Programma van 10 tot 14 mei 1925



Brochure

Bron: FelixArchief nr. 1968#798

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La Main qui a tué

La Comtesse de Chance vit, depuis son veuvage, retirée dans son château. Ses revenus sont en grande partie employés à assurer à son fils Jacques, qui vit à Paris, une existence en rapport avec le rang qu’il occupe dans la société.

Un aventurier de la finance, Claude Fau-vaître, apprend que des actions acquises autrefois par le Comte sont recherchées par un consortium financier, et il propose à Jacques de décider sa mère à lui vendre les titres à un prix minime. La Comtesse supposant quelque louche machination, refuse à entrer en pourparlers avec l’aventurier

Déconcerté par ce refus, Fauvaître décide d’agir en personne, .il va se livrer au plus odieux des chantages. Il fixe à la Comtesse un délai à l’expiration duquel elle devra, soit lui remettre les titres, soit voir Fauvaître, révéler à son fils Jacques le secret de sa naissance.

Alors la Comtesse fait à son fils la confession de sa faute, et il la plaint. Et lorsque Fauvaître se présente, il se trouve en face de Jacques, une dramatique explication a lieu qui dégénéré en lutte, Fauvaître est tué...

L’inspecteur Bréchet au cours de l’enquête flaire un drame. Quel en est l’auteur... La mère...? Le fils...? La maîtresse délaissée de Fauvaître...? Qui a tué...?

Nous voulons laisser la surprise au spectateur...

PROGRAMME du 10 au 14 MAI

2 PATHE - REVUE

Le Tournant dangereux

comédie dramatique

La main qui a tué

grand drame

Pendant la Pause

Récital pour Orgue

PROGRAMMA van 10 tot 14 MEI

PATHÉ - REVUE

Het gevaarlijke Keerpunt

dramatisch tooneelspel

De Hand die doodde

groot drama

Tijdens de Poos

Récitaal voor Orgel

Semaine prochaine

PROGRAMME SENSATIONNEL

ALICt LA KL dans

L’Ange du Foyer

Drame

VIOLA DANA

DANS

LA PETITE GARÇONNE

Comédie Vaudeville

De Hand die doodde

. Sedert zij weduwe is, leeft de Gravin de Chancé teruggetrokken in haar kasteel. Haar inkomsten worden voor het grootste deel gebruikt om aan haar zoon Jacques, die te Parijs leeft, een bestaan te verzekeren, in verhouding met den rang welke hij in de maatschappij bekleedt.

Een avonturier, Claude Fauvaître, verneemt dat een financiers-consortium de aan-deelen wenscht op te koopen eertijds door den Graaf aangekocht. Hij stelt Jacques voor zijn moeder te overreden hem die titels te verkoopen aan een zeer lagen prijs De Gravin vermoedt een valstrik en weigert met den avonturier in aanraking te komen.

Dan zal Fauvaître zélf optreden en stelt de Gravin voor het dilemna: ofwel zal zij hem, op een vastgesteld termijn, de aandee-len overhandigen; ofwel zal hij, Fauvaïtre, aan haar zoon Jacques het geheim zijner geboorte veropenbaren.

De Gravin legt alsdan aan haar zoon de bekentenis af van haar misstap en hij beklaagt ze.

En wanneer Fauvaître verschijnt, staat hij tegenóver Jacques. Een zeer gespannen uitlegging heeft plaats die snel ontaardt tot gevecht. — Fauvaître wordt gedood...

De inspecteur Bréchet die het onderzoek

leidt, heeft de overtuiging dat er zich een 0 drama heeft afgespeeld, zoowel naar binnen als naar buiten.

Wie is de dader...? De moeder...? Dé > zoon...

tre...? Wie heeft gedood...?

Het blijve een verrassing toeschouwer.

? De verlaten minnares van Fauvaï- 0

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Uliurùié

VE DEUTE NSOLA PHEGRI

jHu cours de l’examen des films interprétés par la grande vedette polonaise, nous serons amenés naturellement à comparer ses productions américaines des deux dernières années, avec les films auxquels elle collabora naguère en Russie, en Pologne et en jdllemagne. Les occasions ne nous manqueront donc pas de souligner le talent de cette grande actrice, dont la renommée est devenue mondiale, depuis quelle a quitté les studios de l’Eïurope Centrale, pour conquérir des lauriers chez ces Famous-Players de Messieurs Zukor et Lasky;. depuis que ses créations de Mon Homme, Flétrissure, Bella Dona. Justice de Tziganes, Vont sacrée Star, à l’égale des Swanson, des Ayres et des Murray.

Nous examinerons donc à loisir les faits saillants de la carrière de cette Etoile, lors de Vannonce d’un nouveau grand film dont elle sera la protagoniste.

