Programme de 22 à 26 janv. 1922



Livret de programme

Source: FelixArchief no. 1968#333

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AGENT GÉNÉ­RAL POUR LA BEL­GIQUE:

THE AUTO - PIANO

Kas­ther & CO Ltd

LE CÉLÈBRE PIANO

"August Förster,,

TÉLÉ­PHONE BRUXELLES No Q804

Achille Gey­zen

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1922

Gxy lit­té­ra­ture c/oxonoßf Qctua­lit

Otclcptlc offi­ciel belote de Veut c iuie­tricx­tocff

Ma. (ê) cen­te­rimm­maiiw

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C’est une des plus sym­pa­thiques figures du mou­ve­ment cinéma-togra­phi­quea­mé­ri­cain: dès ses débuts à l'écran, il s’im­posa par la sin­cé­rité de son jeu, et sa com­pré­hen­sion artis­tique des effets à pro­duire, aussi sa popu­la­rité gran­dit elle rapi­de­ment autant chez nous que de l’autre côté de l’At­lan­tique.

Wal­lace, fils de Hat Reid, le célèbre dra­ma­turge, naquit à Saint-Louis en 1892. Dès l’âge de 4 ans, il inter­préta sur la scène, un rôle de fillette, dans Esc­tave de l’Or. Mais des années devaient s’écou­ler encore, avant que son nom fut­con­nu­du­grand public; entre­temps, les parents du petit Wal­lace, s’étant dépla­cés, l’en­fant par­fit ses études à New York, puis à New-Jer­sey, enfin à l’aca­dé­mie mili­taire de Free­hold. Peu après, nous retrou­vons le jeune homme à New-York, où il inter­prète un rôle de repor­ter à la New-York Star. Puis, c’est dans le vau­de­ville que son talent lui vaut des suc­cès: il crée The Girl and the Ranges, un sketch dont son père est l’au­teur; les applau­dis­se­ments du public des théâtres attirent sur lui l’at­ten­tion d’une grande firme ciné­ma­to­gra­phique, et voilà notre néo­phite acc­cepté comme artiste de stu­dio.

Les pre­miers rôles qu’il joue alors, lui per­mettent, durant ses loi­sirs, d’étu­dier la tech­nique

ciném ato­gra­phique Col­la­bo­ra­teur à la Nation Maga­zine, il s’y fait remar­quer par son juge­ment sûr, et son sens pra­tique. Nous n’en fini­rions pas d’énu­mé­rer les branches dans les­quelles Wal­lace Reid se dévoua, et où ses efforts connaissent le suc­cès. Pour­tant, ce fut sur­tout depuis qu’il s’at­ta­cha A la Para­mount, que son étoile jeta le plus vif éclat.

Parmi les pro­duc­tions les plus inté­res­santes, où il joua un ré de pre­mier plan, il sied de men­tion­ner: La Source, Trop de mil­lions, La Val­lée des Géants, L’Homme mis en lote­rie, Tou­jours de l’au-dace, L'Ecole lu charme, Trop de hâte, et vingt autres films qui ont déjà vu ou ver­ront demain l’écran dans nos meilleurs salles belges.

Mal­gré son âge rela­ti­ve­ment une, Wal­lace Reid compte déjà bien des succes à son actif. Artiste d’écran très prisé, il a pour vio­lon d’Ingres, la lit­té­ra­ture. Sa car­rière sera belle, ses débuts ayant coïn­cidé avec ceux du 7° art et sui­vant depuis le che­mia triom­phal suivi par le cinéma.

L’une des meilleurs créa­tions de Wal­lace Reid — sinon la plus réus­sie - est Les Affaires d’Ana­tole, une très inté­res­sante pro­duc­tion sur laquelle nous comp­tons reve­nir en temps et lieu.


ptr/r

Il nous est né un second «Jackie Cou ga a ..! Le petit Rico — de son nom de bap­tême Henri Jac­que­mart — s'est révélé à l’écran une vedette qui pro­met. Mal­gré ses quatre ans et demi son espiè­gle­rie, son esprit d’imi­ta­tion et ’e natu­rel de ses atti­tudes l’avait fait remar­quer par M. Fran­cis Mar­tin qui le pré­senta à M Flon, le talen­tueux met­teur, en scène belge, dont nous avons eu à maintes reprises, l’oc­ca­sion d’en­tre­te­nir nos lec­teurs. Le réa­li­sa­teur belge cher­chait un enfant qui put tenir avec natu­rel un rôle de pre­mier plan: avec l’au­to­ri­sa­tion des parents du «petit ner­veux» — c’est le nom qu’on lui donne au stu­dio. — M. Flon n’eut pas de peine à uti­li­ser les réelles qua­li­tés du bam­bin.

