Programma van 25 tot 29 mei 1924



Brochure

Bron: FelixArchief nr. 1968#662

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Notre vedette: ANDRE NOX

bonne part de cette imagination vive, de cette intelligence cfladre qui l'avarient déjà' fait remarquer quand il 'fonda avec quelques amis la troupe théâtrale privée «Le .Masque», Nox s’est attaché â remplir ses rôles au studio, en toute conscience.

Nous connaissons de lui une quinzaine de productions; «Chacals!», «Vertige», «Plus loin que l’Amour », « Johannes », «Fils de Jolhannès», «Ames d’Orient», «'Lie Penseur», «Une Brute», «La Montée vers l’Acropole», « L’Ami de la Montagne », « Le Sens de la Moirt », « La Mort du Soleil », « Le Crime de Lord Arthur Saville », «Le 15e Prélude de Chopin ». N’était que plusieurs de ces films ont, depuis des années ou des mois, paru à nos écrans, nous ainqerdons en dégager le rôle

Un Français, un Parisien, tôt attiré vers la scène, où malgré le veto des siens ii conquiert une place marquante. Obligé de dire adieu à ses rêves, pour entrer dans la finance, notre héros y serait peut-être encore, si 1 interruption forcée des mois de guerre ne lui avait révélé sa vraie voie., C’est en 1917, en effet, lors de sa démobilisation, que André Nox fit sa première apparition au studio.,Et depuis ces six dernières années, mettant bouchées doubles, se rémémor&nt sa mimique de • théâtre, la corrigeant et la perfectionnant pour les nécessités nouvelles, Nox participe à de nombreux films qui feront de lui un des Stars les plus goûtés de l’écran français, Neveu du grand romancier Porto-Ricbe, ascendance à laquelle il doit sans doute une


PETITES NOUVELLES

4 de Nox, qui excelle à interpréter les types allurés, les caractère compliqués, dont il fait d’originale silhouettes. C’est peut-être dans « Le Crime d’Arthur Saville » qu’il consacre le mieux sa manière, digne en certains côté d'Hayakawa ou de Hort. Ne considère-t-il pas comme eux, que « le yeux sont le reflet de la pensée; eux seuls doivent, faire connaître les états d’âme à l’écran».

Lui-même nous a dit préférer parmi ses créations, celle du «Penseur» et celle du

* * * A Dublin, les lois sur les cabines de projections sont des plus sévères. Un inspecteur ayant vu trois.films .sur la table de l’opérateur alors que celui-ci s’était absenté un moment, sans prendre soin de les remettre dans les boîtes en fer, a fait un rapport contre le directeur du grand cinéma, Muswell Hill, et celui-ci a été condamné à £ 5 d’amende avec frais.

« Sens de la Mort »: il est vrai quie Nox joue dans ces deux remarquables productions avec toute son âme. C’est, bien l’artiste amoureux de son métier, qui le considère comme le plus beau. et. à bon droit, comme le plus complet des arts, qui croit à l’avenir de l’image animée et voudrait être des jeunes qui verront des choses étonnantes à l’écran.

Tandis que d’aucuns perfectionnent la technique, stylisent le décor, donnant à une œuvre cinéigraphdque l’ambiance exacte et la vérité des détail de mise en scène, Nox est de ceux qui montrent aux interprètes de demain la vraie voie à .suivre: sentir, penser, vivre ses rôles. iMiARNIX.

„ * t Frank Mayo, l’acteur de la Goldwyn Cosmopolitan, avait été récemment victime d’un vol assez important.

Son bungalow de Hollywood avait été dévalisé de fond en comble, mais ce que l’artiste regrettait le plus c’était la disparition d’un magnifique pantalon de flanelle blanche, dernière création de son tailleur, qu’il devait porter dans un de ses derniers films.

C’est grâce à ce pantalon que le voleur a pû être retrouvé. C’était un figurant hawaïen nommé Kana-hilikia, qui commit l’imprudence de se pavaner un dimanche, porteur de ce vêtement dans une rue où la malchance voulut qu’il rencontra Frank Mayo

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Un obstacle pouvait arrêter la merveilleuse ascension de Catherine, c’était Alexis, le Tsarevitch, que le vieux parti russe considérait, à l’insu du prince lui-même, comme le futur sauveur de la Russie.

On a fait d’Alexis le chef d’une conspiration qui aurait groupé tous les mécontents. Il serait bien difficile de dégager la vérité historique de toutes les légendes qui croissaient si nombreuses en ce temps là sur la terre russe.

