Programme de 6 à 12 févr. 1931



Livret de programme

Source: FelixArchief no. 1968#712

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Consultez les images de ce livret de programme


Pro­gramme 22 Speel­wi­j­zer

Ven­dredi (L Samedi Dimanche n Lundi Q Mardi -j/\ Jeudi

Vri­j­dag ™ Zater­dag • Zon­dag Maan­dag Dins­dag AU Don­der­dag

•| t\ tevne A Febr.

1. Forty Wintch

Des­sin animé Sonore.

2 Eclair-Jour­nal

Actua­li­tés fil­mées

3. Temps pro­bable pour

demain

Docu­men­taire par­lant de la U. F. A.

4. Au Pays de Cocagne

Fan­tai­sie sonore

1. Forty Wintch

Geluid­stee­kenfïlm.

2- Eclair-Nieuws­be­rich­ten.

Ver­filmde aktua­li­tei­ten

3. Waar­schi­jn­lijk weer voor

mor­gen

Ges­pro­ken docu­ment­film der weten­schap­pe­lijke afdee­ling der U. F'. A.

4. In Lui­lek­ker­land

Geluid­sf­jn­ta­zie.

4 Le Che­min du Para­dis 4- De Weg naar het Para­dijs

Film-opé­rette Seé­ru­rio de Sce­na­rio van

FRANZ SCHULZ & PAUL FRANK

Réa­li­sa­tion Ver­we­zen­lij­king

WIL­HELM THIELE

avec la col­la­bo­ra­tion de in simen­wer­king met

MAX de VAU­COR­BEIL

Musique de Muziek van

WER­NER R. HEY­MANN

Fil­mo­pe­rette

Cou­plets de Koe­plet­ten van

JEAN BOYER

Prises de vues Zich­top­na­men

FRANZ PLA­NER

Prises de sons Klan­kop­na­men

H. FRITZ­SCHINO

Décors Scher­men

OTTO HUNTE

DRA­MA­TIS PER­SONÆ

Willv Hcnrv Garat

•lean .... René Lefebvre

Guv Jacques Maurv

M. Bour­cart .... Cias­ton Jac­quet

Liliane Bour­cart Lilian Har­vey

Edith de Tour­koft .... Olga Tche­chowa

Maître ( Mees­ter) Dup mt-Bel­le­ville . Hubert Daix

E’Huis­sier-De Deur­waar­der Jean Boyer

Danses réglées par Dan­sen gere­geld door

HEINZ LINOEN

Orchestre de Orkest van

LEWIS RUTH Com­ce­dian Har­mo­nists


tar

Le Che­min du Para­dis

Trois jeunes gens, trois amis, presque trois frères rentrent d’une longue ran­don­née en auto­mo­bile. C’est le prin­temps... on a vingt ans... les cœurs et le moteur battent à l’unis­son. Mais une mau­vaise sur­prise attend à leur arri­vée Willy, Jean et Guy. ils apprennent la ruine de leur ban­quier com­mun et trouvent leur mobi­lier sous scel­lés. Que faire? T ravailler, bien sur! Mais com­ment, et par quel moyen? 11 ne leur reste plus au monde que leur auto­mo­bile. Ils décident de la vendre et d’ache­ter, avec le prix de cette vente, un dis­tri­bu­teur d’es­sence sur le, bord de la gran­d’route.

Aus­si­tôt dit que fait: le poste d’es­sence est acheté, et cha­cun des trois amis à tour de rôle, monte la garde auprès du dis­tri­bu­teur. La plus fidèle cliente est la jeune et spor­tive Liliane Bour­cart, qui fait suc­ces­si­ve­ment la connais­sance de Willy, Jean et Guy et les trouve tous les trois bien gen­tils.

De leur côté, les jeunes gens, sans oser se l’avouer, s’éprennent sérieu­se­ment de leur char­mante cliente. Cha­cun garde donc pour lui son secret, et se croit l’élu. Peu à peu cepen­dant, Liliane s’aper­çoit qu’elle aime Willy. Com­ment faire com­prendre cela aux autres? Liliane décide de s’adres­ser à me femme experte à dénouer les corn ica­tions sen­ti­men­tales. Jus­te­ment M. Bour­cart, le père de Liliane est veuf depuis long­temps et porte un vif inté­rêt à Edith de Tour­koff, une char­mante étran­gère, qui aime M. Bour­cart

Les 4 chan­sons du film:

I. Avoir un bon copain.

2. Tout est per­mis quand on rêve.

3. Pour­quoi sous le ciel bleu?

et rêve de deve­nir sa com­pagne.

C est à elle que Liliane fera ses confi­dences.

La belle Edith conseille à la jeune fille de par­ler fran­che­ment aux trois amis. Mais cet aveu n’ar­range pas les choses; tan­dis que Jean et Guy se résignent tris­te­ment, Willy se fâche avec Liliane, avec ses amis et avec le garage. C’est Edith, l’ha­bile Edith, qui est char­gée à nou­veau de tout arran­ger, et elle s’en acquitte à mer­veille: Willy, Jean et Guy récon­ci­liés et enga­gés comme direc­teurs d un impor­tant garage voient arri­ver une char­mante dac­tylo, qui res­semble fort à la belle Liliane. Cepen­dant, Willy ran­cu­nier, ne veut pas être joué de la sorte; il dicte une lettre de démis­sion à la société et la signe rageu­se­ment sans la relire. Mais voilà qu’entre à ce moment le père de Liliane, suivi d’un notaire. Willy s’aper­çoit qu’il a signé en réa­lité son contrat de mariage! Furieux, il doit accep­ter les choses, mais se pro­met de deman­der le divorce aus­si­tôt après la céré­mo­nie.

