Programma van 17 tot 22 dec. 1921



Brochure

Bron: FelixArchief nr. 1968#321

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Etre photogénique, c’est bien; avoir à la fois un physique agréable et photogé" nique, c'est mieux encore; joindre à ces aalités un grand aient, n’est-ce pas posséder les principes essentiels pour réussir à l’écran?

Ces privilèges sont l’apanage de notre jolie vedette, Mad-laine Traverse, qui, en quelques années, interprétant la plupart du temps des drames modernes et mondains, s’est classée parmi les «stars» les plus applaudies.

Ajoutons à l’honneur de la gracieuse artiste — et à l’hon-neur du cinéma français — que M»e Madlaine Traverse, américaine pur sang, a toujours cherché à plaire au public de France; elle-même parle admirablement la langue de Hugo et de Corneille, et recherche avec insistance la critique des journaux de France, s’évertuant à tenir compte des observations et des judicieux conseils qui lui parviennent de la « Ville Lumière ».

Auprès du public belge, Madlaine Traverse est une étoile fêtée, la plupart de ses drames d’amour

et d’aventures (La Griffe da Destin, Pour un peu d’or, La Faute Splendide, L’amour qui ose. Son Fils, La Zone Dangereuse, Celle qui venge. Le Barbare) 'ayant été projetés dans nos principaux cinés de Bruxelles et de province.

Mais il est une production nouvelle — un drame réaliste remarquablement mis en scène — qui verra sous peu l’écran en Belgique, c’est: Après la Débâcle, parfaitement interprétée par Madlaine Traverse.

Le scénario de cette œuvre nous présente Andrews et sa femœeClaudia, couple heureux.

Brusquement, la ruine s’abat sur eux. Une vaste escroquerie commise par l’associé d’Andrews les entraîne dans la débâcle. Le coupable se suicide. Bien qu’il ne soit pas personnellement responsable, le mari de Claudia abandonne tout ce qu’il possède aux créanciers et part pour l’étranger afin de refaire de l’argent.

Un mandat d’arrêt a été lancé contre lui par T. S. F. Il est arrêté à bord d’un navire. Andrews


simule un suicide, et le bruit de su mort parvient jusqu’à sa femme.

Deux ans ont passé. Claudia a fini par être touchée par les assiduités de Brenner dont la fortune iul a servi à indemniser un peu les créanciers de son mari. Sans autre but dans la vie, elle lui fait confiance et devient sa femme.

Brenner est loin d’être un homme intègre. Il a pu épouser Claudiaqu'il convoitait, mais cela ne l’empêche pas de continuer des relations coupablesavec Lily qui est pourtant devenue lafemmede Robert, frère aîné de Brenner.

Un jour, au cours' d’un accident de chasse, le second mari de Claudia est blessé. 11 restera infirme, sans guérison possible, les souffrances qu’il endurera jusqu’à sa mort, seront atroces.

A la longue, Claudia, par pitié, et dans le seul but de mettre fin au martyre du malheureux, accède à sa prière et approche de son lit la table dans le tiroir de laquelle se rouve le revolver libérateur.

Brenner peut se tuer ainsi qu’il le réclamait, en grâce, polir ne plus souffrir.

Son frère, dont les soupçons ont été mis a éveil par le rap-! >rt du docteur, tenace de fài re co m-paraltre devant la justico celle qu’il prend pour une criminelle.

Mais elle lui fait comprendre le mobile qui l’a poussée. Le frère admet cette raison humaine, mais la menace à nouveau lorsque quelques jours plus tard, il rencontre Andrews revenu pour

payer tous ses créanciers et retrouver sa femme.

Claudia est accusée d’avoir supprimé volontairement son second'mari. Mais la libératrice parvient à se disculper, et la tourmente passée, elle pourra continuer son bonheur avec Andrews

qui, lui aussi, l’a bien mérité.

