Source: FelixArchief no. 1968#926
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Programme 22 Speelwijzer
4 Dimanche g* Lundi
Jeudi
Donderdatß
février
Februari
1933
1. Eclair Journal 1. Eclair-Nieuwsberichten
Actualités sonores Aktualiteiten op den klankfilm
2. Branle-bas chez les insectes 2. Herrie bij de insecten
Dessin animé sonore Klankteekenfilm
3. Trois bandits dans le bois 3. Drie bandieten in het bosch
Documentaire du service Dokumentarische film
scientifique de l’U, F. A. van de kuituur afdeeling der U.F.A.
Disques PAFiLOPHONE - Grammofoonplaten
T. Marche de la Société des Nations 1. Marsch van den Volkerenbond
Marche anniversaire Ver, aringsmarsch
2. Les Rivaux de la Piste 2. Rivalen der Renbaan
3. Fantaisie sur 3. Fantazie op
Mam'zelle Nitouche
4. Les Vignes du Seigneur 4. De Wijngaard des Heeren
I Comédie d’après Filmblijspel naar
la célèbre pièce de het beroemde tooneelwerk van
ROBERT DE FLERS et FRANCIS DE CROISSET Adaptation et réalisation de Aanpassing en verwezenlijking van
RENÉ HERVIL Prises de vues; Opnamen :
COTTERET Décors: Schermen:
d’EAUBONNE Musique: Muziek:
L. MASSON
DRAMATIS PERSONÆ
Henri Levrier . . . VICTOR BOUCHER Jack
Gisèle .... . Simone Cerdan Yvonne
Mme Bourjeon . . Madv Berry Aline
Les Vignes du Seigneur
Henri Lévrier revient des Indes après une absence de dix-huit mois. Charmant garçon, riche, il n’a qu’un tort, c’est d’avoir trop aimé le vin: comme on dit familièrement, il est souvent dans les «Vignes du Seigneur».
Pendant son absence, Madame Bourjeon a décidé de le marier avec sa fille Yvonne qui, elle, revient d’Angleterre où elle a terminé ses études. Henri Lévrier est annoncé, et Yvonne reconnaît en lui un compagnon de voyage fort désagréable qu elle a rencontré dans l avion Paris-Londres. Le mariage s'annonce mal.
Pourtant, Madame Bourjeon ne renonce pas à son idée, et elle demande à sa fille aînée, Gisèle, qui est depuis dix ans la maîtresse d’un certain Hubert Martin, d avoir une conversation sérieuse avec Henri Lévrier. Au cours de cette conversation, Henri apprend à Gisèle que s’il buvait, c’était à la suite d’un chagrin d’amour: de fil en aiguille, il en arrive à avouer à Gisèle que c’était précisément elle qu’il aimait. Gisèle tombe rapidement dans ses bras. Puis, pour détourner les soupçons, et pour ôter à sa mère toute idée d’un mariage avec sa sœur, elle déclare qu’Henri Lévrier est resté le pochard qu’ils ont connu avant son départ pour les Indes.
Quelques mois se passent. Nous voici maintenant au bord de la mer où, pendant les vacances, tous nos personnages sont réunis dans la même villa. Henri Lévrier prend mille précautions pour que personne ne soupçonne sa liaison avec Gisèle; il en prend tellement qu’Hubert seul n’a pas encore compris ce que Gisèle était pour lui. Yvonne affecte de mépriser Henri Lévrier, pourtant elle l’aime.
Un jour, qu’il veut prendre de nouvelles précautions pour rejoindre Gisèle, Henri Lévrier glisse sur les rochers et tombe à l eau. Il est repêché. On le transporte mouillé et grelottant à la villa où, pour le réconforter, on l’oblige à boire de l’jälcool. L’ancien pochard se réveille aussitôt en lui, il avale verre sur verre et, complètement saoul, déclare à Hubert qu’il est T amant de Gisèle.
Quelques heures plus tard, tout à fait dégrisé, Henri Lévrier déclare qu’il a tenu des propos de pochard ne correspondant pas à la vérité, que celle qu’il aime c’est Yvonne et qu’il n’a jamais trahi Hubert. Henri Lévrier épousera donc Yvonne et, faisant d’une pierre deux coups, le mariage sera célébré par la même occasion entre Gisèle et Hubert. Madame Bourjeon aura casé ses deux filles...
EDITIONS — UITGAVEN | Musique: Muziek :
Pourtant quand on aime Valse de — Wals van
P. Maudru Müsique de — Muziek van
L. Masson
Disques: Gramofoonplaten :
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Scène d’amour entre — Liefdestooneel tusschen Gisèle et Henri Lévrier Columbia 615:
Scène de l’ivresse, enregistré par Victor Boucher et Henry Prestat.
