Programma van 16 tot 20 nov. 1924



Brochure

Bron: FelixArchief nr. 1968#870

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Prochainement

PROGRAMME du 16 au 20 NOVEMBRE

M. Levesque et P. Menichelli

dans le grand succès

1. Bebel et Quinquin.

(One-Step)

A. Chantier

MULHOUSE

voyage

3. Fifres et Tambours-

(Air de ballet)

iet

CHAIR ET SANG

drame interprété par

Lon CHANEY et Edith ROBERTS

Bêtes... comme les Hommes

Comédie

Pendant la Pause

Récital pour Orgue

MaxiiD’s

D’après le célèbre vaudeville de Georges FEYDEAU

Semaine pi

Alice TERRY et Fr;

LES DEUX

Superproduction ‘

{BÊTES... commes les HOMMES

Une Extraordinaire Curiosité Cinématographique

UN FILM DONT TOUS LES ACTEURS SONT DES ANIMAUX

Faut-il attacher à ce litre malicieux: « Bêtes... comme les Hommes », le sens d’une boutade amère d’une moraliste désabusé? Ne doit-on pas supposer, au contraire', qu’en tournant ce tiJin original dont tous les acteurs sont des animaux, MM. Alfred Machin et Henri YVulschlcger, fervents amis des bêtes, ont voulu, tout simplement, nous démontrer que nos frères inférieurs pouvaient, ccomme des hommes, devenir des étoiles de i „ran P

V'tvI. Alfred Machin, dont les lecteurs de « LTi-luslration » connaissent déjà les belles éludes photographiques rapportées de la jungle africaine, s’est, depui longtemps, consacré à la cinématographie des animaux. Après avoir nolé, sur le vif, les mœurs des fauves en liberté, il a transformé son jardin de Nice en une vaste ménagerie où vivent, en bonne intelligence, les hôtes d’une moderne arche de Noé. A force de se tenir en contact direct avec ce petit peuple et de l’observer, M. Machin, qui est un excellent metteur en scène de cinéma, s’est aperçu que la comédie animale n’était pas, au fond, très différente de la comédie humaine, et il eut l’idée de confier à cette troupe originale i’interprétation d’un scénario.

‘Nous ne sommes plus « au temps où les bêtes parlaeint »; nous sommes à l’époque où elles « jouent » devant un objectif enregistreur.

L’emploi des animaux à l’écran fut toujours bien accueilli par le public. Les Américains tirent souvent d’heureux effets ne l’intervention d’un petit chat, d’un chien ou d’un oiseau dans quelque romanesque anecdote. Les animaux sont généralement très « photogéniques ». Et 1 on a vu des chimpanzés jouer des rôles importants dans des i l'ms d’aventures. Mais jamais l’on n’avait osé

mander à une collectivité animale l’effort d’une collaboration étroite et exclusive. C’est pourtant la gageure que viennent de réaliser, avec le plus vif succès, les auteurs du film dont nos lecteurs ont aujourd’hui sous les yeux les scènes caractéristiques.

Ce film est un drame d’amour, traité avec une irrévérencieuse gravité ei des intentions parodiques dont se divertiront les amateurs de cinéma qui n’ont pas oublié les grands succès de cos dernières années: les Exploits d'Elaine, Un pauvre Amour et U Atlantide. Après un court prologue où nous voyons Chantecler, au lit, et- prévenu par son réveille-matin qu’il est temps de faire lever le soleil, le scénario nous décrit la passion malheureuse d’un bull-dog, le rude et jovial Jim, pour la coquette petite chienne Elaine, gracieuse et frivole créature qui ne songe qu’à s’amuser et à plaire. Regardez-les: avec son foulard trop voyant, sa casquette de lad et sa pipe, le lourdaud ne saurait séduire du premier coup sa fine compagne qui s’appuie avec tant d’adresse négligente, devant le photographe, sur son ombrelle fanfreluchée. Il lui faudra lutter héroïquement pour conquérir cette Célimène.

De la ville voisine arrive en auto un charmant fox à poil ras, nommé \. illy, snob accompli, lion danseur, galant, frétillant, musqué, pommadé, arbitre des élégances canines. Elaine, que le gros Jim importune, s’empresse de flirter avec ce sé-

duisant cavalier qui l’entraîne au dancing où triomphe un brillant jazz-band de lapins. Le fox lui apprend l’art de fox-trotter avec grâce et de tanguer onduleusement. Et le couple se trouve si bien assorti que, peu de jours après, on célèbre solennelmeut le mariage des deux danseurs.

La cérémonie fut magnifique. Les équipages, conduits par des lapins, évoluèrent avec aisance sur la place de l’église. Le répas de noces — un lunch de trente couverts — somptueux et raffiné, permit d’admirer les belles manières des pou b qui savent manier avec désinvolture une cuiller et un verre à bordeaux. On vit des coqs, émoustillés, allonger sournoisement leur ergot sous la table pour faire de la patte à leur voisine. Le maire prononça Un discours un peu trop développé, qui enchanta d’abord les convives, puis les fit bâillir cruellement. Et les invités terminèrent joyeusement la journée en se rendant à la fête où les attendaient de nombreuses attractions. Sur un ring, construit selon toutes les règles, fut disputé, sous leurs yeux, un championnat de boxe arbitré et chronométré par un lapin. Ce fut vraiment un beau mariage.

Mais le pauvre Jim, vous le pensez bien, ne pouvait prendre sa part de la joie générale. Il grinçait des dents dans son coin et fumait rageusement sa courte pipe. Et lorsque le soir fut venu et que les jeunes époux se furent retirés dans la chambre nuptiale, le jaloux fit irruption dans la maison et, avec une brutalité inouïe, expulsa son élégant rival qui s’enfuit piteusement au galop, dans la nuit, pouf aller se réfugier dans son ancien logis de garçon.