Il a été dit de ce scénario « qti’il ne cassait rien »: critique aisée, et qu’au premier abord méritent quasi toutes les productions, tant écrites que cinéma-tographiées, un<( action dramatique gravitant toujours autour de quelques incidents essentiels, se répétant au long de la vie des hommes. Mais l’art consiste précisément dans le fait de faire éprouver à celui qui voit l'œuvre, les sensations des personnages, ce qui ne se peut obtenir qu’avec un souci minutieux de mise en scène, et une interprétation telle que le drame fictif projeté sur l’écran soit pleinement compris dans toutes ses péripéties et dans toutes ses!, affres.

Dans cet ordre d’idées, la production dernière de Madlaine Traverse, réalise tout ce qur se peut exiger de la présentation d ’ une dramatique aventure. Nous croyons que le lecteur qui, demain, assistera à la projection d’A près la Débâcle sera comme nous d’avis que l’artiste de grand talent, dont divers portraits illustrent nos pages, est en train de gagner de haute lutte la première place comme vedette dramatique.

EMKA.

Pour tout ce qui concerne f ADMINISTRATION, la Rédaction, la Publicité de CINÉ-REVUE, s'adresser à l'Éditeur, M. J. MEUWISSEN, rue Charles De Coster, JO et 12. — Téléphone L. J678.

Il était tout indiqué pour l’adaptation ciné graphique, ce joli conte de Voltaire qui tient de la satire, de la fine comédie et un peu ‘du vaudeville dramatique, si l’on peut dire; et donne lieu — l’action se passant au grand siècle — à une mise en scène belle et pittoresque, où les riches intérieurs de demeures seigneuriales succèdent à des vues de camp, de ville et même de prison, tout cela bien dans la note de l’époque.

Il importait aussi de suivre avec exactitude la pensée de l’auteur — souci que1 n’ont point toujours à un degré suffisant les réalisateurs d’œuvres écrites. On ne pourrait à ce sujet faire nul reproche à la Bernini-Film, qui a su créer, avec une merveilleuse mise en scène un film qui est l’adaptation exacte de l’Ingénu, de Voltaire, dont il exprime toute la pensée.

L’écran nous montre l’abbé de Kerkabon et sa'sœur en promenade ce soir-là sur la grève,


évoquant le souveneur de leurs frère et belle-sœur partis au Canada depuis vingt ans et dont ils sont sans nouvelles.

Ils rencontrent un Huron débarqué récemment. Il parle très bien le français, mais est si naïf qu’à un dîner auquel il est convié, le surnom de l’Ingénu lui est donné. L’abbé de Kerkabon et sa sœur reconnaissent bientôt à un médaillon qu’il porte, que l’Ingénu n’est autre que leur neveu.

L’Ingénu fait la connaissance de Mlle de Saint-Yves. Tous deux s’aiment, mais l’Ingénu voulant consacrer immédiatement cet amour... l’abbé de Saint-Yves fait entrer sa sœur au couvent .

A quelque temps de là, l’Ingénu repousse une tentative d’invasion des troupes anglaises. Il se rend à Versailles pour s’y faire récompenser et demander la main de Mlle de Saint-Yves. En chemin, il rencontre des huguenots, ce sont des Français; il fraternise donc avec eux, mais est dénoncé au ministre de Saint-Pouange qui, à son arrivée à Paris, le fait enfermer à la Bastille, pour avoir eu des relations avec des hérétiques!

Mlle de Saint-Yves, sortie du couvent sous prétexte d’aller à un mariage, se rend à son tour à Versailles avec l’espoir d’obtenir la libération de l’Ingénu. Grâce à une amie très complaisante, elle est présentée à M. de Saint-Pouange qui, séduit, veut en faire sa maîtresse comme prix de la libération de l’Ingénu. La jeune fille refuse, mais de Saint-Pouange, au lieu de s’irriter, est touché de tant d’amour et d'honnêteté. Il renvoie Mlle de SainUYves dans 6a province et rend à l’Ingénu sa liberté. Tant de fatigues et d’émotions ont épuisé Mlle de Saint-Yves, l’Ingénu n’arrive hélas que pour voir mourir celle qu’il a tant aimée. Il voit au cou de la morte une petite croix, cadeau de Saint-Pouange. Il en conclut que Mlle de Saint-Yves a dû se sacrifier pour obtenir sa liberté.