Aujourd’hui, il nous a paru plus heureux de reproduire, pour les lecteurs de notre magazine, quelques pages écrites de la main meme de Miss Negri, dans lesquelles la belle Pola dit

te*u de fourrure Enfin Pol,

Tin TTfustrS'ticJ du haut en bas de cette page, on admirera Pola Negri dans quelques-uns de ses rôles les plus marquants.

D'abord, un instantané pris pendant une prise de vue, amusant anachronisme qui nousmontre à gauche les opérateurs en chandail et casquette, à droite belle artiste polonaise et son partenaire Antonio Moreno, interprétant une scène de La Danseuse Espagnole.

Puis, dans le médaillon, Pola esquissant un pas de valse, cambrant s '5. jp / le pied, et jetant sa jupe en éventail.

JiStf F Jf -., Une scène de jQelta Dona. dans

'T‘ un clair obscur très bien venu. Un

bon portrait de la vedette en man-casquèe de perles, maniant les bank-notes avec une désinvolture qui

depuis que de gros cachets la lient à la Paramount d’Amériqu


de moi, me laissant me débattre dans les vagues; je perdis connaissance, tandis que ma monture s’en retournait tout tranquillement vers la cote.

(Voir suite page '/O.)

avec esprit et à-propos. ce que furent les “ jalons de sa oie „. Le texte qui suivra n est donc autre qu'une traduction aussi fidèle que possible, sinon littérale, d’un papier „ rédige en anglais, et qui nous parvint par l'entremise du service photographique de la Paramount.

Ma vie est jalonnée par les “ dressing room „ et loges d’artistes dont j’ai pu disposer.

Lorsque je compare mon “ dressing room „ actuel des studios Paramount de Hollywood, et que je considère son confort et son aménagement si pratique, ma pensée se reporte vers certaines autres loges d’artistes, qu il me fallut parfois partager avec des compagnes, autrefois.

Récemment, alors que nous tournions East of Suez, sous la direction de Raoul Walsh, le scénario m’obligeait à me jeter dans la rivière, à travers les vitres de papier d’une cabine de bateau chinois.

Je fis le plongeon et l’eau était des plus froide; mais en moins de cinquante secondes, je me retrouvais dans mon cabinet de toilette, près d’un feu tiédissant délicieusement l’atmosphère, et ne ressentait plus que l’agréable réaction qui suit tout plongeon!

Cet incident me rappela les précautions ou plutôt le manque de précautions que je prenais, lorsqu’il me

fallait faire une plongée, lors d’une prise de vue en Europe.

Ma cabine au bord de la mer — c’était en hiver, et il faisait froid — avait été construite à la hâte à l’aide de planches d’emballage et de feuilles d’étain empruntées à des ballots de thé. Le cheval que je montais prit peur, et se débarrassa

Pour r.lorc la »cric de'photo* de Pola Negr. quelques-unes de ses attitudes dans le film Flétrissure quelle interpréta avec, grand talent, aux côtés de notre compatriote Charles An Rorhpfort

Ion, annonce le décès di

Le secotfd maître Louis Pascal (Gaston Modot) w. à son poste de ' manoeuvre.,

rDans le médaillon; Après 1 e départ de Jac-'ques, Mme de Serviac console Renée.

,/fu bas de la page: L'Amiral baron de Mon-barez, préfet maritime de Tou-M»c de Serviac.

son mari.

Un domestique a remis à Renée (S i m o n e Vau-dry) le billet par lequel Pierre de Mylos (Léonce Car y ne) lui demande un dernier rendez-vous

Au milieu: Sur la terrasse de sa villa. M "»r de Servi ac présente Pascal (Gaston Modot) à la fiancée de son Renée (Simone Vaudry).

exercices en rade vient de recevoir la bonne nouvelle par sans-fil, et dans sa joie il fait donner " le double „ à son équipage.

Pendant ce temps, au Cap Brun, dans la somptueuse villa du capitaine. Madame de Serviac accueille les nombreux amis accourus pour fêter le succès de Jacques, et le triomphateur de la journée reçoit les affectueux compliments de son parrain l'amiral baron de Monbarez, préfet maritime de Toulon, remplaçant aujourd’hui sort père.

Parmi les jeunes gens qui se pressent dans les salons de Mme de Serviac, on remarque un certain Pierre de Mylos, d’origine incertaine, de situation plus incertaine encore, qui, grâce à sa souplesse et à son entrain,' a

réussi néanmoins à se faire admettre dans le

Les Elus de la Mer, ce _>nt ces fils de vieille et noble race pour qui la carrière maritime constitue presque un sacerdoce et qui, irrésistiblement attirés par la mer, lui sacrifient tout, amitié, amour, famille....

