Programme from 27 Nov. to 3 Dec. 1931



Booklet

Bron: FelixArchief nr. 1968#740

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Pro­gramme 13 Speel­wi­jzer

Aü Di­manche aq

Ven­dredi (y-l Samedi r\Q Di­manche qq Lundi *x/\ no­vem­bre Vri­jdag- Za­ter­dag Zondag Maandag No­vem­ber

Jeudi >x décem­bre Don­derdag -'De­cem­ber

I 931

1. Tous les Bébés

Fan­tasie en couleurs

2. Les An­i­maux malades du

Jazz.

Dessin animé sonore

3. Les Hommes vous re­gar­dent I

Doc­u­men­taire du ser­vice sci­en­tifique de l’U. F. A.

4. Eclair-Jour­nal

Ac­tu­alités sonores

ENTR’ACTE Pen­dant l’en­tracte - Au­di­tion de dis­ques

1. Alle Kleuters!

Film­fan­tazie in kleuien

2. De Dieren door de Jaz­zplaag aange­tast.

Klank teeken­film

3. De Men­schen kijken U aan I

Doku­men­tarische film van de kul­tu­u­rafdeel­ing der U. F. A.

4. Eclair-Nieuws­berichten

Ak­tu­aliteiten op den klank­film

POOS

Ti­j­dens de poos - Uitvo­er­ing van gram­mo­foonpl.

PAFt­LOP­TIONE

5. Un Caprice de la

5. Een Gril van de

POM­PADOUR

Fan­taisie Mu­si­cale Muzikale fan­tazie

réalisée par ver­wezen­lijkt door Con­seiller artis­tique Kun­stlei­der

WILLI WOLFF JOE HAM­MAN

Di­a­logue adapté par Di­alo­gen aangepast door Musique: Muziek :

HENRI FALK Robert Stolz - E. Künneke - Nel­son

DRAMA­TIS PER­SONÆ:

Gas­ton de Méville. André BAUGÉ

La Pom­padour .... . Mar­celle Denva

Mar­quis (Markies) de l’Epin­glette Gas­ton Du pray

Madeleine Biron .... Paulette Du­vernst

Louis XV René Mar­jolle

Mau­repas André Mar­nav

Mme d’Estrade .... Mad­vne Co­quelet

Mar­cel de Cler­mont Jean Rous­selîère

Baron Cerf .... Fer­nand Baer

Un Cadet (Een Kadet). Max Re­jean

Le (De) Dauphin .... Jacques Chris­tiany

EN­FANTSPAS ADMIS

KINDEREN NIET TOEGE­LATEN


Un Caprice de la Pom­padour

1 749... An de grâce et d’inquiétude à la fois, où la puis­sance de la Mar­quise de Pom­padour, fa­vorite du Roi Bien-Aimé, touche à son comble, mais aussi où cette puis­sance est battue en brèche par les in­trigues de cour et les rail­leries du pe­u­ple.

Des li­bellés, des pam­phlets, des cou­plets satiriques, sont col­portés, à Ver­sailles, sous le man­teau et chantés à Paris. Cer­tains fidèles su­jets du Roi es­ti­mant que la France tombe en que­nouille, en sont les au­teurs, tel Gas­ton de Mé ville, lieu­tenant de Sa Ma­jesté.

Mâis la po­lice de M. Mau­repas, hyp­ocrite ami et sincère en­nemi de la Mar­quise, a décou­vert, en Gas­ton, le rimeur d’une chan­son sin­gulière­ment vir­u­lente: le nom de Louis y est mêlé.

Déféré en con­seil de guerre pour crime de lèse-Màjesté, Gas­ton subi­rait sa peine si la Pom­padour, qui vient d’as­sis­ter secrètement à la séance du Con­seil, n’avait avec la con­nivence de l’Of­ficier de garde, fait diriger le coupable vers ses ap­parte­ments privés.

La voici en présence de Gas­ton; celui-114 ci, sans rien re­nier de ses opin­ions poli­tiques, ne peut que se sen­tir ému par la beauté de la Mar­quise; et aussi par sa bonté, car elle vient de lui sauver la vie. Et la Pom­padour elle-même se sent touchée par la sincérité et le charme du lieu­tenant qu elle a pro­vi­soire­ment sauvé. En dépit du Roi, qui es­time que Gas­ton doit payer de sa tête son in­so­lence, elle l’en­voie, sous un nom d’em­prunt, à 1 école des Cadets de Saint-Ger­main, où il de­vien­dra of­ficier in­struc­teur.

C’est là qu'il fait la con­nais­sance du jeune Mar­cel de Cler­mont, cadet de province, présenté à la cour par Mme d’Estrade, dame d'hon­neur de la Pom­padour. Et

c’est à la cour que Mar­cel re­con­tr­era la jolie Madeleine Biron, lec­trice de la Mar­quise, dont il s’épren­dra sans désem­parer-

Cepen­dant l’amour, d’abord in­soupçonné, s’est peu à peu in­sinué dans le cœur de la F'om­padour, et, pour revoir Gas­ton dont elle n’a plus de nou­velles, la voilà qui se rend de sa per­sonne à Saint-Ger­main et y passe les cadets en revue. Elle in­vite les meilleurs danseurs et chanteurs; d’entre eux à pren­dre part, comme artistes, à la grande fête de nuit qu elle va don­ner prochaine­ment dans les jardins de Ver­sailles, en l’hon­neur de Sa Ma­jesté: Gas­ton et Mar­cel sont du nom­bre.