Cette attaque brusquée n’eut pas le don d’émerveiller Elaine. Elle repousse le butor avec indignation, prépare sa valise, attache une laisse au collier de la souris blanche qui lui servait de carlin et se dirigea vers la gare pour aller retrouver son pauvre petit, mari disparu. Le train s’ébranle, conduit par le chien-mécanicien et chargé de volailles voyageuses. Jim, n’héritant pas à jouer les Ma-ciste, s’accroche au dernier wagon et tente d’immobiliser le convoi. N’y pouvant parvenir, il lui fait prendre une fausse direction.

Un aiguillage perfide lance l’express sur le territoire redoutable du Toggar où la guenon Titinéa règne sur un peuple de quadrumanes.

Titinéa attire volontiers dans son domaine les Saint-Avit et les Morhange du clapier et de la basse-cour. Mais ce n’est pas pour les enfermer dans une gaine d’orichalque: elle se contente de les mettre à la broche. Le féroce Jim, en qui la passion a décidément tué tout sens moral, n’hésite pas à livrer la pauvre Elaine et tous ses compagnons de voyage à la terrible ogresse.

Il mine la voie et fait dérailler le train qui est immédiatement pillé par les indigènes, selon les meilleures traditions du Châtelet.

Elaine est jetée dans les fers. La reine du Toggar la fait enfermer dans un souterrain où elle subira le supplice des femmes infidèles: elle sera dévorée par un boa. Et, en effet, voici venir un serpent monstruex qui rampe vers la coupable et commence à la fasciner.


La minute est tragique et le bourreau ê.l la victime jouent cette scène avec une vérité et une com viction qui ne doivent rien à la convention théâtrale. Mais le charme de la jeune captive opère des miracles. Le gardien de la prison est un fourmilier qui n’a pu rester insensible à tant de grâce. Il sauvera sa prisonnière. Pas une minute à perdre. Avec une habileté toute professionnelle, le tamanoir creuse rapidement un couloir dans la terre, perce la cloison, fait évader la pauvre Elaine qui tremble convulsivement: puis il revient et fait face au monstre avec lequel il va engager un terrible combat.

La fugitive se dissimulé dans un forêt. Elle croit avoir trouvé une cachette sûre dans une malle abandonnée; hélas l'atroce Jim, qui l’a suivie, précipite la malle-et son contenu au fond d’un ravin où passait précisément le pusillanime Willy, en train de chercher les traces de son épouse infortunée. Voilà un mari bien content de voir sa femme lui tomber du ciel, mais Jim bondit à sa

rencontre et le contraint de nouveau à une fuite sans gloire.

Après mille aventures pathétiques, Elaine est rentrée dans son village. Le peuple singe a voulu la suivre et a dévasté cette région paisible, Willy a disparu et Jim revient, simple, brutal et fort comme Douglas Fairbanks. Vous croyez, sans doute, que la fragile Elaine va, se détourner avec horreur de son persécuteur? Pas du tout. La jeune héroïne connaît les traditions du cinéma américain où la force musculaire a toujours le dernier mot. Elle s’empresse donc, à l’instar de toutes les blondes étoiles de Los Angeles, de tomber dans les bras du robuste mâtin et de lui promettre une tendresse éternelle.

Ce scénario, on le voit, est conforme à toutes les règles du genre transatlantique. C’est une tra position fidèle des effets classiques de la dramaturgie de l’écran. La saveur de cette parodie sera goûtée par tous les publics.

[BEEST... als Je MENSCHEN

Beest... als de Menschen » is een buitengewone kinematografische kurioziteit; het is de eerste film uitsluitend vertolkt door dieren en dit op de meest, verrassende wijze.

ik Alfred Machin, en Henri Wulschleger, die twee jaar lang aan dezen aartsmoeilijken film hebben gewerkt maakten ervan als een veropenbaring van dc wonderbare bevechtelijkheid der dieren, van hun expressief-voJ Ie gewaarwordingen en van hun... aanpassingsvermogen. Zij hebben de dieren doen « spelen- » zooals La Fontaine ze in zijn fabelen deed « spreken ».

Door echt kluizenaren-geduld zijn zij er in gelukt de « beesten » zooals do menscheai te doen zijn en tot in de minste detailleeringen.

Het is vooral op deze schijnbaar nietige detaii-leeringen dat wij de aandacht van het publiek willen vestigen, o.a.: de waarlijk verbazende

handigheid waarmede kippen zich bedienen van een lepel en een wijnglas; het verliefd doen van een haan voor zijn mooie gebuur-kip wie hij onder de tafel, een « pootje » zet — het koddige « poot-geklap » dierzelfde neerhofhclden — het chronometreeren van een boksmatch door een konijn— het spel van den hond’en de boa... enz.

Een humoristieke, satyrieke en origineele eigenaardigheid is deze dierenfilm die als een parodie kan doorgaan op de 3 succesvolle banden: Elenefs lotgevallen, Anne Liefde en Atlantic en ook wel cens op de onmogelijke, klassiek ge worde 11 tradities van liet Amerikaansch scenario geschrijf.

De buldog Jim bemint de lieftallige Elene. Deze vindt hem échter veel te grof en is oneindig gevoeliger aan de galante mooi-doenerij van een heel snobsigen fox, Willy. Met hem leert zij fox-trot en tango en zoozeer bevalt hij haar dat zij niet hem trouwt. De bruiloft is schitterend: een tafel met 3o genoodigden: een maal om van te likkebaarden! En tot sluiting der feestelijkheden een goed georganiseerde bokxmatch - liet suninuhi van onze moderne beschaving! — Aiel razernij woont Jim dit alles bij en buiten zich zelf van jaloerschheid dringt hij ’s nachts in de kamer d(( echtelingen en ontvoert de bruid « mani militari >ç Verontwaardigd stoot de « geschaakte » den onstuimige van zich af en gaat op zoek naar den echtgenoot die in den nacht gevlucht was...