Tooneel der beroezing, opgenomen door Victor Boucher en Henry Prestat. Ultraphone 835:
« Pourtant quand on aime » enregistré par — opgenomen door Mady Berry Ultraphone 838:
«Pinson, Pinson, si vous saviez» enregistré par — opgenomen door Mady Berry.
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L 'eau De Wijngaard des Heeren Na een tocht van achttien maanden, in Indië, keert Henri Lévrier naar zijn vaderland terug. Hij is een knappe, rijke jongen, doch heeft een groote kwaal: hij bemint te zeer den wijn. Hoe menigmaal is hij niet in den « Wijngaard des Heeren», zooals men het al schertsend uitdrukt! Tijdens zijn afwezigheid heeft madame Boürjeon beslist hem als man te « geven » aan haar dochter Yvonne, die zoo pas van Engeland terugkeert, waar zij haar studies heeft voleindigd. Henri Lévrier wordt aangemeld en Yvonne herkent in hem een zeer onaangenaam reisgezel, dien zij ontmoet had in het vliegtuig Parijs-Londen. Het huwelijk kondigt zich dus slecht aan. Nochtans verzaakt Mme Boürjeon niet aan haar inzichten en zij vraagt haar oudste dochter Gisèle — die sinds tien jaar de minnares is van een zekeren Hubert Martin — eens een «heel ernstig gesprek» met Henri Lévrier te hebben... In den loop van dit gesprek openbaart Henri dat, zoo hij zich aan den drank heeft verslaafd, dit het gevolg is van liefdesverdriet. Haar geleidelijk alles toevertrouwend komt hij tot de bekentenis dat het zij zelf, Gisèle, is die hij bemint. En zie, daar valt Gisèle hem in de armen! Alsdan, om alle argwaan te vermijden en om haar moeder beslist haar huwelijksplan te doen opgeven, verklaart zij, alles natuurlijk nog overdrijvend, dat Henri Lévrier dezelfde drinkebroer gebleven is van voor zijn vertrek naar Indië. Enkele maanden gaan voorbij. Wij zijn nu aan het strand tijdens de vacantie, en alle personages zijn vereenigd in dezelfde villa. Henri Lévrier neemt duizend en één voorzorgen opdat niemand zijn liefdesavontuur met Gisèle zou vermoeden. Hij neemt er zooveel dat alleen Hubert nog niet begrepen heeft wat Gisèle voor hem was. Yvonne verafschuwt hem in schijn. In werkelijkheid bemint zij hem. C'p zekeren dag, toen hij nog nieuwe middelen wil beramen om Gisèle te kunnen vervoegen, zonder argwaan op te wekken, glijdt hij uit op de rotsen en valt in zee. Hij wordt opgepikt. Men draagt hem doornat èn rillend van koorts naar de villa en verplicht hem alkohol in te nemen. De oude passie, welke hij Gisèle ter wille uit alle macht had bestreden, ontwaakt weer in hem: hij neemt glas na glas, zoodat het niet lang duurt of hij is smoordronken. Hij is in dien staat dat hij z’n vriend Hubert bekent de minnaar van Gisèle te zijn. Enkele uren later is de roes voorbij. Henri Lévrier bekent dat al wat hij in zijn dronken toestand er uit heeft geflapt louter verzinsel is, dat hij Yvonne bemint en dat hij nooit Hubert bedrogen heeft. Henri Lévrier zal dus Yvonne trouwen. En Mtne Bourjgon haalt daarbij een tweede slag thuis: Gisèle en Hubert zullen ter-zelfdertijd in het huwelijksbootje stappen. Madame Boürjeon heeft alzoo haar twee dochters « geplaatst »!
De l'Art de composer son rôle
J ’ai retrouvé, au cœur de Paris, 1 antique labyrinthe de la légende. Tours, détours, contretours, les escaliers et les couloirs du théâtre de la Michodière sont l’épreuve multiple et compliquée dont il me faut triompher, non pour atteindre quelque terrible Mmotaure, mais, beaucoup plus agréablement, pour voir « en chair et en os » l’étincelant interprète de «Gagne ta vie», de «La D'ouceur d’aimer», du «Sexe faible», d’«Un trou dans le mur», de cent pièces à succès et du film voué au même destin: « Les Vignes du Seigneur ».
Donc, tours, détours, contre-tours... « Suivez le trait bleu », m’a dit un très aimable cerbère, à l’entrée des artistes. «Suivez le trait bleu», me répète tous les vingt pas une inscription murale. Nouveau fil d’Ariane qui me sauvera de petits couloirs sans issue, d’escaliers descendant vers la scène (Attention! Silence!), de coins et de recoins... Un dernier angle, une dernière porte, une loge: sous la lumière crue, maintes fois reflété par les glaces qui l’entourent, Victor Boucher enduit son visage de rose gras. Drapé dans un peignoir à ramages, il a, naturellement, ce port de tête célèbre qu’on lui voit sur la scène, à l’écran, sur les affiches.
