Programme from 12 to 18 Feb. 1932



Booklet

Bron: FelixArchief nr. 1968#749

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Ven­dredi n Samedi -ei» Di­manche * * Lundi C Jeudi « fj février ....

Vri­jdag Za­ter­dag Zondag Maandag J Don­derdag Feb­ru­ari

1. Eclair ajour­nai

Ac­tu­alités sonores

2. Placide en Guerre.

Dessins animés sonores

3. Messieurs tes Rchas­siers

Doc­u­men­taire du ser­vice sci­en­tifique de l’U. F. A.

ENTR’ACTb

Pen­dant l’entr’acte - Au­di­tion de dis­ques

1. EcI­airNi­eti­ws­berichten

Ak­maliteiten up den klank­film

2. Placide in den Oor­log

Klank­teeken­film

3. De Heeren Stelt­loop­ers

Doku­men­tarische film van de kul­tu­u­rafdeil­ing der U. F. A.

POOS

Ti­j­dens de poos - U.​tvoering van gram­mo­foonpi.

22917 RONNY:

C'EST BON TOUT DE MÊME (fox-trot) T IS TOCH ZOO GOFD! (fox-trot)

CHAQUE FOIS QU'UN RÉGI­MENT... (marche) IEDER MAAL ALS 'N REG­I­MENT... (marsch)

LE CONGRÈS S'AMUSE (valse) HET KON­GRES DANST (wals)

4. Gagne ta Vie 4. Ver­dien uw Brood

Comédie Bli­jspel

Scénario: Sce­nario:

AL­BERT WILLEMETZ & RENÉ PUJOL

Réal­i­sa­tion: Ver­wezen­lijk­ing :

André BERTHOMIEU

Di­a­logue: Di­aloog:

Al­bert WILLEMETZ & Pierre MAU­DRU

Musique: Muziek:

Henry VER­DUN

DRAMA­TIS PER­SONÆ

Jacques Làümière . . Vic­tor Boucher

Pa ilette Mar­tin Dollv Davis

M. Laumière . André Pu­b­osc

Philippe . . Robert Goupil

M. Mar­tin .... Louis Fin encie

Adel­bert Gajac Fred Marche


GAGNE TA VIE

Jacques de Laumière, qui a la chance de posséder un père très riche, n’a ja­mais pu penser une sec­onde qu’il fut sur terre pour autre chose que di­lapi­der joyeuse­ment la for­tune pa­ter­nelle. Aussi passe-t-il toutes ses nuits au Bar de la Vache à la Cave, en com­pag­nie d’amis qui parta­gent son goût de la pa­resse et des bois­sons al­coo­lisées.

C’est dans ce bar qu'une nuit il ren­con­tre une déli­cieuse jeune fille, pour qui il éprouve immédi­ate­ment un sen­ti­ment très ten­dre.

Il se fait présen­ter à cette jeune fille, ap­prend qu’elle se nomme Paulette Mar­tin et que les deux messieurs qui l’ac­com­pa­g­nent sont, l’un son père, l’autre son fiancé, Adélbert Gajac. Cet A.​delbert est vieux et laid, et Jacques pense qu’il lui faut à tout prix empêcher cet ig­no­ble mariage et épouser lui-même la jolie Paulette.

Au petit jour, il ren­tre chez lui, le cœur plein de rêves... un peu in­quiet aussi, car il est bien tard. Ses craintes ne sont d’ailleurs pas sans rai­son, car à peine est-il arrivé que son père le fait ap­peler et, après, l’avoir ac­cablé d'amers re­proches, le met à la porte avec un vi­a­tique de 500 francs.

Voilà Jacques obligé de gag­ner sa vie p II réussit d’abord à ven­dre sa voiture, puis: de­vient pro­fesseur de con­duite. Hélas! au cours d’une leçon il aperçoit Paulette au-volant d’une voiture, veut la re­join­dre, cause un ac­ci­dent et... se retrouve à nou­veau sur le pavé. b

11 ac­cepte alors de ven­dre des pro­gram-. mes dans un grand mu­sic-hall. Là, na­turelle­ment, il ren­con­tre des amis qui l’invi-..

tent dans leur loge. 11 ne peut re­fuser, et ne le re­grette pas d’ailleurs, car dans la loge voi­sine il voit Paulette en com­pag­nie de son éter­nel fiancé. Jacques réussit toute­fois à lui par­ler et lui avoue son amour. Paulette ne le re­pousse pas, si bien que, rem­pli d’es­poir, Jacques en­tre­prend les métiers les plus divers pour la conquérir.

Il tâte du jour­nal­isme et est mêlé à une af­faire de chan­tage qui lui vaut de se trou­ver une fois en­core sans tra­vail,.. Pas pour longtemps, car on le retrouve bientôt représen­tant une mar­que d’as­pi­ra­teurs de poussières, ce qui lui per­met de s’in­tro­duire chez les Mar­tin et d’ap­pren­dre que le père de Paulette, ayant fait de mau­vaises af­faires, cherche un gen­dre for­tuné.

Il ob­tient de Paulette un ren­dez-vous, à la salle des ventes, où elle doit se ren­dre avec son père.