Na tal van avonturen, waarbij Jim zich als een echte maciste deed kenne, landt Elene’s trein aan op het grondgebied van de woeste Titinea. Elene, de ontrouwe, wordt ter dood veroordeeld doch de bekoorlijkheid der jonge gevangene doet wonderen, op het kritische oogenblik wordt zij gered en ijld naar het woud waar zij, volgens Ameri-kaamsche wijze, toevallig een koffer vindt dat echter dor wraaklustige Jim in een afgrond wordt geworpen... waarin juist Willy naar zijn «vrouw» aan het zoeken is. Ten tweede male wordt Willy op de vlucht gedreven door den onversaagden Jim na duizend pathetische voorvallen is Elene terug in haar dorp aangekomen, achtervolgd door Titi-nea’s apen gelederen die gansch de rustige streek hebben ’t onderstboven gezet. Willy is verdwenen, zonder adres achter te laten en Jim, komt terug, brutaal en sterk als Douglas. En, om tri de gewoonte te blijven der blonde «sterren» van Los Angelos werpt zij zich in de... « pooten » van den onoverwinnelijken Jim en zw-eert hem eeuwige trouw: het Recht van den Sterkste!

OG1E CINEMA

PROGRAMMA van 16 tot 20 NOVEMBER

1. Bebel en Quinquin. • . . A- Chantier

(One-Step)

P ro chainement

MULHOUSE

reis

. Friers en Trommelaars . . .

E. Gillet

srochaine

VLEESCH EN BLOED

drama vertolkt door

Lon CHANEY en Edith ROBERTS

5 Beest... als de Menschen

Tooneelspel

Tijdens de Poos

Récitaal voor Orgel

Le Film Sensationnel

Tbe Fire Patrol

La Patrouille de Feu

anç. BILL1NGTON

PASSIONS

“ Rex-Ingram,, w-Metro

Un drame unique de la mer. Un triomphe de vedettes de scénario et de mise

en scene

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Notre vedette: Raquel MELLER

Quand paraî -tront ces lignes, cette souple fleur d'Espagne se sera vue transplantée pour quelques jours dats notre pays de brouillard. Et avant l’hiver morose, nos yeux auront pu se complaire à la vue de sa fïère beauté, de son exotisme captivant, de sa grâce chaude, expressive, troublante...

Dithyrambique verbiage, s’écrieront d’aucuns, des rares qui ignorent et veulent ignorer ceux et celles qui apportent à l écran leur talent, leur génie, leur beauté, et s'affinant encore pour mieux servir le dieu magique.

Mais point ne jugeront de la sorte ceux qui savent quel riche creuset est ce VII« art, où se fondent et s ' amalgament, pour donner naissance à d’admirables reconstitutions animées, et le dur métal des caractères, et lu finesse des expressions, et la sobriété des gestes.

Raquel Meller est un des plus précieux éléments constitutifs des films qu elle aide à créer. Avant de se consacrer aux images animées, elle fut excellente ballerine, diseuse experte et chanteuse applaudie.

L'écran l’a touché de ses blanches ailes: et son destin fut décidé!

Vous n'y croyez plus, chère lectrice, à la légende de la jolie fillette à laquelle il a suffi de se trouver au moment propice au studio, pour qu’un « director »

en quête d ’ une perle, mit son dévolu sur la rougissante jeunesse, lui découvrant mille qualités de photo-1 génie, de spontanéité, d'expression, propres à la, muer immédiatement en étoile de toute première grandeur; vous n’y croyez plus à ces bobards yankees, et vous avez bien raison. — Etre sacrée du jour au lendemain vedette, et cela sans judicieuse préparation, — à d’autres!

Et pourtant, il est de « petites bonnes femmes » qui s'imposent, sinon endéans les vingt-quatre heures, du moins en quelques mois; il en est qui, sans le savoir même, ont le cinéma dans la peau. Et de celles-ci est Raquel Meller.

Coup sur coup, deux belles productions, qù elle remplit un rôle principal, nous l’ont fait apprécier. La Conception des Opprimés, comme Violetta des Violettes Impériales, furent également fêtées par le public. Et cette petite chanteuse de cabaret chantant, dont peu connaissaient le nom chez nous avant l’apparition de ces deux grands films de Roussel, a conquis tous les enthousiasmes.

Née en Espagne, Raquel Meller débute toute jeune dans un petit music-hall de Valence, Remarquée pour sa belle voix, elle chante bientôt dans toutes les grandes villes espagnoles, puis part au Brésil, où l’attendent de nouvelles ovations, et où elle risque même un soir d’être aveuglée par les pièces de monnaie qu’on lui jetait sur la scène...

Raquel Meller, rôle de " Conception „ dans Les Opprimés.

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Elle chante ensuite dans toutes les grandes villes d'Europe.

Les débuts de Raquel Meller au cinéma sont récents. C’est sous la direction d’Henri Roussell qu’elle tourne pour la première fois dans Les Opprimés. Son interprétation du rôle de « Conception» la classe au premier rang des étoiles de l’écran. Toujours, avec H. Roussell, elle tourne ensuite Violettes Impériales, un grand film qui nous fait assister à la curieuse odyssée d’Eugénie deMontijo, impératrice des Français, et à la vie sous le second Empire. Dans ce film, dont toute la première partie fut tournée à Séville, Raquel Meller interprète le rôle de Violetta, la petite marchande de fleurs. En petite jupe de toile blanche à volants rouges, casquée d’une chevelure d’ébène où meurt une rose pourpre, elle offre ses violettes aux passants, avec la simplicité fière d'une véritable gitane; nulle autre que la grande artiste espagnole ne pouvait interpréter un tel talent, une telle vérité, le rôle difficile et complexe de Violetta.