Bien en­tendu, des répétitions précèdent la représen­ta­tion: tan­dis que Mar­cel répète avec la sen­si­ble M“' d’Estrade, Gas­ton en fait au­tant avec la Pom­padour, et cela en présence du Roi, revenu subite­ment de voy­age, mais qui, sous le nom em­prunté, ne re­connaît point l’of­ficier con­damné par le Con­seil. Au sur­plus, il est dis­trait par les appas de Madeleine, la jolie lec­trice, à laque­lle il donne secrètement ren­dez-vous pour le soir même, dans un dis­cret pavil­lon au Parc des Cerfs. Cepen­dant Mme d’Estrade, qui croit le roi ab­sent, donne assig­na­tion à Mar­cel pour le même soir, au même en­droit. Madeleine en Mar­cel, qui s’ai­ment, man­quent à leur ren­dez-vous et c’est Mme d’Estrade que Sa Ma­jesté trouve dans le pavil­lon au lieu de Madeleine. Il s’en débar­rasse en la faisant dis­paraître dans un sous-sol et re­gagne son palais pour y ap­pren­dre par le dauphin et par M'au­repas, en­ne­mis jurés de la Mar­quise, le ten­dre intérêt qu elle porte à l’of­ficier crim­in­uel. Le soir de la fête la Màrquise et Gas­ton, cos­tumés, chantent et jouent, rem­por­tent un tri­om­phe. Mais ils sont aver­tis, soudain, que le roi sait J

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La Pom­padour et THis­toire

Jeanne-An­toinette Pois­son, Mar­quise de Pom­padour, naquit à Paris en 1721 d’un syn­dic des fer­mes Lenor­mand de Tourne­hem et de la femme d’un muni-tion­naire aux armées, jadis pendu en ef­figie pour malver­sa­tions. La mère était une femme galante et sans préjugés; elle mou­rut au mo­ment de la première faveur de sa fille. Le fer­mier fit élever et dota riche­ment sa fille. An­toinette Pois­son eut des maîtres de littéra­ture, de beaux-arts et prof­ita à mer­veille de leurs leçons.

Grande, bien faite, la phy­s­ionomie d’une mo­bilité in­sai­siss­able, le teint d une blancheur écla­tante avec d’ad­mirables cheveux châtain clair, au moral, in­tel­li­gente, am­bitieuse au delà de toute ex­pres­sion, froide et rouée, elle parut avec éclat dans le monde de maltôtiers avant que Lenor­mand de Tourne­hem lui fit épouser son pro­pre neveu Lenor­mand d Eti­oles (1741). Le château d’Eti­oles était proche de la forêt de Sénart, où Louis XV al­lait sou­vent chas­ser. M"" d’Eti­oles vit le roi et voulut être sa fa­vorite. Elle suivit les chas­ses en voiture, provo­cante, dans sa toi­lette et ses al­lures, au point de se faire don­ner par Melk' de Château­roux, inquiète, l’ordre de s’éloigner.

Le roi l’avait aperçue. Après la mort de Mpl10 de Château­roux, elle réussit à le retrou­ver à un bal masqué à l’Hôtel de ville; son manège et ses co­quet­ter­ies cette fois eu­rent plein succès. Quelques en­tre­vues eu­rent lieu à Ver­sailles et à Paris. Ce n’était de la part du roi qu’un caprice; mais M|me d’Eti­oles voulait mieux.

Brusquant les choses, elle ve­nait se jeter à Ver­sailles aux genoux de Louis XV

de­man­dant pro­tec­tion con­tre son mari qui, di­s­ait-elle, avait tout ap­pris (1745).

Louis XV la fit in­staller dans l’ap­parte­ment de Mme de Mailly. D’Eti­oles, menacé de la Bastille, puis envoyé à Avi­gnon, reçut fi­nale­ment une ferme générale, puis la fer­mes des postes et... se tint tran­quille.

Le règne de la Pom­padour (elle reçut en 1 745 le titre de mar­quise, en I 752 celui de duchesse, en 1756 le poste de dame dame d hon­neur de la reine) était com­mencé.

Sa faveur ne de­vait subir qu une éclipse de quelques jours, au mo­ment de l’at­ten­tat de Damiens. Ce fut un règne véri­ta­ble, le « règne du Cotil­lon », dit Frédéric II, car la nou­velle fa­vorite voulut et sut gou­verner, sinon bien, du moins longtemps. Elle eut le tal­ent de dominer l’ap­athique Louis XV, d’abord par les sens et par le cœur, puis — car sa beauté passa vite, et elle dut se résigner à subir les infidélités du roi, avant, a-t-on dit, de les provo­quer et de les diriger à son profit par l’es­prit en se ren­dant néces­saire quand elle ne fut plus tou­jours agréable. Son in­flu­ence, en de­hors des ques­tions d’art, fut déplorable.