Là, tan­dis que le com­mis­saire-priseur dis­perse un riche mo­bilier, Jacques es­saie, par signes, de s’en­ten­dre avec Paulette sur 1 heure à laque­lle ils pour­ront le lende­main con­tin­uer leur con­ver­sa­tion:

Mais le com­mis­saire-priseur croit que ces signes s’adressent à lui et, à la fin de la vente, Jacques se trouve pos­sesseur d’une vieille com­mode, qu’il a poussée jusqu’à 500.000 francs. Or, il n’a pas le pre­mier sou pour la payer... Heureuse­ment, un riche Améri­cain, arrivé trop tard pour enchérir, lui offre un mil­lion pour en­trer en pos­ses­sion de la précieuse com­mode. Jacques se trouve donc à la tête de 500.000 francs qu’il ap­porte tri­om­phale--rnent à son père, et, rien ne s’y op­posant .plus, il ob­tient enfin la main de Paulette.

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VER­DIEN UW BROOD!...

Jacques de Laumière, die het geluk heeft een scha­trijke vader te bezit­ten, heeft wel geen enkel oogen­blik kun­nen denken dat er iets an­ders in de wereld bestaat als de vader­lijke for­tuin zoo vroolijk mo­gelijk te ver­boeme­len.

Geen nacht gaat er dan ook voor­bij of men vindt hem in den bar van de « Vache à la Cave», in gezelschap van een stel vrien­den die over het leven dezelfde op­vat­tin­gen hebben en volkomen zijn smaak dee­len voor de ni­ets­doenerij en de sterke dranken.

Het is in deze bar dat hij, op zek­eren nacht, een ver­rukke­lijk jong meisje ont­moet, voor wie hij een plots innig gevoel opvat.

Hij laat zich het jong meisje voorstellen. Zij heet Paulette Mar­tin. Zij is vergezeld door haar vader en haar ver­loofde, Adel-bert Gajac. Deze Adel­bert is oud en lee-lijk en Jacques is de vaste meen­ing toegedaan dat alles op het spel moet gezet om dit schan­delijk huwelijk te ver­hin­deren en zelf de mooi Paulette naar het al­taar te vo­eren.

In de mor­gen­schemer­ing keert hij huiswaarts, het hart vol droomen — doch wel een weinig beangstigd, want het is heel laat. Dit angstig gevoel was eigen­lijk een voor­teeken: pas is hij bin­nengekomen of vader de Laumière laat hem roepen. Na hem een pa­ter­nos­ter van ver­wi­jten naar het hoofd ges­lingerd te hebben, zet hij hem aan de deur met een som van 500 frank.

Ein ziedaar onze Jacques ver­plicht zijn brood te ver­di­enen! Hij gelukt er vooreerst in zijn auto te verkoopen en wordt als­dan auto-leer­meester. Helaas! ti­j­dens een les ont­waart hij Paulette aan het stuur van een voor­bi­jsnbr­rend ri­j­tuig. Hij wil ze

in­halen, met het gevolg dat hij een ongeval veroorza­akt en meteen terug op straat staat... ...

Hij zal als­dan pro­gramma’s verkoopen in een groote mu­sic-hall. Daar ont­moet hij natu­urlijk vrien­den die hem uit­noodi-gen in hun loge. Hij ziet er ook Paulette weer, vergezeld van haar « ver­loofde », en gelukt er in ze aan te spreken en bekent haar zijn liefde. Zij stoot hem niet terug, zoo­dat hij vol hoop duizend en één stie­len zal aan­vat­ten om ze te verov­eren. Door een spel van het to­e­val zal hij in het bezit komen van 500.000 frank.

Tri­om­fan­telijk gaat hij als­dan naar het oud­er­lijke huis terug en weet van vader de Laumière de toëstem­ming te bekomen om met Paulette — die in­tuss­chen haar « ver­loofde » de bons heeft gegeven — in het huwelijks­bootje te stap­pen.


Vic­tor Boucher

L'un des plus grands artistes qui hon­orent la scène française, il a in­terprété no­tam­ment au Gym­nase et au Théâtre de Mi­chodière, dont il est l’actuel codi­recteur, des pièces comme La Basoche, Les Vi­gnes du Seigneur, Les Nou­veaux Messieurs et le Sexe faible, qui rem­porta un éton­nant succès. Signe par­ti­c­ulier: toutes les pièces in­terprétées par Vic­tor Boucher at­teignent ou dépassent 400 représen­ta­tions.

Au cinéma, Vic­tor Boucher a fait des débuts sen­sa­tion­nels dans La Douceur d'A imer, de René Hervil, qui fut ac­cueilli si chaleureuse­ment par le pub­lic. Son nou­veau film Gagne ta Vie, qu'a tourné André Berthomieu, est une réus­site plus par­faite en­core, qui four­mille de trou­vailles comiques.

André Berthomieu

C'est sans con­tredit un des je­unes dont le cinéma at­tend le plus. Il a « grandi avec le cinéma » et en a suivi l'évolu-tino avec at­ten­tion.

Son film de début fut Pas si Bête, une ten­ta­tive dif­fi­cile réalisée avec de pe­tits moyens, mais qui de­vait le révéler et lui per­me­t­tre de s’at­ta­quer bientôt à un sujet plus im­por­tant: Ces Dames aux Cha­peaux Verts, où il dépensa des trésors d'ob­ser­va­tion.