Alors Liliane s’em­porte et se répand en injures contre le « mécano » de son cœur. Et comme le père Bour­cart, indi­gné du lan­gage de sa fille, se montre prêt à la cor­ri­ger ver­te­ment, Willy se pré­ci­pite, s’in­ter­pose et prend dans ses bras la déli­cieuse créa­ture qui a bien mérité ce bon­heur.

Willy épou­sera Liliane et les gar­çons d’hon­neur, tout à fait satis­faits de leur sort, ne seront autres que Jean et Guy.

4. Les mots ne sont rien par eux-mêmes.

sont en vente dans la salle (piano et chant) au prix de frs. 8.- chaque

Disques de gra­mo­phone, voir page 14.

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De Weg naar het Para­dijs

Drie jonge lie­den, drie vrien­den, haast drie broe­ders, kee­ren van een lange ron­dreis weer. t Is de Lente. Ook in hun hart van twin­tig jaar, dat in eenk­lank klopt met de jagende motor van hun auto... Doch een treu­rige ver­ras­sing staat hen te wach­ten bij hun aan­komst: zij ver­ne­men dat hun ban­kier het bijltje gr bij neer­ge­legd heeft en zij vin­den hun mobi­lier zon­der meer over­la­den met alle moge­lijke zegels van moe­der Jus­ti­cia. Wat te doen? Wer­ken, zeker! Maar hoe en waar halen zij de mid­de­len van­daan? Er bli­jft hun slechts één voor­werp over: hun auto. Zij bes­lui­ten deze te ver­koo­pen om, met de opbrengst ervan, een naf­te­hou­der te koo­pen, dien zij aan den groo­ten weg zul­len uit­ba­ten.

Zoo gezegd, zoo gedaan. De kleine tank wordt aan­ge­kocht en ieder der drie vrien­den, Willy, Jan en Guy, trek­ken om beur­ten de wacht op, aan hun « bron van inkom­sten ». Een der trouwste klan­ten is de jonge en spor­tieve Liliane Bour­cart, die ach­te­reen­vol­gens ken­nis maakt met Willy, Jan en Guy en ze alle drie zeer bemin­ne­lijk vindt.

Van hun kant, doch zon­der het mekaar te beken­nen, wor­den de drie vrien­den ver­liefd op hun ver­lei­de­lijke kliente. leder bewaart zijn eigen geheim en meent de uit­ver­ko­rene te zijn. Noch­tans ont­dekt Liliane dat zij Willy bemint. Hoe dit aan de ande­ren wijs gemaakt? Liliane bes­luit den raad in te roe­pen van een vrouw, die de kne­pen kent om alle lief­de­sin­triges te ont­war­ren: Edith de Tour­koff, een

mooie vreem­de­linge, die hoopt eens de vrouw te wor­den van den rij­ken M. Bour­cart, weduw­naar en ook vader van Liliane, en die op haar vers­lin­gerd is.

Liliane neemt Edith in ver­trou­wen.

Deze raadt het jonge meisje aan, open­lijk tot de drie vrien­den te spre­ken. Doch deze beken­te­nis lost nie­men­dal op; ter­wijl Jan en Guy zich in hun lot schik­ken, maakt Willy her­rie én met Liliane én met zijn vrien­den én met den eige­naar der stel­plaats. Edith, de knappe Edith, wordt ander­maal de taak opge­dra­gen alles te schik­ken en zij gelukt daar won­der­wel in. Willy, Jan en Guy zijn weer ver­zoend en zij wor­den bui­ten­dien aan­ge­no­men als bes­tuur­ders van een groote auto­berg­plaats.

Een jonge dac­tylo komt zich aan­mel­den. Zij gelijkt ver­ba­zend op de mooie Liliane. Maar Willy is wrok­kig en wil niet op zulke wijze beet­ge­no­men zijn: hij dic­teert een onts­lag­brief en teekent deze zon­der hem te her­le­zen.

D[aar komt op dit oogen­blik Lilia­ne’s vader bin­nen, in gezel­schap van een nota­ris. Willy stelt vast dat hij in wer­ke­lij­kheid zijn huwe­lijks­kon­trakt heeft onder-tee­kend. Woe­dend moet hij den ges­cha­pen toes­tand aan­vaar­den, doch is vast­bes­lo­ten de echt­schei­ding dade­lijk na de plech­ti­gheid aan te vra­gen.

Liliane windt zich op en scheldt haar beminde de huid vol, op zulke wijze dat wader Bour­cart tus­schen beide wil komen om zijn doch­ter te beris­pen op ondub­bel­zin­nige wijze. Willy stormt voo­ruit, plaatst zich tus­schen hen en drukt de schat­tige Liliane in zijn armen.

Willy zal Liliane huwen en Jean en Guy, tevre­den met hun lot, zul­len bei­der getui­gen zijn.

Einde goed, alles goed!

Gra­mo­foon­pla­ten, zie bladz. 14.


Les inter­prètes fran­çais du "Che­min du Para­dis"

MAX DE VAU­COR­BEIL.

Direc­teur des prises de vues de la ver­sion fran­çaise et super­vi­seur des dia­logues. Car­rière inter­na­tio­nale: pen­dant

long­temps assis­tant de Rex Ingram et de Léonce Per­ret: 18 mois d études dans les stu­dios amé­ri­cains, tra­vaille ensuite seul à des films sonores courts en Angle­terre (Elstree), puis réa­lise comme pre­mière pro­duc­tion impor­tante « Autour de votre main, madame ». Pro­jette de conti­nuer à tra­vailler à des films sonores alle­mands en ver­sion fran­çaise.

