LE PETIT ECART
Bernard Heller, avocat, et sa femme, la douce Jacqueline, forment le ménage le plus uni. Mais voilà qu’un soir, au moment où Jacqueline se prépare...qui, bien entendu, se révèle grande artiste et fait la conquête
du prince. Tout cela et ce qui se passe ensuite se déroule parmi les danses et les ravissantes mélodies d’E. Kàlmàn, le compositeur célèbre de La Bayadere et de Comtesse Maritza. Dans une réalisation à la fois fastueuse...qui ne comprennent pas ce que je veux dire par là.
Le Hollywood dont j’ai l’habitude est le Hollywood qui travaille. L’autre Hollywood, je ne le connais pas et je ne désire pas le connaître.
Les studios sont quelque chose d impossible à dépeindre . . .
et Màurice sont deux copains, deux joyeux garçons. Laveurs de carreaux pendant la journée, Maurice et Maurice ramènent le soir leurs grandes échelles, leurs seaux et leurs vélos, vers le coin de banlieue où ils habitent dans deux vieux wagons désaffectés...MAÏS
Jeannette tE E R N E Y
Madeleine ) GUITTY A
Le cinéma et le sport!... Je n ose pas - dire qu’ils ont le même âge, mais voilà deux champions qui, coude à coude, — et dans le même temps-, — ont conquis la faveur populaire. Ni l’art ni la science...en le rangeant dans la catégorie des « films artistiques ». Le dialogue et les chansons de MM. Marc Hély et Paul Colline sont vifs et directs. L’ensemble: est, excellent. C’est le fonds qui manque le plus.
Vous goûterez les solides et savoureuses compositions de MM. Jim Gérald, Dréan, Labry et Fernand Fabre. Vous regretterez que le rôle dévolu à M. Georges Colin — remarquable et puissant . . .
et Maurice sont deux copains, deux joyeux garçons. Laveurs de carreaux pendant la journée, Maurice et Maurice ramènent le soir leurs grandes échelles, leurs seaux et leurs vélos, vers le coin de banlieue où ils habitent dans deux vieux wagons désaffectés...MAÏS Jeannette F E R N E Y yv Madeleine \oUlTTY A
Le cinéma et le sport!... Je n'ose pas dire qu’ils ont le même âge, mais voilà deux champions qui, coude à coude, — et dans le même temps, — ont conquis la faveur populaire. Ni l’art ni la science...le film. Lt la censure allemande a certainement obéi à cette considération en le rangeant dans la catégorie des « films artistiques». Le dialogue et les chansons de MM. Marc Hély et Paul Colline sont vifs et directs. L'ensemble est excellent. C'est le fonds qui manque 1« plus.
Vous goûterez les solides et savoureuses compositions de MM. Jim Gérald, Dtéan, Labry et Fernand Fabre . . .