A notre époque pratique et utilitaire, il, est encore des hommes pour lesquels la conquête rapide de la fortune est de peu d’importance, comparée à l'orgueil de servir pauvrement dans une arme qu’ils régardent comme la plus belle de toutes.

Et c’est en vertu de cette tradition que Jacques de Serviac, fils du capitaine de Serviac qui commande une escadrille de sous-marins de la Méditerranée, vient de passer brillamment les examens de l’Ecole Navale Supérieure M. de Servidc, dont le bateau effectue dés


après mille difficultés parvient à rejoindre la côte où il arrive a bout de forces; un pécheur l aide à se débarrasser du scaphandre et le marin se rend au plus proche téléphone pour demander du secours à la Préfecture maritime.

Les héros engloutis ont gardé tout leur calme: cependant le choc a été trop violent pour le capitaine de Serviac, qui succombe à une embolie avant que les travaux de renflouement aient commencé.

Avertie du malheur qui la frappe. Mmede Serviac, qui a déjà perdu un fils, officier de marine, quelques années auparavant, est prise d’une crise inquiétante et le docteur prévient son entourage qu’une nouvelle émotion lui

serait funeste. Dans son désarroi, elle exige de Jacques qu’il renonce à la mer: c’est le plus dur sacrifice qu’elle puisse lui imposer, mais le malheureux garçon finit par donner sa parole. Son parrain M. de Monbarez refuse d’ailleurs de recevoir la démission ( Jacques et lui accorde seulement un congé d’un an, pendant lequel le temps fera son œuvre et en permettant à Mme de Serviac de se ressaisir, la fera rendre à son fils une parole donnée par amour filial Désœuvré. Jacques traine avec ennui une vie désormais sans but: il passe la plus grande partie de son temps avec Pascal qui, démobilisé maintenant. s’est fait pêcheur, ou bien, accompagné de Renée Darley. fait de longues promenades en canot automobile.

Mme de Serviac songe à utiliser les

monde.Ce personnage énigmatique a jeté son dévolu sur Renée Darlay, fille d’un gros industriel qui, richement dotée, lui paraît être une proie facile.

Tandis que l’on s’amuse au Cap B ru n, le travail a repris à bord du sous-marin; le capitaine commande la manœuvre de plongée, et il est descendu à mètres déjà, lorsque le bateau touche une mine dérivante.

Sans perd re leur sang-froid, les courageux marins prennent toutes les dispositions d’usage, ferment les cloisons étanches et larguent la bouée de signalisation. Le bateau repose sur un fond de 50 mètres, à un mille de la côte, mais il faut un volontaire pour revêtir le scaphandre qui lui permettra de regagner à pied le rivage. Tous les hommes se proposent; xine mission dangereuse est pour eux un honneur. Le capitaine de Serviac désigne Louis Pascal, un second-maître qu’il connaît particulièrement et qui l’a suivi partout depuis son entrée dans la marine. Pascal part donc et

La mère, veuve du capitaine de frégate, supplie son fils de renoncer à la carrière maritime,

A droite: Jacques reçoit l’or dre d'embarquement.

Pierre de Mylos a entraîné Renée dans son cAnot automobile, qu’il met aussitôt en marche. Et le misérable, qui veut compromettre la jeune fille, engage avec elle une lutte sur l’embarcation, à quelques encablures du rivage, et sous les yeux de Pascal et de Jacques.

En Plongée: au centre, le capitaine de frégate de Sei;v;

relations amicales des deux jeunes gens pour retenir son fils près d’elle: ils se plaisent, elle les fiance

Renée aime Jacques, mais elle avait imprudemment flirté avec l’inquiétant Pierre de Mylos et celui-ci n’entend pas laisser échapper sa proie. Le soir même des fiançailles il obtient de Renée un dernier rendez-vous et, sous prétexte de lui rendre ses lettres, l’attire dans son canot automobile qu’il met aussitôt en marche.

Comprenant qu’elle a été attirée dans un guet-apens, la jeune fille appelle au secours, se débat et tente de diriger le canot vers la rive.

Pascal a surpris le conciliabule bizarre de Renée avec Pierre de Mylos et a couru avertir Jacques, Quand les deux hommes arrivent sur la côte, c’est pour apercevoir à quelques encablures du rivage la lutte qui se livre dans le canot. En se débattant contre le misérable. Renée est tombée à la mer: Pascal se jette à la nage, il la ramène saine et sauve et la remet à Jacques, qui l’emporte évanouie.

Ce drame a brisé l’énergie du jeune .homme, il vit enfermé dans sa chambre, refusant de voir personne, et Mme de Serviac, impuissante à le consojer, comprend qu’elle doit le laisser partir.