A vrai dire, je suis un peu intimidée... Car Victor Boucher est un grand acteur, l’un des plus grands acteurs français contemporains. Le type qu’il a campé est dessiné avec tant d’observation et de simplicité tout à la fois, avec tant d’humanité, qu’il déborde du cadre théâtral et cinématographique pour venir fréquemment à notre rencontre dans la vie d’où il est sorti.
De me trouver en tête à tête avec lui,
embrouille mon « plan d’attaque ».
— Non, posez-moi des questions. J’adore qu’on me pose des questions. Cela simplitie ma tâche et complique la vôtre!
Je tombe bien, ce soir. Moi qui souhaitais justement regarder et écouter...
-— D'es questions. Monsieur Boucher? C’est bien précis et bien limité. Je désirerais que vous me parliez de la façon dont vous composez vos rôles.
— Je m’efforce le plus possible au naturel et mes données varient très peu du théâtre à l’écran, puisque la même recherche de simplicité préside à la création de tous mes personnages. Evidemment, il y a entre la scène et l’écran des nuances qu’il faut respecter. Voyez-vous, au théâtre, on a davantage le temps de préparer, de buriner, de s’imprégner de la personnalité profonde que doit extérioriser un type. Au cinéma, quand vient le moment de tourner, on a répété trois ou quatre fois la scène tout au plus...
— Il en est peut-être de même lors des premières représentations d’une pièce?
— Non, car dès le soir de la générale, la perfection de l’interprétation doit être atteinte, et l’est souvent. L’ambiance existe, complète. Dte plus, il y a cet élément considérable: la continuité de l’action. En cinéma, on travaille selon un plan étudié, sans doute, mais non pas logique pour cela. Les scènes se succèdent au petit bonheur, la fin passant avant le commencement et le milieu. 11 y a dans cet état de choses, pour les artistes de théâtre, un décalage assez déconcertant. Tous les états psychologiques sont à modifier brutalement, sans aucune graduation. Tenez, par exemple — et ceci.
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je l’ai dit il n’y a pas bien longtemps à /’un de vos confrères — dans Gagne ta vie, j’ai été marié avant d’être fiancé!
» 11 faut tenir compte aussi du vide que crée pour nous, lorsque nous travaillons devant la camera, l’absence du public. C’est un tel stimulant, pour un acteur, de sentir devant lui une salle qui vibre, qui réagit! Au cinéma, nous avons beaucoup de satisfactions aussi, mais elles sont à retardement et elles ne peuvent en rien influencer notre jeu.
— Oh! croyez bien que je reconnais au cinéma d’immenses possibilités! Ne serait-ce que l’avantage de l’espace, que le théâtre, limité à l’étroitesse d’une scène, ne pourra jamais posséder. Je crois surtout qu on ne tient pas suffisamment compte, en France particulièrement, de l’importance primordiale du metteur en scène.
-— Berthomieu? J’ai travaillé avec lui dans une atmosphère de bonne humeur perpétuelle. Ce petit homme rose et rond est toujours content de tout, à l’inverse de la plupart des metteurs en scène... Et puis nous sommes « pays »! Il est de Rouen, moi aussi. Je suis sûr que cette même origine a assuré à notre collaboration, en dehors de sympathies certaines, son caractère d’entente si parfaitement cordiale.
— Je suis très content de pouvoir interpréter à l’écran Les Vignes du Seigneur; j’ai joué cette comédie pendant si longtemps que je vis mon rôle beaucoup plus que je ne le joue. Lorsqu’on arrive à
De voorzicktige Dorothea
Dorothea Wieck, die door haar optreden in (( Meisjes in Uniform » wereldberoemd is geworden, heeft, zooals gemeld, een kontrakt gesloten met een Amerikaansche filmfirma. Dit kontrakt behelst evenwel een bepaling, die men niet gewoon is in dergelijke doku-menten aan te treffen.
De voorzichtige Dorothea heeft namelijk een eisch gesteld, dat de firma zich verbindt haar ten minste een hoofdrol te laten spelen gedurende den kontraktter-mijn.
Wanneer E.uropeesche filmkunstenaars te Hollywood aankomen, zijn zij niet immer zeker van het lot dat hun te wachten staat. De firma’s vinden soms al te gemakkelijk voorwendsels om de kontrakt-bepalingen niet te moeten naleven. En het gebeurt dat naar Amerika geloodste filmers naar Europa terugkomen zonder een rol van beteekenis te hebben gespeeld.