A ce moment arrive M. de Saint-Pouange qui apporte la nomination de l’Ingénu comme lieutenant du Roi. L’Ingénu se jette sur Saint, Pouange, mais celui-ci déclare: Mlle de Saint-Yves est la plus honnête jeune fille que j'aie connue et elle seule était digne de porter cette croix qui venait de ma mère.

On voit que le thème est semblable à l’œuvre initiale. La photo du film est des meilleures; les interprètes, parmi lesquels il faut citer surtout M. Goffredu d’Andrea, dans le rôle du Huron, et Mlle Sylvia Malinserni, incarnant Mlle de Saint-Yves, jouent avec conscience et parfaite compréhension. C’est une excellente production d'Italie, de ce pays qui en compte .tant de très bonnes.

EMKA.

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ij Symphonie d’outre Tombe

jj Jt avec Monroë SALISBURY

f Au cours d’un duel, le jeune Anglais Olivier -* -1 Flanagan blesse légèrement son adversaire, le baron Ferrero. Mais l’un des assistants, le baron Giorgetti Pisani, lui persuade qu'il a tué son partenaire et lui fait craindre une arrestation immé-lialc. Puis il le décide à se dérober aux poursuites en endossant l'uniforme, — la mobilisation italienne vient justement d'être ordonnée, — Olivier Flanagan prend donc la feuille de route et le nom de Giorgetti Pisani et se rend au front à la place du déserteur.

Or, celui-ci, orphelin, a grandi auprès de son cousin, le comte Frédérico di Montrone et, de, plus, s’est laissé fiancer à la gracieuse sœur d’Olivier, la charmante Edith Flanagan. Il se garde bien de parler de sa liaison avec une demi mondaine de Monte-Carlo, ni de ses lourdes dettes de jeu.

Sachant son cousin Fédérico féru d’honneur et brûlant d’aller faire son devoir aux armées, Giorgetti lui laisse croire qu’il rejoint lui-même son régiment et va en réalité rejoindre sa maîtresse.

A quelques jours de là, le père d’Edith, venu en Italie pour raison de santé, meurt en confiant sa fille à la protection du comte Fédérico, son cousin et ami. Celui-ci rejoint son corps après avoir installé chez lui l’adolescente à la garde d’une vieille gouvernante.

Sur le front Frédérico est pris par l’ennemi en voulant délivrer Olivier. Refusant de répondre à l'interrogatoire de l’officier prussien, le comte est marqué au fer rouge et sous la morsure de la douleur il s’évanouit. C’est dans cet état qu’il est découvert par quelques italiens à qui les autrichiens sont obligés d’abandonner la tranchée et le corps d'Olivier, laissé pour mort.

Au sortir de l’hôpital militaire, Frédérico va passer chez lui son congé de convalescence. C’est là qu’il reçoit une lettre officielle lui annonçant la mort glorieuse de... Giorgetti Pisani (tels étaient bien en effet les noms portés par le livret militaire trouvé sur Olivier). A cette nouvelle le comte Frédérico, musicien consommé qui a vu se développer les progrès d’Edith, devenue son élève, sent grandir en lui pour la jeune fille un sentiment plus tendre. Il se décide à lui avouer son amour, et il obtient la main de la gracieuse Anglaise et se dispose à l’épouser.

Mais alors, un premier coup de théâtre se produit:

Giorgetli revient brusquement à la villa, ignorant la présence de son cousin.

Au cours d’un orage, le comte, parti à la recherche de Giorgetti, est renversé par la foudre. Relevé peu après par son cousin et par l’usurier Tornelli, il est cru mort, par ce dernier. Mais, en réalité il n’est que dans le sommeil de la catalepsie,

Progiamme du lî an 22 Ictiulire

Gaumont-,

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hranc Jeu

Dr. du Far-West interprété par Art. Acord

D’OJREHEDIJSTE

3e épisode: Le Complot

Symphonie d’ontre Tombe

Grand drame en 5 parties avec Monroë SALISBURY dans le rôle principal.