Mécontent d’Alexis, trop chétif pour l’apprentissage de la guerre, désireux pourtant d’en faire un héritier convenable, Pierre avait envoyé son fils en Allemagne, pour lui donner le goût de la civilisation occidentale et par un mariage avec la princesse Charlotte de Wolfenbüttel, sœur de l’impératrice d’Autriche, changer la direction de ses idées rétrogrades.

Les débuts du mariage avaient été heureux.

Ame doute et rêveuse, Charlotte ne demandait qu’à aimer; mais elle connut bientôt et les vices de son mari qui se livrait à la boisson et l’abandon pour une paysanne, la fameuse Euphrosine, et la gêne d’argent. Elle mourut en couche, le 22 octobre 1715, brisée par le chagrin, admirable de résignation dans ses derniers moments.

Alexis se retrouve seul, aux prises avec la dure volonté paternelle.

Que veut Pierre, en ce moment?

Catherine vient d’accoucher d’un fils.

Veut-il, comme l’ont prétendu ses apologistes, sauver son œuvre de régénération et de progrès la garantir contre la menace d’un héritier incapable et indigne? Ce serait la raison d’Etat. Veut-il plutôt, imposer en despote sa volonté? Ou encore est-il poussé par Catherine qui voudrait réserver la succession du trône à son propre fils?

Il a écrit à Alexis: « Ou tu t’amenderas et tu feras en sorte de te rendre utile à l’Etat, ou tu seras déshérité et tu finiras tes jours dans un cloître ». En même temps, il faisait préparer à l’abbaye de Tver une cellule qui avait toute l’apparence d’une prison.

Alexis, averti par ses amis, s’enfuit avec sa maîtresse Euphrosine, déguisée en page. Il va en Autriche, demander asile à son beau-frère l’empereur Charles-VI. Celui-ci le cache d’abord dans un vieux donjon de la vallée du Lech, puis à Naples, qui venait d’être cédée à la maison impériale par le traité d’Utrecht.

11 y vit quelque temps en compagnie d’Euphro-sine.

Mais le Tsar a ordonné à ses agents de réclamer le Tsarevitch. Et telle est la crainte inspirée par Pierre que l’on facilite leur tâche aux envoyés du souverain moscovite. Ils vont à Naples. Ils font le siège du pauvre Alexis. On lui montre une lettre de son père, menaçante et clémente à la fois, lui

promettant le pardon de toutes ses fautes en échange d’une prompte soumission. Sinon le Tsar déclare la guerre à l’empereur et reprendra son fils de vive force.

Alexis hésite.

On lu! glisse dans l’oreille un avis confidentiel: l’empereur « résolu de l’abandonner.

, Alexis prend peur.

Euphrosine elle-même, set maîtresse gagnée par les promesses et par l’argent de Moscou, conseille

Catherine, vivandière.

à son amant de s’en remettre à la bonté de Pierre.

Alexis est réduit à merci.

Il obéira. Il se laissera emmener à Moscou à deux conditions: on le laissera vivre tranquillement dans ses terres et on lui permettra d’épouser Eu-phro ne. Les agents de Pierre promettent son côns ntement à ces deux conditions et Alexis se laiss: amener.

Le malheureux ne se doutait pas du sort qui l’atte dait.

Le 3 février 1718, Alexis parait en accusé devant une assemblée du haut clergé et de dignitaires laïcs. Pierre.s’emporte, l’accable d’injures et de reproches. Le Tsarevitch tombe à genoux, implorant avec des larmes le pardon de ses fautes, balbutiant des excuses. "Certes il sera pardonné, mais il devra renoncer solennellement à la couronne et dénoncer

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6 tous ceux qui lui ont conseillé sa fuite criminelle. Car Pierre, sous l'inspiration probable de Catherine, croit à une vaste conjuration ourdie contre lui et contre elle. U veut donc connaître les noms des soi-disant conjurés. Et dans une salle basse du Kremlin, Alexis, effaré, épouvanté par son père, sous la menace de la torture livre tous les noms que l’on veut, les noms de ses amis qui peuvent l’avoir encouragé ou simplement lui avoir manifesté quelque sympathie.

Tous seront arrêtés, emprisonnés, soumis au knout et à la torture.

Le 15 avril, Euphrosine arrive à Pétersbourg et sa présence est l’occasion d'une nouvelle enquête.