Suiv­ent un drame réal­iste, Ra­pacité, une adap­ta­tion très nuancée du Crime de Sylvestre Bon­nard et Mon A mi Vic­tor, son pre­mier par­lant; il était man­i­feste qu’il avait, du pre­mier coup, com­pris par­faite- j ment les pos­si­bilités du par­lant... j

Venu tôt au septième art, en ayant étu- { dié de près les branches les plus di­verses; j an­cien as­sis­tant de René Hervil et de Ju- j lien Dti­vivier, André Berthomieu possède j une per­son­nalité cinématographique des . plus intéressantes et des plus sym­pa­thiques: fi­nesse et sen­si­bilité sont ses in­cli- ( naisons fa­vorites. Ses films four­mil­lent de I touches tour à tour gaies, émou­vantes ou j ten­dres; il jon­gle ad­mirable­ment avec les j nu­ances. j

Les Etab­lisse­ments Jacques Haïk eu­rent! à cœur de prodiguer leur appui au tal­ent! d’André Berthomieu. j

Sa première réal­i­sa­tion pour cette firme, j Gagne ta Vie, lui a ac­cordé une classe dé-; fini­tive; c’est une vraie réus­site, une oeu- j vre char­mante. Le thème général en est { in­diqué par cette éter­nelle Sagesse des { Na­tions, si sou­vent mise à con­tri­bu­tion:

il n’y a pas de sot métier, en gag­nant sa j vie on peut gag­ner son bon­heur. j

Mâis quel bon­heur gag­neront aussi les • mil­liers de spec­ta­teurs qui ad­mireront j l’œuvre par­faite du réal­isa­teur français le [ plus spir­ituel et le plus compréhen­sif! i

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<( Com­ment j'ai débuté? nous dit Dolly Davis. IVLa foi, pas hasard!... Je ne pen­sais pas le moins du monde à faire du cinéma et je n’imag­i­nais pas du tout que, moi aussi, je pour­rais jouer... Un ami, qui con­nais­sait M. de Marsan, me dit un jour: « Pourquoi ne faites-vous pas de cinéma"):;.. J’ai un de mes amis, met­teur en scène, qui cherche précisément une ingénue... » Je ne dis ni oui ni non, et quelques jours plus tard, par l’in­termédi­aire de ce ca­ma­rade com­mun, je ren­con­trai ML de Marsan, qui m'en­gagea. Je tour­nai alors mon pre­mier film, qui s’ap­pela « La Bour­rasque )>.

Après ce film, je restai quelque temps sans tourner, puis... »

Puis, ce fut « Vi­docq » et la longue série des comédies char­mantes qui nous en­chantèrent, au temps du film muet. Vous sou­venez-vous de « Clau­dine et le Poussin», «Le Chauf­feur de Made­moi­selle», de « La pe­tite Choco­latière », entré autres; de quelques drames tel que u Feu! », où elle mon­tra des qualités dra­ma­tiques qu’on ne lui soupçon­nait pas?

No­tons en­core: Par-dessus le Mur, Geneviève, Paris (de R. Hervil), Le Voy­age imag­i­naire, Paris en cinq jours, Le Cal­vaire de Dona Pia, Frères Jacques, Le Fau­teuil 47, Made­moi­selle Josette, ma femme, Les Fiançailles rouges, Café-chan­tant, La Mer­veilleuse Journée, Pe­tite Fille, La Femme du Voisin, Ori­ent, Les Roses Blanches de Gilmore, Potiche, La Fiancée de Chicago.

Plus récem­ment, les films par­lants: Un Trou dans le Mur, La Dernière Berceuse, La Chan­son des Na­tions, Echec et Mort nous per­mirent d'en­ten­dre celle dont le sourire nous ravis­sait et qui est une des plus belles vedettes françaises.

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Un Mariage d’Amour (W. L. 3053)


PROCHAINE­MENT

BIN­NENKORT

Le Petit Ecart

Scénario

SCHUN­ZEL & PRESSBÜRGER

In­terprète-;:

Lu­cien

BAROUX

André

BERLEY

Fer­nand

FREY

Rici­iard

WJLLM

Ver­wezen­lijk­ing:

REI­H­HOLD

SCHÜHZEL

Ver­tol ers

Jeanne

BOIÎEL

Miss

DINAH

Louise

LA­GRANGE

Odette

TA­LAZAC

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SE­MAINE

PROCHAINE

UN DRAME PUIS­SANT DANS UN CADRE GRANDIOSE

Toute la beauté pit­toresque et sauvage de B A L I, le par­adis mer­veilleux de l'archipel de la Sonde

Réal­i­sa­tion de

VOL­GENDE

WEEK

DE AAN­GRI­JPEND­STE EN FI­GE­NAARDIG­STE EX­O­TIS­CHE FILM

Het leven, de zeden en dansen, de zan­gen van het Edenisch BALI, in een boeiend drama ver­w­erkt

Ver­wezen­lijk­ing:

André Roo­sevelt & Ar­mand Denis

Par­ti­tion sym­phonique inédite de

Spe­ciale sym­fonis­che be­w­erk­ing

Th. Kross-Hart­mann & Mar­cel De­vaux


Mi» mini

Quelques opin­ions...

Cinœdia.

V oici une très belle et très intéressante pro­duc­tion.

In­terprétée par des i n di g è n e s n’ayant ja­mais eu 1 oc­ca­sion de se trou­ver de­vant une cam­era, ses ac­teurs ont tenu leur rôle avec un na­turel que bien de nos ac­teurs pour­raient en­vier.

Pas une seule fois ils n’ont eu la ten­ta­tion de re­garder P ap­pareil.

La pho­togra­phie est très belle. Les sites sont re­mar­quables et l'adap­ta­tion mu­si­cale est de tout pre­mier ordre.

C est de la musique bali­naise stylisée.

Ce roman est agréable et se laisse suivre sans im­pa­tience. Les femmes

sont jolies et, par cela même, nulle­ment désagréables à con­tem­pler.

Le com­men­taire de Gabriel Tim-mory est fait sur le mode hu­mori­s­tir-que, ce qui est loin d’être déplaisant.

