Programme de 15 à 21 mai 1931



Livret de programme

Source: FelixArchief no. 1968#725

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15

Zater­dag

Pro­gramme 36 Speel­wi­j­zer

Ven­dredi *5? Samedi “tfi Dimanche Lundi -j o Ma r d i

Vri­j­dag Zater­daa AU Zon­daa A / Maan­dan Aö Dinad in A-r

Zon­dag

Maan­dag

Dinsd ig

Jeudi qmai Don­der­dag

Mei

1931

1 Eclair-Jour­nal

Actua­li­tés fil­mées

2. La Place est bonne.

Comé­die bouffe Scé­na­rio et réa­li­sa­tion;

ROGER LION

1 • Eclair- N ieu wsbe­rich­ten.

Ver­filmde aktua­li­tei­ten

2. Een goede plaats I

Kluchts­pel Sce­na­rio en ins­ce­nee­ring:

DRA­MA­TIS PER­SONÆ:

M. Dutilleul , Armand Ber­nard

Mme Dutilleul . . Yvonne Leduc

M. Pavillon Camus

Lea de Pepin d’Hers­tal Marthe Sar­bel

3- De Spaansche Roos

Dra­ma­tisch film­spel

3- Rose d'Es­pagne

Comé­die dra­ma­tique

Scé­na­rio: Sce­na­rio :

VIC­TOR ABEL & RUDOLF KÄTSCHER

Mise en scène: Regie :

HANS BEH­RENDT

Prise de vues: Zich­top­na­men :

FRIE­DEL BEHN-ORUND

Décors Scher­men

W. A. HER­MANN

DRA­MA­TIS PER­SONÆ:

Rosita .lENNY JUCÎO

Pedro .... Enrico Ben­fer

Andrea .... Clif­ford Mac Laglen

Tolo­meo .... Kai­mondo van Riel

De Rova Felix de Pomès

Manuela . . . .lutta Jol

Cam­bero .... Michael Rasumnv

Le caba­re­tier du « Scor­pion Noir » Hans Stern­berg

De waard uit de «Zwarte Schor­pioen»


La place est bonne

Grand branle-bas chez les Dutilleul!

M. Dutilleul a invité son chef de bureau et on com­prend qu'il tienne à ce que le dîner soit des mieux réussi.

Evi­dem­ment, la pré­ci­pi­ta­tion géné­rale occa­sionne les péri­pé­ties les plus effa­rantes...

Pour comble de mal­heur, Madame Dutilleul n’a pas encore aperçu la bonne annon­cée par le bureau de pla­ce­ment. Elle arrive enfin, dis­tin­guée, élé­gante: M1"11'' Léa de Pepin d’Hers­tal, bache­lière, ancienne élève du Conser­va­toire. On lui assure que ci la place est bonne ».

Le chef de bureau, M. Pavillon, arrive à son tour, alors que M. Dutilleul est sorti pour ache­ter des cigares; la porte est ouverte, il entre. C est un homme sym­pa­thique, élé­gance de busi­ness­man. Il com­mence à exa­mi­ner l’in­té­rieur des Dutilleul, mais en regar­dant de trop près un tableau, il le fait tom­ber, et le croyant crevé, le met vive­ment dans le piano.

M?ne Dutilleul entre jus­te­ment, elle aidait la bonne et elle est en tenue de cui­si­nière, aussi demeure-t-elle pétri­fiée, lorsque Mi. Pavillon la prend pour la bonne. Et lorsque Léa entre, Ml Pavillon, pour­sui­vant sa méprise, crois recon­naître en elle la maî­tresse de mai­son.

Le qui­pro­quo conti­nue et se com­plique du fait que M. Pavillon paraît trou­ver Léa fort à son goût.

Ml. Dutilleul revenu, ne fait rien pour détrom­per son chef, com­pre­nant que ce mal­en­tendu le sert: à la grande fureur de sa femme évi­dem­ment.

La soi­rée se pour­suit, que ML Pavillon passe des plus agréables, on fait de la musique, Léa chante...

Een goede plaats I

roote beroe­ring bij de Dutilleul’s! M. Dutilleul heeft zijn kan­toor­chef uit­ge­noo­digd en men begri­jpt, dat hij er op staat dat het een fes­tijn zij.

Natuur­lijk zal de zenu­wach­ti­gheid, die zich van allen mees­ter maakt, de dol­ste frat­sen uitha­len. En om al de onge­luk­ken te bekro­nen heeft Mevr. Dutilleul nog niet de meid « in ont­vangst geno­men », alhoe­wel zij door het Plaat­sing­sbu­reau werd aan­ge­kon­digd. Zij komt ein­de­lijk; zij is vol dis­tinc­tie en ele­gan­tie: zij heet Lea de Pepin d’Hers­tal, oud-leer­linge van het Conser­va­to­rium. Men ver­ze­kert haar, dat het « een goede plaats is ».

De kan­toor­chef. Ml. Pavillon, komt op zijn beurt aan, op het oogen­blik dat M. Dutilleul naar den siga­ren­win­kel is ges­neld. De deur staat open. Hij gaat bin­nen. Een sym­pa­thieke man, die als ken­ner het ver­trek van de Dutilleul’s in oogen­schouw neemt. Hij bekijkt een schil­de­rij al te dicht, zoo­dat het neer­valt. Ten einde raad stopt hij het in de piano.

Mevr. Dutilleul komt juist bin­nen: in keu­ken­plunje. Zij bli­jft als aan den grond gena­geld, wan­neer M. Pavillon ze neemt voor de meid. En wan­neer Lea bin­nen­komt begroet M. Pavillon ze als « vrouw des huizes ».

De ver­war­ring wordt des te inge­wik­kel­der, daar M. Pavillon Lea zeer naar zijn smaak vindt.

M. Dutilleul die terug­ge­keerd is, doet niets om zijn chef omtrent den juis­ten « stand van zaken » in te lich­ten, daar hij dit mis­vers­tand gansch in zijn voor­deel vindt, tot groote erger­nis van Mevr. Dutilleul.

En den gan­schen avond door zal die ges­cha­pen toes­tand de dol­ste ver­wik­ke­lin­gen uit­lok­ken...

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ROSE D’ES­PAGNE

Dans 1 île de Majorque, San Vin­cente, un pai­sible vil­lage. Deux jeunes pêcheurs, deux amis Pedro et Andréa, cour­tisent avec une égale ardeur la jolie Rosita et s’ef­forcent de la déro­ber aux avances amou­reuses du riche Tolo­méo, per­son­nage aussi mys­té­rieux que les sources de sa for­tune.