Pnpiniiia van 11 loi 22 December

Openhartig Spel

Drama uit den Far-West vertolkt door Art. ACORD

3e episode

WEES

Het Komplot

Symphonie uit het Geestenrijk

Groot drama in 5 deelen met Monroë SALISBURY in den hoofdrol.

Semaine Prochaine: Le grand film d'art w Adaption musicale spéciale pour Soli, Chœur Mixte, Grandes Orgues et Orchestre.

La Légende de Ste Simplice“

pendant la veillée funèbre, Giorgetti on a la preuve évidente et il a bien soin de la garder pour lui, ne se doutant pas que le financier l’a épié et qu'il a surpris le redoutable secret. Puis l’odieux personnage, presse l’ensevelissement do son parent et bienfaiteur.

Mais «n Italie les morts sont mis au lombeau à visage découvert. Le comte se réveille et sort du sépulcre... Pourtant voyant l’affection de la pauvre Edith pour Giorgetti, il décide de rester à leurs yeux enseveli à jamais. 11 s’éloigne et va s’installer à Rome sous le nom de Franchell i, professeur de musique.

Un jour néanmoins il cède à la tentation de revoir ceux qu’il a tant aimés. Il vient à la ville et bientôt l’illustre musicien Franclietti devient l’ami de la comtesse, et elle ne peut lui cacher qu’elle croit entendre encore le défunt comte Frédérico dans sa partition «Symphonie d’Outre-Tombe ».

Or, Tornelli a su exploiter le terrible secret, et s’est imposé à Giorgetti comme régisseur du château. Un jour il veut obliger Edith à se donner à lui. A ce moment Frédérico le corrige vertement. Tornelli n’a pas de peine à reconnaître la main du maître.

Il se hâte donc d’informer Giorgetti Pisani de sa découverte: le comte Fédérico n’est pas resté au tombeau... il est revenu...

Giorgetti veut en avoir le cœur net et il interroge Franclietti. Et alors celui-ci, se dressant, clame ses noms et qualités: comte Fédérico di Montrone... ton cousin, que tu as enseveli vivant!

A ce moment un homme se précipite!... C’est Olivier qui revient du front: 11 a rencontré Ferrero qui lui a dévoilé l’inique machination par quoi Giorgetti l’a envoyé se faire tuer à sa place. Et il revient altéré de vengeance.

Une lutte s’engage entre les deux hommes. Giorgetti tire son revolver mais il le laisse tomber dans le feu de la cheminée. La chaleur fait partir le coup. C’est le lache personnage qui le reçoit. Tl s’effondre et meurt dans les bras de son cousin.

L’ORPHELINE

3e épisode: LU COMPLOT

Némorin hésite un moment avant d’ouvrir, puis il se décide. Grand est sa surprise de se trouver en présence de Don Esteban qui lui dit de se sauver, la police étant sur ses traces. Peut-il partir et laisser Jeanne toute seule? Il demande à Esteban de remplir la mission qui lui était confiée. Esteban accepte. Némorin présente Esteban à leanne: «le vous confie à don Esteban, un de mes bons amis en qui vous pouvez avoir la confiance que vous aviez en moi. « Et Némorin quitte Jeanne et s’embarque pour Tunis. Pendant ce temps Dolorès .s’embarque pour Marseille en compagnie de Sa-kounine. Quelques temps après Jeanne s’embarque à son tour pour Marseille pour rejoindre son père ruiné, paraît-il, et tenant un caboulot. Le « père Boulot » a accepté de jouer le rôle de père de Jeanne moyennant une honnête commission. Jeanne à sa vue, ne peut s’empêcher d’avoir un geste de dégoût. Jeanne, conduite à sa chambre par Phrasie, la bonne, apprend que son père ne dégrise pas do toute la journée. Cette révélation, ce beau rêve déçu, sont au-dessus (le ses forces. Elle, s’effondre sur son lit en murmurant: « Maman, maman, pourquoi ne m’as-tu pas emmenée avec toi. »

Semaine prochaine 4e épisode: L’INTRUSE.