Reve­nant de la vision de la belle pro­duc­tion «Bel­gique», nous avons été inter­vie­wer, non le héros lui-méme, mais ses parents. Et le papa du petit pro­dige nous a déclaré qu’il

met­trait tout en œuvre pour assu­rer l’ave­nir de son petit gar­çon.

La bio­gra­phie du petit homme est tôt faite, et ne se dis­tingue qu’en bien peu de la courte vie des enfants de son âge, notons cepen­dant, un esprit d’imi­ta­tion très déve­loppé quite pousse à s’es­sayer aux gestes de tous ceux qu’il voit, voire aux cabrioles de Cha­riot, son dieu.

Rico est un enfant sage, vif et de com­pré­hen­sion rapide; mais il n’a rien du petit pro­dige gâté par les flat­te­ries et les hon­neurs.

Phy­sique char­mant, yeux clairs, dhe­ve­lure bou­clée, c’est une figure très pho­to­gé­nique.

Unie indis­cré­tion, nous per­met d’an­non­cer que sous peu, une firme ciné­ma­to­gra­phique fran­çaise, de grond renom, fera « signer » ut, enga­ge­ment au petit Rico: à nos lec­teurs, friands de détails à ce sujet, nous pro­met­tons de plug amples ren­sei­gne­ments.

Sou­hai­tons bonne chance et bel ave­nir au « petit, ner­veux », sur les écrans de France, de Bel­gique et d’ailleurs. MAR­NIX.

Est-il pos­sible de pro­duire des films ciné­ma­to­gra­phiques, en Bel­gique? Les uns répondent oui, les autre«, non. Les der­niers ont tort, et je vais le prou­ver.

Avant le grand conflit mon­dial des peuples, un met­teur en scène fran­çais, M. Alfred Machin, tra­vaillait pour le compte de La Pathé Belge Cinéma, en son stu­dio du Kar­re­veld,. chaus­sée de Gand, à Bruxelles. II mit en scène quelques bandes à suc­cès. Plu­sieurs d’entre nous se rap­pellent: Mau­dite soit la guerre, La Fille de Delft, La Pie Noire, Suprême Sacri­fice, etc.

Cette pro­duc­tion, avan­ta­geu­se­ment ven­due chez nous et à l’étran­ger, était très goû­tée par les dif­fé­rents publics. La troupe de M. Alfred Machin com­pre­nait des artistes aimés: Nico­las Ambre­ville, Crom­me­lynck, Fes­te­raet, Nadia Dan­gely et beau­coup d’autres.

Tout le monde gagna beau­coup d’ar­gent — ce qui n’est pas défendu. Vint la guerre. Elle s’use pen­dant que les éner­gies diverses se dis­persent et s’éteignent en un souffle.

Ce que Femme veut...

Scène du Aim.: L'Hé­ri­tier.

Mil neuf cent dix-huit! L’ar­mis­tice... Une scène nou­velle remonte vers les extré­mi­tés des branches endor­mies; le cinéma belge va revivre. Ceux d’avant mil neuf cent qua­torze — dans la pro­duc­tion ciné­ma­toh­ra­phique — ont peine à reprendre leur poste pri­mi­tif; les autres, les jeunes, brû­lant du feu sacré, se jettent dans la mêlée, bataillant...

Les jour­naux cor­po­ra­tifs réap­pa­raissent: La Revue Belge du Cinéma, Le Film, Le Cinéma Belge, Quo Vadis, L’Echo Ciné­ma­to­gra­phique, etc.

M. De Kem­pe­neer pose les assises de La Com­pa­gnie Belge des Films ciné­ma­to­gra­phiques et en devient le direc­teur géné­ral. Le pre­mier: Bel­gique Mar­tyre, de Charles Tute­lier,


obtient un gros suc­cès.

Suivent suc­ces­si­ve­ment: La Libre Bel­gique et l’Hé­roïque Gabrielle Petit, Le Conscrit, La Den­tel­lière de Bruges, La Petite Chan­teuse des Rues, Le Gen­til­homme Pauvre, Ame Belge,

La Jeune Bel­gique, Le Jugf, Un drame à la Ferme, mis en scène par le met­teur en scène Théo Ber­ge­rat.

La société Le Film Belge acheta le stu­dio du Kar­re­veld et y tourna, Le Por­trait de l’Ami­ral.