Elle mou­rut à 43 ans, en pos­ses­sion en­core, extérieure­ment, de tout son crédit, à Ver­sailles, où elle avait voulu qu’on la trans­portât ( 1764). Le roi la re­gretta et c’est à tort qu’on lui a prêté ces paroles, qu’il au­rait dites en voy­ant le cer­cueil s’éloigner pour la pluie: « Madame la Mar­quise aura un mau­vais temps pour son voy­age ».

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GLOBE

Le Globe est une bois­son rafraîchissante d’une pureté et d’une fi­nesse in­com­pa­ra­bles.

Son goût ex­quis, son par­fum suave et sa déli­cieuse fraîcheur, lui ont valu son surnom —

L'AME DU CIT­RON

C7>fiQa­iSff schweppesV LONDQ.​hj

André BAUGE

Gloire de la scène, André Baugé est de­venu aussi une des vedettes les plus appréciées du film par­lant depuis La Route est belle, qui lui a per­mis une sen­sa­tion­nelle entrée dans l’art des im­ages vi­vantes.

Doué d’un physique séduisant, artiste fin et délicat au jeu nuancé et na­turel, André Baugé possède une voix in­com­pa­ra­ble et cap­ti­vante.

Ronde des Heures lui a per­mis à nou­veau de con­firmer ses bril­lantes qualités, et on ne peut avoir oublié sa création dans ce film.

Voici au­jourd’hui Un Caprice de la Pom­padour qui per­met d’apprécier le charme vocal et l’art con­sommé d’André Baugé, ad­mirable chanteur et ad­mirable artiste

Mar­celle DENYA

Heureuse vedette que Mar­celle Denya, à qui, a-t-on pu dire, « l’art a dis­tribué ses dons et ses faveurs mul­ti­ples avec une si fastueuse prodi­galité ».

Femme d’un charme ex­quis, par­faite comédi­enne, Mar­celle Denya possède en­core l’avan­tage de tri­om­pher aussi bien dans l’opéra que dans l’opéra-comique, trans­posant en légèreté aimable l’am­pleur de sa voix déli­cieuse.

Quels tri­om­phes aussi rem­porta-t-elle à 1 Opéra et à 1 Opéra-Comique, puis, tout récem­ment en­core, à Marigny où elle in­terpréta Coups de roulis et Moineau.

Le cinéma de­vait fa­tale­ment la séduire et ses débuts dans Un Caprice de la Pom­padour ont dépassé en­core toutes les espérances. Elle a étalé à loisir sa grâce et son tal­ent, tour à tour fine, rouée, alerte et amoureuse. Son jeu est nuancé et plein d’al­lure. Et elle chante évidem­ment à ravir, ce qui ne gâte rien.

Edi­tions mu­si­cales. Muziekuit­gaven.

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chant et piano.) zang en klavier.)

Ah! Pourquoi.

Je rêve d’un sim­ple amour.

Tan­gos chantés. Tango met zang.

Paroles de Wo­or­den van

Henri Falk et Pierre Varenne. Musique de Muziek van

Robert Stolz.

C’est Kous (valse boston - Boston wals).

On croit savoir (slow fox), chanté - zang.

Paroles de Wo­or­den van

Henri Falk et Pierre Varenne. Musique de Muziek van

G. Künneke.

Comme ci, comme ça.

Paroles de Wo­or­den van

Henri Falk et Pierre Varenne. Musique de Muziek van

Nel­son.

Dis­ques de gramoph. Gram­mo­foon­platen

Pathé X3966.

C’est vous.

Je rêve d’un sim­ple amour.

chanté par Fran­sche zang van

André Baugé.

Par­lophone - B 80779.

C’est vous.

Je rêve d’un sim­ple amour.

chanté par Fran­sche zang van

Mar­jolle.


BIN­NENKOKT

De De­tek­tief-Mikroskoop

Het is in het jaar 1642 dat de Ned­er­lan­der Leeuwen­hoek dit voor het oogen­blik zoo onont­beer­lijk hulp­mid­del heeft uit­gevon­den.

Voor de zui­v­ere weten­schap, voor de krim­i­nal­istiek, voor veel ni­jver­hei­ds­doel-ein­den wordt de mikroskoop ge­bruikt.

In dezen film van de Kul­tu­u­rafdeel­ing der U. F. A. ziet men hem aan het werk op aller­lei ge­bied, be­wi­jzend hoe nut­tig hij zijn kan, in zoo menig opzicht.

In­der­daad uit een massa weten­schap­pelijk ma­te­ri­aal heeft de lei­der dezer afdee-ling Ul­rich K. Th. Schulz in Neuba­bels-berg een reeks in­ter­es­sante thema’s samen geor­dend tot een boeiend geheel.

De bi­ol­o­gis­che op­na­men, die zon­der on­der­brek­ing dag en nacht plaats had­den, wer­den gemaakt door Hertha Jülich.

Het sce­nario werd geleverd door Hans René en werd in D'uitsche, Fran­sche en En­gelsche ver­sie ver­filmd. Dt-. Philipp Man­ning stond in voor de Dthtsche en En­gelsche ver­sies; Theodore Thony voor de P ran­sche.

De regie was in han­den van Dr. Mar­tin

Rikli.

De film brengt voor­w­er­pen voor oogen die wij in het dagelijksch leven aanzien als zeer goed gek­end, maar die onder het mikroskoop­glas een geheel ander uitzicht kri­j­gen,

Hoe over­win­nend heeft de mikroskoop zich niet getoond in de ge­neeskunde.