Met Dorothea Wieck zal dit zoo gemakkelijk niet gaan. Niet alleen heeft zij haar eischen gesteld, zij heeft ook praktisch bewezen waartoe zij met Engelsche dialogen in staat is. Zij liet een proeffilm opnemen waarin zij twee tooneelen vertolkt uit een groote Amerikaansche prent, te Hollywood gemaakt met Tallulah Bankhead. Aldus zullen de leiders van de firma zich een oordeel kunnen vormen over haar Engelsche uitspraak en zullen zij onmiddellijk weten wat zij van haar kunnen en mogen verwachten.
théâtre ayant créé un rôle à la scène et le
s’incorporer de la sorte 1 âme d’un person- reprenant au cinéma, s’il parvient à se dénage imaginaire, la spontanéité redevient pouiller de ce qui est strictement scéni-possible: c’est une broderie sur un tracé; .jijque dans son jeu, réunit tous les éléments bien rtnarqué. Et je crois que Facteur de|.Id’une interprétation parfaite. » O. C.
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LA DERNIÈRE COMPAGNIE
Une page émouvante des guerres napoléoniennes Un film remarquablement réalisé par
Kurt Bernhard
d'après un argument de Ludwig von Wohl Musique de Décors d'
Bernartzky Andrejew
PERS-BEOORDEELIN GEN
Voorwaarts:
...Geraffineerde techpiek. De toonregie is een der uitmuntend gelukte dingen in dezen film. De hoedanigheid der weergave is voortreffelijk.
De Maasbode:
Deze rolprent is werkelijk goed, uitzonderlijk prachtige fotografische opnamen. D!e film is bizonder waardevol vanwege zijn fijn uitgesponnen psychische momenten. Sinds lang hebben wij niet zulke voortreffelijke film gezien.
Rotterdamsch Nieuwsblad:
Een film zooals men ongelukkig niet dikwijls eens te zien krijgt. Een heldendicht in beeld en toon.
Nieuwe Rotterdamsche Courant:
Een merkwaardige film, een ongemeen schouwspel, een film met groote verdiensten.
CARACTERE DU FILM
Film de guerre, mais de la guerre napoléonienne. On y exalte avec simplicité un épisode héroïque: treize hommes et une jeune fille qui se font tuer dans un moulin par l’armée de Napoléon. Par le style des tableaux, par l’émotion qui se dégage des détails, et surtout par le sobre et pathétique interprétation de Conrad Veidt, ce film émeut, bouleverse.
TECHNIQUE,
Kurt Bernardt qui fit Bêtes humaines, sait photographier les visages et leur faire exprimer le maximum de sentiments. Des paysages désolés, des marais, une plaine déserte, froide et brumeuse donnent à ce film son âme. Les scènes dans le moulin sont saissantes. Bernhardt utilise le silence au début du film, puis à la fin quand l’officier français se découvre devant les morts. Le son est bon.
INTERPRETATION.
Conrad Veidt joue le capitaine avec force, simplicité, émotion, et avec une mesure parfaite. Il est tendu, puis déchaîné et son visage détaché de l’atmosphère vit avec intensité. Karin Evans joue gentiment et sans maladresse. Les interprètes des douze grenadiers sont fort bien typés.
Rivalen der RENBAAN
Een boeiende film van sport en liefde Een echte ren-wedstrijd, op prachtige wijze opgenomen In de hoofdrollen
SUZET MAIS ALBERT PREJAN DREAN
K — prochainement —— ——
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Het Amerikaansch Filmbedrijf
UIT EEN LOOP EN DE BERICHTEN.
Wie de vakpers volgt, krijgt in den jongsten tijd de meest uiteenloo-pende Berichten te lezen over den toestand in de Amerikaansche cinemanij-verheid. Het is, zelfs voor een ingewijde, niet immer gemakkelijk uit te maken of die berichten wel alle even betrouwbaar zijn, te meer daar zij elkander wel eens tegenspreken. Aldus werd onlangs verzekerd door sommige bladen, dat de Amerikaansche cinemanijverheid de krisis, waaronder zij sinds lange maanden gebukt ging, te boven is, terwijl anderen niet aarzelen voor binnen afzienbaren tijd den ondergang van Hollywood in het vooruitzicht te stellen. Wie het van beide bij het rechte eind heeft, zal de toekomst leeren.
Inmiddels staat de Amerikaansche cinematografie daar nog immer als de technisch best toegeruste van de wereld. Ook komt het ons belangwekkend voor, hier een plaatsje in te ruimen voor eenige van die berichten.
SAMENWERKING MET EUROPA.