Dans la ver­sion alle­mande, son rôle a été créé par Willy Fritsch. S’il n’avait pas pos­sédé le charme indé­fi­nis­sable de cet artiste alle­mand de cinéma, que l’on aime tel­le­ment à pré­sent, ce n’eût pas été pour lui chose aisée que d’être le par­te­naire de Lilian Har­vey. Mais il est plein d’ex­pé­rience; l’opé­rette a été son ber­ceau et il a été fêté au Mou­lin Rouge comme par­te­naire de Mis­tin­guett. Du reste, ce n’est pas la pre­mière fois qu'il joue un rôle de vedette dans un film en ver­sion fran­çaise. Dans « Les Deux Mondes », de Dupont, il s’est déjà acquitté au mieux de cette dif­fi­cile mis­sion, et après la pre­mière de ce film, il a récolté les cri­tiques les plus élo-gieuses.

une ques­tion de voix. Et la voix de Jacques Maury s’adapte de façon par­faite au micro­phone — vrai­ment comme si elle avait été créée pour cela — qu’il fal­lait abso­lu­ment le détour­ner de la scène et l’en­ga­ger dans la voie du film sonore. Et voilà que Jacques Maury, fils célèbre d’un père célèbre, socié­taire de la Comé­die-Fran­çaise, voilà que Jacques Maury, qui, pen­dant toute sa jeu­nesse, n’avait tra­vaillé que pour faire du théâtre, se voit tout à coup trans­porté dans un stu­dio de cinéma!

RENE LEFEBVRE.

Est depuis six ans un des comiques les plus aimés de France. N’a pas besoin d’être pré­senté davan­tage, car il a fait rire tout Paris. Jus­qu’à pré­sent, son acti­vité l’a conduit dans les grands stu­dios fran­çais et anglais.

GAS­TON JAC­QUET.

Sa car­rière est si fan­tas­tique qu elle paraît presque amé­ri­caine. On a confirmé offi­ciel­le­ment que les frères Jac­quet exploi­taient, il y a peu de temps encore, une entre­prise de tra­vaux de ter­ras­se­ments à Paris. Un beau jour ils se séparent et Gas­ton parie qu il fera bien­tôt du cinéma. On se moque de lui un bon coup, mais lui va tout droit au « Café de Namur », où se réunissent les figu­rants de cinéma de Paris. A peine a-t-il pris place que Mer­can-ton, le célèbre met­teur en scène fran­çais, entre dans le café; Mer­can­ton s’avance vers lui, le regarde et l’en­gage. Trois jours après, Jac­quet se trou­vait à Nice et aujour­d’hui c’est une star.

JACQUES MAURY.

11 appar­tient à ceux qui ne sont pas pas­sés de la scène à l’écran que par l’in­ter­mé­diaire du film sonore. Dans le film sonore, ce n’est pas seule­ment le talent artis­tique qui est déci­sif. Avant tout, c’est

HENRY GARAT.

GLOBE

Le Globe est une bois­son rafraî­chis­sante d’une pureté et d’une finesse incom­pa­rables.

Son goût exquis, son par­fum suave et sa déli­cieuse fraî­cheur, lui ont valu son sur­nom —

L'AME DU CITRON

rLON­DON


Une super­pro­duc­tion sonore et chan­tante de JOË MAY Réa­li­sée par GUS­TAVE UCI­CKY Musique de RALPH BENATZKY & SCHMIDT-GONT­NER

Un film poi­gnant se dérou­lant au Tyrol

L'Im­mor­tel VAGA­BOND


DE PRACH­TIGE KLANK- EN ZANG­FILM

De Eeu­wige LAND­LOO­PER

op aan­gri­j­pende wijze ver­tolkt door

Liane Haid - Gus­tave Fröhlich Hans A. von Schlet­tow « Kurt Gerhardt

Déli­cieu­se­ment pétillante, d’une saveur franche et fraîche, le Schweppes est une eau d’une pureté sans pareille.

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La Ronde des Heures

FILM PAR­LANT FRAN­ÇAIS inter­prêté par

ANDRE BAUGE - FRAN­CINE MUS­SEY

Het RONDO DER UREN

EEN ONTROE­RENDE FILM ver­we­zen­lijkt door

ALEXANDRE RYDER

met mede­wer­king van

M. FRANTZ van de Opera B-I-N-N-E-N-K-O-K-T


Cette comé­die sen­ti­men­tale par­lée et chan­tée est un film, sans pré­ten­tions, mais qui empoi­gnera le public et qui est émaillée d’ex­cel­lents moments.

Henri Falle a com­posé un scé­na­rio, qui certes aurait fait les délices d’un Al. Jol­son.

Quant à la com­po­si­tion, l’exé­cu­tion et l’in­ter­pré­ta­tion cette « Ronde des Heures » pos­sède d’évi­dentes qua­li­tés. Le dia­logue, entiè­re­ment en fran­çais, a été construit avec habi­lité et les tran­si­tions entre les dif­fé­rentes scènes, sont adroites.

De plus, cer­tains pas­sages, comme la ren­contre entre Fre­noy, — ce jeune chan­teur de talent qui perd sa voix, et qui, dans son infor­tune, s’en­gage comme clown dans un cirque ambu­lant — et son habilleur, le numéro d’Yre­nof and part­ner, la scène dans la loge entre Yvette et André, sont réel­le­ment émou­vants ou pit­to­resques.

Plu­sieurs par­ties sont bien près d’un remar­quable comique et témoignent d’un effort pour faire du nou­veau, comme: la scène de la poste, le numéro clow­nesque, la parade. L’in­ter­pré­ta­tion groupe A ndré Baugé, qui a encore fait

André Fré­noy is een jonge zan­ger, die de doch­ter van goed inge­ze­ten bur­gers -— en tegen dezer wil — heeft gehuwd. De beide jon­ge­lie­den heb­ben mekaar ziels­lief en de stille vijand­schap der ouders kan in niets hun liefde ver­koe­len.

André heeft een prach­tige toe­komst voor zich: hij blijkt een pracht­zan­ger te wor­den. Zijn figuur in « De Bar­bier van Sevilla » opent hem de deu­ren van de groote schouw­bur­gen. Doch het lot is hem onge­na­dig en wreed.

