocts­tad. Deze lengte is aldus aan­ge­ge­ven wijl de zee tot een diepte van 20 meter in bewe­ging is. Daar de « vlot­ters » nog 30 meter die­per rei­ken en vast­gean­kerd zijn, zoo kan men zeg­gen, dat zij in bewee­gloos watrr vlot­ten, zoo­dat de opperv­lakte tegen iede­ren stroom gevri­j­waard bli­jft.

Dte men­schen, welke op het strand moe­ten leven, zul­len nooit het gevoel heb­ben zich op een kunst­ma­tige schep­ping te bevin­den. Op de indruk­wek­kende kolom­vor­mige vlot­ters rust, zooals gezegd, de eigen­lijke lan­ding­splaats als een reu­sach­tig plat­form waar­van de afme­tin­gen onge­veer zijn 500 meter lengte en 150 meter breedte!

Op deze ont­za­glijke vlakte kun­nen de grootste landv­lieg­tui­gen zon­der eenig gevaar star­ten en lan­den. Op de leng­te­zi­jde van het vlieg­veld verhef­fen zich twee lang-uit­ges­trekte niet zeer hooge gebou­wen.

In het eene vin­den de ruime werk­plaat­sen onder dak, de vlieg­tui­ghal­len, de grogte naf­ta­tanks, de kan­to­ren, het radio­sta­tion.

Aan de andere zijde staat het hotel met eenige hon­der­den slaap­ver­trek­ken, met eet­za­len. Op het reu­sach­tig hotel­ge­bouw wordt een licht­to­ren aan­ge­bracht, die de vlieg­tui­gen van ver aan­trekt.

Aan de vier hoe­ken van het plat­form verhef­fen zich kra­nen van veel hon­derd ton­nen hef­ver­mo­gen en waar­door de waterv­lieg­tui­gen naar het dek wor­den opge­haald.

Een zeer omstre­den punt rees op: moest zulk­da­nig eiland door eigen moto­rische kracht voort­be­wo­gen wor­den of moesf t als vaste stand­plaats gean­kerd bli­j­ven?

Ing. H. Glen­ni­ger heeft zich onom­won­den voor vaste veran­ke­ring uit­ges­pro­ken, aan­ge­zien alzoo de vlieg­tui­gen gemak­ke­lij­ker de haven berei­ken kun­nen.

Zoo ligt I F 1 aan een mach­tige anker-boei, zoo­dat het te allen tijde zich naar de rich­ting der win­den onder stroo­min­gen draaien kan.

Het is deze geniale schep­ping, welke men als proef­bouw in den indruk­wek­ken-den film: IF! ant­woordt niet! natuur­ge­trouw zal kun­nen bewon­de­ren.

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Du reste, cette méthode de tra­vail excel­lente ici, aurait pu être déplo­rable là, mais à Vienne on tra­vaille dans des condi­tions très spé­ciales.

En effet, il n’y a pas de pro­duc­tion véri­ta­ble­ment vien­noise, ce sont actuel­le­ment des firmes étran­gères alle­mandes ou fran­çaises qui viennent avec armes et bagages s’ins­tal­ler à tour de rôle pour un ou deux mois dans les stu­dios de la Sascha et en repartent avec leurs opé­ra­teurs, leur troupe et quelques mil­liers de mètres de pel­li­cule impres­sion­née. C’est peut-être ce qui crée cette atmo­sphère de cam­pe­ment, de lais­ser-aller bon enfant qui ravit et sur­prend à la fois.

Rétros­pec­tive.

Pour­tant l’in­dus­trie ciné­ma­to­gra­phique a connu à Vienne son heure de gloire. Ein 1922, les films autri­chiens avaient pris une des pre­mières places d’Eu­rope. C’est l’époque des super­pro­duc­tions: « Sodome et Gomorrhe », « Pou­pée de Paris », «Gloire », «Salammbô», «L’Es­clave Reine», etc...

Sur les «sets» où nous avons tourné, quatre met­teurs en scène, il y a une dizaine d’an­nées, tra­vaillaient sans arrêt jour et nuit. Dans la petite plane voi­sine 10.000 figu­rants cos­tu­més s’agi­taient. Vienne tout entière ne rêvait que cinéma, ne vivait que pour le film.

Aujour­d’hui, les cos­tumes sont fanés, l’ou­bli est venu, et quand j’ai demandé, en arri­vant à la gare, à un taxi de me conduire aux stu­dios de la Sascha, le chauf­feur a dû deman­der son che­min à quatre ou cinq pas­sants suc­ces­sifs qui, du

Je la "V die J amour,,

reste, n’étaient pas plus ren­sei­gnés que lui.

J’ai eu la chance de ren­con­trer à Ber­lin Ml. Press­bur­ger, l’un des maîtres actuels de la ciné­ma­to­gra­phie alle­mande. C’est lui qui, pen­dant quinze ans, a formé et dirigé la pro­duc­tion vien­noise. C’est un homme puis­sant, soli­de­ment planté, dont seul le regard bleuté adou­cit un masque sin­gu­liè­re­ment éner­gique.