Daar is in eerste plaats het belangrijke nieuws, dat wij lazen in Nederland-sche bladen, en luidens hetwelk er een overeenkomst voor samenwerking zou gesloten zijn tusschen een van de voornaamste Amerikaansche voortbrengingsfirma’s, de Fox, met het machtigste zusterlichaam uit Europa, de Duitsche Ufa.
De Ufa had reeds vroeger getracht, een dergelijke overeenkomst met de Amerikaansche Paramount te sluiten, maar de onderhandelingen waren af gesprongen. Dan heeft de Ufa zich maar tot de Eox-maatschappij gewend en beider gemeenschappelijk voortbrengingsprogramma zou reeds opgemaakt zijn.
Een van de aanleidingen tot de afspraak was de vaststelling, tot dewelke de D'uitsche firma was gekomen en luidens dewelke de E.ngelsche versies van haar films in de nieuwe wereld niet het verhoopte succes behaalden. Dterhalve geeft zij er de voorkeur aan, die versies te Hollywood te laten maken door vaklui, die beter dan Berlijn den smaak Van het Amerikaansch publiek kennen.
De Fox-firma, die wel immer op een omvangrijke voortbrenging heeft kunnen bogen, heeft in den jongsten tijd vastberaden pogingen gedaan om ook uit kunst-oogpunt op peil te geraken, iets waarin zij nu eigenlijk blijkt te slagen. Terwijl haar Amerikaansch personeel de Ufa helpen zal om derzelver positie op de markt van de nieuwe wereld te verstevigen, zal de Duitsche firma haar technisch personeel en haar studio's te Berlijn ter beschikking houden van de andere kon-traktante voor de verwerking van haar films voor Europeesch gebruik.
Dte Engelsche firma Gaumont-British, die reeds in nauwe verstandhouding met de Fox en de Ufa leefde, blijft bij de nieuwe afspraak betrokken.
ENKELE BEDENKINGEN.
Aldus een van die berichten, bij dewelke evenwel onmiddellijk eenige bedenkingen passen.
Immers, met deze overeenkomst brengt men eenige feiten in verband, waarover reeds vroeger bericht werd, en die meer van artistieken aard zijn. Zoo beweert men, dat het vertrek van de Ufa-star Lilian Harvey naar Hollywood enkel de iri-zet zou zijn van een geregeld uitruilen
van vooraanstaande filmartisten. Wat een bevestiging zou vinden in het aanwerven door Hollywood van krachten als Dorothea Wieck en andere, was het niet dat dezen toch geenszins in Amerika voor de Fox gaan werken.
En, voegt men er aan toe, dus begrijpt men ook waarom Paramount aan Marlène Dietrich het verlaten van het Amerikaan-sche grondgebied ontzegde, vermits diezelfde Paramount de vrees kon koesteren dat de
En Josef von Sternberg, zoo heet het verder, keert Amerika den rug toe en koestert het plan om nu in Europa zijn toekomstige films te maken. Maar dat in hem een van de steunpilaren van de Fox-Ufa-afspraak dient gezocht, zal ook wel zuiver een veronderstelling zijn, vermits Sternberg zelf aan Berlijnsche interviewers te kennen gaf dat de wereldreis, die hij gaat ondernemen, hem weer ten slotte naar Hollywood voeren zal.
Ook kent men, immer in verband met voornoemde afspraak, een groote betee-kenis toe aan het bericht, luidens hetwelk Erich Pommer, de gezaghebbende pro-duktieleider van de Ufa, naar Hollywood gaat, om aldaar een half dozijn films te maken. Maar waarop die bewering steunt is niet recht duidelijk. Te meer daar er in de Duitsche vakpers wel spraak is van een bezoek, dat Pommer eerstdaags aan Hollywood zal brengen, zonder hieraan even-
Sommige bladen hebben gemeend de overeenkomst Fox-Ufa als een opzienbarend feit te mogen kenmerken. Steunende op wat voorgaat, krijgen wij den indruk dat die samenwerking wel niet 2oo’n omwenteling op de internationale filmmarkt zal veroorzaken, dan die bladen voorspellen.
HOLLYWOOD BEZUINIGT.
Voor enkele groote Hollywoodsche ondernemingen, werd het jaar 1932 gekenmerkt door het uittreden van personen, die tot dusver een leidende rol uit bedrijfs-oogpunt hadden gespeeld. De Fox-maat-schappij heeft zelfs William Fox verloren, die de grondlegger van deze firma was. En aan haar kant heeft de Paramount verzaakt achtereenvolgens aan drie van haar bedrijfshoofden, waaronder eveneens een van de grondleggers, namelijk Jesse L. Lasky. Ob diens heengaan volgde dat van Sam Katz, die zich voornamelijk om de uitbreiding van het exploitatienet had bekommerden daarna dat van Sydney Kent, die nu bij Fox het hooge woord voert.