Een lon­gonts­te­king velt hem neer. Wan­neer hij, na maan­den geneest, kan hij niet meer zin­gen.

D'at is de ellende voor zijn vrouw en zijn snoe­zig doch­tertje. Hij is ten einde raad. En op zeke­ren dag, zon­der het te willen, hoort hij een ges­prek af tus­schen zijn vrouw en zijn schoon­moe­der: hij bes­luit als­dan alle grie­ven op zich te nemen en het ech­te­lijk dak te ver­la­ten.

Hij wordt clown... een leven van schijn en wezen, van strijd en smart...

d’énormes pro­grès depuis « La Route est belle » et qui chante avec tout l’art dont il est capable, un air du « Bar­bier de Séville » et des mélo­dies de René Syl­viano et Jacques Paris, tan­dis que M. Frantz, de l’Opéra, inter­prète super­be­ment, dans une scène d’église, le célèbre « Minuit chré­tien »; Fran­cine Mus­sey est une déli­cieuse Yvette et Paule A ndral est tout sim­ple­ment remar­quable dans le per son­nage de la fri­vole Mme Mery-Vel­court. Les autres rôles sont bien tenus par | '!

Géo T réville,

Cler­mont,

Nicolle,

Pierre Ste­phen

et la petite Gil­berte Savary.

Zal het lot zich nooit over hem ont­fer­men?...

Zul­len de uren, in hun eeu­wig rondo, geen heil bren­gei in dit bes­taan dat zich zoo hoop­vol aftee­kende?...

André Baugé, de gekende Fransche bari­ton, ver­vult dc rol van André Fré­noy op effe­naf prach­tige wijze: zang, spel, mimiek en acro­ba­tie komen hij hem even­zeer tot hun recht en geven aan zijn ver­tol­king een voor­tref­fe­lijke homo­ge­ni­teit. Naast hem zien wij de gra­tie­volle Fran­cine Mus­sey die een ontroe­rende en zeer gevoel­volle Yvette uit­beeldt, ter­wijl Paule A ndral en Geó Tré­ville vol gees­ti­gheid het gezin Vel­court uit­ma­ken, een licht­zin­nig, eng­voe­lend, klein­zie­lig paar. De ande­ren zijn eve­neens in goe­den zin te ver­noe­men.

Alexandre Ryder stond in voor de ins­ce­nee­ring en hij heeft zich met gewe­ten van zijn taak gek­we­ten.


•S3

Het geheim

Bes­sie Love, de zoo lief­tal­lige als gekende « star », ver­telt zelf hie­romtrent het vol­gende:

Het is om U dood te lachen, als ge nagaat, waa­ro­ver de men­schen zich al niet het hoofd bre­ken. Als repor­ters of andere bezoe­kers met mij spre­ken, willen zij de merk­waar­dig­ste din­gen van mij weten, die in den grond van de zaak vree­se­lijk onbe­dui­dend zijn, en het aller­merk­waar­dig­ste is dan nog, dat ze me eigen­lijk alle­maal het­zelfde vra­gen. Zoo heb­ben zij een spe­ciale voor­liefde voor de vraag: « Welk dieet en welke gym­nas­tische oefe­nin­gen stel­len u in staat, zoo slank te bli­j­ven? »

Toen dit mij voor de twee­dui­zend zeshon­derd­ste maal gevraagd werd, kon ik mij niet meer inhou­den en begon te lachen. Mijn bezoe­ker keek mij aan, alsof ik mijn vers­tand had ver­lo­ren. Toen begon ik hem alles uit te leg­gen en ik trok mij er niets van aan, dat zijn oogen steeds groo­ter wer­den van ver­won­de­ring.

« Beste vriend », zei ik, « als ik een spe­ciaal dieet volgde of uren­lang aan sport of gym­nas­tiek deed, zou ik er gauw genoeg uit­zien als een geraamte. Wat denkt u eigen­lijk? De men­schen zul­len nog den­ken dat wij, film­ster­ren, niets anders doen dan paar­dri­j­den, ten­nis­sen en golf­spe­len, citroen­sap drin­ken en hon­ger­ku­ren maken, alles om geen enkele gram bij te komen. Waar zou­den we den tijd van­daan moe­ten halen, den hee­len dag voor de film te spe­len?

» Kijkt u mij eens aan. Ik ben zoo gezond, dat ik er bijna ver­waand door word. O ja, ik heb een paar heel mooie ten­nis­ra­ckets, wat keu­rige rij­kos­tuums en het schit­te­rend­ste stel golf­stok­ken, dat U

UIT HET LEVEN VAN FILM­STARS

der slan­kheid

zich den­ken kimt. Maar ik mag u wel verk­lap­pen, dat ik niet erg goed weet, hoe ik al die ver­schil­lende stok­ken zou moe­ten gebrui­ken. Maar ik heb al die din­gen noo­dig als décor. En mijn prach­tige baden strand­cos­tuums draag ik alleen, als ik posee­ren moet voor de camera.

» U ziet het dus — ik doe hee­le­maal niet aan sport. Daar­voor ben ik veel te gemak­zuch­tig. Wel hen­gel ik dik­wi­jls voor de grap, dat is zoo n pret­tige rus­tige bezi­gheid. Als ik er toe in de gele­gen­heid ben, blijf ik 's mor­gens lang lig­gen. Ik vind sla­pen wel erg pret­tig. En als ik opsta, doe ik geen adem­ha­ling­soe­fe­nin­gen of diepe knie­bui­gin­gen en ik rol mij niet door de heele kamer; wel­neen, ik ont­bijt goed en overv­loe­dig, luier een beetje en ben blij, dat ik zoo’n pret­tig leventje heb - ten­minste als ik tijd heb om te luie­ren.»

« En danst u niet graag? » vroeg mijn bezoe­ker glim­la­chend.