Het lev­ens­mid­de­len-nazicht in gan­sch de wereld, bv. de vleeschkeur­ing, is alleen mo­gelijk nu men het vleesch op tri-chienen mikroskopisch on­der­zoeken kan.

D'e krirn­i­nal­istiek is niet te ver­geten, die in haar op­zoek­ings­di­enst de dak­ty­loskopie ge­bruikt. Men ziet ook in dezen film dat op de gan­sche wereld niet twee duimaf­drukken bestaan die dezelfde li­j­nen aan- j geven.

Hier is de mikroskoop on­thuller van ( schi­jn­baar ono­plos­bare geheimen. Hij | helpt het spoor op­zoeken van den moor- j de­naar. Roode vlekken op een kleed­ing- j stuk wor­den met een zouto­ploss­ing be­han- j deld. Door de lens ziet men dan de kleine ] kristalvormin­gen die zon­der twi­jfel er op! wi­jzen dat de roode vlek bloed is.

Ook in de planten­wereld speelt deze j

de­tek­tief een gewichtige rol. Planten die j

ziek­tev­er­schi­jnse­len ver­too­nen wor­den on- j

der het ver­g­root­glas van dicht­bij bekeken i

en men ont­dekt aldus de oorza­ken van de j

kwaal, zoo­dat de hov­e­nier in staat is de S

natuur een handje toe te steken en de !

ziekte te beperken en te genezen.

O'ok ver­schil­lende dieren wor­den onder j het on­ver­bid­delijk glas gadeges­la­gen. ï

Een be­lang­wekkend geval is dit van een 1 on­der­duim­sche en gevaar­lijke boos­doener, j die zich ver­toont onder de gedaante van; een donker­grauwen, schi­jn­baar on­schuldi- j gen kever, door de fakul­teit genaamd | « Der­mentes pe­ru­vianus » en wiens lev­ens- \ doel schi­jnt te bestaan in het doork­na­gen j van looden gelei­din­gen voor water en gas, j wat zoo dik­w­erf zeer aanzien­lijke schade j kan te­weeg­bren­gen, ben­evens tal van I

men­schen­levens in gevaar bren­gen.

Menig geheimzin­nig buis-ongeval kan ï

dezen kever ten laste gelegd wor­den. Nu j werd nage­gaan hoe hij te werk gaat, kon de huis­ni­jver­heid die maa­trege­len tr­e­f­fen om het op­tre­den van dezen kever te neu-traliseeren.

Met dezen film heeft men gele­gen­heid op aan­schouwelijke wijze te zien hoe dezen kever — voor wie het lood als een lekkernij is - met on­wankel­baar geduld er in gelukt zijn verniel­ingswerk te vol­bren­gen.


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LA SE­MAINE PROCHAINE •'

—. DE VOL­GENDE WEEK


Eva’s nicht Mamie uit de rijke meesters-won­ing komen, een sigaret in de mond. Wan­neer de eigenares dat zag, vond deze het een on­geoor­loofd schan­daal dat haar huis zou gefilmd wor­den wan­neer een meisje rook­end op den drem­pel staat. De in­sce­neerder hoefde al zijn diplo­matie en zijn wo­or­den­schat te ge­bruiken om ze over te halen. En wan­neer het zoover was en veel kost­bare tijd was ver­loren gegaan, liet de zon de arme regis­seur in den steek: het begon te re­ge­nen. Op­name s an­der­daags!

Het spreekt van zelf dat de hulp der poli­tie noodig was om te mid­den van de New-York menigte te kun­nen fil­men. Alles ging goed tot 3 uur in den namid­dag, maar eens de sc­holen uit werd het on­mo­gelijk nog te werken; de massa men­schen kan men in­dijken, doch als de schoolkinderen er bij komen, dan is het gedaan: zij zijn overal met hun jonge nieuws­gierigheid!

Het moeil­ijkst van al was natu­urlijk het t fil­men op de druk­ste plaat­sen der Ve Ave- \ nue. Het stopzetten van het in­tense ver- 1 keer op de har­tader van New-York, dat ( was een an­dere zaak!

Gok wer­den, om tot goede uit­sla­gen te j komen en het leven in zijn werke­lijkheid j op te nemen, alle mo­gelijke mid­de­len aan- j gewend.

Doch de re­sul­taten zijn ver­rassend: men J ziet New-York in dezen film zooals het j leeft, geweldig en zenuwachtig, on­ver­moeibaar en over­rompe­lend.

En dat is voor­waar niet de min­ste kwaliteit van dezen film, waarin Vilma Ban-ky’s schoonheid en tal­ent ten volle tot uit­ing komen, ter­wijl James Hall be­wi­jst haar waardi­geri en flink en part­ner te zijn.

Een uit­mun­tende foto en een adek­wate muziek­begelei­d­ing. Voor­waar, een film welke men graag zal ver­toond zieh!

Vilma Banky's jong­ste film « This Is Heaven » is een harer beste schep­pin­gen der laat­ste jaren.

Men ziet ze vooreerst in de gedaante van een lief Hon­gaarsch meisje dat, wees gewor­den, naar de Nieuwe Wereld tiegt, als zooveel harer landgenooten die ginds ver een ander, wellicht beter leven gaan op­bouwen.