Ainsi en moins d’un an, s’est élevée jusqu’au Zénith une nouvelle étoile dont l’éclat égale celui des plus connues, dont le talent s'égale à celui des grandes vedettes de ciné — à la popularité parfois surfaite — des plus célèbres artistes de Californie et d’ailleurs.

A la grande actrice espagnole, notre hôte de quelques jours, l'hommage reconnaissant de

Ciné-Revue.

Nouvelles cinématographiques

Leurs Films Préférés

Un confrère nous donne le film préféré des principaux personnages qui forment le haut aréopage de la Société des nations:

M. Herriot: Le Courrier de Lyon.

M. Mac Donald: Le Voleur de ißagdad.

M. Theunis: L'enfant des Flandres.

Mgr Seipe!; Le Dernier des Habsbourg.

Sir Eric Drummond: L''Empereur des Pauvres.

M. Marx: La Caravane vers l’Ouest.

M. Stresemann: Le Paradis Perdu.

M. Nansen: Nanouk l’Esquimau.

M, Henri de Jouvenel: Claudine et le Poussin.

Comte Apponyl: La Couronne X>olée.

M. Loucheur: Distraction de Milliardaire.

M. Tchitchérine: La Nuit Rouge.

M. Mac Addo: Le Roi du pétrole.

Khemal Pacha: La Vierge de Stamboul.

M. Albert Thomas: 'Cravail.

Le confrère ne nous dit pas s'il est question de réaliser, pour le compte de la Société des Nations, un grand film; La Guerre et la Paix, d'après Léon Tolstoï...

Point de vue

Alors que King Vidor, le metteur en scène de la Metro-Goldwyn, tournait Happiness (Le Bonheur) avec Laurette Taylor, il eut besoin pour tourner un petit rôle d’un figurant intelligent. Il entra en pourparlers avec un jeune étudiant dont le physique répondait au type qu’il cherchait; mais ce jeune homme, bien que n'ayant aucune expérience de l’écran, exigeait des appointements élevés. I

— Il me semble, fit reniarquer le metteur en scène, que vous demandez bien cher pour ce que vous savez faire.

— C’est juste, répondit le futur acteur; mais c'est justement parce que je ne sais pas faire ce que vous

me demandez que la difficulté sera plus grande pour moi que pour n’importe quel autre figurant.

Et King Vidor se laissa convaincre et n’eut pas à s’en repentir.

Humour

Anna Q. Nilson, la jolie petite vedette de la Metro-Goldwyn, désireuse de faire acquisition d’un manteau de fourrure, se rendait l’autre jour chez un fourreur de Lo$ Angeles où son choix se fixait bientôt sur une magnifique cape de skungs.

— Ce n’est pas de Limitation? s’enquit-elle prudemment.

— Non, madame, c’est du véritable skungs inusable; vous le porterez pendant des années.

— Et cela ne s’abîme pas à la pluie?

— Madame, répondit le foürreur, je ne peux vous affirmer qu'une chose: c’est que je n'ai jamais entendu dire que les skungs aient l'habitude de porter, des parapluies!

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jVliraclc de Demain

Murk Walton sortit du laboratoire.

11 avait la tête en feu, les yeux convulsifs, des gestes brusques et violents d'homme en proie à la plus vive agitation.

Il monologuait.

— Pourtant nous sommes arrivés au seuil du mystère. Encore un pas, l’homme nouveau sera créé. 11 vivra. Il agira. Conduit par la pensée de son créateur il marchera vers la gloire, par la ruse et pur lu force. Un pas seulement. Dis, Lovello, encore un pas. Fais un effort de divination. Et Annette Wells est à moi. Ah! Ma belle Annette! Ma douce Annette! On ne méprisera plus alors Mark Walton devenu le maître de l’homme nouveau et capable de s’imposer de force aux autres hommes.

11 allait, se frappant du poing le front ruisselant de sueur comme sous l’influence d’une tension extrême de l’esprit.

C’est que Mark Walton, avec son camarade et complice Lovello, s’était attelé au problème le plus ardu que les savants se soient jamais posé.

11 voulait, dieu de la mécanique et de la science, former, non de limon mais de fer, un être nouveau, qu’il appellerait l’homme de demain, l’homme futur, comme Villiers de l’Isle Adam avait nommé sa

célèbre automate l’Eve future, et lui insuffler une âme, la sienne, une volonté, la sienne, pour réaliser ses rêves, tous ses rêves.

Rêves de richesse?

Oui, Sans doute. L’époque moderne est-elle autre chose qu’une universelle compétition. Çe n’est plus l’antique struggle for life, c’est la lutte pour l'or qui donne la puissance et les jouissances. Jouir, être riche pour jouir, telle est la devise, telle est lu pensé de la plupart de nos contemporains. A ce rêve ils sont prêts à tout sacrifier, jusqu'à leur honneur.

Walton, employé comme secrétaire dans la vaste lactorerie Wells et Faraday, en avait assez de sa situation subalterne et de sa médiocrité. Il voulait être riche. Il voulait commander. Il voulait posséder la factorerie qu’il servait en sous-ordre.

Rêves d'amour?

Aussi.

L’homme a-t-il en vérité une autre fin que celle-là: la femme? S'il veut être riche "pour jouir, en quoi lui consiste la jouissance, sinon dans la satisfaction de son. premier instinct, la conquête de l’éternel féminin

Pour Walton comme pour les autres, être riche

Ai.nette méprisait le jeune homme.