Eien que son cœur la pousse vers Pedro, Rosita s'ef­force de par­ta­ger équi­ta­ble­ment ses sou­rires entre les deux cama­rades. Mais Tolo­méo, résolu à tous les moyens pour conqué­rir la jeune fille, fait por­ter à Andréa une somme d’ar­gent, avec la pro­messe d'un gain magni­fique s’il accepte de prendre la mer et de pas­ser en contre­bande sur l’autre rive des sacs à des­ti­na­tion de la ville. Séduit par l’ap­pât de la petite for­tune qui lui per­met­tra de gagner sa cause auprès de Rosita, A.​ndréa accepte; mais Pedro refuse net de prendre part à l expé­di­tion. Cepen­dant, la jeune fille, qui a le goût des aven­tures, ayant décidé d’ac­com­pa­gner Andréa, Pedro ne peut se résoudre à lais­ser par­tir Rosita avec son rival et embarque au der­nier moment.

Après avoir mira­cu­leu­se­ment échappé aux pro­jec­teurs du bateau-patrouille que com­mande le lieu­te­nant de police Anto­nio de Roya, nos trois contre­ban­diers d’oc­ca­sion prennent pied sur l autre rive, tra­versent la ville endor­mie et arrivent au bar du « Scor­pion Noir » où Andréa livre les sacs et reçoit la récom­pense pro­mise. Clien­tèle à mines pati­bu­laires que celle

du « Scor­pion Noir » », dont le pro­prié­taire n’est autre que Tolo­méo, chef tout puis­sant de la troupe remar­qua­ble­ment orga­ni­sée, sur laquelle la police de contre­bande n’ar­rive pas à mettre la main. Appre­nant que Rosita a accom­pa­gné Pedro et Andréa dans leur expé­di­tion, Tolo­méo, afin de rete­nir la jeune fille, lui fait savoir qu’un grand bal mas­qué aura lieu le soir même dans l’éta­blis­se­ment. Andréa, qui a tou­ché la forte somme, offre à Rosita une toi­lette magni­fique. Au cours du bal cos­tumé qui voit l écla­tant suc­cès de la jeune fille, Andréa s’en­ivre. Pro­fi­tant de cette cir­cons­tance, les hommes à la solde de Tolo­méo réus­sissent à sépa­rer Pedro de Rosita, enlèvent la vic­time réser­vée au chef et l’en­ferment dans une salle du pre­mier étage. Au moment où Tolo­méo va s’em­pa­rer de la jeune fille, Andréa le sur­prend, et sou­dai­ne­ment dégrisé, engage, pour sau­ver Rosita, une lutte au cours de laquelle il trouve la mort.

A son tour, Pedro se pré­ci­pite au secours de Rosita et par­vient à arrê­ter Tolo­méo, au moment où le ban­dit entraîne sa vic­time dans un cou­loir sou­ter­rain. Mais sou­dain la police, com­man­dée par le lieu­te­nant de Roya enva­hit la mai­son. Après une vive résis­tance, les ban­dits et leur chef sont faits pri­son­niers, tan­dis que Pedro et Rosita pro­fitent de la bagarre pour fuir et reprendre la mer.

Débar­rassé de ses deux rivaux, le jeune homme consa­crera sa vie au bon­heur de celle qu’il aime.


De Spaansche Roos

Rosita leeft zor­ge­loos en lus­tig in het kleine vis­schers­dorp San Vin­cento, op het eiland Mal­lorca. Twee jonge vis­schers. Pedro en Andrea, maken haar het hof. Alhoe­wel zij zich meer tot Pedro voelt aan­ge­trok­ken, ver­deelt zij noch­tans haar gene­gen­heid tus­schen beide, om noch den eene noch den andere te kren­ken. Ook Tolo­meo, de rijkste man van heel den omtrek, zet het mooie, tem­pe­ra­ment­volle meisje na. Maar Pedro en Andrea waken, opdat Tolo­meo de uit­ver­ko­rene van hun hart niet nade­ren zou.

Op zeke­ren dag laat Andrea zich ove­rha­len smok­kel­wa­ren naar de stad te ver­voe­ren. Pedro, dien hij mede in de zaak wil betrek­ken, wei­gert: hij wil met heel dat gedoe niets te maken heb­ben! Maar Rosita, tuk op avon­tu­ren, verk­laart dat zij in den nacht Andrea naar de stad zal ver­ge­zel­len. Kort vóór de afvaart daagt Pedro op die nog altijd wei­gert de smok­kel­goe­de­ren te ver­voe­ren, doch die anders-zijds niet wil dat Rosita naar de stad trekt in gezel­schap van zijn mede­min­naar.

Tal van voor­val­len doen zich voor, o.a. de ach­ter­vol­ging door de poli­tie­boot, tot zij ein­de­lijk in de stad aan­lan­den, in de taveerne « De Zwarte Schor­pioen », waar de smok­kel­waar dient afge­le­verd.

De waard kri­jgt opdracht van­wege de aan­voer­der der smok­ke­laars­bende, de drie aan­ge­ko­me­nen te wee­rhou­den. Waa­rom? Omdat Rosita dààr is, en omdat de aan­voer­der nie­mand anders is als... Tolo­meo. Van het geld, het­welk hij voor zijn smok­kel heeft beko­men, kocht intus­schen Andrea een prach­tig kleed voor Rosita. En deze wil wel in de stad bli­j­ven en zich ver­ma­ken in « D'e(n) Zwarte (n) Schor­pioen ». Het is een waar bui­ten­kansje,

want nog nooit heeft zij haar vis­schers-dorpje ver­la­ten en het gemas­kerd bal, het­welk dien avond plaats heeft, is voor haar waar­lijk iets eenigs.

Intus­schen is de poli­tie niet wer­ke­loos geble­ven en de offi­cier de Roya treft alle maa­tre­ge­len om het smok­ke­laars­nest, tij­dens het gemas­kerd dans­feest, waa­raan slechts « inge­wi­j­den » deel­ne­men, te over­val­len.

Tij­dens het bal tracht Tolo­meo Rosita, die hem steeds op afstand weet te hou­den, te over­mees­te­ren. Hij laat ze door een groep gemas­ker­den, schi­jn­baar uit scherts, uit de zaal voe­ren en ops­lui­ten. Wan­neer Andrea ze bevri­j­den wil, schiet de schurk hem onge­na­dig neer.

Tus­schen Rosita en Pedro is in dit vreemd­soor­tig mid­den een wer­ke­lijk diepe liefde onts­taan.