Jacques a refusé de revoir Renée, mais le jour des adieux il murmure en embrassant sa mère: “ Quand je serai parti, dis-lui qu'un jour, peut-être, je pardonnerai...

La mer a repris son enfant.

Il y a dans ce drame de très belles idées, de nobles sentiments dont MM. Roudès et Dumont, les metteurs en scène, ont tiré un excellent parti.

L’interprétation est bonne, et MM. Jean Dehelïy, dans le rôle de Jacques de Serviac, et Gaston Modot, dans celui de Pascal, ont fait d’excellentes créations. Toute la partie maritime a la valeur d’un beau documentaire: l’intérieur du sous-marin avec sa machinerie compliquée, ses rouages multiples, sera une révélation pour beaucoup de spectateurs (d’autant que toutes les scènes se passant à bord ont été tournées dans l’un de nos sous-marins), et cela seul suffirait pour assurer aux Elus de la Mer un grand et légitime succès.

L. ALEXANDRE.

La petite famille de Mr Miatouflet, au bain! Cette jolie scène est empruntée au film Milord U Arsouillé, dont il sera parlé dans le prochain " Ciné-Revue

On dit, on assure, on prétend, que...

* * * Dans Le Tourbillon des ylmes, cette merveilleuse production de Cecil B. de Mille, ce n’est pas sans peine que l’on parvint à filmer le combat de Rod La Rocque avec le requin. Au cours de la prise de vues, en effet, Rod La Rocque faillit être victime du squale et bien peu s’en fallut que celui-ci ne lui broyât, dans sa terrible mâchoire, l’avant-bras droit.

Rod La Rocque s’en tira avec la peur et cela nous vaut à l’écran une scène de réalisme impressionnant *** Mary Piekford abandonne maintenant le costume du drame imposant et les escarpins lamés des contes de fées. Elle reprend le rôle de la fillette mutine aux cheveux d’or, qui l’a tant fait aimer des fervents du cinéma.

Son nouveau film, intitulé: Little jdnnie Rooney, est l’histoire d’une famille américaine descendant d’Irlandais. La principale personne de cette famille (Mary) est une effrontée petite vendeuse d’un bazar populaire. C’est dans des rôles de ce genre que Mary a acquis sa célébrité. William Beaudine en sera le metteur en scène.

* * * Dans “ le Dernier Voyage du Nancy “ B „ le film Paramount qui passe cette semaine sur les principaux écrans parisiens, certaines prises de vues en mer furent réalisées au prix des plus grandes difficultés. Pendant une scène de tempête que Ralph Ince avait 'à tourner, Thomas Meighan fut emporté par un paquet de mer et c'est au prix de courageux efforts qu'on parvint enfin à porter secours au sympathique artiste.

* * * Pola Negri, la délicieuse artiste de “ Paramount,,, est actuellement de passage à Paris. Après un court séjour dans la capitale, elle ira en Pologne où elle séjournera quelques semaines avant de s’embarquer à nouveau pour les Etats-Unis.

* * * Le plus délicieux roman qui ait jamais été vécu à Hollywood est celui de Betty Bronson,, la gracieuse “ Peter Pan „ déjà célèbre, et de Douglas Fairbanks Jr.

le fils du grand Douglas.

Betty a 1 7 ans. Le jeune Douglas est à peu près du même âge et ils forment tous deux un couple charmant. Ces deux enfants s’adorent et ne se quittent pas, surveillés par les yeux attentifs de Mme Bronson et de Mme Fairbanks!

Civilisation et barbarie.

Betty Compson, en négligé ultra-moderne, »'est plue à se faire photographier au milieu d'un groupe d'indiens Peaux-Rouges, collaborant au film Peter Pan, en préparation, N’est-c.r pas que c’est là un très amusant anachronisme?


Sur l’Écran défilent les Modes

Un film de la Paramount, annoncé depuis peu mais qui ne verra probablement pas l'écran en Europe avant quelques mois, nous permet de venir sur cettfe question de la mode à l’écran, une de* plus intéressantes de celles qui passionnent les cinéphiles féminins et même masculins.

Mais avant de traiter ce sujet — d ’ ailleurs par l’entremise de quel-q u e s -unes des plus élégantes vedettes de chez nous - il sied que nous donnions quelques détails concernant ce “ Dressmaker from Paris „ auquel sont empruntés les clichés ci-dessus. Ce Couturier de Paris — ce sera sans doute le titre français du film — a pour protagoniste Leatrice Joy, la toute charmante et très coquette étoile californienne; le thème de l’action est emprunté à Adelaide Heilbron et Howard Hawks; la réalisation fut faite par le célèbre director Paul Bern. L’interprétation est assurée par Leatrice Joy, Ernest Torrence et les quatorze délicieuses “ girls „ que l’on voit ici, nous gratifier de leurs plus charmants sourires.