En résumé: Ex­cel­lent film qui est cer­tain de faire re­cette dans toutes les salles.

Note générale: 10.

La Cri­tique Cinématographique.

C’est mieux qu’un doc­u­men­taire... C'est une in­cur­sion dans des paysages édéniques où des femmes aux beaux seins, des hommes dont les mus­cles sail­lent au fort soleil des tropiques, vous ten­tent de leur des­tin mag­nifique. Tabou parais­sait triqué, le film de Titiana péchait par orgueil, Les Mangeurs d’Hommes man­quait de sincérité... j’évoque d’autres doc­u­men­taires tout chan­tants de lat­i­tudes

loin­taines et je leur trouve un procédé qui ne me masque pas assez le civi-'/ lîsé.

Au con­traire, Kriss est un hymne à la fois ma­jestueux et sauvage où s'éploient des êtres si neufs qu on a envie de changer ses ressorts de série pour em­prunter leur cœur mag­nifique et ample...

Chaque détail porte et laisse sa nos­tal­gie en nous; qu'il s’agisse d’une sim­ple eflur de Bali ou des ry­thmes qui ne sont que des con­son­nances dans les nuits vi­o­lettes. La fin nous em­plit d’une vi­sion d’apothéose avec les cérémonies de créma­tion dont on ne se lasse pas... et la mer, qui bat sur l’écran, nous in­vite à ces départs bien plus sug­ges­tifs que ces films qui se passent sur paque­bot et où ne sent ni le large, ni la soif d’errer, d’étrein­dre tu­multueuse­ment.

Men­tion­nons en­core le jeu si spon­tané des artistes de Bali qui sem­blent n’ig­norer au­cune des ressources de l’art de l’écran.

Une très belle œuvre et qui chantera dans le sou­venir de tous ceux qui la ver­ront.

Le Cour­rier Cinématographique.

Une des scènes les plus émou­vantes est celle dans laque­lle le prince et son rival se bat­tent au bord d’un tor­rent, com­bat au cours duquel un des ad­ver­saires roule au fond de l’abîme. Ces deux athlètes in­com­pa­ra­bles font frémir le spec­ta­teur. La princesse royale au­tant que la jeune coolie sont in­eainées par deux beautés bali­nai-ses: cette race a réelle­ment en plus de la pureté cor­porelle, le sens inné des at­ti­tudes, la grâce et la no­blesse du geste.


at

Des palais d'une esthétique con­cor­dant à mer­veille avec celle de leurs habi­tants, font un cadre par­fait à l'ac­tion qui se déroule sans au­cune lenteur. Les scènes à grands spec­ta­cles du mariage, des funérailles, sont ab­sol­u­ment ahuris­santes de grandeur et de mou­ve­ment de réal­isme. La par­tie mu­si­cale qui ac­com­pa­gne l’œuvre est due à MM. Kross Hart­mann et Mar­cel De­vaux, en­reg­istrée en syn­chro­nisme ab­solu avec l’image, elle est tour à tour poétique, ex­pres­sive ou déchi­rante, plus que le lan­gage, elle touche l’es­prit et le cœur.

Cinémonde.

Kriss nous mon­tre d'abord l’île de Bali, et cela suf­fi­rait à en faire un film d’ex­cep­tion. Les déli­cats tem­ples bali­nais, leur ar­chi­tec­ture ourlée d’arabesques, les cos-. tûmes bar­bares et somptueux de leurs princes et de leurs danseuses en­chantent nos yeux. Il y a certes un scénario qui fait de ce doc­u­ment un ou­vrage ro­mancé. Mlais les amours du coolie Wyan, beau comme un dieu, et de la pe­tite vendeuse D&sni, per­me­t­tent la trans­po­si­tion sur l’écran de la dou­ble cérémonie des prières aux dieux fam­i­liers, et du mariage. Et l’hécatombe dont est re­spon­s­able le kriss ar­mant le poing de Wyan se croy­ant mari trompé, cette hécatombe nous offre en final l’ad­mirable scène des funérailles.

Kriss: un beau film savoureux et poétique, comme un chant prim­i­tif.

Ciné Miroir.

Voici un film qui n est pas joué par des ac­teurs, nous voulons dire qu’il n'a pas été réalisé par des pro­fes­sion­nels. Tous les pro­tag­o­nistes de cette bande ex­o­tique sont des indigènes, et il faut avouer que sou­vent, par leur sincérité, peu leur sim-, plicité,. ils at­teignent un degré que l’on

voit rarement dans les stu­dios d’Eu­rope et d'Amérique.

La Se­maine Cinématographique.

La par­ti­tion sym­phonique de MM. Th. Kross Hart­mann et Mar­cel De­vaux souligne très heureuse­ment les moin­dres détails de l'ac­tion.

Nous ne dou­tons pas qu’une œuvre d’une telle valeur artis­tique et émo­tive ne ren­con­tre, auprès du grand pub­lic, le même ac­cueil que lui ont réservé les di­recteurs de la presse au Colisée.

L’A ction Française.

Un film ex­o­tique du plus haut intérêt à deux points de vue différents.

Ce film s’in­ti­t­ule Kriss. Il a été entière­ment réalisé dans l’île de Bali et avec les seules ressources indigènes, par M. André Roo­sevelt qui s’est surtout em­ployé, en marge d’un solide scénario, à faire ressor­tir toutes les cu­riosités de cette loin­taine région. C’est ainsi que mœurs et tra­di­tions s'y enchaînent dans une complète har­monie pour le plus grand plaisir des yeux et de l’es­prit, car nom­bre de vues qui. ac­com­pa­g­nent ha­bile­ment l’his­toire sont très in­struc­tives.