Mten woont haar aankomst bij, on­troerd als zij door het over­stelpend vi­sioen van het Mb­trop­o­lis-achtig New-York: El­lis-Is­land, toe­gangspoort tot dit Be­loofde Land, waar zooveel voort­trekkers, na over Eu­ropa gez­wor­ven te hebben, aan­lan­den, maar zoo dik­w­erf om on­ver­richterzake terug te moeten. Amerika is kieskeurig gewor­den op de­ge­nen wie het gastvri­jheid biedt. Te El­lis-Is­land moet het Lot beslis­sen.

Doch Eva Petrie, het meisje uit het land van Liszt, mag gerust zijn: haar oom Franck toeft sinds et­telijke jaren in de Staites en hij zal voor haar in­staan.

Zoo komt Eva dus in een wereld die voor haar zoo gan­sch vreemd is en waa’ f zij zich dan ook vreemd te moede ge voelt.

Maar zie, nauwelijks zijn enkele weken ver­loopen en men zou het kind der Puzta niet meer herken­nen!

Zij is een echte Amer­i­can girl gewor­den, lief­tal­lig-bekoor­lijk in haar mod­ern ju­rkje, ter­wijl jeugd in haar jong harte zingt.

Kan het dan an­ders dat zij, lijk alle mooie meis­jes, zoete droomen na­jaagt?

Het is zulke droom welke wij hier medeleven, doch een droom die geen ver­tel ling is, doch klinkklare werke­lijkheid, en dien zij ons voor­toovert in een be­minnelijk avon­tuur.

Al­fred San­tell heeft deze rol­prent met keurige zorg en over­tu­igende be­lang-

stelling uit­gew­erkt en het zal nie­mand een ver­rass­ing zijn wan­neer wij zeggen dat haar in Amerika een uiterst vleiend on­thaal te beurt viel, overal waar zij ver­toond werd.

Ten einde een echte New-York- at­mos­feer in den film te verkri­j­gen, besloot de

Doch Al­fred San­tell is er de man niet naar om zich door opgestapelde moeil­ijkhe­den te laten af schrikken.

In zijn op­dracht heeft hij zich geen moeite mogen ontzeggen ten einde in een Bronx-ap­parte­ment aan de Fifth A.​venue een reeks op­na­men te maken, alsmede de

regis­seur een gedeelte van zijn werk in die reuzen­stad zelf op te nemen. Dat is eigen­lijk sneller gedacht dan gedaan.

Want men kan al­licht gis­sen welke moeil­ijkhe­den zon­der tal opri­jzen in zulk geval.

toonee­len beschri­jvend de aankomst van het meisje in El­lis-Is­land.

Hij heeft met heel wat te kam­pen ge- had. Eerst met het slechte weder, dan met de belache­lijkheid der men­schen. Een voor­beeld! Vol­gens het sce­nario moet


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Vilma Banky est con­sidérée comme une des plus belles ap­pari­tions dans le monde des étoiles. Mais son tal­ent égale sa beauté.

On a pu apprécier haute­ment ses qualités de comédi­enne ac­com­plie dans divers films à succès tels que « L’Ange des Ténèbres», a L’Aigle», » Le Fils du Sheik». «Ta nuit d’Amour », «La Flamme mag­ique », « Deux Amours », « Le Réveil ».

« La Princesse et son Taxi » est un nou- • veau tri­om­phe pour Vilma Banky et son parte­naire James Hall.

Nous la revoyons sous les traits d’une I jeune or­phe­line hon­groise qui s’ex­pa­trie 3

en Amérique et y trou­vera, après bien des | avatars, le bon­heur qui lui re­vient. C est |

un film agréable et at­trayant, d'une mise

en scène intéressante et sou­vent lux­ueuse, très bien pho­tographié et sonorisé avec goût. J


Tj a SE­MAINE PROCHAINE -

NORD 70° » 22

Un doc­u­men­taire de grande valeur

Nord 70°-22° est le récit extrême­ment at­tachant d’un voy­age ac­com­pli, l’été dernier, au Groen­land, par une expédi­tion in­ter­na­tionale, et qui avait pour but d’in­staller par 70" de lat­i­tude Nord et 22° de lon­gi­tude, le météorol­o­giste roumain Dtim­brava et le ra­diotélégraphiste Bas­set, qui de­vaient hiverner dans ces régions peu hos­pi­talières afin d’étudier longue­ment le régime des vents et les courants arc­tiques.

Le jeune réal­isa­teur René Ginet, l’opéra­teur de prise de vues Fil­ip­pini et le jour­nal­iste Georges Le Fèvre ont fait par­tie de cette expédi­tion, les deux pre­miers pour filmer tous les in­ci­dents du voy­age èt le troisième pour en noter sur le pa­pier toutes les péripéties. J’ajouterai que ce dernier a, en outre, com­menté de façon tantôt spir­ituelle et tantôt émou­vante les mag­nifiques im­ages prises par René Ginet et Fil­ip­pini pen­dant cette pénible croisière.