Disons enfin- que le metteur en scène et ses collaborateurs ont tout mis en œuvre pour présenter, et une œuvre captivante au point de vue action, interprétation et décors; et une œuvre de choix au point de vue toilettes des artistes. Et promettant de revenir de façon détaillée sur l’intrigue même, voyons comment quelques-unes d nos plus grandes actrices de la scène et du studio, entendent que soit résolue cette question délicate de la mode à 1 écran.

Voici d abord comment s'exprime à ce sujet Madame Yvette Andreyor

La mode est trop versatile pour pouvoir s adapter aux nécessités du cinéma, et il semble que le? rêve serait de créer une mode immuable; malheureusement, son absence de fantaisie la condamne avant même d’y songer. Est-ce à dire qu'il n’y ait pas de solution au problème et que nous soyons obligées de paraître, filmées, sous la forme d’une mode à

' «iris cja: prêtent leu The Dressmakci

concours au filu from Paris.

jamais éteinte et oubliée? Voici, à mon avis, la vraie solution: que les couturiers nous habillent, non pas avec la silhouette de l’époque où l’on tourne, mais avec celle qui sera de mode au moment où le film sera présenté sur les écrans.

„ 11 faut habiller le personnage interprété suivant sa situation sociale, son caractère et 1 ’ état d’esprit du moment.

Cha q ue tissu donnant

un brillant différent à l’écran, je choisirai, pour une femme du peuple, une robe noire, de coton ou de laine, qui donne un ton sec en photographie; pour la femme du monde, une étoffe noire, soyeuse, sera toujours la toilette distinguée, aux reflets chatoyants „ Pour les gris soutenus. les étoffes rouges ou violettes, soyeuses; pour les gris clairs, le rose, le bleu pâle, le jaune. „ Si j’interprète une jeune fille gaie, robe de mousseline ou de tulle de couleur tendre. Mais si cette jeune fille, quoique en été, dans un jardin, vit un moment de tristesse, je m’habille d’organdi qui. tout i n conservant la luminosité réclamée par le cadre, est moins froufroutant et accompagne mieux la psychologie du rôle.

„ Hélas, malgré toutes nos bonnes intentions, nous sommes nous-mêmes souvent déçues: telle robe, combinée pour obtenir un effet est un désastre à la vision; le décor l’étouffe; il y a un manque d’équil’-we entre le fond et la silhouette. L’écueil cependant est facile à surmonter: il suffirait que les metteurs en scène ne nous laissent plus dans l’ignorance de leurs conceptions décoratives. Qu’ils daignent nous faire connaître le style de l’ensemble où nous évoluerons; nous pourrons alors choisir des robes qui, par leurs formes, leurs coloris, s’adapteront aux tonalités du cadre, et ne laisseront plus voir aucune imperfection. „

<1«‘ Paul Hem Mm** Alice Bernard, interrogée sur le même sujet, est d’avis qu’une collaboration étroite


10 doit exister entre l’interprète féminin et le metteur en scène, ceci pour éviter toute faute de goût, voire toute faute d’ambiance.

Et pour ce qui est de la forme des toilettes en général: “ rien de style

stylisé, ajoute la gracieuse artiste, des lignes, des lignes et des lignes. Pas de fantaisies enveloppantes, pas d'étoffes, pas de tulle qui alourdit la silhouetté, mais plutôt des lamés, des tissus or ou argent qui ressortent sur les fonds gris; des fourrures, de grandes capes avec lesquelles on obtient toujours des effets sûrs. Peu de garnitures, des dessins nets, marquants.

La couleur n’est pas un écueil; par principe, rien de neutre; je cherche des effets de noir et blanc; quand je sais qu’à telle teinte correspond tel gris, le problème est résolu. „

Quant à M. Jacques Worth, toujours il se déclare l’adversaire du cinéma. “ qui ne respecte rien, pas plus la mode en elle-même, que la couleur, le tissu et le relief

Il y aurait fort à. répondre à ces critiques. Laissons cependant la parole au grand “ dressmaker from Paris „; — nos lecteurs se chargeront bien de faire la part de l’exagération dans cette diatribe:

Une robe présentée à la main, dit d’abord avec raison M. Worth, n’est pas jolie; sur le mannequin de

bois, elle est laide; elle ne prend toute sa valeur que sur le mannequin vivant et sur la personne qui la fait valoir; et cependant cette robe a pour elle, forme, tissu, teintes et garnitures.