L’hlebdo Film.

Les paysages sont de toute beauté et présentés avec un goût très sûr qui n'enlève rien à leur ex­ac­ti­tude et ne cherche ja­mais à faire « carte postale ». Voici, que je pense, un bel éloge. La photo est su­perbe, ne lais­sant pas voir l’ef­fort, qu'on devine cepen­dant énorme et pa­tient, comme j’ai dit. Sa lu­mi­nosité est des plus heureuses et sert mer­veilleuse­ment les plans traités.

ÿ, Bref, ce film, vrai­ment-hors série, car il jjne ressem­ble à aucun autre, mérite un 9très large bien.

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Comœdia.

Comme nous sommes loin ici de la for­mule que les Améri­cains ap­pliquent au doc­u­men­taire! Il n'y a pas eu d’expédi­tion mer­veilleuse­ment or­ga­nisée, em­por­tant des tonnes de matériel et tout ce qu’il faut pour réaliser une su­per­pro­duc­tion.

Non, il n’y a eu seule­ment qu’un tra­vail pa­tient, s’éch­e­lon­nant sur cinq années, quelques tours de maniv­elle tous les jours aux oc­ca­sions fa­vor­ables, la cam­era située dans la vie même des êtres à saisir et les guet­tant con­tin­uelle­ment, les suiv­ant pas à pas en toutes cir­con­stances.

Un tra­vail de pa­tience, oui, mais un tra­vail telle­ment in­tel­li­gent.

La pho­togra­phie est intéressante. Edle décèle très net­te­ment, pour ce qui est des êtres, la prise de vue faite dans des con­di­tions dif­fi­ciles. Quant aux paysages qui nous sont montrés, ils sont de tout pre­mier ordre et d’une déli­catesse, d'une lu­mi­nosité rares.

La Cinématogra­phie Française.

Kriss est donc un drame, il com­prend une his­toire ad­mirable, puis en­suite qui de­vient émou­vante, et finit trag­ique­ment, comme cela n’est pas dans la plu­part des drames européens où 1 on croit que les fins heureuses doivent sat­is­faire le pub­lic. Ce drame, Kriss, met d’ailleurs en scène un per­son­nage qui, par amour ou par fa­talité, de­vient fou, et est possédé par cette curieuse frénésie de meurtre qu’on ap­pelle la folie malaise ou amok.

Cette touchante his­toire a été mise en scène avec un soin et un goût in­com­pa­ra­bles. Les réal­isa­teurs se sont surtout at­tachés à faire ressor­tir les beautés des paysages de Bali, et ils ont été aidés par les indigènes qui ont prêté aux per­son­nages leur mâle et déli­cate beauté.

Ce drame aux îles de la Sonde est un des plus beaux ou­vrages ex­o­tiques de l’heure présente.

Le Film Sonore.

L’at­mo­sphère de vérité et de réalité qui se dégage de toutes les im­ages de ce film est ex­tra­or­di­naire.

Le spec­ta­teur est capté d’un bout à l’autre. 11 voit ce beau pays ex­o­tique qu’est Bali comme s’il y vi­vait; il sent la vie de ses habi­tants, car toute l'ac­tion et le doc­u­men­taire se déroulent d'une manière sim­ple, na­turelle.

C'est sans doute le mérite d’un mon­tage ha­bile et d’une façon in­tel­li­gente de voir les choses de la part des réal­isa­teurs.

L’un d’eux, M. Roo­sevelt, se présente du reste au pub­lic à l’écran, pour faire une al­lo­cu­tion très élégante, très mod­este, qui lui gagne tout de suite toutes les sym­pa­thies qui dépassent par la suite tous les es­poirs.

Le sujet, le roman, si vous préférez, qui se déroule sur le fond des beaux paysages, d’une vie et de mœurs extrême­ment sai­sis­sants, est très hu­main. Traitée d’une façon sim­ple — c’est l’es­prit de sim­plicité qui domine cette réal­i­sa­tion réussie — l’ac­tion ne cesse pas d’entraîner le spec­ta­teur d’un bout à l’autre.

L’il­lus­tra­tion mu­si­cale, la façon de présen­ter les im­ages en in­ter­mit­tence par des sous-titres et un speaker, tout cela est extrême­ment ha­bile et bien réussi.

Un mot pour la syn­chro­ni­sa­tion: elle est tout sim­ple­ment par­faite, du moins nous n’avons jusqu’ici en­tendu rién de mieux.


Een film, een merk­waardige film, die ons wegvo­ert uit de wereld der op­erette en het ver­filmd tooneel waarin de Rol­prent als het ware ver­stikt is ger­aakt: een film die ruimte op­wekt, licht doet zin­deren, het gemoed on­troert. Hij voert ons naar Bali, het edenisch ei­land van de Soenda-archipel, een der merk­waardig­ste streken van den aard­bo­dem-Maar het is niet in een opeen­vol­ging van land­schap­pen en frag­men­tarische beelden dat wij Bali’s on­verko­r­ven en

aantrekke­lijke schoonheid zullen, leei en ken­nen. Ook niet — gelukkig — door een Amerikaan­sche speelfilm met valsche han­del­ing en bom­bast en die de natuur schi­jnt te verkrachten. Bali doet zich voor ons voor in de over­weldig­ing van het leven zelf van het verre In­sulinde.