Aussi bien Pierre voit rouge en ce moment. Vingt-six femmes et combien d’hommes ont gémi sous la morsure des fouets, ont étalé leurs chairs pantelantes au dessus des rouges brasiers. Tous les serviteurs d’Alexis ont été knoutés, torturés, envoyés en Sibérie. C’est une orgie de tortures et de sang où Pierre, le sombre et violent dominateur, perd conscience du juste et de l'injuste. Il veut la mort du tsarévitch. Le tribunal la lui accorde le 24 juin.

Comment Alexis est-il mort?

Encore ici de rouges légendes se sont accréditées autour du cadavre. Les unes prétendent aue le tsarewitch eut la tête coupée, qu une fille de Narva

Mort de Pierre le Grand

Elle raconte les moindres paroles de son amant. On les tourne en accusations capitales.

Le procès reprend.

Il faut à tout prix découvrir qu'Alexis a entretenu des relations coupables avec les partisans de l’ancien régime.

Le 19 juin, le Tsarevitch est appliqué pour la remière fois à la torture: vingt-cinq coups de nout et un aveu nouveau: * Alexis a souhaité la mort de son père »

Le malheureux perd pied dans le gouffre du procès. Cependant il n’a qu’un souci: couvrir Euphrosine qui le livre. Il charge les autres, il se charge lui-même. Il refuse d’accuser de la moindre faute cette femme qu’il a aimée, qu’il aime encore, qui ne lui a donné, dit-il, que de bons conseils.

Les témoignages recueillis en faveur de la conjuration sont vains. Alexis n’a jamais été un chef. J1 n’a pu être un véritable rebelle. Il n’a pas songé à renverser son père ni à combattre les réformes. C’est cependant sous cet aspect qu'il apparaît au réformateur.

dut la lui recoudre au tronc, pour l'exposition du corps. Les autres parlent de potions que l’on aurait exigées d’un droguiste et fait avaler au condamné.

La vérité semble être ailleurs.

Elle ressort de la concordance de certains rapports qui montrent le Tsar se rendant à la forteresse, donnant lui-même les premiers coups de knout à son fils, qui aurait succombé après plusieurs répétitions de ce supplice dans la même journée.

Le sauvage destructeur des Strelzi aurait lui-même torturé son fils.

Il n’en perd pas d'ailleurs sa bonne humeur.

Les jours qui suivirent, il assiste à des fêtes où l’on se divertit fort.

En vérité il a éclairci son horizon, décapité l’opposition, préparé les voies pour Catherine, qui n’a plus à craindre ni pour elle, ni pour son fils, le danger d’Alexis.

(A suivre). Jean BLAISE.

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I Ce que nous venons | • “ IVfY 4 T TT

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Cj TMstoire, belle et mouvementée, — et bien -américaine — d’un héros de l’air par devoir plutôt que par goût, dont les prouesses lurent dues plus à un désir de plaire aux yeux d’un «• sweat, hart .» 'qu’à cellui de s’imposer comme champion de l’air.

Tant il est vrai que souvent la conquête des cœurs aide à la conquête des airs...

Le héros et l’animateur de cet attachant récit, c’est Douglas Me Lean, celui-là même

frais. Cèle s’intitule «(loting Up » ... intraduisible; cela est d’un allant et d'un pittoresque remarquables; cela s’illustre de fort belles photos, donnant au scénario, qui lient en quelques lignes, un relief et une cohésion digne des meilleures comédies californiennes.

Or, sachez, lecteurs, que Bobbie Snel, le” héros de notre aventure, s’était rendu presque célèbre, et en tout cas avait imposé son nom

dont on a pu dire — les acrobaties du grand Douglas en moins — qu’il atteindrait sans doute un jour la notoriété de Fairbanks. Je ne sais quelle place Mc Lean occupe dans le cœur des cinéphiles d’Outre-Atlantique, mais il est certain que des productions du genre du « Go ing Up » sont de nature à lui assurer une belle popularité en Europe.

• En attendant les films où Taction grav'itëra autour de la T. S. F. et ses merveilles, voici donc encore un récit filmé bien moderne, dont le « plus lourd que l’air » fait une partie des

parmi tous ceux qui touchent, de loin ou de près, à l'aviation, par son remarquable ouvrage « Going Up ». Ce livre, écrit entièrement de sa main, traitait de cent questions de détails se rapportant à l’action, critiquait des méthodes désuètes, donnait des avis téméraires et des conseils utiles, constituait enfin la plus remarquable étude qui eut été écrite en ces vingt dernières anné’es, concernant jys choses de l’air.

Nul doute, s’écriait le lecteur, après avoir parcouru les pages bourrées de suggestions

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nouvelles et de critiques hardies, que celui qui a écrit avec une tellq connaissance de la technique d’aviation, doit être un des meilleurs « as » du monde.