Tolo­meo weet ech­ter Pedro s opmerk­zaam­heid te ver­schal­ken. Doch het duurt niet lang of hij heeft het besef dat Rosita een schur­kens­treek ten offer is geval­len. In vert­wi­j­fel­den strijd rukt Pedro zich doo­rheen Tolo­meo s hand­lan­gers, die hem met bru­taal geweld willen wee­rhou­den. Hij komt juist op het oogen­blik dat Tolo­meo Rosita door een onde­raard­schen gang uit het huis wil weg­voe­ren. Hij zet hem na en na een wan­ho­pig gevecht gelukt hij er in Tolo­meo neer te slaan en Rosita te bevri­j­den.

Geluk­kig snelt hij met het meisje weg. Dan tracht Tolo­meo nog een laatste schur­kens­treek uit te voe­ren, hij wil Pedro in den rug neer­schie­ten.

Doch voo­ra­leer het schot afgaat, wordt hem 'het wapen uit de hand ges­la­gen door de poli­tie­lui­te­nant de Roya, die meteen de hand legt op den ban­diet-smok­ke­laar.

Zoo kun­nen Pedro en Rosita naar hun dorpje terug­va­ren, om elkaar voor het leven toe te behoo­ren.

GLOBE

Le Globe est une bois­son rafraî­chis­sante d’une pureté et d’une finesse incom­pa­rables.

Son goût exquis, son par­fum suave et sa déli­cieuse fraî­cheur, lui ont valu son sur­nom —.

L'AME DU CITRON

CC&ftQ­jf­Sg­j­ÇH­WEPPc s: LQNOÔï7KM<û&tgj


LILIAN

HAR­VEY

SYM

MARIETTE

niLL­NER

HARRY

HALM

SCE­NA­RIO:

Frans SCHULZ

Michel LINSK7

VAAR­WEL

MAS­COTTE

REGIE:

Wil­helm

THIELE

Ven­dredi Samedi Dimanche Lundi Mardi Jeudi

22 25 24 25 26 28

Vri­j­dag Zater­dag Zon­dag Maan­dag Dins­dag Don­der­dag


Les aven­tures d’un modèle!

Grande fête chez les rapins à 1 occa­sion de la «Sainte-Croûte». Mas­cotte, jeune modèle, et Gaby, son insé­pa­rable amie, animent cette fête de toute leur jeu­nesse triom­phante.

Gaby, faible de la poi­trine, se trouve mal et le doc­teur appelé en toute hâte pres­crit un séjour pro­longé en Suisse.

Com­ment trou­ver l’ar­gent? Mas­cotte a une idée: vendre des tableaux aux enchères. Hélas! l’ar­gent récolté ne fait que deux mille francs. « Je vais vendre mon por­trait », dit Mas­cotte.

Et c’est alors qu’un vieux mon­sieur pro­posa dix mille francs... pour le modèle! Fina­le­ment le tout fut adjugé à Jean Dar-dier — un jeune homme — pour vingt mille francs.

Dar­dier vou­lait rendre sa femme jalouse, car il l’avait sur­prise en fla­grant délit de coquet­te­rie avec Gas­ton Dupré. Il pen­sait ainsi la faire reve­nir à lui.

Que pen­sez-vous qu’il arriva? Non seule­ment Jean Dar­dier à ce petit jeu dan­ge­reux n’ar­riva pas à recon­qué­rir sa femme, mais Mlas­cotte s'amou­ra­cha de lui et...

Venez voir et applau­dir ce film plein de gaîté, de vie, de jeu­nesse. Les scènes les plus réus­sies sont évi­dem­ment celles du slee­ping, car le spec­ta­teur ne peut se dou­ter un seul ins­tant que l’his­toire se ter­mi­nera ainsi. Le départ des deux trains, en sens inverse avec cha­cun son couple qui se dit adieu, est tout à fait réussi. Mise.​en scène par­faite de Wil­helm Thiele et pho­to­gra­phie impec­cable de Topor­koff.

Une excel­lente dis­tri­bu­tion, - com­pre­nant Lilian Har­vey, Mas­cotte char­mante et espiègle; Harry Halm, Gas­ton Dupré bêbête et bonasse; Igo Sym, Jean Dar­dier sym­pa­thique et bon enfant; Marietta Mil­l­ner, Josette volage à sou­hait.

Ce qu’en dit la presse

Le Cour­rier Ciné­matc­gra­phique:

La mise en scène est agréable, mou­ve­men­tée, les détails drôles y abondent et l’on s'amuse sin­cè­re­ment d'un bout à l autre du film. Lilian Har­vey, tou­jours char­mante et d’un entrain endia­blé, est agréa­ble­ment entou­rée par Marietta Mil­l­ner, Igo Sym et Harry Halm.

Hebdo-Film:

Ce film est mené par Thiele dans un excellent mou­ve­ment. La pho­to­gra­phie de Topor­koff est lumi­neuse et les décors de Jack Rot­mil sont très réus­sis. L’in­ter­pré­ta­tion d’une bonne homo­gé­néité mérite éga­le­ment les plus vifs com­pli­ments: Lilian Har­vey, vive, mutine et pleine d’en­train est ado­rable dans le rôle du petit modèle. Igo Sym est un Dar­dier sym­pa­thique et dis­tin­gué. Harry Halm ne manque pas de finesse et Marietta Mil­l­ner est char­mante dans le rôle de la femme volage.

La Ciné­ma­to­gra­phie Fran­çaise:

Lilian Har­vey anime de sa piquante jeu­nesse le rôle de Mas­cotte. Mariette Mil­l­ner est Josette avec sou­plesse. Igo Sym mérite mieux que ce rôle et Harry Halm est tou­jours à 1 aise. Caho­tante et cha­hu­tée, l’in­trigue est cocasse et pleine de rebon­dis­se­ments indi­qués avec gaieté dans une réa­li­sa­tion claire et sans lour­deur,

La Cri­tique Ciné­ma­to­gra­phique:

C’est une comé­die fraîche, déli­cate et réa­li­sée avec toute la bonne tenue dési­rable. A côté de Lilian Har­vey, Igo Sym, Mariette Mil­l­ner et Harry Halm sont biçn et jouent le plus natu­rel­le­ment du monde des rôles aima­ble­ment incon­sis­tants.

Lyé­li­cieu­se­ment pétillante, d’une saveur franche et fraîche, le Schweppes est une eau d’une pureté sans pareille.

Légè­re­ment miné­ra­li­sée elle contient juste les sels néces­saires â débar­ras­ser l’or­ga­nisme des Impu­re­tés qui

l’en­va­hissent.