Ook bij andere firma’s uit Hollywood heeft het verschijnsel zich voorgedaan en geenszins vermetel is het te beweren, dat een van de oorzaken ervan dient gezocht in de krisis, die de maatschappijen hebben doorgemaakt. Een nieuwe geest diende het bedrijf, en voornamelijk de voortbrenging, te beheerschen, en daartoe moest men kunnen rekenen op jongere elementen, wilskrachtig genoeg om de hervormingen door te drijven, door de omstandigheden vereischt.
Onder deze hervormingen was een van 'de meest dringende: een ernstige inkrimwel de hooger aangehaalde beteekenis toe j ping van de produktiekosten, zou men het te kennen: dat bezoek blijkt enkel eenjjhoofd kunnen blijven bieden aan de zwa-studiereis te zullen zijn. re verliezen die werden geboekt.
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Déguisement et Maquillage....
L’art du maquillage, presque oublié depuis quelgues années, réapparaît de nouveau à l’écran. Les studios ne recherchent plus autant de « types » pour jouer certains rôles, préférant utiliser les déguisements.
Le maquillage n’est plus utilisé aujourd'hui, comme il y a quelques années, pour embellir une personne: il sert plutôt à transformer la physionomie de l’ac-teur.
Les nouvelles pellicules extra-sensitives, les nouvelles lumières à incandescence et tous les autres progrès de la photographie, ont aboli le maquillage, qui était auparavant considéré comme une nécessité; fond de teint, ombre des yeux, le rouge et la poudre, dont le visage devait être couvert afin de pouvoir affronter les fortes lumières, ne sont presque plus employés. Aujourd’hui, les hommes, dans des rôles ordinaires, ne se maquillent jamais, en général. Les femmes n’emploient qu’un peu de poudre et du rouge pour les lèvres.
Mais comme le cinéma semble vouloir retourner aux films de grand spectacle, l’art scientifique de Lon Chaney, Boris Karloff, Jean Hersholt, et bien d’autres, revient à la mode.
Les experts du maquillage sont maintenant plus occupés que jamais. 11 y a, par exemple en ce moment, aux studios de la
M.G.M., le sinistre déguisement de Boris Karloff, personnifiant Fu Manchu, dans le « Masque de Fu Manchu », qui prend deux heures à être appliqué. Non seulement son visage, mais tout son corps est déguisé, de longs ongles aux doigts, et il porte des moustaches étranges. La jolie Myrna Loy subit, elle aussi, un important maquillage, car elle joue le rôle d’une »—
jeune Chinoise. Les yeux sont bridés en appliquant des morceaux de peau de poisson, retenus par une « gomme d esprit », le tout disparaissant sous une couche de « fond de teint ».
Lans (( Raspoutme », il s’agit de représenter des personnages ayant réellement vécu.
« Dans ce cas-ci, nous explique Cecil Holland, l’expert maquilleur des studios de la M.G.M., notre plus grande aide est les actualités cinématographiques. Pour « Raspoutine », nous pûmes assembler quelques photographies et quelques morceaux de vieilles actualités. Celles-ci présentent non seulement les traits exacts d’une personne, mais aussi ses gestes, sa démarche et les expressions du visage. »
Autrefois, les acteurs et les actrices devaient se maquiller laborieusement accentuer les cils, les paupières, toutes ombres de yeux, et les lèvres bien entendu, f out cela, aujourd’hui, est inutile; grâce à la photographie moderne beaucoup de personnes paraissent beaucoup mieux sans maquillage. William Haines se maquille encore légèrement, mais c’est surtout pour cacher une cicatrice. John Barrymore se maquille également très légèrement.
Les actrices se contentent de se poudrer soigneusement et de rougir leurs lèvres. Mais, bien entendu, lorsque le personnage interprété nécessite un déguisement quelconnuie, tout est différent. Par exemple, Ncrma Shearer dut passer une heure tous les jours pour se préparer pour son rôle dans » Strange Interlude », dans les dernières scènes cù elle représente une vieille femme. C’est un déguisement compliqué, obtenu en peignant des lignes et des ombres sur son visage et elle y
Tunnelwerken op Jen film
Over d«t grootsch werk werd reeds cneindig-veel geschreven,; in alle landen versehenen reeds in nieuwsbladen en nog meer in vakschnî-ten, ettelijke bijdragen, opgeluisterd met tretende loto s.
De uitvoerende firma: de zóó durvende Soc. des Fieux Franki, heeft echter meer willen doen: zij heeft een eenig dokument willen samenstellen die aan de huidige en de komende geslachten zal toonen HOE de tunnels onder de Schelde tot stand kwamen, in een onverzwakte krachtinspanning van ongeveer 2 jaren: E,en film werd opgenomen die, beter dan welke beschrijving ook, aanschouwelijk heel de gang van deze cyclopenonderneming — waarop iedere Sinjoor mag fier zijn — weergeeft.
