laisse partir M. de Bersange et Manin, saute sur la capote du taxi, fai-t passer un mot au chauffeur qui, au lieu de suivre la première voiture, franchit la barrière et s’arrête. Et c’est Chambertin qui, ouvrant la portière à Maugars, le rosse d’importance.
Quandt à Mani, il ne...c’est le grand talent, I Mme Huguette Duflos, de la Comédie Française. I îtite cià»:que qui fut faite à ce film, et qui porte I ère déf\ i à ouvrir Res bras à la jeune fille incon-1!,l’étonnante aventure survenue à M"1* H. Duflos...Un homme ayant le souci de concilier la logique du drame et la netteté simple qu’offre la vision exacte de la nature avec les derniers pro-
C1NÉ-REVUE
grès de la technique. D’ailleurs, rappelez-vous, Paraître qui fut une superbe adaption de la pièce de Maurice Donnay.
— Quels autres interprètes encore . . .
Quelques gouttes de sang rejaillissent jusque sur la robe blanche de la mariée, qui s’évanouit d’épouvante.
Louiset la retient dans ses bras.
Et cette histoire de sang, de vengeance...théâtre-â l'écran
Miss RuiUi Roland ooi ffée « à la victime ».
— N’en parlons donc plus, m’a répondu une blonde enfant qui, depuis deux ans déjà, a sacrifié au goût nouveau; ces arguments...Ainsi la femme noue à son cou des foulards de cow-boy, se culotte de laine et court des 100 mètres. Vous la voyez, aussi plate qu’un Annamite, haletante sous la crême-pâtissière des terrains de rugby, nue et huilée pour . . .
en prison à Clichy, ne pouvant rembourser la dette de mille francs qu’il avait contractée. La perfidie dlndiana avait donc réussi.
C’est encore Coline qui arrangera tout et rattrapera Mimi Pinson avant qu elle n...attendre encore un an pour aller voir des films qui ne plaisent pas à la commission de contrôle, mais enfin, on a une identité qui doit être décrite sur une carte délivrée par la police. Sur la mienne, on mentionné que je suis un tel, que ma femme eri est une...non, j étais boxygénique. V,
Mais, me direz-vous, la lutte, ça n’est pas la boxe! iNon, mais la lutte et la boxe sont soeurs. Ceux qui sont luttogénique sont, d’ordinaire, boxygéniques. Et d’ailleurs . . .
Jean Amsler et son père, figures pétrifiées de la
* Pour Jean, le choc a
rude qu’il a dû s’aliter. Puis peu à peu la vie reprend son cours mais chaque jour qui passe accu-se davantage le vide qu’a laissé la mère en s’en allant. La maison mal tenue, les enfants délaissés, 1 le foyer sans tendresse...d’une composition harmonieuse; le pâturage dans la montagne, la descente de Jean vers la vallée, longue piste de neige. La fenaison dans les champs qui étalent autour du clocher leur tapis d’or et de soleil. Puis...Londres, apparaissait avec le désordre d’un homme qui Vient de se rouler dans la poussière et dans le sang;
Débraillé, la chemise ouverte, les cheveux flottants, la culotte déchirée, la figure noire, un fusil dans les mains, il essayait de regagner . . .
à la tête de Bischem; et ses trois amis, Hâan, Schoultz, Spech, qui l'accompagnent, en sont tout abasourdis.
D'ans la fête, il ne cherche que Suzel.
La voici qui danse, Kobus réussit à 1 entraîner à l’écart.
Un jour, Kobus range...justement.
— Kobus! Kobus! Qu’est-ce qu’il y a donc...
— Je suis bien malheureux!... Ils veulent la donner à un autre...
— Qui elle?... Ah oui, Suzel... Il aime la petite Suzel! Loué soit l’Eternel...
— As-tu dit à Suzel que tu l’aimais...dont la ligne est harmonieuse, et qui joue la comédie comme quelqu’un qui ne la jouerait pas, ce qui est peu fréquent et méritoire. Le thème utilisé est ingénieux . . .