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n'était qu’un moyen pour obtenir la main d’Annette Wells, fille unique de son patron.

Oh! Ce ne serait pas facile!

Aux premières avances du jeune homme,

Annette avait répondu par des rebuffades capables de décourager le plus obstiné. Elle ne lui avait pas caché son mépris. D’autant plus qu’el-le ne voyait pas sans plaisir tourner autour d'elle, papillon autour de la flamme, lè beau Harry Ross, criminologiste célèbre et détective extraordinaire, qu’elle avait eu l'occasion de rencontrer chez des amis et chez son père même.

Harry n'était, pas insensible. Il avait admiré Annette pour sa beauté physique de noire aux yeux bleus, et pour la franchise de son caractère. De l’admiration à un sentiment plus doux la distance est vite franchie entre un jeune homme et une jeune fille.

I-[arry n’osait pas la franchir. Annette se ré-, servait. Mais tous deux sentaient bien que leurs destinées, rapprochées par le hasard n’allaient pas manquer de bientôt se nouer.

Walton le devinait aussi.

Il n'en était que plus ardent à la poursuite de son rêve. Il n'en supportait qu’avec plus d'amertune la mauvaise humeur de la jeune fille.

— J’aurai ma revanche, proférait-il en déambulant à travers le vaste hall du château, où il poursuivait ses espérances. N’est-ce pas, Lovello, continuatt-il en s’adressant à Son aller ego qui sortait à son tour du laboratoire.

trôle des vagues fluidi-ques, sans quoi l’homme de fer ira frapper à hue et à dia, sans direction et sans choix, et la visibilité constante de l’automate dont on pourra de la sorte contrôler tous les gestes.,

— Je le vois, marchant vers nos ennemis, implacable comme le destin, cœur de. fer, âme de bronze, servant tous nos intérêts et tous nos instincts.

— Nos amours et nos haines.

— Nos amours, répéta Walton, se laissant aller, subitement à une songed rie où passait fine, élégante et volontaire An-nette Wells, la désirée, qui ne voulait pas se laisser prendre.

Puis comme se réveil-, lant:

— Ecoute, Lovello, je

t'apporte peut-être la solution. Tu sais que Wells et Faraday cherchent aussi la solution du problème. Ils veulent aussi trouver, en vue de la civilisation et pour amener parmi les hommes l'âge d'or et la paix définitive, — les insensés! —- Cette force qui agirait à distance, arrêterait dans leur marche les bateaux, les avions, les armées. Les savants ingénieurs attachés à leur maison ont remis hier des plans nouveaux dont ils semblent attendre beaucoup, la solution peut-être le miracle. •,

— Ah! Si je possédais ces plans! soupira Lovello.

— Les voilà, dit Walton en les tirant de la poche intérieure de son veston. Je les ai volés tout à I l’heure, tandis que Faraday dormait dans son bureau. Personne ne m a vu ni entrer ni sortir.

La porte entrouverte laissait voir de monstrueuses machines génératrices d’électricité et de courants de fluides encore inconnus dont les dèüx hommes cherchaient à pénétrer le secret.

— Oui, répondait Lovello, devinant où la songerie obsédante conduisait la pensée de son compagnon. Oui, nous sommes près de réussir. L’homme nouveau est là. Son corps monstrueux au squelette d’acier, aux muscles de fer, aux ressorts de cuivre, n’attend plus que la vie.

— Et il souffla sur la bouche de boue, et la forme inerte s’anima.

C’est bien cela, il suffit de souffler sur l’automate, de lui donner une âme, de l’arracher à l’inertie de la matière.

Nous y sommes presque.

Deux choses seulement m’échappent: le con-

Lovello s’était jeté avidement sur les papiers.

Il les déplia.

Une exclamation jaillit de sa poitrine. Triomphe ou désillusion? on n’aurait pu le dire.

Mais comme nous prenons le plus souvent nos désirs pour des réalités, Walton crut au triomphe et s’écria à son tour:

— Annette, Annette! Tu seras mienne!

(A suivre)

Jean BLAISE

* * * Mme Denise Loris, qui fut si remarquée dans L'Ironie du Sort, interprétera un des principaux rôles de la nouvelle production que vont commencer Monca et Kéroul.

Walton et Lovello devant leur œuvre.

NOTRE GRAND HOMME

L'abondance des productions européennes ne nous a cependant pas empêché d’entretenir nos lecteurs des grands films yankees, déjà programmés ou en préparation. Cependant, le hasard a voulu que nous semblions négliger quelque peu la gloire d’un grand ami des cinéphiles, le parfait gentleman Thomas Meighan.

11 nous est donné aujourd’hui de revenir sur le talent de cet excellent acteur, ainsi que sur celui du Nector des artistes américains, le populaire Théodore Roberts, dit « l’homme au cigare ».

Voici, égayée de quelques clairs clichés, une œuvrette délicieuse présentée par Adolph Zukor, et à laquelle Thomas Meighan a prêté les


gie? La guerre éclate. Espérant aller faire quelques bonnes parties de pêche sur le Rhin, Bentley prend congé de ses nombreux clients libérés ou encore sous les verrous.

Au front où il est capitaine et où il s’est distingué, il rencontre la délicieuse Catherine Fend (Loïs Wilson) infirmière dans une ambulance de première ligne. Catherine est la sœur de Harry Fend, puissant financier, propriétaire de tous les chemins de fer de la région de Wingfield, d’ailleurs politicien assez suspect. La guerre terminée, Catherine, revenue au pays, a déclaré à tous que la victoire avait été gagnée par Foch et le capitaine Bentley dont on attend l’arrivée prochaine. Bentley est accueilli avec un enthousiasme frénétique par toute la population, mais il fausse vite compagnie à ses admirateurs pour courir tremper du fil

ressources de son beau talent.