Nord 70°22° peut être classé parmi les meilleurs doc­u­men­taires que nous ayons vus depuis longtemps; en effet, René Ginet a su choisir l’image qui frappe, qui ac­croche l’at­ten­tion du spec­ta­teur, et l’ex­cel­lent opéra­teur Fil­ip­pini a réussi, en dépit de la lumière défectueuse des régions nordiques, quelques clichés tout à fait re­mar­quables.

Vous désirez que je vous donne un

aperçu du voy­age ac­com­pli par René Ginet et ses com­pagnons?

Voici, dans le port norvégien de Bergen, « Le Grande », pho­quier de soix­ante-sept ton­neaux, sur lequel s em­bar­que toute l’expédi­tion. Première es­cale: Tors-haven, pe­tite ville des îles Féroë; deuxième es­cale: Reyk­javik, la curieuse cap­i­tale de 1 Is­lande.

Le cap Nord doublé par une mer houleuse, « Le Grande » longe la côte est du Groen­land et mouille dans la baie de Sco-resby Sund. Après une dernière et courte es­cale à Port-Am­drup, vil­lage es­quimau à l’avant-garde de toute civil­i­sa­tion, « Le Grande », parti à la recherche d un ter­rain fa­vor­able pour débar­quer D'um­brava et Bas­set, s arrête défini­tive­ment dans le Hurry Inlet Fjord. Les deux hiver­nants étab­lis­sent leur campe­ment, tan­dis que les Es­quimaux ap­por­tent aux Européens leur aide avec le plus en­tier dévoue­ment. Enfin, c’est l’heure de la sépa­ra­tion et « Le Grande », qui compte deux pas­sagers de moins, s’éloigne pour re­gag­ner l’Eu­rope.

Parmi les meilleurs pas­sages de cette bande, in­tel­ligem­ment réalisée et montée, il faut citer l’es­cale à Reyk­javik, le pas­sage du « Grande » à tra­vers les glaces flot­tantes, l’arrivée à Port-Am­drup, la vis­ite du vil­lage es­quimau et, enfin, la scène de la sépa­ra­tion, traitée avec tact et sobriété.

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NOORD 70°-22

Een ver­haal van een tocht naar Groen­land dat onze be­won­der­ing afd­wingt. In­der­daad, deze reis werd in bui-tenge­woon-moei­hjke om­standighe­den en met ver­bazend rudi­men­taire mid­de­len ver­filmd. Het heeft niet belet dat hij op allen den diepen in­druk maakt.

De boot vertrekt uit Bergen, in Noor­we­gen, steekt recht op Ijs­land af en dan verder naar het land der Es­kimo's. Ijs­ber­gen tre­den te voorschijn en wor­den voorzichtig omgevaren. Traagzaam vordert men tuss­chen de ijss­chot­sen. Tot men ein­delijk aan wal stapt, in een witte ver­laten­heid, waar een houten loods wordt opge­tim­merd voor een paar geleer­den, die al­daar den win­ter met aller­hande waarne­min­gen zullen door­bren­gen.

Veel van wat René Ginet ons toont had­den wij reeds in vorige films gezien. Maar hij weet ni­et­temin de din­gen zoodanig voor te stellen, dat zij steeds weer boeien. Komt dit soms door de klankn­a­boots­ing, die er door­gaans op uiterst gelukkige wijze is aan toegevoegd? Of door de muziek, die som­mige gedeel­ten begeleidt? Ofwel door het kom­men­taar onder di­aloogvorm, dat een­voudig is en toch de aan­dacht op-eis­cht voor wat op den tocht het meest tr­e­f­fende was? Wellicht dra­gen deze drie el­e­menten er elk het hunne toe bij om de waarde van de prenten te ver­hoogen.

D'e reis van Bergen, voor­bij de Feroë-ei­lan­den en Ijs­land tot Groen­land, is aan­gri­jpend in zijn een­voud, zooals iedere maal wan­neer men aan de Beschaaf­den, ge­ni­etend van 't meest ger­af­fi­neerd kom­fort, toont de haast prim­i­tieve en epis­che grootschheid van men­sche­lijke wilskracht en men­sche­lijke verza­k­ing in hun bru­tale, naakte werke­lijkheid.

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La tech­nique du film

Com­ment syn­chro­niser la musique et les bruits sur une bande muette

Les pas­sages qui oont suivre sont ex­traits d’une conférence faite par M. Delà-com­mune, in­ven­teur de nou­veaux procédés de sonori­sa­tion.

Le but que je pour­suis depuis bientôt douze années au tra­vers des mul­ti­ples évo­lu­tions de l’in­dus­trie cinématogra-pbique était le suiv­ant: As­surer aux ac­tions filmées une at­mo­sphère sonore par­faite­ment adéquate et cepen­dant assez sou­ple pour per­me­t­tre toutes les trans­po­si­tions sans lesquelles il ne peut être ques­tion d’art, et dans un plan plus pra­tique, sub­stituer aux procédés em­piriques une tech­nique ra­tionnelle qui per­me­tte d’économiser temps et ar­gent.