DE WEES

3e épisode: HET KOMPLOT

Némorin twijfelt een oogenblik alvorens open te doen. Groot is zijne verwondering, zich in tegenwoordigheid van don Esteban te bevinden, welke hem toevertrouwd was, te volbrengen. Esteban komst is. Kan hij vertrekken en Jeanne alleen laten? Hij vraagt don Esteban, de opdracht welke hem toevertrouwd was, te volbrengen. Esteban, de neemt aan. Némorin stelt Jeanne aan Esteban voor. « Ik vertrouw' u aan een mijnen beste vrienden, Don Esteban toe, in wien gij zooveel vertrouwen kunt stellen als in mij ». En Némorin verlaat Jeanne, en scheept zich in voor Tunis.

Terzelfder tijd vertrekken Dolorès en Sakounine voor Marseille.

Eenigen tijd nadien vertrekt Jeanne op hare beurt voor Marseille om haar vader te vervoegen, welke naar het schijnt eene herberg houdt. « Vader Boulot » heeft, mits eene goede vergoeding aangenomen, de rol van de vader van Jeanne op hem te nemen. Op zijn zicht, kan zij oen gebaar van walging niet weerhouden. Door Phrasie, de meid, naar hare kamer gebracht, verneemt zij dat hij gauche dagen dronken is. Deze openbaring, deze ontgoocheling zijn boven hare macht. Zij werpt zich op haar bed met de volgende woorden op hare lippen: « Moeder, moeder, waarom hebt ge mij toch niet met u genomen. »

Aanslaande week 4e episode: DE INDRINGSTER.

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... C'est l'histoire de Sainte Simplice et du phevalier Rochus, seigneur du Drachenburg, qui haïssait les hommes et détestait tout ce qui était beau et bon...

'Dans la reconstruction historique, c’est le souci du détail exact qui doit dominer.; dans la masse des spectateurs, il en est toujours qui remarqueront telle faute criante pour des yeux avertis, soit dans les styles, Soit dans le vêtement, ou les us des personnages, soit dans l'ordre chronologique des faits. On nous en signalait dernièrement plusieurs d’importance dans la création — par ailleurs irréprochable

— «Le Pont des Soupirs», et souvent notre'cri-tique a eu l’occasion de se donner libre cours à la vue d’anomalies observées dans les films d’Italie ou d’outre-Atlantique.

Nous croyons cependant que la production qui a pour thème « La Légende de Sainte-Sim-plice» subira victorieusement les assauts d’une érudition observatrice, et constatons que ce n’est pas là un des moindres mérites de cette œuvre.

« La Légende de Sainte-Simplice » fait partie des productions « May »: c’est plus qu’une légende et qu’un beau drame, c’est la reconstitution exacte d’une époque.


quand révolté enfin par sa propre cruauté, Rochus revient sur sa décision, il est trop tard: Simplice s’est percée d’un poignard! Trop tard? Non, puisque cet ultime sacrifice rend la bonté et la raison à cet homme cruel. Sa mort, pâmée d’amour, avec dans ses bras le corps de l’aimée, et leur ensevelissement dans une même tombe, sont les derniers épisodes du drame...

Je ne sais si de ï’histoire de sainte Simplice existe une œuvre écrite, ayant servi à charpenter le scénario du film, et ne veux point 1 savoir.

Le thème en est la vie de la sainte femme, consacrée à-Dieu et se croyant obligée par Satan, à obéir aux ordres du chevalier Rochus, un homme qui nie Ta, charité et s’est donné pour tâche de faire le mal. Simplice suivra les volontés dù soudard, qui lui fait commettre les plus affreux péchés, mais toujours la faute se change en bénédiction, et les actions en apparence les plus viles, ont des conséquences inespérées; car Dieu voit la fin, comme a dit l’admirable femme, en se résignant, Elle accomplit des miracles, elle ne saurait faire le mal, tout ce qui émane d’elle est pur et bienfaisant. Mais elle reste femme, car ce chevalier du mal, ce Rochus qui hait les hommes et nie la bonté, elle Tairne de tout son cœur, de toute son âme, de tout son corps. Pourtant, il est sans pitié et exige qu’elle passe la nuit avec un étranger, dans une chambre d’auberge. «Que ta volonté soit faite», elle va... Mais

né trant de son émotion et de m flamme créatrice, empruntera son thème à la foule des thèmes éternels de la vie. Et on découvrira fout à coup que dans telle expression visuelle, le sujet est sans importance, et que, comme dams une nature morte de Chardin et de Cézanne, comme dans un nu de Michel-Ange ou die Rodin, toute la beauté surgit de la façon dont l’œiTvre est traitée, interprétée, réalisée, de la puissance de transfiguration et de suggestion dont l’artiste lui a fait don. »