Le scénario qu'on va lire est de Georges Ad et Waldemar Young; la mise en scène de E.. Green. C’est un très bon film dans lequel celui qui personnifia l’admirable Crighton nous parait à nouveau, entouré d’autres excellents interprètes, partais lesquels il faut citer surtout l’original « homme au cigare », — Théodore Roberts.

Voici le thème qui se développe à l'écran:

Wingfield est une vieillotte et charmante petite ville aux mœurs très provinciales où tout se passe en famille. Daniel Bentley (Thomas Meighan) exerce à ses moments perdus la profession d’avocat, mais il est beaucoup plus absorbé par la passion de la pêche. Il n'a nulle ambition. Comment en avoir d’ailleurs dans un pays qufvit en léthar-


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déguster ses vins fins

dans la rivière, plaisir dont il fut privé pendant deux ans. Un jour qu’il cherchait des sauterelles dans le parc des Fend, il rencontra Catherine qui lui fit honte de s'occuper si médiocrement tandis qu'avec ses qualités manifestées jadis au front, il pouvait insuffler une vie nouvelle au pays et en ressusciter l'activité. Piqué au vif, et d’autant mieux que c’était par une exquise jeune fille. Bentley révolutionne sa ville natale qui devient bientôt une cité vivante et prospère. Poussé par la population à es présenter au Sénat, il entreprend sa campagne électorale. Mais il manque bientôt de fonds car il est pauvre, et n’a pour toute ressource que son honnêteté et sa foi, démocratique. C’est là que l’attendaient Harry Fend et ’sa bande de gros financiers qui voient d'un mauvais œil l’élection d’un homme qui travaillera pour le peuple. Il cherche à l'acheter. Bentley refuse... A la suite d'une série d’incidents qui offrent le plus poignant tableau des mœurs électorales, un coup de théâtre se produisit au cours d’une réunion contradictoire où semble devoir s’écrouler l'avenir de Bentley. Il confond ses adversaires, il est élu et finalement épouse l’exquise Catherine Fend, la sœur de son rival. Car il faut ajouter que, manœuvrant habilement contre son frère, Catherine, avec une diplomatie toute féminime, a été le meilleur artisan du succès de Bentley.

ENCORE UNE FUTURE ETOILE

Le célèbre comique Buster Keaton, alias « Malec », qui travaille actuellement pour la Metro-Goldwyri, reçoit journellement une nombreuse correspondance de ses admirateurs. L’autre jour, il reçut une lettre venant de Belfast dans laquelle une de ses admiratrices disait textuellement:

« Je suis servante dans un café et voudrais venir à Los Angeles faire du cinéma. Si vous pouvez m’envoyer l’argent pour le voyage, je me mettrais en route sitôt que je l’aurai reçu. 11 ne sera pas nécessaire qUe vous vous donniez la peine de venir m’attendre au débarcadère à New-York, car j’ai un cousin dans cette ville, qui certainement ne manquera pas de venir m’attendre. Je vous prie seulement de bien vouloir le chercher dans New-York; vous le trouverez certainement dans un des bistrots de la ville. Je vous remercie d’avance. »

TES YEUX ONT DES REFLETS SI DOUX ( Romance)

Je ne sais pas qui a écrit que les yeux étaient le / miroir de l’âme, mais il est un homme, célèbre dans la»v Nouveau-Monde, qui est fermement convaincu que la couleur des yeux suffit pour définir exactement un personnage.

Evidemment, c’est un Américain. Mieux, il est metteur en scène, et lors de la distribution des rôles de son nouveau flm, il a utilisé la formule suivante pour le choix de ses personnages:

Bleus foncés: affection intense et pureté d’âme.

Bleus clairs: cosntance, bonne humeur, bon caractère.

Bleus pâles; fourberie, égoïsme.

Gris et gris verts: tempérament impressionnable, im-’ pulsif, auquel il ne faut pas se fier.

Bruns clairs: manque de constance.

Bruns verdâtres: coquetterie, manque de sincérité.

Bruns rouges: affection, délicatesse, gentillesse.

Bruns foncés; affection intense, passion.

Noirs: grande ardeur en amour.

Couleur indéfinie: insouciance, égoïsme, tempérament froid.

Allons, Mesdames! allons. Messieurs! à vos miroirs!

Je viens de me regarder dans le mien. J’ai les yeux noirs... . (Hebdo-Film.) |

— Mlle Denise Legeay sera, avec l’auteur allemand Harry Piel, la principale interprète de VHomme sans nerfs que M. Bourgeois va tourner en France et en Allemagne.

— M. Tourjansky met en scène au studio de Billancourt Le prince charmant.

Les interprètes en sont Mme Nathalie Kovanko et MM. Jaque Catelain et Nicolos Koline.

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Il y a quelques jours, je l’aperçois dans la foule, et vite je me faufile jusqu’à lui. Il a compris: le redoutable « interview ». Avant de dire oui, il reste un instant me considérant et moi aussi je le regarde. Bertoni est dans toute la force de de l'âge. La taille est haute, les épaules larges, le front particulièrement intelligent. Deux choses spécialement frappent en lui: le regard perçant de ses grands yeux sombres, ce regard qui vous scrute, vous fouille pour ainsi dire jusqu’à l'âme, et la voix où de temps à autre, parmi les vibrations graves, apparait un léger accent méridional, juste assez pour mêler comme un peu de soleil d’Italie à notre vieille langue française, qu’il parle du reste impécablement.

Sans doute, le regard investigateur n’a découvert en moi, aucune intention mauvaise, car soudain il s’est fait très doux et nos mains se sont serrées. J’étais vainqueur.

Bertoni, ancien journaliste, attaché au grand quotidien « Italy », entreprit de grands voyages en Orient, dans les Balkans, en Grèce, etc.