Bobbie Snel n'était cependant qu’un modeste « pedestrian », et oncques ne l’avait vu pourfendre les nues, monter sur le moindre mono ou biplan. Cette ignorance complète de la pratique d’une science qu’il paraissait connaître à fond en théorie, ne manquerait pas de susciter maintes difficultés à notre jeune auteur.

Nous ne pouvons point ici, sans déflorer quelques-uns des passages les plus inattendus du film, en évoquer l’action dans tous ses détails.

Tant est cependant que l’éditeur de Bobbie insistait auprès de celui-ci pour qu’il quittât son incognito, il se présenta aux foules éba'hies sous les traits d’un champion de l’air. D’autre part, un aviateur français, Jules Gaillard, était descendu au même hôtel que le jeune écrivain, flanqué de la plus délicieuse poupée vivante qui se puisse imaginer, Grace Douglas — ainsi se nommait la jolie enfant — avait fait une vive impression sur l’enthousiaste Bobbie, qui jura de mettre tout en œuvre pour la conquérir. Mais pour ce, il fallait éclipser Gaillard sur le terrain qui lui était le plus favorable: le vaincre de hauteur et de vitesse.

Allons, Bobbie ne perd pas courage. Humblement, il prend des leçons d’un bon pilote; sa bonne volonté est manifeste, et la chance aidant, il ne fera sans doute pas trop mauvaise figure, le volant à la main. Par exemple, ses essais sur le plancher des vaches, sont prétextes à scènes des plus cocasses dans le film, cela va sans dire.

Krtfin, le grand jour arrive. Les deux avions alignés partent sur un signe de l’arbitre; ils pourfendent les airs. Ils montent, dans la nue et n’apparaissent bientôt plus que comme des points minuscules, noyés dans l’océan de nuages. Et... ce que vous espériez bien, lecteurs, arrive: Bobbie Snel l’emporte, vole en rond autour de l'aéro de son concurrent, puis s’élève à des hauteurs jamais atteintes.


A la descente, un cri d’étonnement de ses amis, de joie de Grace, d’admiration de la foule, l’accueille. Et Grace, 4a jolie, se réfugiant dans les bras de son héros, lui fait jurer que jamais, jamais plus il ne pilotera un aéro.

Bobbie le promet, et vous auriez fait tout comme lui, lecteur,*car pourquoi chercher si haut le ciel quand sur terre vous le promettent d'aussi délicieuses lièvres?

La Radio au service du Cinéma

Jusqu’à ce jour on n’avait encore jamais employé la radiotéléphonie pour diriger la réalisation d’un film à grand spectacle. Cette innovation a été introduite par Emmet Flynn, directeur du film Dans le palais du Roi, qu’est en train d’éditer la Goldwyn Cosmopolitan. Ce film montre l’Espagne au XVIroe siècle, et certaines scènes comportent une grande quantité de figurants, ainsi qu’un espace très étendu.

Un amplificateur radio-téléphonique fût installé dans le haut du palais construit dans les studios même de la compagnie; là se tenait le directeur ainsi que sa batterie de dix appareils de prise de vues; Flynn pût ainsi diriger les scènes personnellement et sans avoir besoin d’aides, qui bien souvent ne transmettent pas fidèlement les instructions du directeur.

En Italie

11 existe en Italie une crise de production. Une vingtaine de studios, et parmi eux Pasquali, Itala, Gloria, Photo-Drama, Leonardo, Tizziano et Am-brosio, se sont vus dans la nécessité de fermer.

Les raisons de ce fait sont de plusieurs ordres. Tout d’abord l’équipement n’est pas assez moderne. Il faut dire aussi que sur 100 films présentés au public, 40 sont américains; 10 français, et le reste, d’origine locale. A un moment donné l’industrie italienne produisait suffisament pour subvenir aux besoins du marché local, mais celui-ci s’est tellement accru qu’il fallût bientôt faire appel à l’importation de films étrangers.

Une compagnie vient de se former qui a pour but de maintenir l’Italie en étroite relation avec les autres pays; elle est connue sous le nom de Propaganda Industriale Artistica Cinematografiica Euro-pea. Son quartier général se trouve à Turin et compte avec l’appui moral du gouvernement italien.

La Légende biblique d’Eather ( au Cinéma

On a présenté à une grande compagnie américaine le scénario d’un film qui a pour titre Esther, et qui se référé à la légende de cette femme de la Bible.