„ Au cinéma, la forme? N’en parlons plus.

„ Le tissu? On brode des voiles de semis de diamants, et les deux pans d’une robe, ainsi brodés, pèsent un kilog! A l’écYan cette broderie de diamants donne bien un effet, mais qu’est cela à côté du réelsi riche, et où l’on sent le travail des doigts de fée qui l’ont composé?

„ La couleur? Elle est une psychologie pour la ville, elle est grise et sans reflet à l’écran!

„ La garniture? Que deviennent les effets de transparents de différents tons sur les tuniques?

Donnez-nous le cinéma en couleurs naturelles, et vous n’aurez pas de plus fervents admirateurs que nous „ .

Notre grand couturier parisien a eu l’occasion, ces années dernières, d’admirer maints films en couleurs: est-il donc devenu un des plus fervents admirateurs du ciné? Nous lé voulons espérer, mais osons le prier pourtant déconsidérer que déjà par les résultats obtenus avec les “ blancs et noirs „ du film ordinaire, ou avec les jolis tons des films teintés, il émane bien certainement de la vie et de la beauté des toilettes portées par les plus jolies actrices d’écran. Votre avis, lecteur? M.

Agnès Ayres souffrante?

La jolie vedette de Paramount serait donc malade, s'il fallait n’en croire que ses yeux, puisque nous la voyons ici pâle et languissante, reposant sur sa chaise longue, à bord d'un yacht. Rassurez-vous. Notre photo fut prise entre deux scènes de L'Amour de Demain, un film que prépare Paul Bern, et dont d'ores et déjà on dit le plus grand bien. A sa droite, son partenaire Raymond Hatton.

Notre Vedette: POLA NEGRI

(Suite de la page 4)

Je fus sauvée par un paysan; car aucun de ceux qui composaient notre petite troupe ne savait nager! On me transporta à cinq milles de là, dans un hôpital, où je renaquis à la vie. après douze heures d’inconscience. Nous recommençâmes la scène quelques jours plus tard, mais cette fois le cheval qui portait Pola et sa fortune, avait été familiarisé avec l’élément liquide.

Mon véritablement premier “ dressing room „, j’en pus disposer à Leningrad, appelé plus tard Petrograd, et qui fut un jour que cela date déjà! — Sl-Pétersbourg.

Je ne sais si ma position d’artiste débutante me permettait d’appeler le petit coin dont je disposais pour ma toilette, du nom pompeux de “ dressing room

Ma loge suivante — qui, celle-là. méritait déjà le nom de “ dressing room „,car depuis elle eut l’honneur d'assister aux essayages et habillages de très célèbres artistes — fut mise à ma disposition au théâtre de Varsovie. C’est là que je fis vraiment mes’débuts d actrice en septembre 1912* Ma charr bre se trouvait à cinquante pieds au dessus de la scène; on y accédait par un es/ lier étroit en colimaçon. De temps en temps, des hoW-mes. chargés de contrôler le travail des cordes des rideaux ou des accessoires, venaient en occuper les platesformes branlantes. A une certaine place, la rampe était complètement absente, et en montant les degrés, j’avais toujours peur d'avoir le vertige et d’être précipitée d’une telle hauteur sur la scène!

La chambre était carrée. Les murs étaient de brique nue, sans la moindre fenêtre. Un seul bec de gaz éclairait ce réduit, toujours tiède cependant, à cause dès bouffées de chaleur montant de la salle de spectacle.

Lorsque je quittai Varsovie, ce fut pour faire la connaissance de nombre d’autres “ dressing wroms „, les uns grands et confortables, les autres exigus, froids et fort mal arrangés.

Le plus bizarre cabinet de toilette qu'il me fut donné d’employer, fut celui qu’on me prêta pendant les prises de vues de Lubbitch, dans les montagnes de Bavière: il consistait en une simple tente de toile, dressée au flanc d'un coteau. L’hiver couvrait la terre d’un épais manteau de fieige, l’air était sec, mais glacé. Toute la troupe vivait sous des tentes, mais j’étais la seule à posséder un poêle, appréciable avantage! De ce fait, mon “ gourbi,. était toujours rempli d’amis qui me venaient tenir compagnie, — et par la même occasion, réchauffaient leurs membres raidis par le froid! Pola NEGR1

Notre Petit Feuilleton

LE STIGMATE

d’après le film réalisé par Louis FEU1LLADE et Maurice ÇHAMPREUX

yne de* «cènes les plus an-tfoi»*ante« du film de feu

— C est le châtiment, disait-elle à son ancien ami. Dieu me punit du mal que je t’ai fait et que je veux réparer avant de mourir.