Want het is niet een loutere doku­men­tarische film welke wij kun­nen be­won­deren: uit het gegeven en de omgev­ing groeit de syn­these van de ethiek van de in­boor­lin­gen, die blanker en wel­ge­maak-ter zijn dan de Ja­va­nen en schran­der­heid met moed paren.

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De zeden en gewoon­ten van dit ras, dat nog ges­paard is gebleven onzer z.g. « mod­erne beschav­ing», liggen ten grond­slag aan het drama­tisch gebeuren, dat, boeien­der dan een roman, zich vóór onze oogen on­trolt als een beeld van de In­dis­che eeuwe­noude wet­ten en ge­bruiken.

Want Kriss is een drama, een aan­gri­jpend spel van men­sche­lijken hart­stocht, in hoog-oplaaiende passie en tragis­che verni­etig­ing, een zang van liefde en dood in de be­welm­ing van het Tropen­land- schap. 1

Kriss is een drama dat zich geheel af­speelt in het wezen van de in­land­sche vrouwen en man­nen; een drama van on­troerende kracht door zijn een­voud, zijn waarheid, zijn nood­lots on­wrik­baarheid...

En de film ver­haalt van de onzeggelijke liefde van den sim­pe­len koelie Wyan, slaaf van den Rad­jah van Bali, voor de aan­bid­delijke Dasni.

Doch de jonge prins Nonga keerde uit Eu­ropa terug en bracht van­daar gan­sch nieuwe lev­ens­beschouwin­gen mede. Hij ook zag Dasni en vatte voor haar een hooge passie op. De oer-oude tra­di­ties ver­bieden dat een kon­ingszoon zijn stand ver­looch­ene. Maar in het Avond­land had hij gezien hoe, alle vooro­ordee­len ten spijt, het standen­ver­schil geen belet­sel meer was om het Geluk op te bouwen, wijl boven de enge klassegeest de liefde zegevierde.

Zoo zullen wij het listige spel zien van den prins, geholpen door zijne sluwe zuster Rai, om Dasni in zijn macht te kri­j­gen. Doch ook Dasni be­mint Wyan en noch de wo­or­den noch de beloften van den Rad-jah-zoon kun­nen die liefde doo­den.

Doch na tal van voor­vallen, welke wij hier niet willen ver­halen, maar het drama steeds span­nen­der en on­troeren­der maken, ver­denkt Wyan zijn bruid van on­trouw .

Vindt hij niet de « kriss », het heilige wapen der Rad­jah’s, in Dasni’s slaapvertrek?... Een wilde woede gri­jpt hem aan, hij wordt van de « A mok » bezeten: de toom­looze mo­ord­lust, die een der ken­tee-kens is van de Mlaleis­che waanzin.

Ver­schil­lende au­teurs hebben de Amok breed­vo­erig be­han­deld, noe­men wij ter­loops Joseph Con­rad in « Allmeyer-waan-zin», Ste­fan Zweig in «Amok of de Ma-leis­che Gek » en Fau­con­nier in « Md­lai-sie ».

' Zoo groeit het liefde­savon­tuur tot een treur­spel der fa­tal­iteit en waar­door wij de gele­gen­heid hebben de karak­ter­istiek­ste cer­e­monieën op Bali bij te wonen, ter­wijl steeds de ware, over­weldigende natuur een grandioos deco­rum trekt rond deze brokken werke­lijkheid.

Die dansen, die huwelijk­splechtighe­den, de riten van den toove­naar die den lief-de-drank bereidt, het op­wellen van den « Amok » bij Wyan en de gruwelijke gevol­gen ervan en ein­delijk de ontstel­lende rouw­stoet, ter­wijl smartkreten en gebe­den, gezan­gen en weeklachten weerklinken tot de rook der zuiv­erende brand­stapels het ver­lossende einde brengt... Hoe ver staan wij hier van het ba­nale en het . zin-looze van zoo menige fu­tiele rol­prent!

Met uiter­ste zor­gen en een zin van vol­maak­ten takt hebben de ver­wezen­lijk­ers ons Bali getoond, niet met « postkaarten in be­weg­ing », maar met de im­puls van het leven.

Zij wer­den in deze taak ge­di­end op won­der­baar­lijke wijze door de in­lan­ders, die hun rollen met een haast fa­natieke over­gave, maar toch met sober­heid en heer­lijke oprechtheid hebben ver­tolkt.

En zoo werd Kriss een der in­ter­es­santste, boeiend­ste en waarde­vol­ste films van dit jaar!


•• LA TECH­NIQUE DU FIL­MAS

Le procédé

Le •« Dun­ning » et les es­sais précédents.

Depuis plusieurs mois on parle beau­coup en Eu­rope du procédé de prises de vues, dit « Dünning », du nom de sen in­ven­teur et créateur, l’ingénieur améri­cain C. Dodge Dun­ning.

Le procédé de prises de vues Dünning est un procédé de truquage pho­tographique très ingénieux et aussi très sim­ple — en­core une fois, il s’agis­sait d’y penser — per­me­t­tant de pho­togra­phier en stu­dios un ac­teur sur un fond cinématographique d’extérieurs.

Le procédé Dun­ning est basé sur le principe de la pho­togra­phie com­pos­ite. Voici quelques années que M. Dun­ning tra­vaille à son achève­ment. Il est pra­tique­ment utilisé dans les stu­dios améri­cains depuis dix-huit mois.

Ce procédé per­met de pho­togra­phier sur la même bande deux scènes différentes sans surim­pres­sion, si bien que la dou­ble ex­po­si­tion ne se voit pas.

Il y a longtemps que les tech­ni­ciens ont cherché à obtenir ce résul­tat.