(( D'an­sen, natuur­lijk. Veel en dik­wi­jls. Maar mees­tal in mijn films, want ik speel nooit een rol, waa­rin ik niet moet dan­sen. D'an­sen doet me ple­zier, en ik kan me niet inden­ken, dat er vrou­wen zijn, die niet van dan­sen hou­den. Mis­schien zou .k zelfs een rekord kun­nen beha­len als Ma-rathon-dan­seres. In de klank­flim ((Broad­way Melody » speelde ik voor een bal­let­dan­seres en ik moest voor die rol een groot aan­tal nieuwe pas­sen aan­lee­ren. O o de repe­ti­ties wer­den mijn pas­sen door een ins­tru­mentje geteld en dan werd er uit­ge­re­kend, hoe­veel pas­sen ik gemid­deld per uur deed. Het waren er 18400. Ik ben heel trotsch op deze pres­ta­tie. Op de weken­lange repe­ti­ties heb ik zeven paar gewone dans­schoe­nen stuk­ge­danst, om van de zij­den kou­sen niet eens te spre­ken. »

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La Tra­gé­die de

LA CHUTE, D’UNE ETOILE.

Pour la pre­mière fois de sa car­rière, aussi brève qu’éblouis­sante, Clara Bow vient de se voir enle­ver le rôle de grande vedette, dans un film.

La direc­tion de sa Com­pa­gnie se refuse à com­men­ter cette déci­sion, qui fait sen­sa­tion aux Etats-Unis. Elle a suivi immé­dia­te­ment la publi­cité mon­diale, lan­cée au pro­cès qu’in­tente Clara Bow à son ancienne secré­taire, qui lui aurait volé des lettres d’amour et de l’ar­gent. Ses révé­la­tions faites sur la vie très libre de la grande artiste, ont fait scan­dale dans cer­tains milieux amé­ri­cains, qui s’étaient déjà for­ma­li­sés des amours trop franches de Clara Bow. On sait que des his­toires sem­blables, exploi­tées par les cercles puri­tains et cer­tains clubs de femmes, ont déjà coû-I té cher à plu­sieurs artistes et que Char­lie Cha­plin lui-même faillit en être la vic­time.

La secré­taire de l’ac­trice, miss Dewe, avait dit une phrase qui réflé­tait exac­te­ment l’opi­nion géné­rale: « Je ne veux pas qu’on parle de Clara dans les jour­naux. Une his­toire de plus et sa car­rière est bri­sée. »

CE QUE DIT CLARA BOW.

« Clara Bow, écrit la « Chi­cago Tri­bune », n’as­sis­tait pas à l’au­dience d’hier. Très ébran­lée par la déci­sion qui lui fait perdre son rang d’étoile, ayant des crises de larmes, elle est dans un état ner­veux déplo­rable et compte prendre un long repos.

» Néan­moins, elle tint à dire que miss D'aisy Dtewe avait été pour elle, au début, une véri­table amie. Sans doute, par­fois,

CLARA BOW

elle s’était empor­tée contre elle, mais cela ne comp­tait pas. »

On sait que Miss Dewe est d’un autre avis: elle déclare tout sim­ple­ment qu’un jour, Clara Bow, dans un accès de fureur, vou­lut la tuer...

— Un jour, conti­nue Clara, je revins épui­sée après mon tra­vail et trou­vai sa chambre vide. Mon avo­cat me télé­phona qu’elle exi­geait 3.300.000 fr. pour une lettre et les télé­grammes. Il aurait suf­fit d’un souffle pour me ren­ver­ser, tant j’étais sur­prise. Et main­te­nant, ces séances en jus­tice, où il me faut accu­ser, sont si ter­ribles... Un véri­table enfer!

Et la petite star écarte ses fameuses boucles aux nuances cuivre de devant ses yeux avec un geste las.

LES LETTRES D’AMOUR.

Toute la ques­tion est de savoir, si ces lettres valaient les mil­lions exi­gés. Il semble que oui, si l’on consi­dère com­bien l’opi­nion amé­ri­caine aime tout ce qui est d’une mora­lité pure et éle­vée (!) et com­bien ses lettres sont ardentes. Telle lettre où l’au­teur se plaint de se sen­tir seul pen­dant la nuit, ou telle autre, d’oc­tobre 1929, qui est si élo­quente dans sa sim­pli­cité: « Cher amour, je vous aime, je vous aime, je vous aime », risquent de perdre défi­ni­ti­ve­ment celle qui les reçut. Et plus encore celle de sep­tembre 1930, où Rex se montre encore plus chaud, assu­rant jde son amour « son swee­theart adoré » et « son enfant chéri ».

Néan­moins, Clara déclare: « Cela me fait de la peine de me plaindre de Daisy, tan­dis qu’elle est assise là, si pathé­tique, comme si elle me disait: « Com­ment pou­vez-vous faire cela?» Je me sens malade...


CLARA ET REX.

Rex Bell, le héros des lettres d’amour les plus pas­sion­nées, le blond cow-boy qui sert fidè­le­ment de cava­lier à la star chaque fois qu’elle vient témoi­gner, s’est expli­qué sur leurs rela­tions.

11 n’eut jamais, rap­porte la « Chi­cago Tri­bune », une que­relle avec l’ac­trice, ce qui, étant donné son carac­tère, demande une nature spé­cia­le­ment douce.

— Il faut, dit-il, être ferme, mais pas trop, plu­tôt mater­nel. Je la sur­veille sans jalou­sie. Si elle a besoin d’être dis­ci­pli­née, je ne dis rien, mais je l’aban­donne. Alors, elle se repent et, elle qui n’a jamais fait d'ex­cuses à per­sonne, dit à un tiers qu elle ne vou­lait pas me pei­ner.