Monbrun protestait:

— Tu n’en es pas là, ma pauvre Irène. Nous te sauverons.

— Il y a quelque chose de brisé là. répondait-elle en montrant sa poitrine, je le sens, je n’en reviendrai pas. Ecoute, fais-moi apporter de l’encre et du papier.

D’une main mal assurée, la blessée eut encore la force d écrire l’aveu du vol autrefois commis par elle et pour lequel Monbrun avait été condamné.

Puis elle expira.

Quelques heures après. Manon accourait auprès de Lewis Johnson.

— Vous avez été bon pour moi, lui dit-elle, je veux vous sauver.

Et de quoi donc, ma bonne Manon?

Du bagne, répondit la jeune femme. L’inspecteur Coursan vient de recevoir l’ordre — que j’ai vu — de s’assurer si Lewis Johnson porte bien à. la main droite une cicatrice et. dans l’affirmative, il doit l’arrêter. Coursan est un brave homme. C’est à dessein, j’en suis sûre, qu il a laissé traîner sur sa table la note de service, qui fait allusion à une dénonciation anonyme. Il a voulu que je vous avertisse et que vous vous sauviez.

Vous avez raison, sans doute, reprit Lewis Johnson. Certes, j’ai maintenant un document scellé par la mort et qui prouve mon innocence. Je pourrais sans crainte me laisser arrêter. Pour Geneviève et pour Madame Delestang, il vaut mieux éviter le scandale. Je passerai la frontière. Tenez, portez ce rnoî à Madame

LA MAIN QUI ACCUSE

De quel côté dirigerait-on les recherches pour retrouver la fillette?

Coursan' consulté offrit ses services.

Quelques jours auparavant, projeté par deux bandits dans un précipice, il était resté accroché à un arbre et n’avait été sauvé que grâce à l’intervention de Monbrun. Or celui-ci portait à la main droite un stigmate. une large cicatrice qui l’avait fait reconnaître à l’inspecteur pour l’ancien forçat évadé. Coursan devait la vie à Monbrun: il lui était tout dévoué.

— Geneviève n’aura pas manqué de retourner au hameau, songea-t-il. C’est là que nous la retrouverons.

idée était bonne.

Irène, connaissant la fugue de l’enfant, avait eu malheureusement la même idée et les avait précédés à la ferme. Les deux hommes rencontrèrent l’auto de la jeune femme emportant sa proie. Ils lui firent signe de s’arrêter. On entendit le bruit de l’accélérateur et la voiture prit son élan. Elle allait échapper si Coursan n’avait, d’un coup de revolver, crevé un pneu d’arrière: 1 auto fit un formidable téte-à queue et les deux voyageuses furent précipitées dans le ravin où Coursan avait lui-même cru trouver la mort.

On devine le désespoir du père.

11 s’accusait d’être le meurtrier de son enfant, quand on rapporta les deux victimes. Geneviève, heureusement sauve, s'en tirait avec quelques égratignures Irène; blessée sans doute mortellement, fut transportée dans une clinique Monbrun resta pendant quelques jours à son chevet, s’ingéniant à lui adoucir les souffrances physiques et morales de ses derniers moments.

Rencontre inattendue chez M. Lacomble.


Delestang pour qu’elle me rejoigne avec Geneviève en Italie. Et je ne vous oublierai pas. ina bonne Manon.

Il avait résolu de franchir à pied la frontière.

Or, en longeant la voie du chemin de fer, il vit dans l’ombre les deux bandits Girard et Mordier entrain de placer sur le rail un pétard de dynamite à l’effet de faire dérailler le rapide qui devait porter des caisses d’or anglais.

Laisserait-il accomplir ce forfait?

D’une part, sa liberté était en jeu. Que Coursan survienne, l’inspecteur de police, homme de devoir, arrêterait l’homme au stig mate.

D’autre part que deviendraient les malheureux voyageurs dans la catastrophe du rapide? Que de viesd’hommes, de femmes, d enfants, peut-être, seraient sacrifiées!

Un coup de feu venait d’abattre Girard.

Courséin luttait c.orps-à-corps avec Nordier.

Monbrun n'hésita plus.

On entendait le sourd grondement du rapide.

Monbrun s’élança pour arracher l’engin criminel.

La locomotive le touchait presque. Un cri. L’homme était rejeté sur le talus, la main sanglante.

Les voyageurs étaient saufs. — Monbrun avait la main broyée.

Rien ne pouvait plus désormais identifier l’ancien forçat.

VERS LE BONHEUR

Quelques jours après. Deux tableaux idylli -ques.