Ce scénario à de grandes chances d’être accepté et nous le verrons probablement sur l’écran avant la saison de 1925.

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* * * Pourquoi y a-t-il toujours dans un film des histoires d’amour? Cette question ayant été posée à Marshall Neilan qui venait d’achever The Stranger's Banquet pour la Goldwyn Cosmopolitan, voici ce que l’artiste répondit:

Parce que l’amour est la plus grande chose de la vie. Parce que l’amour transforme un lâche en héros et relève la plus déclassée des femmes. Parce que l’amour est la lumière qui guide vers tous les succès, l’inspirateur de toutes les grandes œuvres.

/T Un homme peut nier sa puissance, mais des aillions d’êtres humains savent qu’il ne dit pas la vérité. Nous ne pouvons pas traiter l’amour cyniquement à l’écran, parce que, pour lu majorité du public, c’est une chose tendre et sacrée.

, * „ Les ménages composés du mari metteur en scène et de la femme étoile de cinéma, sont nombreux à la Goldwyn Cosmopolitan.

Marshall Neilan, R. A. Walsch, Allen-Holubar, les heureux époux de Blanche Sweet, Miriam Cooper et Dorothy Phillips, ont maintenant un camarade de plus, Hugo Ballin, dont la femme Mabel Ballin, est la fameuse étoile de Vanity Fair.

„ * „ Les sénateurs américains Norris du Nebraska et Ashurst de l’Arizona, ainsi que 21 autres sénateurs de l’Ouest ont rempli le rôle de figurants dans le film Red Lights (La Lumière Rouge) que la Gtddwyn Cosmopolitan a tourné récemment en Californie,

Les sénateurs visitaient un site pittoresque, le Boulder Canyon Bam, lorsqu’ils rencontrèrent la ( roupe, dirigée par le metteur en scène, Clarence Badger. Pour se distraire un peu, ces hommes politiques à l’humeur joyeuse lui proposèrent de tourner dans son film.

Le metteur en'scène accepta, et les 23 sénateurs

une lumière rouge à la main se mêlèrent à la foule des figurants.

La prise de vues terminée, ils refusèrent le chèque que leur offrait Clarence Badger, mais acceptèrent

Marguerite Shön, rôle principal de Kriemhi/d, le second film emprunté aux " Niebelunge

son invitation à diner. Ils retrouvèrent à table, avec les artistes, Marie Prévost, Alice Lake, Raymond Griffith, Johnie Walker, Miss Helen Daniels, (a nièce de Joseph Daniels l’ex-ministre de la marine américaine, qui elle aussi, se passionne pour le cinéma.

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Un conte de fée pour grandes personnes

Quelque* experts en matière cinématographique ont eu la chance de visionner « Le Voleur de Bagdad ». et ils se sont tous accordés,i déclarer que le film de Douglas répondait à toutes nos aspirations.

« Nous avons tous bâti en nos imaginations des châteaux on Espagne, dit. Douglas... Nous n’avons jamais songé à la possibilité que nos

Georges John, dans le rôle de Bloadel, de la légende de Kriemhild.

rêves puissent devenir réalité. J’ai voulu dans « Le Voleur de Bagdad » mettre un peu de l'irréel, du rêve, de la fantaisie qui nous charment tant dans les Contes des Mille et une Nuits. Mon film est un conte de fée pour grandes personnes. Le thème principal est: « Fais ton bonheur toi-même », ce qui est peut-être plus .ou moins conventionnel, mais qui, développé dans un scénario, contient

toute la beauté de la pensée et de l’action d’un conte de fée de Perrault. »

L’histoire prise en grande partie dans les Contes des Mille et une Nuits contient cependant mille scènes imprévues et surprenantes.

« Le Voleur de Bagdad » donne à Douglas Fairbanks une occasion unique de montrer tous ses talents d’artiste et d’acrobate. Dans une scène, il accomplit le plus haut saut de sa carrière. Se trouvant dans « La Vallée des Monstres », face à face avec une- énorme chauve-souris, il saute au-dessus de l’abîme, d’un bond, et tombe sur le dos d’une gigantes-que.araignée. C’est une des scènes des plus fantastiques, pleine d’émotion, comme il s’en trouve dans le film. Le « Voleur de Bagdad » est l’illustration des rêves qui peuplent not/ imagination. '

L’artiste de l’écran le mieux habillé

Un journal cinématographique américain vient d’ouvrir un concours parmi les tailleurs des principales villes» des Etats-Unis, afin de savoir quel est l’artiste de l’écran qui s’habille le mieux, le plus élégant.