Rex Bell déclara encore qu’il n'avait jamais aimé les films de Clara et qu’il n’avait jamais pensé qu’il l’ai­me­rait elle-même. Main­te­nant, il en est fol­le­ment épris et n’est pas inquiet des fian­çailles de la star avec Harry Rich­man, ni de sa fameuse aven­ture avec un méde­cin du Texas.

D’autre part Los Angeles a créé un autre scan­dale autour de l’in­for­tu­née Clara. Cela ne regarde plus sa vie amou­reuse, mais les dépenses qu’elle fai­sait pour avoir de l’al­cool.

Miss Dewe, la secré­taire, déclare d’après le « Daily Mail », qu’une de ses charges était de sol­der les notes d’al­cool.

Elle allait par­tout avec Clara Bow, dit-elle, et « lorsque des hommes venaient rendre visite, elle allait à la porte et leur disait, sui­vant les ordres reçus, que Miss Bow était là ou non ». Si elle avait en sa pos­ses­sion des chèques si impor­tants, c’est qu elle payait toutes les liqueurs qui entraient dans la mai­son.

Cette réponse franche fit une cer­taine

sen­sa­tion, mais elle n’a rien de sur­pre­nant si l’on songe aue des actrices comme Bebe Daniels ou Loretta Young consacrent des cen­taines de mille francs à l’achat de liqueurs, et qu’à Hol­ly­wood c’est une néces­sité pour rece­voir et se faire de la publi­cité.

La secré­taire payait éga­le­ment les dettes de poker auquel Clara Bow jouait pen­dant six nuits par semaine.

UN FILM SUR LE CAN­CER

Un film repré­sen­tant la vie des cel­lules du can­cer a été mon­tré à une assem­blée de savants, qui se sont réunis pour prendre connais­sance des plus récentes recherches faites à ce sujet.

D'ans ce film, dont la pro­jec­tion durait quelques minutes, on mon­trait le déve­lop­pe­ment des cel­lules du can­cer pen­dant une période de plu­sieurs heures, à une vitesse 360 fois moindre.

Cïi mon­trait le moment où la tumeur devient sou­vent mor­telle. On voyait les capil­laires pous­sant avec vigueur dans les tis­sus can­cé­reux pour les nour­rir de sang.

PACI­FIC 231.

Arthur Honeg­ger et Jean Irroy réa­lisent en col­la­bo­ra­tion une ver­sion ciné­ma­to­gra­phique de u Paci­fic 231 », le célèbre mou­ve­ment sym­pho­nique du com­po­si­teur du « Roi David ».

Cette suite d’images au dyna­misme violent, au rythme ful­gu­rant et bref, sera accom­pa­gnée par l’or­chestre Odéon, sous la direc­tion per­son­nelle d’Ar­thur Honeg­ger.

C’est la pre­mière fois, croyons-nous, que d’une œuvre musi­cale on tire une ver­sion ciné­gra­phique qui n’en soit pas la trans­po­si­tion plus ou moins sub­jec­tive et fai­tai­siste, mais sa repré­sen­ta­tion plas­tique directe et syn­chrone.

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La tech­nique du film sonore

Le Lec­teur de Film

Le lec­teur de films est un des organes essen­tiels d’une machine par­lante. Comme son nom l'in­dique, il a comme mis­sion de déchif­frer l’en­re­gis­tre­ment pho­to­gra­phique du son qui se trouve sur le bord de la pel­li­cule. Quel que soit le type d’en­re­gis­tre­ment adopté, inten­sité fixe ou inten­sité variable, c’est le même appa­reil qui assure la lec­ture.

Comme je l'ai déjà indi­qué, le rôle de ce der­nier est de trans­for­mer en éner­gie élec­trique modu­lée, la modu­la­tion de la lumière pro­duite par le pas­sage du film à l’in­té­rieur de lui-même.

Pour arri­ver à ce résul­tat, tout lec­teur com­porte:

1° Une source lumi­neuse fixe très puis­sante;

2° Un sys­tème optique qui capte les rayons de cette source et les envoie sur la par­tie de la pel­li­cule où se trouve l’ins­crip­tion pho­to­gra­phique du son;

3° Une cel­lule qui reçoit les varia­tions de lumière de ce fais­ceau lumi­neux, pro­duites par le dérou­le­ment de la pel­li­cule et qui les trans­forme en varia­tions élec­triques.

Pour bien com­prendre un tel méca­nisme, je vais décrire un appa­reil qui semble avoir réuni toutes les qua­li­tés néces­saires à son bon fonc­tion­ne­ment.

Un bâti en alu­mi­nium consti­tue le corps de l’ap­pa­reil sur lequel viennent se fixer tous les organes consti­tu­tifs du lec­teur. Sur le côté gauche, se trouve la lan­terne qui contient deux lampes, des­ti­nées à four­nir l’éner­gie lumi­neuse néces­saire à la marche du lec­teur. Ces deux lampes sont à fila­ment métal­lique et fonc­tionnent sous basse ten­sion (8 volts). Nor­ma­le­ment,

une seule lampe est uti­li­sée. En cas de rup­ture de fila­ment, cette der­nière peut être rem­pla­cée ins­tan­ta­né­ment en cours de fonc­tion­ne­ment de l’ap­pa­reil sans arrêt.

L'éner­gie élec­trique qui leur est néces­saire, est four­nie par une bat­te­rie d’ac­cu­mu­la­teurs à grosse capa­cité. Les rayons lumi­neux pro­duits par cette ampoule sont envoyés à tra­vers un cylindre, qui sert de volant méca­nique et sui­vant son axe, par l’in­ter­mé­diaire d’un conden­sa­teur puis­sant sur une fente extrê­me­ment fine et très homo­gène. Cette der­nière peut être réa­li­sée par rap­pro­che­ment de deux lames ou par tout autre pro­cédé. Sa situa­tion à l’in­té­rieur de ce cylindre la pro­tège effi­ca­ce­ment contre les poùssières et corps étran­gers qui, pen­dant le fonc­tion­ne­ment du lec­teur, peuvent venir l'obs­truer et rendre toute audi­tion impos­sible.