Ho! de macht van den Film: het rythme van die wit-zwarte beelden die zich aaneenschakelend de visie opwekken van het grootsche gebeuren: van de overwinning der Techniek. Vooreerst enkele synthetische luchtopnamen van de Stad, als een voortvluchtig panorama dat eindelijk wegzinkt op die dorre, eenzame vlakte van Sint Anna, waar plots, als bij toover-slag, de Wetenschap nieuw leven komt geven! En het is den geleidelijken, stel-selmatigen, grootscheeps-opgevatten aanleg der voorbereidingswerken: de bouw zelf van den tunnel. Men volgt met gespannen aandacht de talrijke fazen van indrukwekkenden arbeid, waarbij bestuur, ingenieurs, leiders en werklieden al hebben gegeven wat zij geven konden om de wereld te toonen wat ONZE men-schen vermogen te verwezentlijken en dit uitsluitend met BELGISCHE, materialen.
Hoe de ventilatie zal geschieden, hoe gewerkt werd in samengeperste lucht,
hoe de grond werd bevroren, hoe alles samenleeft in het hart der onderneming: de machineshal, dat alles toont ons deze merkwaardige dokumentarische film, opgenomen op waarlijk artistieke wijze onder leiding van onzen landgenoot, den Oostendschen cineast H. S I ORCK, en met behulp van het zoo degelijk materieel van Gaumont Franco Film Aubert.
DÉGUISEMENT et MAQUILLAGE
(suite)
porte une perruque grise. Qark Gable, Alexander Kirkland, Ralph Morgan durent tous subir un pareil vieillissement pour ce film; mais, dans leur cas, cela fut beaucoup plus facile; les femmes sont, paraît-il, beaucoup plus difficiles à vieillir que les hommes.
L'es personnages historiques ou bibliques présentent toujours de grandes difficultés à interpréter. Le public a d’eux une certaine conception, obtenue habituellement par des tableaux représentant cette époque. La collection de tableaux de Cecil B. de Mille, sur les sujets bibliques, lui est aussi d’une grande utilité pour réaliser des films, tels que les « Dix Commandements», ou encore le film qu’il réalise actuellement aux studios Paramount, sur sa nouvelle histoire de la Bible. Etes centaines de déguisements durent être faits pour ce seul film.
Les déguisements de Lon Chaney et de Boris Karloff sont d’un genre bien différent, destinés, non pas à obtenir une certaine ressemblance, mais à créer une impression d’horreur et de mystère. Pour Lon Chaney, il y eut cependant une exception, son rôle de Quasimodo, dans le «Bossu de Notre-Dame». Lon Chaney copia son étrange déguisement directement des dessins de Victor Hugo, qui ont été publiés dans l’édition originale.
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OPINIONS
Le Cinéma doit-il compléter le Tkéâtre et particulièrement le tkéatre musical?
La question du cinéma, art autonome, a été envisagée plusieurs fois, et d’excellente façon: M. René Cler, notamment, nous a donné son opinion, dont la valeur apparaît définitive. Pour lui, il n’est pas plus question d’un antagonisme, d’une rivalité entre le théâtre et le cinéma, qu’entre la sculpture et la peinture: même « parlant », le cinéma
reste un art de suggestion par l’image, la j parole, réduite au minimum, faisant office de simple accompagnement. Renver-j sons les termes de cette définition, et i nous aurons celle du théâtre, où l’image devient l’accompagnement du verbe. Donc, tout au moins sur le terrain esthétique, ceci ne tuera pas cela.
Ceci posé, la thèse de l’antagonisme une fois écartée, faut-il considérer théâtre et cinéma comme deux manifestations rigoureusement indépendantes, isolées l’une de l’autre par une cloison étanche? Ce serait excessif, sinon en principe, du moins en fait. Or, sans méconnaître le principe, ne peut-on admettre, en certains cas, l’éventualité de leur collaboration? Plus précisément, et sans que cela porte préjudice au cinéma, art autonome, le théâtre ne peut-il, dans la mesure où le permettent les contingences techniques, lui emprunter quelques éléments de décor? Comme nous le rappelions au cours d’un récent article paru dans Le Mercure de France, cette adjonction du cinéma au théâtre a déjà été tentée, et avec plein succès: c’est au cméma que nous devons, par exemple, le très beau décor maritime
de la Tour de Feu. Et nous estimons que, comprise de cette manière, c’est-à-dire tentée avec discernement et discrétion, ià, où en fait de décors la carence du théâtre devient flagrante, cette collaboration peut être une chose parfaitement légitime.