M. Paul Flon, un jeune met­teur en scène réunit des capi­taux et part pour Nice. 11 y exé­cute: Un Homme a passé par là... (Ger­fi­fault), d’après le roman de M. Charles de Ber­nard.

M. Paul Flon vient de ter­mi­ner Bel­gique! un grand drame de la guerre.

La société S. K. A. P., diaec­tion C. Semet, a pro­duit jusq i’à ce jour trois films excel­lents: Cinq Cent Milte Francs, l’Hé­ri­tier, Arthur fait du Film, mise en scène de MM. Georges et Mar­cel Net­te­rer. M. Is. Moray met en scène La Libre Bel­gique et, pour un compte per­son­nel: La Force des Vingt ans. Ce que Femme veut... La Sun Pic­tures, direc­teur M. Féron, met­teur en scène Henry Parys, a tourné Miss Spor­ting, Un Len­de­main, Bob adore le Flirt, scé­na­rio de Mar­cel Rival. Entre­temps, se créent de nou­velles revues: Le Cinéma Inter­na­tio­nal (qui a cessé de paraître) et — last not least — CINÉ-REVUE.

Des pro­fes­sion­nels et des ciné­philes fondent: Le Ciné-Club de Bel­gique dont les séances artis­tiques men­suelles sont très sui­vies.

Et naît cette foule qui adore l’écran et ses lumières fée­riques et ceux qui seront les gar­diens de tant d’ef­forts et les défen­seurs de l’Art nou­veau.

Mal­gré « tant cela nq les impor­tants per­son nali­tés du gou­ver­ne­ment et de la finance ne veulent faire acte de patrio­tisme, d’es­pri l artis­tique et non mer­can­tile et absolu, et se refusent à bâtir une grande agglo­mé­ra­tion com­pre­nant, stu­dios, ate-lies, labo­ra­toires, etc... Le Sep­tième Art ainsi le veut Canudo — est, digne de se pla­cer aux côtés de nos arts anciens il mérite un inté­rêt puis­sant.

A quand l’ap­pui du légis­la­teur?

Notre peuple, quoi qu’on en dise, n’est pas un peuple arriéré; il fer­mente tou­jours en son vieil humus, pour des temps futurs, des savants et des inté­res­sants poètes et pro­sa­teurs doués de cette rugo­sité et de cette sen­si­bi­lité, Tune et l’autre si propres à la race fla­mande et wal­lonne.

Notre Cinéma belge devien­dra une réa­lité Cette œuvre coû­tera encore de nom­breuses luttes, de nom­breuses essais, mais la vic­toire Anale nous appar­tien­dra. Nous démon­tre­rons par là que le Belge, dans tous les domaines, par son tra­vail,, son cou­rage, sa volonté, son héroïsme, mérite l’at­ten­tion du monde civi­lisé. Mau­rice W1DY.

Ce que Femme veut.,.

Scèn» de Arthur fait un film: MM. Ambre­ville et Devèze.

Vue des nou­velles Ins­tal­la­tions

A. VAN WEE­REN

Ces ins­tal­la­tions de pre­mier ordre font l’ad­mi­ra­tion des tein­tu­riers spé­cia­listes.

Par pro­cédé bre­veté les vête­ments sont lavés en pleine ben­zine, tout en gar­dant les cou­leurs.

Mai­son prin­ci­pale:

93, 95, Ghaus­sée de Malines


WUWA

ROYAL - ZOO­LO­GIE CINEMA

y, Le Cabi­net du Dr Cali­gari

ïï Conic fan­tas­tique ('I hal­lu­ci­nant en cinq actes.

AV VYI'-PRO­POS

Les nuns de réliih­lis­se­menl d'alié­nés oui leurs secrels. Les esprits qui les hapleid soul hi/arres el leur vita­lité est incom­pré­hen­sible. Ces! Ie monde du fan­tas­tique et des hal­lu­ci­na­tions. Ces esprils disent ce qu'ils \ivoiil. el vivent ce qn ils peu­seul... car ils pensent ces parias, esclaves de leur ima­gi­na­tion... Ils pensent, Fran­cis, son ami Allan, Jane, le Docleur Olfen el les autres... (les elles voient leur monde, parlent leur langue, et res­sentent leurs impres­sions. Ils nous trans­portent avec eux dans ce monde où l’homme engendre son rêve pour échap­per aux réa­li­tés de la \ie (pii Ipic­cah­lenl sans jamais le satis­faire el nous assis­tons ainsi, hale­tants et angois­sés, aux expé­riences d’un fou, sans nous dou­ter de sa folie.