Nous citerons les travaux de Frank D. Williams, de Max Hand­schielg, aux Etats-Unis, de Hans Goetz, en Alle­magne, qui dès 1921 prit un brevet anglais de cinématogra­phie com­pos­ite, Roy Pomeroy, aux Etats-Unis. Celui-ci prit un brevet de son in­ven­tion le 14 juil­let 1926 et le 12 juin 1928.

M. Dun­ning, qui avait déjà étudié la ques­tion au­par­a­vant, prit un brevet de son in­ven­tion le 2 jan­vier 1927 et c’est lui qui donna le nom au procédé.

Principe du procédé Dun­ning.

Voici de quoi il s’agit. Sup­posons une scène d’extérieurs animée ou non, cinéma-tographiée. On tire de cette scène un po-

"Dun­ning”

sitif que l’on vire d'une couleur quel­conque, en orangé, par ex­em­ple. Ce posi­tif est appelé trans­par­ent.

Main­tenant, nous voici au stu­dio. Les ac­teurs vont jouer la scène qui doit se passer dans le décor d’extérieurs en­reg­istré sur le pre­mier posi­tif en orangé.

Le posi­tif en orangé (le trans­par­ent) va se dérouler dans l'ap­pareil de prises de vues entre l’ob­jec­tif et le deuxième négatif panchro­ma­tique, émul­sion con­tre émul­sion. Pour le posi­tif trans­par­ent l’ap­pareil de prises de vuese agira donc comme une tireuse.

La nou­velle scène à filmer est éclairée de la lumière de la même couleur qui a servi à tirer le trans­par­ent, ici en orangé. Mais les ac­teurs jouent de­vant un fond uni­forme éclairé de la lumière de couleur complémen­taire de l’orangé, c’est-à-dire en bleu.

Que va-t-il se passer? Toutes les par­ties de la scène, décors, ac­teurs, qui cachent le fond' bleu, et sont éclairés en orangé, émet­tent des rayons orangés qui tra­versent le trans­par­ent et vont im­pres­sion­ner le négatif panchro­ma­tique. Les par­ties du fond éclairées en bleu et qui né sont pas cachées par rap­port à l'ob­jec­tif par les décors ou les ac­teurs, émet­tent des rayons théorique­ment blancs qui im­pres­sion­nent le négatif panchro d’une manière in­verse au posi­tif viré en orangé et don­neront un négatif nor­mal du fond désiré.

Sur le négatif on aura donc:

1° l’image des ac­teurs et des décors les en­tourant;

2° l’image du fond en­reg­istré en extérieurs, sauf pour les par­ties cachées par les ac­teurs et les décors du stu­dio.

Résul­tat: pas de surim­pres­sion et il­lu­sion de voir'les ac­teurs, n’ayant pas quitté

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le stu­dio, jouer des scènes se déroulant en extérieurs.

Ap­pli­ca­tion du procédé Dun­ning.

11 est in­utile de s éten­dre sur la valeur et les ap­pli­ca­tions du procédé.

11 ne de­mande pas de grandes mod­i­fi­ca­tions à la tech­nique habituelle, sauf en ce qui con­cerne les ap­pareils de prises de vues qui doivent per­me­t­tre le déroule­ment de deux ban­des et posséder 4 ma­g­a­sins.

Les prin­ci­pales util­i­sa­tions du procédé Dun­ning sont les suiv­antes:

1° per­me­t­tre de tourner en stu­dios des scènes sem­blant se dérouler en extérieurs et éviter ainsi des voy­ages coûteux et de longs déplace­ments de troupes d’ac­teurs;

2° per­me­t­tre de réunir des scènes minia­tures, comme celle d une bataille navale tournée dans un bassin, et des scènes d’échelle nor­male, comme en pre­mier plan de pont d’un navire de guerre avec les ac­teurs, les canons, etc.;

3° pour le film par­lant, le procédé Dun-ning per­met d’en­reg­istrer en stu­dio le son des scènes d’extérieurs. Une scène de di­a­logue se pas­sant dans la rue est en­reg­istrée, grâce au procédé Dun­ning, par les ac­teurs en stu­dio, avec le posi­tif trans­par­ent de la rue.

Nous avons déjà vu de nom­breux films améri­cains où ce procédé est utilisé. L’un des plus frap­pants était « Street of Chance » où il y avait un long di­a­logue en­tendu dans la rue, où la pa­role ve­nait cou­vrir les bruits des trompes d’autos, de tramways, etc., ce qu’on n’au­rait ja­mais obtenu en en­reg­is­trant le di­a­logue dans la rue. Le seul défaut con­sis­tait dans la qualité de la pho­togra­phie, un peu dure et dans un mau­vais rac­cord du trans­par­ent et du négatif final, la scène du stu­dio bougeant par rap­port au fond de la rue.

Au­jourd’hui, le procédé est, paraît-il,1 tout à fait au point.

HET EINDE VAN DE ZWI­J­GENDE FILM

Amerikaan­sche bladen be­w­eren, dat er in Amerika spoedig van de zwi­j­gende film geen spraak meer zal zijn. Mén telt in de Vereenigde Staten een 22.000 cin­ema’s. Hi­er­van zijn er nog enkel 1.500 die niet voor gelu­id­sre­pro­duk­tie toegerust zijn. Die zalen, waarin de stille film nog zegeviert, komen alle voor in achter­lijke provin­cieplaat­sen.

In 1932 zullen deze 1.500 «stille» cin­ema’s nog een 250.000 dol­lar op­bren­gen aan de film­maatschap­pi­jen. Maar daarmede is het dan ook uit.