Si vous tenez A votre santé, faites un usage régu­lier de Schweppes.

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Een ijs-tra­ge­die

Het vroor dat het kraakte. Gok toen W ilhelm Thiele het bli­js­pel « Vaar­wel Mas­cotte » ver­we­zen­lijkte.

Een klein too­neel, tij­dens het­welk Lilian Har­vey bit­ter te wee­nen had, wijl haar vriend haar op onge­loo­fe­lijk-toor­nige wijze ver­liet, kwam aan de beurt.

De kleine Lilian had zóó bit­ter te wee­nen dat een kleine vrie­ze­man in ijs­room, vol mede­ge­voel met haar moest wee­nen en in die heete tra­nen weg­smel­ten.

Het kleine, aar­dige ding werd gebracht. Lilian Har­vey neemt de zil­ve­ren scho­tel vast. Men wacht. 1 ever­geefs. Het kleine ijs­man­netje bli­jft roer­loos. Ce Sibe­rische koude van bui­ten had hem zóó doen bevrie­zen dat noch de gloed der schi­jn­wer­pers, noch de kom­mer der mooie Lilian hem ken­den ont­dooien.

Plot­se­ling en onver­wacht komen in Lilian’s oegen de tra­nen te voor­schijn; de tra­nen die met zoo­veel onge­duld wer­den begluurd door gansch den staf der opne-mers. Zij loo­pen langs haar wan­gen en drup­pe­len neer.

Lr daar begint ook het Ijs­man­netje te wee­nen!

« Prach­tig, roept Thiele uit, prach­tig, prach­tig! C'p­ge­past — opname! ». Kleine Lilian weent bit­ter­der en bit­ter­der: het Ijs­man­netje smelt weg als sneeuw voor de zon... Plot­se­ling, ter­wijl zij nog weent, roept Lilian plots uit: « Ik kan niet meer!» cn de zil­ve­ren scho­tel valt klet­te­rend op den grond.

Men snelt naar haar toe. D'an stelt men vast dat de door-koude zil­ve­ren scho­tel haar arme kleine han­den star en stijf bevro­ren had en dat het echte pijn was die haar zulke overv­loe­dige tra­nen had doen wee­nen... tot de dap­pere, kleine Lilian het niet lan­ger kon uithou­den. Igo Si/m.

Over Marietta Mil­l­ner

Een wel inter­es­sante loop­baan heeft de bekende film­ver­tolks­ter Marietta Mil­l­ner ach­ter zich.

Reeds haar eerste film­rol bracht haar een onge­woon avon­tuur. In het jaar 1925 ver­vulde zij de hoof­drol in den film « Dle Doch­ter van Mevr. Las­sac », waar­van de bui­te­nop­na­men plaats had­den in het Park van Ver­sailles. Men zou een groot tuin­feest opne­men; hier­voor was het vol­le­dig bal­let­korps van de « Casinp de Paris » aan­ge­wor­ven.

Door toe­doen van enkele chau­vi­nis­tische dag­bla­den brak een schan­daal los: men had in Ver­saille s his­to­rische tui­nen naakte vrou­wen ver­filmd. En dan waren het nog Duit­schers die dit onge­hoord mis­drijf op hun kerf­stok had­den!!

D'e regis­seur en de ver­tol­kers wer­den aan­ge­hou­den. En zoo kwam het dat Marietta Mil­l­ner in de Pari­j­zer gevan­ge­nis te- 5 recht kwam. Haar « gas­trol » aldaar duurde elf dagen. Eerst den twaalf­den dag werd zij los­ge­la­ten na veront­schul­di­gin­gen en nog wat van de Fransche poli­tie... Die « zaak » maakte des­ti­jds wel ophef. Sedert haar bevri­j­ding gedroeg zij zich zeker opper­best, want zij geraakte in ieder geval niet meer in een gevan­ge­nis terecht!

In het jaar 1926 trok zij met film­re­gis­seur jacoby op werel­dreis, tij­dens dewelke zij in vijf ver­schil­lende films optrad. Tij­dens haar opon­thoud te Hol­ly­wood werd zij door Para­mount ver­bon­den en haar eerste film voor de Ame­ri­kaansche firma speelde zij onder lei­ding van John Water. Later was James Graze haar « direc­tor ». Haar kon­trakt ten einde, keerde zij naar Cuit­schland terug.

Helaas, haar bij­val zou van kor­ten duur zijn, want kort daa­rop stierf zij.


Hoe " V aar wel Mas­cot­te' " onts­tond of

Op een avond, moe van den har­den stu­dioar­beid, ging ik in een spi­j­shuis van Ber­lijn-West uitrus­ten. Een Bala­leïka-orkest speelde er zwaar­moe­dige wij­zen. Ik zat daar en dacht aan alles en aan niets...

Een blond, klein meisje kwam bin­nen en zette zich aan een ~ tafel tege­no­ver mij. Lang had ik gele­gen­heid om haar gade te slaan en haar groote, treu­rige oogen trok­ken mij aan. Want dit a meisje was van een opval­lende gelij­ke­nis met Lilian Har­vey.

Dien dag had ik de idee opge­vat van den film « Vaar­wel Mas- ’ cotte ». Door dit kleine meisje kwam ik tot het besef dat dit meisje, dat zoo goed op Lilian geleek, niet alleen een lus­tige sou­brette was, zooals men ze tot hier­toe kende, dat zij niet alleen hield van mooie klee­de­ren, en lok­kend pin­koogde, niet alleen, uit­ge­la­ten lachte, maar vóór alles smar­te­lijk lachen kon. Ik zag in haar het ontroe­rende, het tra­gisch-aan­gri­j­pende, het mede­lij-den opwek­kende. In mijn opge­jaagde ver­beel­ding maakte ik de f

De Ver­zon­ken

regie van max name s « jeuga zag voor mij Rau­ten­de­lein uit Klok ».

De film » Vaar­wel Mas­cotte » met Lilian Har­vey in de titel­rol, ons­tond. Deze film is een bli­js­pel. Doch ik heb de vaste over­tui­ging dat geen bli­js­pel lus­tig kan zijn wan­neer, van tijd tot tijd, geen treu-rigen, soms even tra­gi­schen toon opk­linkt.

Daa­rom heb ik getracht in « Vaar­wel, Mas­cotte » de bli­js­pel­star Lilian Har­vey een nieuw gelaat te geven. Zij speelt de tra­ge­die van een klein men­het andere gelaat van Lilian Har­vey

schen­hart, zij kent de wrang­ste ont­goo­che­ling: het ver­lies van I den man dien zij lief­heeft en van wie zij dacht bemind te wor- ' den. Deze film heeft mij dan ook veel vreugde bezorgd, wijl ik in Lilian Har­vey een wer­ke­lijk-dra­ma­tisch talent heb ont­dekt.