G a umont-Jour­nal

PARA­DIS PERDU

Fan­ta­sie comé­die

L’OE­PHE­LINE

8e épi­sode:

LA CHASSE A L’HE­RI­TAGE

: Le Cabi­net du Doc­teur Cali­gari

Fran­cis, assis sur un ha ne du jar­din en com­pa­gnie d’un pauvre hal­lu­ciné comme lui, raconte à ce der­nier une his­toire qu'il croit réelle, mais qui n’esl que l’ex­pres­sion de son ima­gi­na­tion de démuni.

RK St MK

C’est dans la petite ville de Ilols­len­wall. Le doc­teur Cali­gari se pré­sente à la mai­rie afin d'ob­te­nir l’au­to­ri­sa­tion d’ex­hi­ber un som­nam­bule à la foire...

K Mon ami Allan el moi, au cours d'une pro­me­nade à la foire, nous nous arrê­tons, intri­gués, devant la baraque du som­nam­bule, (le cabine! du docleur Cali­gari). Le doc­teur esl devant sa baraque, entou­rée de curieux!...

» Entrez, venez voir César, la mer­veille I... César.

le som­nam­bule qui sail lout!... qui voit loul_Il

répond à toutes les ques­tions... connaît le pré­sent, le passé... lit dans l’ave­nir... Inler­roge&Je... Jugez par vous-mêmes.’...

» Nous entrons... Le doc­teur Cali­gari ouvre une longue, caisse et io som­nam­bule appa­raît, lerri fiant, lugubre sous son aspect cada­vé­rique.

Conte fan­tas­tique et hal­lu­ci­nant Film futu­riste

( Cau­monts­Week­blad

HET VER­LO­REN PARA­DIJS

Fan­ta­sie tôo­neels­pel

IDE WEES

8e epi­sode;

DF IACHT OP DE ERFE­NIS

Semaine pro­chaine la célèbre film sen­sa­tion 1

» Cali­gari com­mande à César de se réveille] César obéit... I n léger tres­saille­ment semble rouer la rigi­dité livide de sa face hideuse, vre pro­gres­si­ve­ment les jeux qui le fixent

sur

Allan el celui-ci, en trem­blant, lui demande: a Com­bien d'an­nées vivrai-je? » La voix caver­neuse de César lui répond Demain, lu seras un cadavre... ».

» Le len­de­main matin, Allan était trouvé assas­siné dans son lit.

» Celait dans la petite ville d Hol­sten«all le il uxième meurtre accom­pli de la même façon mys­té­rieuse...

» Allan el moi, aimions tous deux Jane, la fille du doc­teur Olfeu. File devait choi­sir cl nous nous étions pro­mis, quoi qu'il put adve­nir,' de res­ter tou­jours amis... Pauvre Allan!

» le me lis un devoir d'éclair­cir le mys­tère el me ren­dis à la police.

» Le Som­nam­bule?!...

J n Incom­pré­hen­sible et hal­lu­ci­nant alibi... Peu- (

ilanl des heures nous sommes, le com­mis­saire de i police el moi, res­tés en obser­va­tion der­rière la

fenêtre de la rou­lotte. Le doc­teur Cali­gari veille sur César dont nous aper­ce­vons la lête cada­vé­rique. You­lanl éclair­cir celle énigme, nous entrons el consta­tons que César esl rem­placé par un man­ne­quin d une res­sem­blance frap­pante. .

» Le doc­teur Cali­gari dis­pa­rail, mais j'ap­prends bien­tôt qu’il a trouvé refuge dans l'asile d’alié- * nés de la ville.

» le me pré­sente au dire­cleur de l'éta­blisse-mcMil pf quelle n’esl pas nia stu­peur de cocon­naî-Iro immé­dia­le­méul en lui le docleur Cali­gari!...-» Je me pré­ci­pite sur lui... scs assis­tants me sai­sissent cl me rendent impuis­sant-...

Het Cabi­net van Dok­ter Cali­gari î

Fan­tas­tisch en zins­be­goo­che­lend film­werk Futu­ris­tische film

étoile Pris­cilla DEAN dans le ‘LE( HORS-LA-LOI”

» Le com­mis­saire, m'ac­com­pa­gna à la foire. Der­rière la baraque du doc­teur Cali­gari se Irou­vai! une rou­lotte. Par la fenêtre nous aper­çûmes la longue caisse de César et Cali­gari qui som­meillait.