Le plus grand nombre de voix est allé à Ramon Novarro, artiste d’origine mexicaine, mais qui travaille aux Etats-Unis depuis longtemps.

Mais la revue en question veut savoir maintenant si l’opinion du public concorde avec celle des tailleurs et a ouvert dans ce but un autre concours parmi les amateurs de l’art muet et que préoccupent les questions d’élégance masculine.

Certainement, le résultat ne sera pas le même, car le point de vue des deux sortes de i votants est tout à fait différent.

Un grand rôle pour Blanche Sweet

L’artiste américaine Blanche Sweet, qu commence à être connue du public français, paraît maintenant dans le rôle féminin le plus important du film « Dans le Palais du Roi », dont le sujet est le faste de la cour espagnole dans les XVIe et XVile siècles.

C’est le plus grand rôle que jusqu’à maintenant aura joué cètte artiste qui bientôt sera consacrée « star ».

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Vulgarisation de la Théorie d’Einstein par le film |-

Qoooooooooocoooooooooeoooocoooooooooooooociooooooooo oqqoooooooooooQ

Il sera dit qu’avec le cinématographe nous île nous trouverons jamais à bout de surprises et chaque j-our en quelque sorte nous fournit une révélation de la puissance éducative d-e l’écran.

La dernière manifestation de ce genre va nous être offerte sous les espèces d’un, ou /•’utôt de deux films destinés à rendre accesle à la grande masse du public les fameuses théories d’Einstein sur la relativité, dont le inonde entier se préoccupe depuis quelque temps, sans que, jusqu’ici, on n’ait pu comprendre de façon explicite de quoi il s’agit en 'réalité.

La mise à la portée de la compréhension populaire des théories d’Einstein ne pouvant s’effectuer ni verbalement, ni par écrit, on chercha dans les milieux intéressés un moyen d’y arriver par l’imagé. Et comme cette fameuse théorie est essentiellement basée sur le mouvement, on songea à recourir au film.

Cette idée d’appeler l’image mouvante à la rescousse de la science germa dans le cerveau de quatre savants émérites, aux efforts combinés desquels nous devrons ce que l’on peut hardiment qualifier de « un tour de force cinématographique ».

Si le film comprend, en effet, de nombreuses prises de vues naturelles, telles que courf -, d’aéroplanes, dans des torpilleurs, randon-uees d'automobiles; il comprend aussi de multiples scènes truquées qui ne font, pas seulement honneur à l'imagination et à l’ingéniosité de leurs inventeurs, mais aussi à la grande habileté, au savoir-faire incontestable et à la maîtrise des techniciens chargés de l’élaboration des truquages et de la prise des vues truquées.

Pour ne citer qu’un exempte, voici ce que ion peut voir, entre autres, dans ce film extraordinaire, sans que l’on n’ait l’impression de quelque chose d’irréel: on assiste au voyage die la terre autour du soleil; à l’endroit du globe où se situe l’équateur, se trouve un canon monstre. De ce canon part, à il’heure du coucher du soleil, un projectile, également monstre, tiré dans la direction du soleil. Puis ta terré continue son mouvement giratoire et le lendemain matin, au lever du soleil, un nouveau projectile, tiré dan« sa direction, part du même canon.

Alors à quel spectacle déconcertant assiste-t-on? On voit le projectile tiré le matin, c’est-à-dire douze heures après le premier, rejoindre celui-ci dans l’espace, le déliasser et... arriver bon premier dans le soleil.

En réfléchissant un tant soit peu, on con-

çoit aussitôt quelles difficultés énormes il fallut vaincre pour arriver à cette démons! ration.

On ne sera donc certainement pas surpris d’apprendre qu'il fallut presque uje année pour mettre, toutes choses au point, personnel et matériel, avant de pouvoir entreprendre effectivement la réalisation de l'œuvre.

Dans Je même ordre d'idées, on assiste, à travers un télescope. toujours sur l’écran bien entendu, - à une magnifique éclipse du soleil qui nous fait arriver à cette constatation stupéfiante que des étoiles, que nous apercevons nettement avant l'éclipse. A la droite du soleil, se trouvent effectivement à sa gauche aussitôt que l'astre du jour se trouve éclipsé.

Ce i phénomène fut d'ailleurs une des premières constatations effectives d’Einstein, sut lesquelles le savant put baser et faire admettre sa théorie de la. relativité.