Het ligt in de gewoonte van het kino­pu­bliek en zelfs van de film­ver­we­zen­lij­kers een ver­tol­ker te vereen­zel­vi­gen met één zelfde type, wan­neer deze type de groote bij­val heeft opge­wekt!

Dat is ver­keerd. Men moet het ver­lan­gen van de meeste too-neel- of film­spe­lers tege­moet komen eens hun « vak » te ver­la­ten en gansch andere rol­len uit te beel­den.

In « Vaar­wel, Mas­cotte » heb ik getracht voor de eerste maal Lilian Har­vey een ander gelaat te geven. Zij heeft in deze rolprent een zware, dra­ma­tische opgave te ver­vul­len, die haar van j onbe­kom­merde vroo­lij­kheid voert tot echte tra­giek.

En dat is voor­waar niet de minste waarde van dezen nieu­wen j film, welke ik voor de U.L.A. daars­telde. Wil­helm Thiele. i


LE SIGNE Adap­tée de la pièce de Chan­ning Pol­lock par C. Gard­ner Sul­li­van

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La tech­nique du film sonore

L'en­re­gis­tre­ment sonore

LE FILM CONTRE LE DISQUE.

Pour le ciné­ma­to­graphe par­lant, la lutte est vive entre le disque, qui néces­site des dis­po­si­tifs méca­niques plus com­pli­qués et peut entraî­ner des défauts de syn­chro­nisme, et le film com­plet qui réunit l’en­re­gis­tre­ment sonore et les images. Ce der­nier gagne du ter­rain tous les jours.

Les dimen­sions des enre­gis­tre­ments pho­to­gra­phiques et sonores sur le film, se stan­dar­disent. Les deux pro­cé­dés d’en­re­gis­tre­ment sonore à den­sité variable et à den­sité fixe, sou­te­nus 1 un et 1 autre par de puis­santes socié­tés de divers pays, ont cha­cun de chauds par­ti­sans. On réa­lise des émul­sions qui per­mettent plus de finesse dans les tra­cés; on demande aux pro­cé­dés d’en­re­gis­tre­ment d’at­teindre des fré­quences de plus en plus éle­vées. Tous les pro­cé­dés per­met­tant de modu­ler des radia­tions sus­cep­tibles d’im­pres­sion­ner le film, sont employés.

Cepen­dant les recherches s’orientent de plus en plus vers les prin­cipes qui éli­minent tout mou­ve­ment maté­riel.

ENRE­GIS­TRE­MENT DES HAUTES FRE­QUENCES. L’OS­CIL­LO­GRAPHE CATHO­DIQUE,

On a, depuis long­temps, enre­gis­tré pho­to­gra­phi­que­ment des phé­no­mènes oscil­la­toires de grande fré­quence, au moyen de dis­po­si­tifs dans les­quels les rayons catho­diques (Mit­torf, 1868) issus d’un tube de Braun, sont dépla­cés par des champs élec­tro-sta­tiques ou élec­tro-magné­tiques. Tout d’abord, les mou­ve­ments des

rayons catho­diques étaient visibles sur des écrans fluo­res­cents, dis­po­sés à 1 inté­rieur du tube géné­ra­teur des rayons catho­diques: on les pho­to­gra­phiait depuis l’ex­té­rieur, puis on réa­lisa des dis­po­si­tifs per­met­tant d’in­tro­duire à l’in­té­rieur des géné­ra­teurs, des plaques au tungs­tate de cal­cium.

L’os­cil­lo­graphe catho­dique est de plus en plus per­fec­tionné: Braun, Flem­ming, Joh­son, Wood, y contri­buent; la Wes­tern et la Gene­ral Elec­tric Cy, entre autres, créent des modèles de qua­lité dif­fé­rentes. Enfin, Dufour pré­sente à l'Aca­dé­mie des Sciences (Il mai 1914) son remar­quable appa­reil dans lequel les rayons catho­diques, déviés d’abord par deux champs per­pen­di­cu­laires conve­na­ble­ment asso­ciés pour dépla­cer le point d’im­pact des rayons sur la sur­face sen­sible, se meuvent sui­vant une série de tra­cés sinu­soï­daux sur les­quels tous les détails des mou­ve­ments vibra­toires étu­diés, viennent s enre­gis­trer sous l’in­fluence d’un troi­sième champ qu’ils créent.

J’ai cité l’os­cil­lo­graphe catho­dique parce que cet appa­reil est celui qui a per­mis jus­qu’ici d’en­re­gis­trer les vibra­tions les plus rapides, de l’ordre du mil­liard par seconde.

Les ondes entre­te­nues de la T.S.F., les décharges oscil­lantes les plus rapides, sont jus­ti­ciables de cet appa­reil.

Les har­mo­niques sonores les plus éle­vés qui nous occupent, sont bien éloi­gnés de ces fré­quences et jusqu ici les rayons catho­diques n ont pas per­mis de grandes finesses de tra­cés, mais ces appa­reils, qui n ont certes pas dit leur der­nier mot, de-


vaient être cités dans une étude géné­rale d’en­re­gis­tre­ment pho­to­gra­phique où le prin­ci­pal souci est d’évi­ter les mou­ve­ments maté­riels qui absorbent une éner­gie rapi­de­ment crois­sante.

Dufour dit à ce sujet:

« Si on vou­lait faire vibrer à la fré­quence de dix mil­lions par seconde, une masse de un déci­gramme, avec une ampli­tude de un dixième de mil­li­mètre, il fau­drait employer une force de quatre mille tonnes de poids ».

LA LUMIERE, POLA­RI­SEE. L'EF­FET DE KERR.

En 1906, Hochs­tei­ter prend un bre­vet pour l'ap­pli­ca­tion à l’en­re­gis­tre­ment sonore, de la lumière pola­ri­sée modi­fiée par l’in­fluence d’un champ magné­tique.

La modi­fi­ca­tion de rayons pola­ri­sés par champs magné­tiques ou champs élec­tro­sta­tiques est, à par­tir de cette date, très employée dans l’en­re­gis­tre­ment pho­to­gra­phique appli­qué à la télé­pho­to­gra­phie ou au ciné­ma­to­graphe par­lant, soit qu on applique le phé­no­mène de pola­ri­sa­tion magné­tique de Fara­day, les phé­no­mènes de biré­frin­gence optique de Kerr ou ceux de biré­frin­gence magné­tique de Cot­ton et Mou­ton.