Il fit du reportage pendant la guerre et fut appelé de cette façon à visiter et étudier plusieurs pays.

Par la suite, il se prit de passion pour le cinéma et s'y adonna tout entier.

Lors de la crise cinématographique italienne, il quitta son pays, ou il avait travaillé pour les grandes firmes Romaines, et se rendit en Prusse où il s’intéressa aux progrès techniques allemands, et leur façon de « tourner » et aussi à leurs conceptions commerciales. Il y arrivait précédé de sa réputation.

On lui confia la réalisation d’un film remarquable L’e Ravin de là Mort qu’il tourna notamment avec Albertini et Lia de

Francis Bertoni.


Pussi. Il passe alors en France où il est engagé comme metteur en scène par les G. P. C.

Il tourne pour cette compagnie Grand' Mète ce film, d'une histoire simple et vraie de l'épouse qui, entraînée pur le besoin de luxe, quitta le foyer conjugal et y est ramenée sans avoir vraiment failli, 'par la maladie d'un de ses deux enfants. Le père pardonne et bénit Grand' Mère qui a rendu l’épouse au foyer. Ce film contient des tableaux vraiment adorables de conception fine et sentimentale, tels celui où les deux enfants prient pour le retour de la mère absente; celui de la vieille Grand' Mère qui apprend à son fils le malheur qui le frappe dans le départ de sa Geneviève et surtout celui qui force Pierre à pardonner: les deux enfants endormis dans les bras de la maman revenue.

Ce film tourné avec Geneviève Félix (Geneviève), Berthe Jallabert (Mme Marlet) et Constant Remy (Pierre Marlet) lui valut un réel succès.

Il tourna encore Enfants de Paris, qui jusqu’ici, n’a pas été projeté en Belgique.

Un des buts du voyage de Françis Bertoni en Belgique est précisément la présentation de ce film au directeurs de cinéma.

Bien èonçue et bien réalisée, cette relation visuelle de l'amour de deux enfants de Paris qui, après mille et une vissicitudes, finissent par s’épouser.

Il ne nous est pas permis de passer sous silence les délicieux tableaux dont ce film est émaillé: Le réveil de Paris, la Butte Montmartre, l'atelier où Ginette travaille, et enfin le départ pour la Gare St-Lazare, le jour des Noces.

Ce film tourné avec Tramel (Martel) Lucien d’Alsace (André Garnier) et Mlle Madys (Ginette Vincent) offre une fraîcheur de mise en

Madys et Tramel dans une scène de /infants de Poris.

Jimmy O'Kelly, un artiste belge, dont nous entretiendrons prochainement nos lecteurs.

scène tout à fait charmante.

Ce qu'il y a de remarquable chez Bertoni, c'est qu'il ne s’en tient pas à un genre I Le Ravin de la Mort s’apparente au roman d'aventures, Grand'Mère à la comédie dramatique et Enfants de Paris, l’épisode à la fois sentimentale et réaliste.

Toujours, la mise en scène est impécable et bien appropriée au genre du film.

« On ne songe pas souvent au travail difficile qu’est celui, du met/ teur en scène me dtv M. Bertoni. Pour arriver à un résultat, le metteur en scène doit se donner avec passion à son art. Il faut qu’il incarne chacun des personnages afin d’arriver à faire passer en ses interprètes toutes les sensations, toutes les émotions de chacun d’eux » Bertoni est bien cet artiste-là, il possède à fond la science de la mise au point.

Il s’est donné tout particulièrement à l’étude de la lumière artificielle. Il a compris l’importance du problème et a mis à profit ses constatations.

Il connaît la mentalité des peuples et estime que la valeur des productions américaines est due surtout aux moyens de réalisation que pos-l sèdent les habitants du nouveau continent.

Les artistes français ont certainement plus de finesse, plus d’intel-lig'ënce et plus de sensibilité que les Américains, mais ces derniers disposent d’appareillages particulièrement perfectionnés. Ils travaillent avec 10,000 ampères alors que nous n’en employons que 3,000. Cependant tout fait prévoir que bientôt, sous ce rapport, Paris sera aussi bien installé que New-York et nous verrons s’affirmer alors l’incontestable supériorité du film français sur le film américain.

Le film allemand n’est guère dangereux quant à la question concurrence. Si certaines productions germaniques sont inté-

ressentes il restera toujours vrai que la mentalité allemande a quelque chose de spéciale, fausseté desentiment et manque de souplesse qui déplaît en général.

Francis Bertoni va tourner toujours pour les G. P. C. s'ept films, parmi lesquels en premier lieu Cœur dé Corsaire une oeuvre dont il est l’auteur.

Engagé jusqu’à la fin de l’année 1925 il produira certainement des choses magnifiques, tant il sait jusque dans les plus petits détails unir le Bien au Vrai et au Beau. Jean CAMERA.

Au Congrès de chirurgie

Opérateurs en chirurgie et opérateurs de cinéma étant bien fait pour s’entendre, du fait que leur métier respectif les oblige spuvent à dérouler des bandés plus ou moins tragiques, nos lecteurs ne seront point étonnnés d’apprendre qu’une grande séance cinématographique a été donnée l’autre our au Congrès de Chirurgie et qu elle y a obtenu un franc et légitime succès, encore que certaines « coupures « n’aient pas été faites avec toute la science chirurgicale qui convenait en pareille circonstance.

Par le programme ci-dessous, on remarquera, en revanche, que les films avaient été judicieusement choisis:

— Tout le long' du Bistouri, vue panoramique.

— Ambroise Paré dans T exercice de ses fonctions, historique.

— Une visite à Ja scierie mécanique, documentaire.

— Cœur ulcéré, comédie sentimentale en 2 épisodes.