Nous ne nous attarderons pas à de plus amples citations. Qu’il nous suffise de dire que les promoteurs et réalisateurs du film, ayant à traiter un sujet passablement, abstrait et d’une formidable complexité ont réussi ce tour d,e force admirable de pouvoir créer une action continue, un ensemble qui se tient, dont toutes les scènes se succèdent avec un enchaînement logique, de telle façon que l’intérêt du spectateur est capté et retenu d’un bout à l’autre -et que pas un seul instant -son attention n’est exposée à se, trouver détournée (ju palpitant, sujet qui se déroule sous ses yeux.

On se demande comment il fut possible de traiter, par le film, un pareil sujet de démonstration scientifique, sans tomber, par moment tout au moins, dans la monotonie ou même dans la banalité.

Eh bien! c’est justement en quoi réside l’admirable effort réalisé par les quatre savants qui assumèrent la tâche ardue de produire un tel film, pour la mise sur pied duquel une société d’édition fut spécialement créée. L’action né languit pas un seul instant; on a suivi les données d’un scénario ordinaire dans lequel la note humoristique a longuement sa place.

La réalisation du film Einstein sur la théorie de la relativité marquera certainement une date dans l’histoire de la cinématographie. Elle ouvre de nouveaux horizons à la technique du film scientifique et éducateur et nous pensons qu’un nouveau jalon d’importance a été posé ainsi dans la voie du progrès.

(« La Nation belge ».) A. M.


14 Jackie Coogan ouvre une souscription pour les orphelins d’Orient

Jackie Coogan vient de commencer une tournée à travers les villes les plus importantes des Etats-Unis dans le but de réunir des fonds destinés à secourir les orphelins de Grèce, Palestine et Syrie. On croit que par •cette souscription il arrivera à réunir au moins un million de dollars, qui seront em-" ployés à acheter des vivres et des vêtements poür les enfants malheureux de ces pays de l’Est. Jackie Coogan appelle ceci la « Croisade Enfantine ». Il ira lui-même distribuer ces fonds et s'embarquera dans ce but vers la fin du mois de mai.

Le petit Jackie n’est donc pas seulement un grand artiste, mais aussi un grand bienfaiteur.

Mary Pickiord, écuyère

Mary Pickford est devenue une amazone des plus experts. Jusqu’ici, dans la famille Pick-ford-Fairbanks, tous Tes lauriers allaient à Douglas, mais maintenant, l’ancien roi des cow-boys devra rivaliser d’adresse pour soutenir sa renommée, car Mary Pickford dans sa nouvelle production « Dorothy Vernon » de Haddon Hall, accomplit les exploits les plus fantastiques. Elle saute les barrières, échappe et laisse loin derrière elle ses poursuivants et accomplit sur sa monture, un fou-

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Sept « stars » dans un seul film

Dans le prochain film de la Goldwyn, «Mary the Third» (Marie la Troisième), mis en scène par King Vidor et tiré de la pièce de Mme Rachel Crothers, paraîtront sept étoiles de l’écran, dont quelques-unes tiendront des rôles tout à fait secondaires, car la question d’amour-propre est mise de côté.

Ce sont: Johnny Walker, Ben Lyon (prêté pour la circonstance par la First National), William Haines, qui appartient à la Goldwy/*' d’une façon permanente et qui vient de»pa raître dans « True as 'Steel » (Franc, comme l’Acier), Creighton. Haie, qui eut un grand succès dans" « Name the Man » (Nommez l'Homme) de 'Victor Sen s trom, William Collier, James Morrisson et Niles Welch.

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Jêve de seie ans

Motly Dair est une adorable jeune fille de seize

ans. Ses parents, honnêtes ouvriers, habitent l'un *t

des faubourgs de iNew-York. La maman levée dès '

l'aurore, dirige une modeste blanchisserie, tandis

que le père, travaille courageusement pour élever

sa famille. Les occupations de Molly consistent 9

surtout à aller livrer le linge aux clients de sa

Seize ans!... Pour le papa Dair, c’est l'âge de Q)

marier une fille!... Aussi, a-t-il trouvé le gendre 4.

idéal en la personne de Danny Smith. Mais Molly

n’a aucun penchant pour Danny Smith!... Comme q

la plupart des jeunes filles, elle s'est fait un »J«

idéal, et cet idéal ressemble étrangement à un

certain Docteur Bryant, jeune célibataire de la

société New-Yorkaise, dont la fortune colossale a

attiré l’attention des mères de familles soucieuses 9

de caser leurs lilies, ainsi que celle des journalistes, toujours à l’affût d’un fait ou d’un potin à ...