» C’est pen­dant ce temps que s’ac­com­plit à Hol-slenv­vall le troi­sième meurtre exé­cuté en tous points d'une façon iden­tique aux deux pré­cé­dents. (Le même coup porté au cœur). On arrête le j meur­trier. Il nie toute par­ti­ci­pa­tion aux meurtres pré­cé­dents. 11 avoue avoir tué une v ieille fern»! me avec une arme sem­blable à celle retrou­vée sur J le théâtre des autres crimes, dans le but de çeje-! 1er les soup­çons sur le meur­trier mys­té­rieux.

» La nuit sui­vante, noyyelle énigme... Jane, la fille du doc­teur Olfen dis­pa­rait mys­té­rieu­se­ment...

» On entend sou­dain.un cri de ter­reur... On se j lance sur la trace de la dis­pa­rue el on retrouve la I pauvre enfant inani­mée dans la rue. Son ravis­seur qui s’en­fuit esl reconnu... C'est César, le Som­nam­bule.

Pauvre fou!... Son cer­veau malade avail seul enfanté celte ter­ri­fiante his­toire et la cami­sole de force et la douche étaient seules capables de le rendre lucide pour quelques heures.

L’his­loire du doc­teur Cali­gari esl mise à l’écran avec ta vir­tuo­sité d’un Poë. elle cap­tive et impres­sionne. Les décors bizarres an milieu des­quels se déroulent les péri­pé­ties extra­or­di­naires d’Al­lan, réflé­chissent à la fois le carac­tère de l’his­toire el l étal men­tal des per­son­nages. Le des­sin du plan­cher de l'asile d alié­nés fait son­ger à la confu­sion men­tale; le style gothique fan­tai­siste et les dra­pe­ries flou de. la chambre à cou­cher de Jane, la fille du doc­teur Olfeu, invitent au som­meil, mais lorsque César le som­nam­bule y pénètre, il semble que L'es­prit de la des­truc­tion en per­sonne, s v avance el quand il emporte son far­deau humain on a l'im­pres­sion qu'il arrache la chambre entière avec lui.

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DEGE­LIJKE M0B1­LIE­REN TAPI­J­TEN

MELK­MARKT 10-12

Sir James M.

Bar­rie est un des auteurs dra­ma­tiques les plus jus-tement­po­pu­laires d’An­gle­terre. Ses pièces jouissent d’une répu­ta­tion mon­diale. Parmi les plus célèbres., citons: Peter Pan, l'Ad­mi­rable Crick-ton, Un bai­ser pour Cen­drillon, Cher Bru­tus.

Repré­senté pour la pre­mière fois à ondres, en 1902,

!'Ad­mi­rable Crich­ton fut aus­si­tôt consa­cré par le grand public et, l’an­née sui­vante,

New-York lui réserva un accueil aussi enthou­siaste.

C’est au cours d’un voyage en Angle­terre, en 1908,que l’au­teur pari­sien Alfred Atliis vit l’Ad­mi­rable Crich­ton. Il fut . séduit par l’ori­gi­na­lité de cette oeuvre et s’en fit confier l'adap­ta­tion en fran­çais. A son retour, il >en parla à plu­sieurs direc­teurs, entre autres à M. Fir­miin fié­mier, qui s,e réserva cette œuvre pour soin théâtre.

Cecil de Milles

suite à son pro­jet. On se sou­vient du suc­cès de curio­sité que rem­porta auprès du public pari­sien ce chef-d’œuvre d’ob­ser­va­tion et d’hu-mou r, bien carac­té­ris­tique de la lit­té­ra­ture moderne anglaise. C’est M. Gémier lui-même qui inter­pré­tait Crich­ton; il le fit avec sa maî­trise et son ori­gi­na­lité habi­tuelles.

A côté de lui, les meilleurs artistes de Paris, Mar­celle Géniat en tète, fai­saient valoir les finesses des divers rôles et la mise en scène théâ­trale fut en tous points remar­quable.

La curio­sité du publicne man­quera pas d’être vive-men­té­veillée­lors-qu’il saura qu’une pré­sen­ta­tion va lui être faite de l’adap­ta­tion ciném at ograp­bique de -cette pièce connue.

A l’Ecran.

En quelques .mots, rap­pe­lons le scé­na­rio de la pièce.

dans « l’Ad­mi­rable Crich­ton. »

Ce n’est qu’en 1920 q.​ue G ..1er put don­ner Crich­ton, pre­mier maître d’hô­tel de la fa-



mille Loam, une des plus riches d'An­gle­terre, est remar­quable par son intel­li­gence, son esprit d'ini­tia­tive et ses rares qua­li­tés.