— L'Homme coupé en morceaux, drame d’horreur et de sang, en plusieurs parties détachées, tiré d'une pièce du Granâ-Guignol.

— Chariot charcutier, comique, par l’inimitable

Charlie Chaplin. Le Canard Enchaîné.

Ben-Hur

Ce film est en voie d’achèvement, comme nous l'écrivions dernièrement. On le tourne à Rome, d’où notre compatriote Fernande Brodheoux nous tient au courant de la marche des travaux. Elle nous dit entr’autres, comment les vingt jeunes femmes engagées à Paris (et parmi laquelle nôtre correspondante est la seule Belge) collaborent à l'action:

« C'est notre principale partie à nous, « Françaises »; nous sommes des jeunes romaines qui dansent dans des jardins, à peine vêtues de quelques morceaux de crêpe de Chine et des guirlandes de fleurs. Nous faisons ainsi toutes les danses, tous les jeux, les amusements des temps anciens: cette dernière partie sera en couleurs.

» Nos danses sont dirigées par une très grande danseuse américaine Miss Mac-Lean qui fera une

photo exprès pour Ciné-Revue. J’y joindrai quelques photos du film et vous enverrai le tout avec divers renseignements.

»je l’aurais fait plutôt, seulement voilà un mois que tous les acteurs hommes et les metteurs en scène sont à Livourne. Toutes nos scènes de danses et de jeux seront tournées dans les environs de Naples dans des jardins, ensuite on continuera à tourner aux environs de Rome où la « Métro » a reconstruit « une ville orientale »: Jérusalem?

» Je dois dire que les journées que nous avons assées là en « Orient » ont été « tuantes »; à heures du matin, toute maquillée, habillée sous un soleil de plomb, marchant dans les rues de notre ville où se « reposant » sur nos terrasses, toujours sous le soleil d’Italie ainsi jusqu'à 6 heures du soir. Cette vie en plein air, toute la journée et tous les jours, a duré environ un mois. C’était fatiguant, mais très amusant, on finissait par croire réellement en l’an 1. (Il y a la naissancp du Christ dans le film).

» Nous, nous nous reposons maintemant, mais le metteur en scène Fred Niblo ne s’est pas encore reposé depuis le commencement du film, quel homme I quel énergie! »

La lumière et le bruit attirent les poissons

Une grande maison américaine vient de réaliser un film qui est appelé à avoir un grand retentissement. Un grand nombre de scènes du dit film ont été tournées au fond de la mer et sont en couleurs naturelles. On assiste dans ce film à la fabuleuse vie sous-marine.

La prise de vues n’a pas toujours été sans dangers pour les opérateurs. Ceux-ci, pour la circonstance, ont trayaillé blottis dans l’extrémité d'un tube qui, partant du bateau, s’enfonçait dans l’eau jusqu’à cent et quelques mètres.

Pendant la prise de vues les opérateurs ont pu se rendre compte que les poissons étaient attirés par la lumière électrique; de même, lorsque les opérateurs tapaient un petit coup sec contre les parois du tube, les poissons accouraient par miriades.

C’est pendant la réalisation de ce film que Jean Tolley, qui interprète le principal rôle féminin, découvrit au fond de la mer un vieux coffre contenant des doublons espagnols frappés il y a deux cents cinquante ans, et dont la valeur correspondait à environ 300,000 francs.

Ce film, dont le titre est The Uninvited Cuest (l’Hôte qui n’a pas été invité), sera présenté à Paris cet hiver ou au printemps au plus tard. Si nous croyons la presse américaine, il constitue, au point de vue dôcu-jnentaire, un des films les plus' intéressants qui aient été réalisés jusqu’à ce jour.

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Nouvelles et Anecdotes

# * * Jackie Coogan est arrivé à Cherbourg à bord du “ Lievathan On sait que la sympathique petite étoile de la Metro-Goldwyn doit aller en Grèce et en Syrie faire remise aux enfants nécessiteux des dons qui leur sont faits par le gouvernement américain. Jackie Coogan doit également rendre visite au Pape. Après un court séjour à Rome, Jackie viendra à Paris qu’il ne connait

pas et qu’il est impatient de visiter, Il rêve, parait-il de la Tour Eifel.

Plusieurs de ses films seront projetés à Paris, cet hiver. entre autres Long Live the King (Vive le Roi), Robinson Crusoe Jr. et Un gars des Flandres.

* * Le dernier film que Buster Keaton, 5%Calec a tourné pour la Metro Gol-dwyii est le film qui aura coûté le plus cher à réaliser, Plus d’un demi million de dollars ont été dépensés pour ce curieux film. On s’expliquera ce prix fabuleux lorsque l’on saura qu’une grande partie de l’action se déroule au fond de la mer.

Il a fallu pour prendre ces vues utiliser les derniers procédés scientifiques, cloches à plongeurs, projecteurs extrêmement puissants, scaphandres, sous-marins, etc. .

Un petit transatlantique fut même loué plusieurs mois, pour les besoins de la cause.

C’est Donald Criesp qui a mis en scène The tACaui~ gator d’après un scénario de Jean Havezet Clyde v Bruckman

* * * Laurette Taylor, qui interprète pour la Metro Goldwyn Une Nuit à Tome flont son mari, J. Hartley Manners, est l’auteur, rentrait l'autre soir du studio en

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déclarant à son époux que le docteur lui avait conseillé de partir dès la fin du film prendre un long repos à la campagne.

— Vous n’êtes, pourtant, ni màlade, ni trop fatiguée, chérie, objecta l’écrivain, inquiet de se voir condamner quelque temps à la solitude.

— Non, répondit Miss Taylor, c’est exact, mais je serai très fatiguée lorsque j’aurai terminée mes malles!... Logique!

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