Mais, me di­rez-vous, qu’en­ten­dez-vous par at­mo­sphère sonore com­posée, en un temps où le film par­lant est roi des écrans et où l’en­reg­istrement di­rect des paroles et des sons est jour­nelle­ment utilisé dans les stu­dios? Aussi bien n'est-ce pas du cinéma 100 % par­lant d’au­jourd’hui dont je veux par­ler, mais du cinéma sonore de de­main, tel qu’on l’en­vis­age déjà dans le mystère des bu­reaux de presque tous les di­recteurs de pro­duc­tion et dont quelques ex­em­plaires sont déjà en voie de réal­i­sa­tion. Cri­tiques, artistes et grand pub­lic ne sont-ils pas — pour une fois — unanimes à hon­nir le 100 % par­lant, qui, selon l’ex­pres­sion de Léon Poirier, n'est que du théâtre dévi­talisé et re­gret­ter le vagabondage, pas tou­jours heureux, mais si plein de vie et si riche en pos­si­bilités du cinéma muet.

C est à réaliser un dou­ble syn­chro­nisme que je me suis at­taché et la tech­nique que j’ai mise au point après de nom­breuses années de tâton­nements ap­porte, je crois.​au problème de la sonori­sa­tion après coup, une so­lu­tion sim­ple, pra­tique et complète.

Par­tant de cette dou­ble con­sidéra­tion, que chaque ac­tion ou mou­ve­ment fixé sur la pel­licule cor­re­spondait à un nom­bre déter­miné d’im­ages, et que, d’autre part, la vitesse de déroule­ment du film sonore pou­vait être con­sidérée comme con­stante: vingt-qua­tre im­ages-sec­onde, j’ai réalisé trois ap­pareils, représen­tant les trois étapes du tra­vail de sonori­sa­tion, et aux­quels j’ai donné re­spec­tive­ment le nom de pupitre d’étude, pupitre de com­po­si­tion et pupitre d'exécu­tion.

Je ne veux pas vous im­poser une longue de­scrip­tion tech­nique. Je me con­tenterai donc de vous dire que le principe utilisé est de faire dérouler à côté du film à sonoriser, mais beau­coup plus lente­ment une bande de pa­pier, per­forée sur les côtés pour éviter tout décalage. Une série de poin­teurs ac­tionnés grâce aux touches d’un clavier, par la main d’un com­pos­i­teur (ou d’un opéra­teur tra­vail­lant sous sa di­rec­tion) per­met de relever sur cette bande de pa­pier avec une grande préci­sion les ac­tions, mou­ve­ments, ry­thmes, paroles ou bruits du film.

Cette « étude graphique » du film se fait à ca­dence lente. Une pédale placée sous le pied gauche de l’opéra­teur lui fa­cilite d’ailleurs le réglage de la vitesse de déroule­ment du film, tan­dis qu’une autre pédale, com­mandée par son pied de droit,

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lui per­met de soulever, quand il le désire, 1 ap­pareil de pointage afin de pou­voir mar­quer au crayon sur la bande ainsi dégagée toutes les in­di­ca­tions qui peu­vent lui sem­bler utiles en re­gard des points ou traits cor­re­spon­dant aux divers ry­thmes ou ac­tions en­reg­istrées.

Après un, deux ou trois pas­sages, on ob­tient ainsi sur la bande le résumé ab­sol­u­ment fidèle du film.C’est sur cette même bande que le com­pos­i­teur va main­tenant faire sa tran­scrip­tion mu­si­cale. A cet effet, deux portées lon­gi­tu­di­nales ont été im­primées au-dessus de rem­place­ment réservé à l’étude graphique. Le tra­vail con­siste main­tenant à trans­former les temps filmés représentés par des longueurs bien définies de la bande en temps mu­si­caux. Pour fa­ciliter ce tra­vail de trans­for­ma­tion, j’ai établi une règle de com­po­si­tion spéciale sur laque­lle le com­pos­i­teur, qui peut faire évidem­ment ce tra­vail chez lui, trouve évidem­meni et sans cal­cul la valeur métronomique cor­re­spon­dant ex­acte­ment aux divers longueurs de bande, donc aux di­verses ac­tions du film. Au fur et à mesure qu’il la com­pose, le mu­si­cien in­scrit la ligne mélodique sur les deux portées de la bande, mais chaque mesure doit y être in­scrite sur une longueur pro­por­tion­nelle à sa durée d’exécu­tion. Cette longueur lui est d’ailleurs in­diquée ex­acte­ment par les di­vi­sions de la règle et un dis­posi­tif très sim­ple lui per­met de re­porter très ex­acte­ment ces di­vi­sions sur sa bande pour le tracé des bar­res de mesure.

Lorsque la com­po­si­tion est ainsi réalisée avec une préci­sion ab­solue, les par­ties d’or­chestre sont établies, et, le jour de

l’en­reg­istrement, c’est cette même bande ayant servi à l’étude, puis à la com­po­si­tion qui va guider le chef d’or­chestre en se déroulant de­vant ses yeux, syn­chronique­ment avec le film, en face d’un repère fixe qui lui in­dique à chaque in­stant la mesure, la note même cor­re­spon­dant à 1 image pro­jetée au même mo­ment sur l’écran.

Chaque mesure oc­cu­pant sur la bande une longueur pro­por­tion­nelle à son temps d exécu­tion, son déroule­ment dur­era donc ex­acte­ment le temps prévu par le com­pos­i­teur, comme si un véri­ta­ble métronome bat­tait à chaque in­stant de­vant le chef d’or­chestre qui, dès lors, n a plus be­soin de s’oc­cu­per de ce qui se passe sur lécran.