Lórd Lo, am a deux filles, Lady Mary et Agathe. Tous trois mènent la vie oisive et inutile de tous ceux pour qui la vie n’a point de dif­fi­cul­tés. Lady Mary, Taî­née, est le type de la .belle aris­to­cra­tie uni­que­ment .occu­pée de sa per­sonne. (Elle est fian­cée à Lord Broc-kel­hurst, qui, lui aussi, est le type par­fait de 1’.inutile.

'A ces divers per­son­nages .s’ajoute la petite Ketty, femme de chambre de Lady Mary, qui nour­rit en son cœur une secrète ado­ra­tion pour Crich­ton.

Lord Loam orga­nise une .croi­sière dans les Antilles à laquelle doivent prendre part ses deux filles et deux de leurs cou­sins. iCri­cib­ton •et Ketty sont du voyage. Au cours de celui-ci, le yacht fait nau­frage et les voya­geurs atter­rissent dans une île sau­vage, des tro­piques. Emface dton-e nature sau­vage, les aris­to­crates sont impuis­sants et seul le génie de Crich­ton peut triom­pher .de toutes .les dif­fi­cul­tés. C’est grâce à son esprit d’ini­tia­tive et à son cou­rage que la petite troupe pourra vivre et s’or­ga­ni­ser pour cette nou­velle exis­tence. Crich­ton devient vir­tuel­le­ment le maître dans la petite île. Lady Mary se rebelle d’abord contre sa domi­na­tion, mais, peu à peu, elle subit comme les autres son pou­voir.- Au bout de plu­sieurs années de cette étrange exis­tence, son admi­ra­tion se change .même en un sen­ti­ment plus tendre et l’on va célé­brer son mariage avec Crich­ton quand un navire libé­ra­teur est signalé à l'ho­ri­zon.

De retour en Angle­terre, cha­cun reprend bien­tôt la place qu’il occu­pait aupa­ra­vant, et Crich­ton rede­vient maître d’hô­teil. Lady Mary •ne peut oublier ses sen­ti­ments ini les ser­vices ren­dus par Crich­ton, et, secrè­te­ment, .elle ne peut s’em­pê­cher de le com­pa­rer à son fiancé, Lord (Bro­Cke­thurst. Mais Crich­ton est aussi sage qu’il t admi­rable, car il •com­prend

qu’une telle union serait main­te­nant impos­sible, -et il annonce à toute ila famille son mariage avec Ketty et leur départ pour l’Amé­rique.

'Le public, qui attend beau­coup de Cecil B. de Milk) me sera certes pas déçu en -voyant la mise en scène de T« Admi­rable Crich­ton ». La somp­tuo­sité de -la riche demeure des Loam où tout n’est que luxe -et plai­sir, contraste étran­ge­ment -avec les décors sau­vages de il’île des tro­piques. iGe-cil -B. de Mi-IL n’a rien épar­gné pour arri­ver là la per­fec­tion et une fois de plus il a atteint le sum­mum d-e lia sincé-

rité et du réa­lisme,.

(Pour ta dis­tri­bu­tion d-e 1’« Admi­rable 'Crich­ton », Cecil B. de Mille a réuni une pléiade d ’ ar ti s tes inc o mpar able s.

Crich­ton, c’est Tho­mas iMe-ighan, main­te­nant -connu et aimé du publie d’Eu­rope.

Glo­ria Swan­son — dont nous avons mtre-tenu'mos lec­teurs il y a peu de jours — c’est Lady Mary, la fini vol« et belle aris­to­crate. Tour à tour, elle est la grande dame capri­cieuse et auto­ri­taire, dont T élé­gance raf­fi­née se meùt dans -Le riche décor du domaine des Loam, et l.a femme que l’amour seul .domine dans la soli­tude de l’ile sau­vage.

Nous retrou­vons aussi l’ado­rable Lila Lee, qui inter­prète le rôle de .Ketty, -la petite femme de chambre amou­reuse d.e Crich­ton.

Et Théo­dore .Roberts, admi­rable d’hu­mour et d'es­prit comique, com­po­sant -un Lord Loam vrai­ment typique.

Les autres rôles prin­ci­paux sont impec­ca­ble­ment tenus par Ray­mond Hat­ton — le cou­sin .imbu de sa per­sonne .et dont toute la ridi­cule fatuité sera bien vite apai­sée lors­qu’il sera en pré­sence des dif­fi­cul­tés d-e la vie -pri­mi­tive; Mil­dred .Rear­don, char­mante à sou­hait, dans le rôle d’Agathe, seconde Jill-e d-e Lord Loam; .Julia Faye, jolie camé­riste, et Robert Câlin, fiancé peu inté­res­sant, com­plètent un ensemble irré­pro­chable. X.