Cette digression n’est pas oiseuse. La production présentée dans nos pages est en effet de celles chères à M. Léon Moussinac, qui emprunte plus sa beauté à son interprétation qu'au thème même de l'œuvre, enporie qu’ioi le scénario soit par lui-même fort attachant.

Dans la « Légende de sainte Simplice », l'harmonie dans l’action, la force et la

La légende à l’écran, n’est-ce pas le poème cinégraphique par excellence, avec sa beauté, sa sensibilité, sa fraîcheur? Les pensées qu’exprime Léon Moussinac, dans le « Mercure de France », m reviennent à ce propos à la mémoire: « L’expression suprême de la musique est la symphonie. L’expression suprême de l’art muet sera le poème cinégraphique, où l’image connaîtra son exaltation la plus pure et la plus haute, sans qu’elle ait aucunement recours à la' musique et à la littérature. Et ce poème cinégraphique, qui pourra embrasser toutes les formes expressives de la nature que l’artiste transposera en les pé-


beauté des caractères, les décors impressionnants, où des murs de vieux burgs, des cours à colonnades des arcs romans succèdent aux vues de cloîtres et de castels: tout aide à faire de l’œuvre un ensemble harmonieux, homogène qui plaît aux yeux comme à l’esprit et au cœur.

L’interprétation est au-dessus de toute critique; la photo est d’une grande luminosité et met surtout en valeur les personnages de premier plan. En tous points, une œuvre réussie et dont l’Exclusif Film, qui en a le monopole en Belgique, atout lieu d’être fier. /r

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Trop souvent, jus-. qu’en ces derniers temps, les metteurs en scène de tous pays semblent n’a-I ûr pas prêté une -otention suffisante à la question de la toilette des artistes féminines dans les drames ou comédies modernes. Les étoiles de l’écran, quel que soit leur goût et leur élégance — et l’on ne peut nier, en

effet, que presque toutes s’habillent à ravir—ont le vif désir de «lancer» les modèles nouveaux des grands magasins, sans tenir un compte suffisant du personnage qu’elles doivent incarner.

Les vedettes sont femmes et comme telles ont une tendance à céder aux suggestions de la mode du moment. Ce n’est pas à la première vision du film que cet état de choses frappe l'attention; habitué qu’est alors le spectateur à la mode du moment, et tout à l’admiration de la création nouvelle, il ne remarque pas les discordances résultant d’une toilette qui ne s’harmonise pas avec les décors ou avec le caractère de l’œuvre. Mais aux « reprises» de films, le défaut éclate à première vue; parce que, forcément, la toilette est démodée d’abord; puis surtout, parce que,

Elsie Ferguson, parée pour le bal.

n’ayant plus d’yeux pour l’œuvre du couturier en elle-même, le spectateur est frappé du désaccord brutal existant entre les toilettes et l’atmosphère même du film. Il est heureux de constater .cependant que les metteurs en scène, qui s’efforcent d’élever le cinéma à la hauteur d’un art, ont compris l’importance de ce détail, d’apparence futile.

Comme toute erpression d’art et de civilisation, la mode évolue sans doute; mais le costume féminin n’est il pas une des formes de la beauté ou de la fantaisie, par laquelle se provoque une jouissance comparable à celle que procure le spectacle d’une œuvre d’art? Or, le vêtement ne peut prendre que deux aspects essentiels: l’ajusté et le drapé. Le drapé est le triomphe de la ligne, l’ajusté, celui de la couleur. Il importe donc pour le couturier, qui doit collaborer avec le metteur en scène, d’analyser la mode du moment, d’en dégager les grandes lignes, et d’arriver de la sorte à une stilisation synthétique de la mode du jour; ce résultat pourra être sobre, peut-être grave; il pourra cependant aussi être d’une note


originale et gaie, certains ajuste* monts empruntant leurs traits essentiels à la fantaisie.