— C’est lamen­table, me disait-il, il faut tout recom­men­cer; pour­tant, que d’ef­forts déjà nous avons four­nis.

»C’est en 1909 que j’ai construit le pre­mier stu­dio vien­nois, et quand je dis construit, c’est une façon de par­ler. J’avais loué un grand jar­din, fait cou­per quelques arbres et ins­tallé une vul­gaire estrade sur laquelle on plan­tait des décors de théâtre. En fait de sun­lights, nous avions le soleil sim­ple­ment. Cette obli­ga­tion de tour­ner en exté­rieur avait, du reste, de graves incon­vé­nients: le vent souf­flait dans les décors, le lustre se balan­çait au milieu du salon, les rideaux se gon­flaient; pour rendre vrai­sem­blables ces phé­no­mènes, nous avons dû lais­ser tou­jours ouvertes les fenêtres des décors. D&ns les trois films pro­duits à Vienne à cette époque, je vous défie de trou­ver une fenêtre fer­mée.

» Je n’ai jamais oublié ces efforts héroïques; on tour­nait en dix jours une bande de 2.000 mètres et cela me coû­tait 8.000 francs.

— Excel­lente affaire, n’est-ce pas?

— Peuh! pas magni­fique, vous savez, nous reven­dions le film au mètre cou­rant 1 franc par mètre et par copie. Tout de


même c’était le bon temps; aujour­d'hui un film en deux ver­sions me coûte de 3 à 4 mil­lions...

En pous­sant un gros sou­pir, herr direk-tor Press­bur­ger ral­lu­mait son éter­nel cigare et repre­nait:

— C’est en 1913 que j’ai fondé avec le comte Sascha Kolo­vrat la société actuelle. Nous avons alors fait construire des stu­dios dans les­quels vous avez tra­vaillé. Tout de suite notre pro­duc­tion à été inter­rom­pue et c’est seule­ment après la guerre, en 1919, que j’ai pu lan­cer une série de grands films. Pour la pre­mière fois j’ai fait paraître sur les écrans les noms que vous connais­sez bien: Lily Damita, Marie Corda, Adel­qui Mil­lar, Alexandre Korda.

» A la stu­pé­fac­tion de mes concur­rents, des films euro­péens fran­chis­saient l’At­lan­tique. Nous sor­tions deux bandes par semaine.

» Cer­tai­ne­ment j’ai connu des échecs, très graves quel­que­fois. Pour « Sodome et Gomorrhe » nous avions construit une tour de 64 mètres de haut. D&ns la nuit qui pré­cé­dait la pre­mière prise de vue, une tem­pête sur­vint qui balaya tout. 11 fal­lut attendre l’été sui­vant pour répa­rer les dégâts et tour­ner les der­niers plans du film. Ah non! tout n’était pas rose... »

Et Press­bur­ger retom­bait dans la rêve­rie. 11 revoyait la for­ma­tion, en 1922, d’une firme concur­rente, «La Vita », qui construi­sait les ate­liers ultra-modernes à cette époque, de Rozen­hu­gel, et sur­tout la catas­trophe de 1923, l’in­dus­trie ciné­ma­to­gra­phique vien­noise en pleine pros­pé­rité, rui­née brus­que­ment par le krach de la Depo­si­ten Bank. Aujour­d’hui nous avons l’ha­bi­tude de ces catas­trophes.

Dieu merci! une banque de per­due, dix de retrou­vées... au moins.

En 1923 il en était autre­ment, on pre­nait ces faillites au sérieux: la Sascha dut réduire à presque rien sa pro­duc­tion et la « Vita » l’ar­rê­ter com­plè­te­ment.

Aujour­d’hui, les stu­dios de Rozen­hu­gel sont aban­don­nés, ceux de la Sie­ve­ring­strasse se réveillent à peine, mais leur demi-assou­pis­se­ment leur donne un charme de plus.

Prise de contact.

Les firmes qui viennent tour­ner ici, atti­rées par le bon mar­ché des stu­dios, arrivent avec leur troupe, leur met­teur en scène, leur chef de pro­duc­tion de Paris et de Ber­lin.

Dès le début du tra­vail, un dépay­se­ment sem­blable réunit les inter­prètes et les diri­geants des deux ver­sions. 11 les réunit si bien qu’une vie com­mune s orga­nise.

Pen­dant la pré­pa­ra­tion du film, on habite un grand hôtel vien­nois au cœur de la ville. C’est la bonne vie! Le tra­vail pour les inter­prètes se réduit à quelques répé­ti­tions, pour les auteurs à des mises au point de détail, on retouche une der­nière fois le scé­na­rio, on dis­cute les maquettes des décors, on éta­blit le plan de tra­vail sur le décou­page déjà numé­roté, on fait connais­sance avec les indi­gènes. Le jeune pre­mier de la troupe s’en va cher­cher une blonde au hasard de la ville. Oïi règle les pre­mières ques­tions finan­cières, on s’at­tarde à la table; de jour en jour, un nou­vel arri­vant paraît: c’est

l’opé­ra­teur, un assis­tant, la grande vedette qui met son point d’hon­neur à rejoindre ses cama­rades la der­nière.

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