L’ap­pa­reil-type se com­pose d’un dis­po­si­tif des­tiné à modi­fier la biré­frin­gence ou à faire tour­ner le plan de pola­ri­sa­tion d'un corps par l’ef­fet des phé­no­mènes pré­ci­tés, ce dis­po­si­tif étant placé entre deux prismes, genre Nicol ( 1830) ou Glas­brook, dont le pre­mier ne laisse pas­ser qu’un rayon lumi­neux pola­risé dans un plan; le second étant orienté de manière à inter­cep­ter com­plè­te­ment le rayon pola­risé. Toute modi­fi­ca­tion du rayon pola­risé par le dis­po­si­tif placé entre les deux Nicols, affecte le réglage éta­bli et laisse pas­ser à la sor­tie de l’en­semble une

quan­tité de lumière qui varie en fonc­tion de l’in­ten­sité du champ magné­tique ou élec­tro-sta­tique qui la module.

Quand la modi­fi­ca­tion des rayons lumi­neux entre les deux Nicols a lieu par effet élec­trique ou magné­tique sur des liquides biré­frin­gents, comme le sul­fure de car­bone ou la nitro-ben­zine, on a remar­qué que la trans­pa­rence de ces liquides variait après un long fonc­tion­ne­ment ou par échauf­fe­ment au moment de l’ac­tion. On a remé­dié à cet incon­vé­nient en renou­ve­lant le liquide par cir­cu­la­tion et en appli­quant des dis­po­sii­tifs réfri­gé­rants.

La modu­la­tion du rayon lumi­neuv entre les deux Nicols s effec­tue aussi au moyen d’ef­forts méca­niques agis­sant sur un quartz, par pres­sions exer­cées au moyen d’un moteur vibra­toire magné­tique ou dyna­mique: on a pro­posé même d’exer­cer sur des len­tilles des trac­tions per­pen­di­cu­laires à leur axe optique, en appuyant, par exemple, des len­tilles convexes sur un plan, pour modi­fier les rayons lumi­neux en dépla­çant des anneaux de New­ton.

CRIS­TAUX LUMI­NES­CENTS SOUS TEN­SION.

Il faut signa­ler, parmi les pro­cé­dés d'en­re­gis­tre­ment pro­po­sés, celui qui consiste à impres­sion­ner le film sen­sible au moyen de la lumi­nes­cence pro­duite par cer­tains cris­taux quand ils sont pla­cés entre des élec­trodes dont la ten­sion varie en fonc­tion des vibra­tions sonores. Ces lumi­nes­cences sont d’au­tant plus impor­tantes que les cris­taux sont plon­gés dans une atmo­sphère gazeuse de pres­sion et de com­po­si­tion conve­nables: quartz dans

l'azote, par exemple.

LUMI­NES­CENCE DES GAZ RARE­FIES.

Oh emploie aussi, pour l’en­re­gis­tre­ment, des lampes à mer­cure dans les-

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quelles une élec­trode sup­plé­men­taire est pla­cée entre les deux élec­trodes ordi­nal-res.

La ten­sion sonore modu­lée exerce son effet entre cette élec­trode sup­plé­men­taire et l une des deux autres, modi­fiant ainsi la valeur de l éclai­re­ment dans la par­tie de la lampe qu elle tra­verse.

L emploi de la lumière catho­dique, appli­quée dans les petites lampes veilleuses bien connues, à cham­pi­gnon ou à spi­rale, a retenu aussi 1 atten­tion des cher­cheurs.

Parmi les types de lampes lumi­nes­centes employées, les choix se sont fixés sur les types dif­fé­rents avec deux ou plu­sieurs élec­trodes à l’in­té­rieur du tube ou bien une élec­trode à l’in­té­rieur et une à 1 exté­rieur, cette der­nière repré­sen­tée, par la masse de l’ap­pa­reil.

Cer­taines de ces lampes se ter­minent par deux faces taillées du verre de leur enve­loppe, ces deux faces for­mant un angle de nature à conduire l’en­semble des rayons, par réflexion totale, à une extré­mité qui est tron­quée par un plan ayant les dimen­sions requises pour rem­pla­cer la fente par laquelle les rayons lumi­neux atteignent la pel­li­cule sen­sible dans les autres dis­po­si­tifs d'en­re­gis­tre­ment.

L'em­ploi des lampes lumi­nes­centes a appelé l’at­ten­tion sur cer­tains incon­vé­nients qu elles pré­sentent, leur inten­sité d'éclai­re­ment ne sui­vant qu avec un cer­tain retard l’ef­fet des ten­sions qui la com­mandent. Dif­fé­rentes solu­tions sont pro­po­sées pour cor­ri­ger ces incon­vé­nients, parmi les­quelles nous signa­lons l’ad­jonc­tion de ten­sion ini­tiale fixe ou la réduc­tion de la dis­tance entre élec­trodes à une quan­tité infé­rieure à celle de l’es­pace noir qui sépare tou­jours [élec­trode du point où naît la lumi­nes­cence utile.

(à suivre)

Sta­tis­tiques du film

Cent mil­lions d Amé­ri­cains vont au cinéma chaque semaine. Ils y dépensent 40 mil­liards de francs!

Le doc­teur Frank­lin Irby, de New-York, a, au cours d’une confé­rence qu'il a faite à l’as­sem­blée annuelle des ingé­nieurs ciné­ma­to­gra­phiques, tenue à Washing­ton, donné quelques ren­sei­gne­ments inté­res­sants sur le déve­lop­pe­ment de l’in­dus­trie amé­ri­caine aux Etats-Unis.

Le doc­teur Irby a d abord affirmé que le film sonore a porté le nombre des per­sonnes fré­quen­tant chaque semaine les salles de pro­jec­tions amé­ri­caines, à cent mil­lions de spec­ta­teurs régu­liers.

11 a ajouté que, à la fin de 1 année cou­rante, 75 p.c. des ciné­ma­to­graphes amé­ri­cains seront adap­tés à la syn­chro­ni­sa­tion des pel­li­cules; la pro­por­tion euro­péenne ne sera, à la même époque, que de 40%.

Se basant sur ces chiffres et fixant à une moyenne de 30 cents le débours de chaque spec­ta­teur (soit envi­ron fr. 13,50), comme prix d’en­trée dans les salles, le doc­teur Irby a éta­bli que les entre­prises de cinéma, aux Etats-Unis, encaissent, annuel­le­ment, une somme attei­gnant 10 mil­liards de francs.