Dans le premier cas, — le drapé — le costume aide à l’expression psychologique et enrich it le drame; après avoir représenté, dans sa réalisation générale, le goût de l’époque et aidé à situer l’action-, il demeure une vivante peinture du caractère propre de l’interprète qui doit s’en vêtir. Il est une illustration qui contribue à l’unité de l’œuvre.

Lorsque la seule fantaisie est recherchée, c’est la couleur qui l'emporte sur la ligne, car la couleur trouve d'abord et uniquement son succès dans la vue, contrairement à la ligne qui ne se sert de l’œil que pour s’imposer à l’esprit.

Parmi celles des vedettes les plus connues qui, dans leurs rôles de comédie, ont le plus prouvé leur souci de composition par .la recherche de costumes d'une fantaisie harmonieuse, il importe de citer Pearl Withe, Mary Miles et Gloria Swanson. D’autres, comme Elsie Ferguson, les sœurs Talmadge et Pauline Frédémk, nous ont montré des toilettes somptueuses, caractérisant et la

mode d’une saison, et le sujet qu’elles avaient à traiter. Citons encore Eve Francis, qui garde ses faveurs $u costume type, avec lequel la gracieuse artiste se plaît à tourner ses plus célèbres productions; et Agnès Ayres, qui, dans Cend. rillon, porte une robe blanche, à dessins floraux qui frémit en une délicieuse harmonie avec les feuillages.

Ces gracieuses virtuoses de l’écran ont fouillé tous les secrets de la scène muette. Klles ’ont pénétré le sens d’un mouvement comme l’éloquence d’un pli et la psychologie d'une coupe. Elles ont mesuré le pouvoir de suggestion de toute couleur comme de tout mouvement sur l’œil qui attend de cette féerie de teintes et de formes, plus de compréhension du sujet et une plus grande pénétration de l’état d’àme de celles qui le font vivre.

L’art du cinéma est avide de progrès; affiner cette partie du décor que constitue le costume féminin, est un perfectionnement nouveau qui ajoutera à la beauté de ses chefs-d’œuvre.

EMKA.

Gloria Swanson, uns Claudine dont les atours sont simples ' comme son Urne enfantine.

Mary Mlles Minter, dans une simple toilette de charmeuse bleu turquoise, s’harmonisant au mieux avec son rôle d’ingénue.

Norma Talmadge, rôle de Jeune et Jolie mondaine.

LE CINÉ A TRAVERS LE /AONDE

A CINEMA POLIS

L’AFFAIRE FATTY

Fatty dans « Les Millions de Fatty ».

Ce bébé rose et blanc a-t-il vraiment la conscience lourde d'un crime?

Se taire? ou parler?

Fatty-il — oh! pardon — faut-il an parler? faut-il se taire? Il y a deux avis dans la presse cinématographique: 1 es unis pensant qu’il vaut mieux se taire; les autres, qu’il vaut mieux dire la vérité. Il a3t certain que l’affaire Fatty a révélé dans la vie des « Cents Vivants » de Los Angeles — la capitale du Film — des excès qu’il est difficile, dans l’intérêt de la cause cinématographique elle-même de passer sous silence, et dont 1’« incident » Fatty n’a été qu’un « accident » déplorable. La presse américaine, indignée, publie d’ailleurs sur l’affaire des détails qui ont l’air d’être

empruntés à un film genre « Vampire », et dont voici quelques-uns qui m'ont pas été reproduits par nos quotidiens.

Cinéma polis.