Mais, naturellement, il y faut beaucoup de tact. Ce serait u se erreur grossière que de recourir systématiquement au cinéma j chaque fois qu'il s agirait de représenter, par exemple, tel ou tel spectacle de la nature. Le seul souci de la plus grande Vraisemblance matérielle serait, on le sait, une hérésie et une puérilité, contraires à l’esprit même du théâtre, en même temps qu’un appât offert à la badauderie. Aussi bien, n’est-ce oas à seule fin d’obtenir cette vraisemblance qu’usage peut être fait du cinéma sur une scène. Le vraisemblable ne se justifie pas comme tel, et pour être possible, doit trouver son explication ailleurs, notamment dans le fait qu il arrive à point pour confirmer, pour souligner une donnée dramatique ou psychologique, avec laquelle il s harmonise.
Autrement, en l’absence de toute raison supérieure, nous nous contenterons, comme par le passé, des bons vieux décors. Mais hélas! il y en a qui ne peuvent échapper à cette fatalité du ridicule, fussent-ils l’œuvre d’un décorateur génial!
Ce sont, on le devine, ceux qui ont trait au fabuleux. Fienons l’exemple du drame wagnérien. Pourquoi faut-il que notre joie musicale soit immanquablement gâtée par des invasions de volatiles, de sau-
riens, par les explosions d’intempestifs jets de vapeur, qui nous font regretter les anciens feux de Bengale... Evidemment, à nous autres musiciens, il importe peu de voir, sinon d’entendre, toutes ces belles choses. Mais il y a le gros du public, c’est-à-dire le grand nombre de ceux qui veulent voir, et qui sont venus avant tout pour cela. D’où un énorme succès d’hilarité, d où la « gloire » de Wagner, parmi le populaire, toujours enclin à juger légèrement, et qui a tôt fait d’oublier la plus sublime musique, pour peu qu’il se souvienne d’avoir été à Guignol!
Antérieurement au cinéma, force a été de se contenter des moyens (font on disposait. Il a bien fallu, dans un autre ordre, que Beethoven se contentât des faibles ressources qu’offraient, à son époque, certains instruments de l’orchestre, et que, dans la 5lne Symphonie, il confiât au basson ce que, plus tard, ill eût confié au cor, devenu instrument chromatique. Mais aujourd’hui, pour remédier à cette misère habillée de cartonnages plus ou moins grotesques, n’avons-nous pas les ressources infinies du cinéma? Viendra-t-on reprocher, à ceux qui auraient recours à l’écran pour réaliser des tableaux irréalisables autrement, de porter atteinte aux conceptions wagnériennes? En vérité, peu importe le moyen, si l’effet est bon! Que l’on songe à ce que pourraient être, réalisés cinématographiquement, les tableaux de Y Incantation du feu, de la Chevauchée des Walkyries, des Ondines, de l’écroulement du Walhall, etc..., et qu’on les compare avec ce qu'ils peuvent être, réalisés selon les seuls moyens du théâtre, voire du plus perfectionné! Loin de donner au spectacle une importance
qui nuirait à la musique et à la parole, cette adaptation du cinéma, au contraire, lui restituerait sa vraie valeur, en l’harmonisant avec le reste. Et, ainsi, un nouveau pas serait fait vers cet idéal de synthèse rêvé par Wagner.
Il serait possible également, grâce au cinéma (comme nous l’avons suggéré dans l’article du Mercure de France mentionné plus haut), de représenter, enfin, la scène d’Yniold et des moutons, du 4me acte de Pelléas et Mélisande.
Le cadre de cet article ne nous permet pas de rechercher les autres cas particuliers où le cinéma pourrait apporter au théâtre une aide efficace. Nous avons parlé du drame wagnérien, en particulier de la Tétralogie, où une réforme paraît s’imposer plus qu’ailleurs. Pour nous résumer et pour conclure, nous dirons qu’à notre point de vue, le cinéma peut intervenir au théâtre au moins de deux manières: soit comme un nouveau et puissant élément de suggestion, c’est-à-dire comme un adjuvant, soit comme le moyen d’éviter des exhibitions ridicules, c’est-à-dire comme un correctif. Nous ne nous dissimulons pas les difficultés qu’auront à résoudre les réalisateurs, en ce domaine. Il faudra non seulement les techniciens, mais, avant tout, des artistes, des gens de tact, qui comprennent l’œuvre qu’ils ont mission de servir. Mais si, comme nous l’espérons, l’idée est bonne, nous ne doutons pas, qu’en dépit de toutes les difficultés de réalisation et de mise au point, ellle ne fasse, un jour, son chemin.
Edmond MARC.
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