L’ora­teur a exposé ensuite les dif­fi­cul­tés que ren­contre l’ex­pan­sion des films sonores et par­lants amé­ri­cains. Il pense que ces dif­fi­cul­tés seront sur­mon­tées lorsque I on pourra faire venir, dans les stu­dios des Etats-Unis, des com­pa­gnies d'ac­teurs étran­gers, spé­cia­li­sés dans cet art, et lorsque des pro­cé­dés de pho­to­gra­phie mul­tiple pour­ront être mis au point pour la prise des films.

Enfin, le doc­teur Irby a dit que les sta­tis­tiques montrent que 85 p.c. de la tota­lité des films pro­je­tés dans le monde sont d ori­gine amé­ri­caine.


Scho­len in Film­land

Te mid­den van de reu­sach­tige todh-film­stu­dios, uit­ges­trekte werk­plaat­sen en irn­po­nee­rende bureau-ge-bou­wen, staat op het onme­te­lijke opna-meter­rein van de groote Ame­ri­kaansche film­maat­schap­pi­jen in Hol­ly­wood, ook een klein, mees­tal rood-baks­tee­nen huis: een getrouwe naboot­sing van de oude school­ge­bou­wen, zooals men ze nog heden in kleine plaat­sen in Ame­rika vin­den kan. Daar gaan de film­kin­de­ren ter school!

Ce les­se­naar van den « mees­ter », op een verhoog opge­richt, over­schouwt een aan­tal ban­ken van ver­schil­lende grootte, want in deze klas moet ieder kind, van gelijk wel­ken ouder­dom, zijn stu­dies vocrt­zet­ten, wan­neer het niet in het stu­dio voor de opna­men is « opge­roe­pen ». Daar is een bek­wame leer­mees­teres en wan­neer veel kin­de­ren fil­men, nog een hul­plee­raar of dito lee­rares voo­rhan­den, die zich ins­pan­nen de opvoe­ding der jonge ver­tol­kers of ver­tolks­ters zoo dege­lijk moge­lijk mt te komen. In alge­mee­nen regel zijn zel­den meer dan tien kin­de­ren te onder­rich­ten.

« Dn wij beko­men bui­ten­ge­wone uits­la­gen », ver­telt de lee­rares, « reeds van­wege het feit dat wij veel min­der kin­de­ren in de klas heb­ben dan dit het geval is in de meeste scho­len, zoo­dat wij ons in het bizon­der met die enke­len kun­nen bezi­ghou­den.

» Ik weet dat veel lie­den geloo­ven, dat de kin­de­ren die aan fil­mop­na­men mede­wer­ken, min­der aan­dacht en vlijt aan den dag leg­gen, juist uit oor­zaak van bedoelde opna­men. Dat is ech­ter slechts in den aan­vang het geval: de kin­de­ren wor­den snel aan het film­be­drijf gewoon. Zoo j gauw de aan­trek­ke­lij­kheid van het nieu-

we voor­bij is, wor­den zij even flinke scho-liers als alle andere kin­de­ren.

» Nooit wordt een kind meer dan een halve dag in het stu­dio opge­hou­den. De andere halve dag behoort aan de school en het school­werk. En ik kan gerust zeg­gen, dat de meeste kin­de­ren den­zelf­den ijver tot lee­ren aan den dag leg­gen als welke ande­ren ook eener regel­ma­tige school.

» Mins­tens wordt er per dag drie uren les gege­ven: dat is het abso­lute mini­mum. 0lok onze school staat, zooals ieder andere onder­wi­j­sins­tel­ling, onder het toe­zicht van het Staats­be­heer.

» Tegen­woor­dig heb­ben wij door de invoe­ring van de film­pro­duc­tie in vreemde talen, kin­de­ren van haast iedere natio­na­li­teit te onder­wi­j­zen. Geen gemak­ke­lijke taak, zooals men het licht zal vers­taan! Noch­tans helpt dit het tale­non­der­richt daad­wer­ke­lijk voo­ruit, daar kin­de­ren mees­tal veel meer en beter van elkaar af-lee­ren, door weder­zi­jdsche ges­prek­ken, dan wel door het bloote theo­re­tisch onder­wijs.

» Wat wij voo­reerst doen wan­neer een nieu­we­ling zich aan­meldt, is te onder­zoe­ken in welk vak het kind het zwakste is. Dan kun­nen wij tij­dens de schoo­lu­ren hoofd­za­ke­lijk ons hier­mede bezi­ghou­den.

» Ook voor de klei­nen, voor wie het ver­plich­tend school­gaan nog niet van toe­pas­sing is, werd gezorgd. Onder lei­ding eener aan­ge­no­men Fröbel­juf­frouw en eene kin­der­zus­ter wer­den de heel-klei­nen, wan­neer zij niet voor de kamera gebruikt wor­den, in een spe­ciale kamer bijeen­ge­bracht, met veel speel­goed en veel lek­ker­ni­jen.. .

» Het is op zulke wijze dat de kleine »hel­den» van « Gur Gang » e.a., toch opgroeien tot flinke man­nen en dege­lijke vrou­wen!

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L un des grands mérites de 1 écran, quand il n’était pas encore doué de la parole, était de nous faire rêver. Les images per­çues lais­saient en nous un pro­lon­ge­ment qui éveillait toutes sortes de pen­sées, de visions nou­velles, de rêve­ries per­son­nelles. Et nous aimions le cinéma pour la part d’idéal qu’il appor­tait ainsi dans notre exis­tence.

Les pre­miers films par­lés furent à ce sujet une véri­table dés­illu­sion. Ils nous rame­naient bru­ta­le­ment à la vie quo­ti­dienne, soit que la parole et le son aient détruit le charme, soit sur­tout que la tech­nique nou­velle, si proche du théâtre, ait sup­primé le recul indis­pen­sable à tout tra­vail d’ima­gi­na­tion per­son­nelle. Alors qu aupa­ra­vant, nous avions l'im­pres­sion qu un magi­cien invi­sible dérou­lait devant nos yeux une mer­veilleuse his­toire, nous nous trou­vions brus­que­ment en face d’un spec­tacle direct, d’un réa­lisme inat­tendu, et trop sou­vent invrai­sem­blable. La musique avait dis­paru, sinon com­plè­te­ment, tout au moins assez pour sup­pri­mer l’en­ve­lop­pe­ment pré­cieux qui créait jadis l atmo­sphère. Bref, en se rap­pro­chant de la vie, le cinéma tuait peu à peu en nous le rêve, sans pour cela nous don­ner une image assez exacte des évé­ne­ments pour nous faire croire à leur réa­lité.