Dans cete cité cinématographique, où tout, la rue, les monuments publics, les tramways, les passants, les maisons particulières, les fonctionnaires ton vient d’interdire aux policiers de participer aux scènes de la rue, qui permettaient aux agents de se faire de gros traitements, comme figurants, dans les prises de vues), toute la population est appelée à collaborer au « théâtre muet », comme on l’a appelé. Une foule composite d’acteurs profes-


sionmels et d’ « extras » de toutes les conditions et de tous les sexes gravite autour des studios, et la pauvreté des uns, l’immense richesse des « étoiles » le déséquilibre d’unie vie nerveuse et agitée expliquent suffisamment des exagérations inhérentes à oe genre d existence ultra-moderne et au-dessus — et en dehors — de la vie normale de la foule.

Roscoa (Fatty) Arbuckle.

Espionnes dans l’orgie.

Les clubs de femmes, en collaboration avec les institutions religieuse de Los Angeles, ont réussi à introduire, comme figurantes et comme témoins, un certain nombre de leurs affiliées dans les fêtes extravagantes données par les « Live One Hundred » — les) Cent Vivants — et leurs dépositions n’ont pas laissé de peser sur l’opinion en général et même sur celle de la justice en particulier. La fortune soudainement acquise, le manque d’éducation et d’instruction de quelques « étoiles » ont entraîné ces nouveaux riches à des exagérations énormes, et leur ont fait adopter une morale qui pourrait se résumer en ces quelques mots: « Tout oe que je fais est bon, parce que je le fais ». Tout simplement. Et ces nouveaux empereurs romains du celluloïd ont joué — loin de l’objectif — leur petit Néron.

Une phillpplque.

C’est à ces « étoiles noires » qu’un de nos confrères dé la pressé professionnelle, le

« Picture News », adresse ces reproche vengeurs: « Peu, très peu parmi vous sont des artistes, si on entend par artiste celui qui est parvenu à force de travail, d’étude, d’observation et de patience à se faire une personnalité, et à développer jusqu’au grand art un talent naturel. Vos succès de « star » sont largement dus à d’autres: les metteurs en scène intelligents et les réclames fastueuses qui vou ont lancés dams la popularité. La circulation magique et mondiale du film vous a rendu vains comme des paons, et votre élévation soudaine à la fortune vous a rendu l’âme tyrannique et cruelle comme celle d’un pauvre matelot nommé par hasard sultan d’une île du Pacifique. Vous croyez que vote célébrité de celluloïd vous met au-dessus des lois humaines et des conventions sociales, et des principes sacrés du foyer. Mais si vous ne vous protégez contre vous-mêmes — par la réputation que donne un travail honnête, artiste et consciencieux — leg mêmes forces qui vous ont faits vous détruiront en un jour, aussi magiquement qu’elles vous ont créés.

Le cercueil dans la fête.

Parmi les scènes décrites par les «"témoins », on cite la fête chez un millionnaire de Hollywood (près de Los Angeles, faubourg habité par la plupart des étoiles millionnaires du film), où, les lumières subitement éteintes, des projecteurs éclairèrent au milieu de la salle de bal, autour de laquelle les spectateurs rangés le long des murs jouaient funèbrement, du tam-tam, un cortège lugubre composé de six hommes vêtus de noir portant sur leurs épaules un cercueil voilé de crêpe, tandis( qu’un figurant vêtu d’habits religieux parodiait l’office des morts. Le couvercle enlevé, >un adolescent, les mains croisées tenant un lyis blanc, se leva du cercueil et fut solennellement placé sur une estrade devant laquelle une foule ivre vint hiératiquement s’incliner.

A une autre fête, leg spectateurs parurent s’amuser énormément des contorsions désespérées d’un poisson rouge qu’on avait déposé — pour rire un peu — dans un bassin rempli de gin.

Il vaut mieux passer sous silence le défi (qui suivit) de la plus belle femme du film au plus bel homme de l’assemblée, et les concours de «beauté» avec mensurations qui précédèrent le vote. Les journaux américains, à la suite de ces faits, ont réclamé une justice sévère et rapide, et les directeurs de studios viennent de décider l’annulation pure et simple de tous les contrats signés avec les coupables. Si l’accident qui a tué Miss Rappe nettoie ces écuries d’Augias, le scandale n’aura pas été inutile.

SUNSHINE.

Les pneus fct HEVEA „ sont les triomphateurs.

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