De oude stille films hebben afgedaan: geen nieuwe kopieën wor­den er nog van gemaakt. En nieuwe zwi­j­gende prenten wor­den in geen enkel stu­dio nog voort­ge­bracht.

Zoo­dat in 1932 nog een aan­tal van de « stille » cin­ema’s toestellen voor de ge-lu­id­spro­jek­tie zullen aankoopen. De an­dere zullen tot sluiten ged­won­gen zijn of zich miss­chien nog gedurende enkele maan­den kun­nen verge­noe­gen met aller-han­den af val uit de « stille » film­pe­ri­ode.

Dat het her­vor­men van een cin­e­manet van « stille » tot « sprek­ende » zalen vlug gaat in Amerika, blijkt uit het feit dat er begin 1931 nog al­daar een 5.000 zalen aan de stille film waren gewijd.

Natu­urlijk kan het voor de stille film een genadeslag zijn alle cin­ema's voor de klankpro­jek­tie toe te rusten. Wij hopen even­wel dat daarom de zwi­j­gende film niet heele­maal zal verd­wi­j­nen.

Miss­chien komt er een tijd dat het pub­liek ge­noeg kri­jgt van de mekanis­che muziek en dat de cin­ema’s weer lev­ende orkesten aan wer­ven. Zou het dan niet; eige­naardig zijn die orkesten, tot afwisse-1 ling na een « talkie », een goede stille film He laten begelei­den?


UIT FILM­LAND

+ Leon Poirier ver­wezen­lijkt voor het co­gen­blik « De Dolle Nacht », met Mar­guerite De val en Suzanne Bianchetti; Mar­cel L’Her­bier gaat be­gin­nen aan «Het Doku­ment 127 », naar den geheimzin­ni­gen roman van J. Re­naud.

De fameuze « Ro­cam­bole », van Pon-sçn du Ter­rail, gaat op­nieuw ver­filmd wor­den, onder regie van Gabriel Gabrio, die tot dusver zich een flinke naam als ver­tolker ver­wierf. Muziek van Li­onel Ca-zaun.

« De Zwanezang » (beelden uit het leven van Mozart) heet de film door H. Du­ver­nois samengesteld en welke door Henri Rous­sell zal geleid wor­den.

4e Onder de regie van Carl Boese wordt in de Neuba­bel­berger stu­dio's van de U.

F. A. be­gonnen aan den film Der Frech­dachs, met Willy Fritsch en Camilla Horn in de hoof­drollen. Naast hen: Else El­ster, Ralph Arthur Roberts en Anton Point­ner.

ln de Fran­sche ver­sie heet de film « L’Es­brouf­feur » en wor­den de rollen ver­tolkt door Alice Field, Roger Tréville, Luden Baroux, Jea­nine Ron­ceray en Pierre Ser­geol.

Carmine Gal­lone draait te Berlijn de bin­nenop­na­men van den film De Zoon uit Amer­ica, met Al­bert Préjean en Anna-bella in de hoof­drollen.

Aan ons, de Vri­jheid, de jong­ste film van René Clair, kent een reuzen­bi­j­val te B'er­lijn, waar hij in de Mozartzaal wordt ver­toond.

Vol­gens een ref­er­en­dum van de « Film D'aily » zijn de beste Amerikaan-sche films in 1931 de vol­gende: Cimar­ron, Daddy long Legs, Min and Bill, The Smil­ing Lieu­tenant, Trader Horn.

Van 13 tot 29 Maart zal te Praag een I kin­er­na­ten­toon­stelling plaats hebben.

★ De Volkscom­mis­saris voor Schoone Kun­sten in Sov­jet-Rus­land heeft bepaald dat de fil­martis­ten in vier reek­sen zouden ingedeeld wor­den en vol­gende wed­den ont­van­gen: groote vedet­ten, 3C0 roebels per maand; eeiste reeks, 270 roebels; tweede reeks, 200 roebels; fig­u­ran­ten, 160 roebels.

★ Vol­gens sta­tistieken, ver­sch­enen in de « Berliner Lokalanzeiger », be­taalt de Duitsche film­ni­jver­heid circa 15 miljoen R. mark aan de Duitsche schri­jvers en toondichters èn als wed­den èn als au­teursrechten.

★ De Weg van het Leven is een Rus­sis­che film, waarin het so­ci­aal-opvoed­kun-dig sys­teem der Sov­jets wordt uiteengezet, zon­der eenige poli­tieke ten­denz.

De Syn­dikale Kamer der Kinema’s van Antwer­pen heeft an­der­maal en zelfs kracht­dadig aange­dron­gen bij de filmver­hu­urkan­toren te Brus­sel om Vlaam­sche tek­sten in te lass­chen in de Fran­sche films en twee­t­al­ige in Duitsch of En­gelsch sprek­ende films.

In Elzas bestaat een dus­danige regeling sinds lang. Waarom dient hier zóó lang getalmd?

Een spoedige oploss­ing dringt zich beslist op.

De First Na­tional heeft vóór enkele weken een film aange­bo­den onder den titel The Woman from Monte-Carlo, met Lil Dagover in de vrouwelijke hoof­drol. Deze film is eigen­lijk een « gemod­erniseerde » aan­pass­ing van «La Bataille», van Claude Farrère, naar Amerikaan­schen smaak.

Syd­ney R. Kent, al­ge­meen bestu­ur­der van de Para­mount sinds 1926, heeft Adolph Zukor zijn ontslag aange­bo­den.

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