relater. Aussi un grand quotidien a-t-il publié la Q

photographie du Docteur Bryant, racontant mille

anecdotes sur sa vie, sa bonté toute dévouée à la 'I

science et demandant au public quelle serait (j l’heureuse jeune fille qui Saurait enflammer le «J. cœur de ce célibataire endurci... et Moily s’est vue & en rêve l’élue de ce richissime praticien!... V

Cependant, Molly ne pourrait jamais connaître ce Docteur Bryant si elle n’était aidée par un 0 heureux concours de circonstances et aussi par »I* son grand ami, « le découpeur de silhouettes », qui philosophe à sa manière, vend à sa clientèle le A, secret d’être heureux. Et le Hasard qui fait bien les choses met Molly sur le chemin du Docteur un 9 jour où elle est partie livrer son linge.

Le Docteur est si charmé des manières espiègles ... de la fillette qu'il offre de la reconduire chez eile 0 en automobile. Les choses n’en restent pas là. I n dimanche, ils se rencontrent chez le pasteur el le Docteur la reconduit, à nouveau. La maman Dair, q sans façon, l’invite à partager leur modeste repas. .J.

Ceci est loin de plaire au papa Dair. .J»

A quelque temps de là, le Docteur Bryant or- ganise un bal au profit d'une œuvre de charité.

Molly supplie son père de lui permettre' d y Jjr assister; toutes les prières de la fillette sont val- 0 nés! Tard dans la soirée, cependant, la maman Dair facilite le départ de sa fille. Le << découpeur

PROGRAMME du 25 au 29 MAI

1. Marche....G. F. Haendel

2 Voyage

3. Zampa....F. Herold

(ouverture)

Ce Roman de jeannette

comédie interprétée par

Shirley Mason

5. Valse De “Faust”

Ch. Gounod

Uil ï

comédie dramatique interprétée par

Mabel Normand

PROGRAMMA van 25 tot 29 MEI

1. Marsch....G. F, Haendel

2. Reis

(openingstuk)

4. De Roman van jeannette

tooneelspel vetolkt door

Shirley Mason

5. Wals uit “Faust”....Ch. Gounod

dramatisch tooneelspel vertolk door

Mabel Norman

[ÎKnm

Semaine prochaine,.

DOUGLAS FflIRBflHKS

Dans son plus grand succès

ROBIN DES BOIS

Adaptation musicale synchronique complète pour grand Orchestre

de silhouettes », mis dans la confidence, prête à Molly une toilette merveilleuse empruntée à un costumier de ses amis. Et comme Cendrillon, Molly part au bal... Les évènements se succèdent si rapidement dans cette fête que Molly se trouve bientôt dans les bras de son Prince Charmant. Malheureusement nos amoureux tie peuvent se douter que Danny Smith est au bal et qu’en fiancé éconduit, il va prendre le rôle de justicier! Aussi, lorsque Molly veut regagner le foyer paternel au bras du Docteur Bryant, papa Dair, fou de colère, jette sa fille à la porte!

Ce qui arrive ensuite, laissons au film le soin de vous le conter... Disons seulement qu’il y a un enlèvement en dirigeable, une poursuite par hydravion, un émouvant sauvetage à deux mille mètres d’altitude, puis une descente en parachute... et que tout se termine enfin comme dans un conte de fées!

Molly Dair, een levenslustig en mooi meisje, stelt haar liefdesideaal in Dr Bryant met wie zij in het geheim huwt, trots den wil van haar \fader — een eenvoudig werkman — die voor haar een zijner jonge gezellen Danny Smith als echtgenoot had gedacht.

ln het volle van zijn woede, wanneer vader Dair zijn dochter aan den arm ziet van Dr Bryant, werpt hij haar de deur uit.

Een man wil haar tot slachtoffer zijner begeerte maken en loKT ze in een ‘hinderlaag. Molly wordt geschaakt in een bestuurbaar luchtschip. Maar de echtgenoot door zijn zwager verwittigd, ijlt naar het vliegplein en in dolle vaart zet hij met zijn vliegmachine de schaker na én gelukt er in de « lichter van de lucht » te bereiken en met een koordladder landt hij... boven op het omhulsel van het luchtmonster.

Hij laat zich langs de wanden afglijden. Komt tot aan het venster der kabien waar Molly wanhopig vecht niet haar aanrander. Bokspartij waarbij deze laatste knockout wordt verslagen.

Nederdaling der twee beminden met een valscherm om terug op de aarde een geluk zonder... wolken te kennen.

Droom der pestten jaar

Imprimerie du Centre. 26. Rempart Kipdorp. Anvers.