Qina bel­lij

Gina «Sou­rire » ise­rait-on tenté d'écrire: J ana­gra sou­riant, sans aucune miè­vre­rie, elle a de grands yeux noirs rem­plis d’ex­pres­sion, une bouche qu'eut aimé chan­ter Mus­set...

Gina Relly est un.e des rares artistes ayant « tourné » en France et aux Etas-Unis; alors que, musi­cienne accom­plie, elle se des­ti­nait à l’opéra, M. Tré­ville remar­qua ses qua­li­tés pho­to­gé­niques, et lui ouvrit la car­rière à l’écran. Elle passa à la S.A.C.L., et comme le cinéma lui plai­sait, elle aban­donna ses vies d’an­tan.

pour se don­ner foute .entière à la car­rière écra­nesque.

Les prin­ci­pales créa­tions de Mlle Gina Relly sont: Docu­ment secret, avec Navarre ;

Nine, les Femmes col­lantes, La Dette lai valurent un enga­ge­ment à New-York, à la Fox, où elle tourna le prin­ci­pal rôle de « The face at your Win­dow ». Et main­te­nant c’est- le grand rôle dans « L’Em­pe­reur des Pauvres », puis ce sera « Le Sang des Fipoëi » de The­wriet.

NOVELL


A Tra­vers la Presse

La natio­na­lité da Cha­riot.

Le dieu die nais­sance de Char­lie 'Cha­plin n’est tou­jours pas connu exac­te­ment. L’ili­lus-tre 'co­mique lui-même a varié sou­vent sur ce point. Allons à qui se fier et que croire?

(Cha­riot M’est cepen­dant pas tomibi\de la lune!

On l’a fait naître en Amé­rique, puis en Angle­terre, et voici qu'au­jour­d'huii, sur l’an-inuiaâre d’une grosse firme new-yor­kaise, on lit avec stu­pé­fac­tion que 'Cha­riot est né, il y a 32 ans, à Sar­trou­ville, près Paris...

Or, au ibu­reau de l’état civil de cette char­mante .loca­lité, on ne trouve aucune trace de cette nais­sance.

La ques­tion, loin d’être réso­lue, reste donc entière.

(Main­te­nant, Cha­riot n’a peut-être pas d’état civil du tout. Ces choses-là sont arri­vées d’ailleurs à des gens très .bien.

(« La Ciné­ma­to­gra­phie (fran­çaise ».)

Réflexion.

Quand un idl.m ciné­ma­to­gra­phique enthou­siasme Le public — ça arrive! — il l’ap­plau­dit volon­tiers, mais il cesse aus­si­tôt que revient la lumière, il est tout 'hon­teux de ce qu’il vient de faire. Il ne sait plus de quel côté se tour­ner, oui dirait qu’il a peur qu’on se moque de lui. iDame! l’écran n’est plus qu’un mor­ceau de cali­cot blanc, Les images se sont éva­nouies, et ces comé­diens qui viennent, de l’émou­voir ou 'de l’amu­ser sont en Amé­rique, à pré­sent, ou dans le Midi, en train de tour­ner d’autres films, et il ne reste plus que l’opé­ra­teur, qui remet son ves­ton et qui a une crampe dans le bras droit. Sacha GUI­TRY.

(« Le Jour­nal amu­sant ».)

L’Eglise et le Cinéma.

Les enne­mis du cinéma conti­nuent à voir leurs objec­tions tom­ber une à une. Le clergé qui, si Long­temps a lutté contre l'en­goue­ment des fidèles pour ce qu’il consi­dé­rait comme des « spec­tacles per­vers », s’.est enfin rendu compte que si un film per­ni­cieux se glisse par­fois dans les pro­grammes, le fait se fait de plus en plus rare et que, loin d’être un lieu de per­di­tion, le cinéma est sou­vent le meilleur mora­liste que .puisse ren­con­trer la jeu­nesse.

(Et ce mora­liste a Le don de ne pas ennuyer; il sait pré­sen­ter ses leçons sous un jour agréalble, c’est pour cela qu’elle sont tel­le­ment suiv . •!...