Car c’est une néces­sité ter­rible pour un art qui se trans­forme: il doit retrou­ver l’équi­valent de ce qu’il aban­donne, sous peine de perdre de son inté­rêt. N’ayant plus cette force de sug­ges­tion que lui don­nait l’éloi­gne­ment d’un silence bercé par la musique, l’écran eût dû retrou­ver une puis­sance nou­velle de vérité. Or, il n’en fut rien. Si, en appa­rence nous trou­vions

Le Cinéma et la Vie

RÊVER

devant nous tout ce qui fait la vie, en réa­lité nous sen­tions mieux qu aupa­ra­vant encore que ce n’était qu’une illu­sion. Au risque de paraître culti­ver le para­doxe, nous dirons qu’en cher­chant à se rap­pro­cher de nous, le cinéma deve­nait de plus en plus conven­tion­nel. Cer­taines pro­duc­tions récentes semblent vou­loir réagir contre cette ten­dance fâcheuse. Tout en uti­li­sant les res­sources nou­velles de l’écran, tout en étant par­lés et sonores, ces films s efforcent de reve­nir à la for­mule ancienne qui por­tait en elle tant de force évo­ca­trice. Ils ne cherchent plus à nous rame­ner par prin­cipe à la réa­lité quo­ti­dienne, mais bien au contraire à nous faire rêver. Voilà la vérité: la rai­son d’être du cinéma, sa noblesse en quelque sorte, c’est d’être à la fois Fart de l’im­pos­sible et la porte du rêve. Il faut que par le sujet traité, par la struc­ture même de l’œuvre, par le jeu des acteurs, nos ten­ta­tives d’éva­sion soient favo­ri­sées. C’est mécon­naître un art et le pous­ser à sa perte, que de cher­cher à lui faire rendre ce qu’on ne sau­rait légi­ti­me­ment attendre de lui.

Le cinéma n’est pas et ne sera jamais l’art du dia­logue, pas plus qu’il ne se pliera jamais aux exi­gences des règles théâ­trales. Le cinéma, c’est géné­ra­le­ment, ce devrait être tou­jours la vie même. Mais notre vie est peu­plée sans cesse de rêves, sans même que nous nous en aper­ce­vions la plu­part du temps. A l’écran de nous révé­ler ce monde mer­veilleux et inconnu qui nous hante sans que nous puis­sions le défi­nir. Mais la parole et le son? Sont-ils vrai­ment un obs­tacle à cette révé­la­tion? Nul­le­ment! 11 suf­fit seule­ment d'en faire


un emploi judi­cieux, de ne s'en ser­vir qu au moment pro­pice, de faire tou­jours une large part à la musique, au visage ado­rable de la nature, à tout ce qui, n étant ni conven­tion­nel ni étroit, nous rend la clef du para­dis inté­rieur qui s’ap­pelle le rêve!

Car, ne 1 oublions pas, c est en nous-mêmes que ce der­nier se trouve et c est là qu il s’agit de le faire naître par une sorte de choc en retour, et non par des moyens directs géné­ra­le­ment peu effi­caces. Ce que nous deman­dons au cinéma, ce n est pas de nous offrir des fée­ries en car­ton pâte, ou des films pseudo-poé­tiques. Nous vou­lons seule­ment des sujets humains, des images har­mo­nieuses et belles, une inter­pré­ta­tion sin­cère et émou­vante. Muet ou sonore cet art, que nous aimons, tou­chera ainsi le meilleur de nous; il sera vrai­ment digne de lui-même, de son jeune passé déjà glo­rieux, et de son magni­fique ave­nir.

Pierre-Henry Proust.

UIT FILM­LAND

4* Klang­film gaat een nieuw klank­film-appa­raat op de markt bren­gen, waar­van de kost­prijs aan­zien­lijk werd ver­laagd, ten einde alle bios­ko­pen in de moge­lij­kheid te stel­len zich in te rich­ten.

In de Tobiss­tu­dio’s te Epi­nay heeft het beroemde Men­gel­berg-orkest ver­schil­lende muziek­wer­ken uit­ge­voerd. Men heeft het ver­filmd, natuur­lijk ook voor den klank­film.

4e De Oos­ten­rijksche film­maat­schap­pij » Ura­nia » heeft een nieu­wen film van het oer­woud ver­toond: « Sym­fo­nie van het Oer­woud » geti­teld.

4e Anny May Wong, de Chi­neesche artiste, werd ver­bon­den door een Ameri-kaansche firma om de hoof­drol te ver­vul­len in « Daugh­ter of the Dra­gon ».

Donald Ogden Ste­ward en H. d’Ab-badie d’Ar­rast, berei­den het Ameri-kaansch sce­na­rio voor van « Het leven is schoon », naar het too­neel­werk van Mar­cel Achard. d’Ab­ba­die d’Ar­rast zal als n direc­tor » optre­den; Mau­rice Che­va­lier als hoofd­ver­tol­ker.

Bus­ter Kea­ton’s eerst­ko­mende film zal hee­ten «Side-wal­las of New-York».

4e Leon Poi­rier, die eens die onverge-telijke film » De Zwarte Tocht » ver­we­zen­lijkte, kreeg opdracht van de Gene-raal-com­mis­sa­ris der Kolo­niale Ten­toons­tel­ling van Vin­cennes, de artis­tieke lei­ding van den bios­koop der « Inlich­tin­gens­tad » op zich te nemen.

Goede keus, voor­waar!

+ O'Con­nel, W. Thiele en Schif­frin onder­zoe­ken de moge­lij­kheid « De blauwe Vos » te ver­fil­men voor Mar­cel Ven-dal en Charles D'elac. Wil­helm Thiele zou de ins­ce­nee­ring in Epi­nay lei­den.

De beroemde toon­dich­ter Oscar Strauss is in New-York aan­ge­ko­men. Hij zal de toon­dich­ting leve­ren van Che­va­lier’s film « Smi­ling lieu­te­nant ». Vijf lie­de­ren zul­len gekom­po­neerd wor­den.

Ernst Lubitsch is ins­ce­neer­der.

Sinds 1896, wan­neer de eerste bios­koop werd geo­pend in Japan, heb­ben de kine­ma's zich opge­volgd met een tempo van 40 zalen per jaar. Voor het oogen­blik bezit Japan 1270 bios­koop­za­len. Te Tokio en Osaka zijn een tien­tal zalen reeds voor­zien van klank­fil­map­pa­ra­ten. In de laatste jaren wer­den 718 films in Japan ver­we­zen­lijkt.

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Les grands suc­cès des films sonores