L’image de cette fente est réa­li­sée sur le film qui passe à gauche de l’ap­pa­reil sur le tam­bour ter­mi­nant le cylindre par un objec­tif à grande ouver­ture, ren­dant com­plè­te­ment négli­geable l’in­ten­sité rela­tive des anneaux de dif­frac­tion. Un sys­tème de prisme ren­voie cette image ver­ti­ca­le­ment sur la pel­li­cule.

Il importe que l’image de cette fente se pré­sente sur le film sous la forme d’un trait lumi­neux, paral­lèle à l’ins­crip­tion sonore et d’une lon­gueur ne dépas­sant pas cette der­nière.

En effet, si elle débor­dait l’image pho­to­gra­phique du son, elle subi­rait de la part des autres ins­crip­tions, qui existent sur la pel­li­cule, une modu­la­tion para­site qui serait repro­duite dans le haut-par­leur sous forme de bruits indé­si­rables.


L’image de la fente dans le sys­tème décrit ne dépasse pas 15 cen­tièmes de mil­li­mètre en lar­geur: ce qui donne une lec­ture extrê­me­ment fine.

Les rayons lumi­neux pro­ve­nant de cette fehte, après avoir été modu­lés, arrivent sur la cel­lule qui est pla­cée dans le boî­tier se trou­vant à la par­tie supé­rieure gauche du lec­teur.

Une connexion très soi­gnée réunit les pôles de la cel­lule, d’une part, aux sources haute ten­sion néces­saires à son fonc­tion­ne­ment, d’autre part à l’am­pli­fi­ca­teur pri­maire des­tiné à ampli­fier les cou­rants extrê­me­ment faibles, pro­ve­nant de la cel­lule.

La lec­ture du film se fait sur un tam­bour ayant un très faible rayon de cour­bure. Ce dis­po­si­tif donne de la rigi­dité à la pel­li­cule et évite toute défor­ma­tion de cette der­nière.

Il est, en effet, de toute pre­mière impor­tance qu’à l’en­droit où le fais­ceau lumi­neux vient tra­ver­ser le film, il n'y ait pas, pen­dant le dérou­le­ment du film, d’éloi­gne­ment ou de rap­pro­che­ment du film sui­vant les rayons lumi­neux, qui aurait comme consé­quence l’in­tro­duc­tion dans le sys­tème lumi­neux d’une varia­tion d’in­ten­sité lumi­neuse et* en défi­ni­tive dans le haut-par­leur la créa­tion d’un ron­fle­ment indé­si­rable.

Le gros cylindre tourne autour du sys­tème optique avec le film. Il joue le rôle de volant et empêche toute varia­tion brusque dans la vitesse de rota­tion de se pro­duire. Ce dis­po­si­tif sup­prime toute réac­tion méca­nique du sys­tème tour­nant sur le sys­tème optique. Les tré­pi­da­tions de la fente, de l’ob­jec­tif ou de son image sont ainsi com­plè­te­ment évi­tées. Le che­vrot­te­ment si désa­gréable n’a plus de rai­son de se pro­duire.

Le Che­min du Para­dis De Weg naar het Para­dijs

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La cel­lule est pla­cée, comme nous l’avons déjà indi­qué, dans un cof­fret en alu­mi­nium de façon à la sous­traire à toute action lumi­neuse pro­ve­nant de l’ex­té­rieur et pou­vant don­ner nais­sance à des bruits para­sites.

Tels sont les organes essen­tiels d’un lec­teur de film. Le fonc­tion­ne­ment en est extrê­me­ment simple. Cepen­dant sa construc­tion est extrê­me­ment minu­tieuse. Elle néces­site uri per­son­nel capable et très entraîné.

Max Rey­naud.

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Wen­schen van Film­stars

Ook film­stars, van allen aard en grootte, heb­ben bij de inzet van het nieuwe jaar, hun wen­schen ver­kon­digd. Wat kan nu eigen­lijk een film­star nog wen­schen; heeft die niet alles wat een ster­ve­ling wen­schen kan? zal de ver­baasde lezer zich wel­licht afvra­gen. — Neen, ook een film­star bli­jft een mensch. En een mensch heeft altijd wen­schen...

Zoo wen­scht Greta Garbo omheen haar bun­ga­low een onzicht­bare muur, om indrin­gende foto­gra­fen, repor­ters en soort­ge­lijke wezens op eer­bied­waai digen afstand te hou­den. Marion Davies hoopt in haar kous een sce­na­rio te vin­den, dat een glans­rol voor haar bevat. Norma Shea­rer vraagt om wat speel­goed voor haar nu drie maan­den oud zoontje en ter-zelf­der­tijd om een voets­tuk, waa­rop zij het beeld kan plaat­sen het­welk zij ont­ving van de « Aca­demy for Motion Pic­ture Arts and Sciences » voor haar ver­tol­king der hoof­drol in « De Ges­chei­den Vrouw », ver­tol­king die als de beste van dit jaar werd aan­ge­no­men.

van de opname door een flinke foto­graaf van hem geno­men, tij­dens zijn reis in Europa, een opname waa­rop men hem... lachen ziet; Ramon Novarro wen­scht de regie van een ande­ren film en Wal­lace Beery zou, ook ter wille van de afwis­se­ling, een­maal een roman­tische lief­de­rol willen spe­len en... een groot vlieg­tuig om zijn jach­ta­von­tu­ren; William Haines ver­wacht veel klien­ten in zijn win­kel van an-tik­wi­tei­ten, welke hij onlangs in Los Angeles heeft geo­pend en Polly Moran ziet uit naar een nieuwe Wall­street-krach, ter­wijl Leids Stone hoopt dat de petro­leum-borin­gen op zijn ter­rei­nen onder­no­men, welke hem de zeke­rheid van een nieuwe for­tuin bren­gen...