Je dirai plus: l’expéri­ence des dernières sonori­sa­tions que nous avons réalisées nous a montré qü’il était préférable de ne pas pro­jeter le film au cours de 1 en­reg­istrement qui s’opère, sans aucun arrêt ni tâton­nement.

En de­hors du résul­tat artis­tique obtenu, grâce à cette fu­sion par­faite du cinéma et de la musique, qui ouvre aux réal­isa­teurs et aux com­pos­i­teurs des pos­si­bilités nou­velles presque in­finies, l’util­i­sa­tion de ces nou­veaux procédés présente l’avan­tage nulle­ment néglige­able de per­me­t­tre de réaliser sur les frais de sonori­sa­tion une économie de l’ordre de 75 %.

Je crois que l’on peut dès main­tenant prévoir que cette musique, qui devra évo­quer sou­vent les sonorités de la na­ture, devra faire appel à de nou­veaux in­stru­ments, et en tous cas, à une « bat­terie » dis­posant de tim­bres plus nom­breux.


UIT FILM­LAND

Mau­rice Cheva­lier en Janet Mac Don­ald, die zoozeer de aan­dacht op zich wis­ten te ves­ti­gen in « Liefde­pa­rade », gaan an­der­maal samen op­tre­den, nl. in « One Hour with You »,

★ Uni­ver­sal Film gaat de roman van den beroem­den H. G. Wells « Dte Onzicht­bare Man » ver­fil­men.

Henry De­coin, de au­teur van de sce­nario’s voor « Un Soir de Rafle » en « Chant du Marin », is op zijn beurt in­sce-neerder gewor­den. Een door hem zelf geschreven gegeven werd door hem ver­wezen­lijkt, ni. A bas Les Hommes (Weg met de Man­nen!), welke film ver­tolkt wordt door Jim Ger­ald, Pitoutot, Lulu Vatier, Jel­las, Siméon.

Ar­mand Bernard en Mar­cel Vib­ert zullen op­tre­den naast Suzy Ver­non en Roland Toutain in » D'e Vrouw mi­jner Dioomen ».

Leon Mathot beëin­digt de op­na­men van « La Bande à Bouboule ».

Ter­wijl Mhurice Tourneur de laat­ste hand legt aan zijn « In naam der Wet », bereidt hij het sce­nario voor van een film-aan­pass­ing van Courte­line s « Les Laites de l’Es­cadron ».

Robert Péguy gaat be­gin­nen aan « Amour et Busi­ness », ter­wijl Louis Mier-can­ton klaar is met « Paris, je t’aime ».

De R. K. O1. Pathé heeft in zijn stu­dio’s den dag van zes uren in­gevo­erd.

Hi­er­door wor­den 20 % werk­lieden en be­di­en­den meer ge­bruikt. Het is niet uit­ges­loten dat an­dere maatschap­pi­jen dit voor­beeld zullen vol­gen.

De jaar­lijksche al­ge­meene ver­gade-ding der U. F. A. heeft vorige maand plaats gehad te Berlijn. Aan de aan­deel­houd­ers zal er een div­i­dend van 6 % uit­be­taald wor­den.

Carl Laemmle heeft de ver­film­ing-rechten ver­wor­ven van een merk­waardig werk van Henry Wyshan Lanier en Vic­tor Berge, getiteld « Pearl Diver », waar­van de han­del­ing zich af­speelt in den Stillen Oceaan. Mlen gaat een film ver­wezen­lijken in den aard van «Tabou» en « Blanke Schaduwen » met tal­rijke on­der-zeesche op­na­men.

Een nieuwe Bel­gis­che film werd ver­wezen­lijkt: « De Ser­e­nade ». Spi­jtig dat hij, zooals zooveel an­deren, geen eigen, ethisch karak­ter draagt. Waarom, om den duivel, Vrede en Wapen­stil­stand al­tijd ver­beelden door een mil­i­taire pa­rade onder den Arc-de-Tri­om­phe te Par­ijs? Is dit dan al de fan­tazie van een in­sce­neerder? Wan­neer zal toch ein­delijk eens ern­stig gedacht wor­den aan een pro­duc­tie van eigen bodem, doch waarin het karak­ter en de folk­lore van het land wor­den gecon­cre-tizeerd? En dan moet daarom zulke film geen miljoe­nen kosten!

De Soy­ouze Kino van Mb­scou heeft haar derde fab­riek van ruw film opgericht. Hi­er­door zal Rus­land in staat zijn zich bin­nen zijn gren­zen van de nood­ige film­ban­den te voorzien. Een krediet van 20.000.000 roebel wordt voor deze reusachtige on­derne­m­ing vast­gelegd.

3 De Fran­sche com­mu­nist Vail­lant-Cou­turier heeft van zijn Rus­sis­che vrien­den de bestelling ont­van­gen een sce­nario te lev­eren voor een gespro­ken film over de Com­mune van Par­ijs.

André Baugé, de hoofd­ver­tolker van « Een Gril van de Pom­padour », vervult de lei­dende rol in « Voor een stu­iver Liefde ».

« Ma Tante d’Hon­fleur », het gek­ende Fran­sche bli­jspel, gaat door Dia­mant-Berger ver­filmd wor­den.

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