L’un, en pleine mer: Lewis Johnson, le bras en écharpe, appuyé sur le bastinguage du paquebot qui l’emmène en Amérique. regarde d'un œil attendri fuir au loin la côte. A ses côtés Geneviève, sa fillette. Mme Delestang, sa fiancée, mêlent leurs rêves au sien. Une brise parfumée flotte sur la Méditerranée Pas un nuage dans le ciel bleu.

L’autre, dans les allées de la villa Cabbé-Roque-brune: Coursan et Manon, bras-dessus bras-dessous, se promènent. Ils viennent d’échanger leurs premiers mots d’amour. Ils rêvent des jours qui viendront. Jean BLAISE.

La petite Geneviève (rôle interprété par l'amusante et espiègle Bouboule) placée en pension chez des campagnards, s’y exerce au maniement du pinceau, et retouche le trop placide faciès des bêtes domestiques.

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CONCOURS DE MOTS CROISÉS

POUR LA JEUrVES§E

Chocolat “Cida-Falstaff,,

MOTS VERTICAUX

1 Pronom personnel signifiant moi.

'2. Conjonction.

3. Adjectif possessif féminin.

4. Qui possède beaucoup.

7. Fruit du dattier.

8. Pronom personnel 3e personne.

9. Terminaison fréquente de mots latins 10. Note de musique.

12. L'animal qui

fournit le lard.

13. Plante d’Algérie

dont, on fait du papier, des tapis, etc.

16. Interjection servant à appeler.

17. Article contracté.

18. Matière gluante

qui sert à fixer deux objets ensemble.

20. Un synonyme de désir.

22. Pièce de feu d’artifice.

23. Né des riièmes

parents.

27. Instruments pour

attaquer ou défendre.

28. Instrument poui

mesurer la taille de Quelqu'un.

29. Chemin bordé de

maisons.

31. Ce que vous direz

quand vous aurez terminé ce Cross-Word.

32. Ce qui sert à conduire le cheval.

33. Commune du

Limbourg.

40. Adjectif possessifféminin.

41. Note de musique.

114

MOTS HORIZONTAUX

1. Unité de mesure de longueur.

5- Article masculin.

6. Sensation produite sur l’odorat.

11. Grosse pièce de bois soutenant un plancher.

14. Partie courbée d’un vase par laquelle on le pend.

15- Pâte dure faite de cacao et de sucre.

18. Conducteur d’une voiture.

Forêt exploitée ou arbre de grande dimension.

21. Un chocolat universel lement connu.

22. Un des mots de la marque “ Cida-Falstaff ...

24. Soie, fil, toile non lavés.

25. Qui n’est pas beaucoup ré-pandu.

26. La 3e personne d’un temps du verbe surpasser

27. Foyer de la cheminée.

30. Vêtement de femme.

34. En gé néra 1 les voitures en ont quatre.

35. Pronom personnel masculin.

36. Rivière de France."

37. Partie intérieure du pain.

38. On le passe souvent dans l’aiguille.

39. 2e personne de l'indicatif présent du verbe être.

40. Plus que bon.

42. Préposition.

43. 3e personne du singulier du fu-t u r du verbe être.

44. Lieu de délices signifiant paradis terrestre.

CONDITIONS:

1. — Certains des mots horizontaux forment une phrase se rapportant au chocolat « Cida-Falstaff ». Cette phrase est indépendante de la deuxième question.

2, — Exprimez en une phrase de 12 mots maximum la sensation que vous éprouvez en goûtant

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3 me PRIX: Une petite machine à coudre Singer, valeur » 80.—

GIne à 2(.me PRIX: Des cadeaux d’une valeur de . . . » 25 .— chacun

En dehors de ces prix, une prime sera accordée à tous les participants indistinctement.

Les réponses, pour être valables, devront être accompagnées des " Globes „ à découper des emballages de deux grands paquets Falstaff ou de 20 petits “ globes „ à découper de l’emballage des bâtons, et envoyées, avant le 1er juillet, à: Chocolaterie Cida, Bois d’Haine (Hainaut) avec mention "Concours B

Les prix seront alloués dans leur ordre de mérite aux solutions accompagnées des phrases les meilleures, les plus expressives, les mieux tournées ou les plus originales. La décision du jury, qui sera formé par l'Usine sera souveraine et sans recours.

Les prix seront exposés dans la vitrine du Dépôt des Primes de la Chocolaterie "Cida,,, 8, Rue .Ste-Gudule, à Bruxelles. Les lauréats seront avisés directement et leurs noms affichés au dit Dépôt.

ATTENTION • Exigez bien de votre fournisseur le paquet ou le bâton de chocolat FALSTAFF, Ml I Cil I IUI1 dont seuls les globes donnent droit a participation *au Concours. Ce nom ' FALSTAFF „ se trouve sur les emballages.

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