Quoi­qu’il en soit, île clergé se récon­ci­lie avec le cinéma. Nous n'en vou­lons de meilleures preuves que celle que nous en donne Le révé­rend Ste­wart Head­larn qui s’in­digne de ce qua Le Lon­don Coun­cil a fixé à 16 ans, la limite d’ad­mis­sion pour les jeunes gens à voir Les films mar­qués A (adultes). « U serait beau-cou j - mieux de Lais­ser voir tous Les films, dit-il, et que la police veillât à ce qu’il n’en passe point de sca­breux. »

Canon Mey­trick, pas­teur de Nor­wick, assis­tait à la réou­ver­ture du « 'Pic­ture Palace » de iHay­maP­ket, accom­pa­gnant Le maire et les ishé­niiffs. Canon Mey­riielk, dans son allo­cu­tion,, a déclaré être venu parce qu’il trouve absurde de vou­loir igno­rer l’exis­tence du cinéma et ses « immenses pos­si­bi­li­tés pour le Wen ou pour le mal ». Il espère que le cinéma s'unira à L’iE­gldse pour le bien public.

(« La Ciné­ma­to­gra­phie fran­çaise ».)

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Du 20 au 26 Jan­vier 1922

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Pal­la­dium. . . . . . . Les Mil­lions de Fatty

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Kur­saal, d’An­der­lecht j_ nOM*z»iioo Tri­anon, <1* St-Josse . . S U LouP d8 bent»l!es

Jour­dan-Palace. .

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CHAR­LE­ROI

Capi­tol

V Ideal

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Splen­did .... . . . Kidl Bouf­fe­tout

LOU­VAIN

Lou­vain-Palace. . . . . Un Mari pour un Dol­lar

MALINES

Flora

Royal

OSTENDE

Palace

NAMUR

Pathé . . La Cité du Slle­noe

ALOST

COUR­TRAI

Lan­terne d'Or . .

JEMAPPES

V Eden

HOBO­KEN

Géant

WIL­RYCK

Ce sont des film» .. ym/imé

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Un « Métro » ciné­ma­to­gra­phique.

Qui était-ce qui disait il y a quelque temps que l’Uni­ver­sal City pos­sé­dait tout, sauf un « Métro »? Une ville ciné­ma­to­gra­phique ne serait cer­tai­ne­ment pas com­plète s’il n’y avait pas de che­min de fer sou­ter­rain, comme dans toute autre métro­pole. La seule dif­fé­rence entre le « Métro » de Paris, le « Sub­way » de New-York -et l’a Under­ground » de Londres avec le che­min de fer sou­ter­rain de TUni­ver­sal City est la sui­vante: ce der­nier n’a coûté que 5000 dol­lars et sa construc­tion n’a exigé qu’une semaine de tra­vail. Drô­lie de « Métro », sans doute. C’est qu’il n’a qu’une seule sta­tion et que deux trains qui pour­tant marchent sur des rails et sont mus par l’élec­tri­cité. Jack Conway, le met­teur te» scène d’un film de l’Unii­ver­sal, inti­tulé «The Mil­lion­naire» (Le Mil­lion­naire) avec Her­bert Raw­lin­son, néces­sita un che­min de fer sou­ter­rain et en moins d’une semaine il avait fait construire un fac-similé exacte du « Sub­way » de New-York. Et à pré­sent que 'e film est ter­miné, il a saisi l’oc­ca­sion pour offrir son « Métro >.' à la muni­ci­pa­lité de Los Ange-lès à un prix d’une modes­tie tout à fait excep­tion­nelle.

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Concours de Vedettes

Un col­lier en véri­tables perles cTO­rient

Pour par­ti­ci­per à ce concours allez dans les ciné­mas ren­sei­gnés par la " Semaine de Para­mount „ dans ce

numero.

C’est

une sur­prise


La sil­houette fémi­nine reste svelte, para­doxa­le­ment élan­cée mal­gré la gros­seur des tis­sus d’hi­ver: voyez donc la beauté pleine grâce de ces deux déli­cieux modèles, pris entre cent, dans la riche col­lec­tion que vous offre chaque mois, le superbe album de mode L’Elé­gante.

La pre­mière figure nous pré­sente un tailleur lâche, légère-menf repris â la taille d’un trait laqué. L'étoffe employée, est du Kasha­drap «fer»; pour gar­ni­tures aux poi­gnets, au grand

col, au bas de jaquette, de l’agnella gris, J/autre, c’est le tailleur severe, encore fort prisé des vrais élé­gantes; une jaquette droite, cin­trée à la taille; le col­let et le bas des amples manches, se sou­lignent d’un triple lacet.

Ce sont là deux créa­tions d’un goût sûr: vous en trou­ve­rez mainte autre dans VElé­gante, ven­due 2 fr., par la Mai­son J. Félix, 2D, rue Albert de Latour.