En aldus zou men kun­nen voort­gaan, tot men heel de film­ko­lo­nie heeft door­ge­trok­ken... Wij vra­gen niets beter, dan dat al deze wen­schen in ver­vul­ling mogen gaan!

De tien beste Ame­ri­kaansche films in 1930

Joan Craw­ford wen­scht zich, in plaats van de gewone zil­ve­ren of zij­den dans­schoe­nen, voor afwis­se­ling eens een dra­ma­tische rol, ter­wijl Marie Dres­sier heel tevre­den zou zijn indien de Tijd zoo enkele veer­tig of meer jaartjes wou teru­gne­men. Zij wil graag belo­ven in dit geval steeds een braaf, klein meisje te zijn!

Dat waren nu eenige « girls » — nu komen de « boys » aan de beurt.

Alzoo, Adolphe Men­jou wen­scht zich een nieu­wen zij­den hoed; Cliff Edwards hoopt dat men zijn uke­lele zal ste­len en nooit meer terug­bren­gen; Bus­ter Kea­ton wen­scht de nega­tief-plaat te bemach­ti­gen

Het jaar­lijks refe­ren­dum door de « Film Daily » uit­ges­chre­ven en waa­raan 333 dag­bla­den deel­na­men, heeft vol­gende uits­lag gege­ven:

Stem­men

Van het West­front geen nieuws 271 Abra­ham Lin­coln 167

Holi­day 166

Jour­neys End 151

Anna Chris­tie 141

Big House 141

De Pool­tocht van Byrd 121

Ges­chei­den 94

Hells Angels 91

Old English 87


UIT FILM­LAND

Robert Péguy is aan de voor­be­rei­ding bezig van zijn nieu­wen film « Edith met de blauwe Oogen ». Marco de Gasty-ne, van zijn kant, gaat « Het zwer­vend dier » aan­vat­ten, een ontroe­rend drama dat hij in Alaska zal ver­we­zen­lij­ken, naar den ror­nar van Louis-Fre­de­ric Rou­quette.

Jean Lo A zal de bui­ten­zich­ten van « De Beiaard der Vri­j­heid » opne­men te Brus­sel en in de omstre­ken van Luik en Brugge.

# Camilla Horn, die men pas gezien heeft in « Eeu­wige Liefde », zal de hoofd­ver­tolks­ter zijn in den film « Angek­lagte, schwören Sie », door Leo Mit­tler geëns­ce­neerd.

>k Aan vang Februari vangt Dimi­tri Bu-cho­wetzki aan met «Dte Gene­raal», waa­rin zul­len optre­den: Thorny Bour­delle, Pierre Bat­chef, Suzy Ver­non en Paule Andrat.

Louis Mer­can­ton beëin­digt « De Huwe­lijks­nacht ». René Navarre werkt aan een geheim­zin­ni­gen film­ro­man « Mephisto »; René Her­vil zet de opna­men voort van « Azaïs »; René Clair draait in prach­tige scher­men «Het Mil­joen»; Jean Kemm gaat begin­nen aan « De Wan­de­lende Jood ».

% Al Jol­son’s laatste film voor War­ner Bros is gereed, heet « Big Boy » en is... een klucht. De War­ner s, van mee­ning dat het publiek Al’ geblaat over zijn moe­der of over zijn kind har­te­lijk moe is, von­den den zan­ger bereid een vroo­lijke film te spe­len en deze moet zeer goed ges­laagd zijn. De regie is van Alan Cros-land.

’k Nanouk zal bin­nen­kort opnieuw op het doek ver­schi­j­nen, doch deze maal als klank­film.

>k Gewa­pend met gewe­ren en foto­toes­tel­len, heeft Dou­glas Fair­banks zich te San Fran­cisco inges­cheept aan boord van het s.s. (( Bel­gen­land », om daar­mede een reis naar het Verre Oos­ten te maken, en o.m. deel te nemen aan de jacht op groot wild in de jungle van Cam­bodja. Dou­glas Fair­banks stelt zich voor een bezoek te bren­gen aan den kei­zer van Japan, en voorts om Siam en eenige Indische pro­vin­ciën te gana bezich­ti­gen.

Van op den Stil­len Oceaan heeft hij met z’n vrouw Mary gete­le­fo­neerd.

k Een ver­te­gen­woor­di­ger van de Hol-lywoodsche Film­club ver­toefde in Europa, voor den aan­koop van films van jonge krach­ten. Van die club maken o.m. deel uit Char­lie Cha­plin, Erich von Stro­heim, Josef von Stern­berg, enz.

Onder de aan­ge­kochte pren­ten bevin­den zich « Boks­wed­strijd » van Dekeuke-leire en « Oos­tendsche Pren­ten » van Storck.

=k Naar de «Ber­li­ner Zei­tung» meldt onder­gaat de veel­bes­pro­ken film « lm Wes­ten nichts Neues » op het oogen­blik te Ber­lijn een nieuwe bewer­king. Nadat -men hier­mede gereed is geko­men, zal de film weer voor de film­keu­ring­sraad komen.

>k Twee voo­raans­taande film­vak­bla­den uit Ame­rika «The Motion Pic­tures News» van New-York en « Exhi­bi­tors Herald World» van Chi­cago, heb­ben zich samen­ges­mol­ten tot één too­naan­ge­vend orgaan « Motion Pic­tures Herald », dat weke­lijks ver­schi­j­nen zal. Anders­zi­jds wer­den «Exhi­bi­tors Daily Review » en « Motion Pic­tures To-Day » tot één blad samen­ge­bracht, onder den titel « Motion Pic­tures Daily ».

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Les grands suc­cès des films sonores