Dimanche 9 et Lundi 10 Avril
Fantômas 011 is mort qui tue
Dimanche 16 et Lundi 17 Avril
Fantômas contre Fantômas
ÉCOLE...SPÉC 1 Ä LE
19, RUE HOUBLONNIERE,/VnVers
FRANÇAIS, FRANSCU
OU ANGLAIS, Of ENGELSCH
OU ESPAGNOL, Of SPAANSCH
OU ALLEMAND, of DUITSCH
OU DACTYLOGRAPHIE, of MACHJENSCHRIFT
ou COMPTABILITÉ, of BOEKHOUDEN
5 francs par mois.
(2 leçons par...Est ce là la véritable indenfilé de la victime ou veut-on faire croire à la mort de Lady Beltham? Comment le cadavre se trouvait-il chez le docteur Chaieck? Celui-ci semble audessus de tout soupçon . . .
en 6 parties
Attendu:
Dimanche et Lundi, 9 et 10 »: FANTOMAS ou le Mort qui tue (3e Série)
» » 16 et 17 avril : FANTOMAS contre FANTOMAS (4e Série)
Semaine Sainte: Vendredi 21 Avril, à 8 1/2 hr de...sa vie. Elle l’a épousé, malgré la détresse où le plonge le malheur qui s’est abattu sur lui, et tente par tous les moyens de le guérir peut-être, de le détourner dans tous les cas de sa funeste pdssion pour l’alcool...Malgré le conseil des ouvriers qui l’entourent, elle le fait entrer dans son auto et le ramène à son domicile. L’ivrogne, tour à tour hébété et furieux . . .
Daida, fantaisie sur l’opéra Cam. Saint-Saëns
5. FANTOMAS
OU le Mort qui tue (lre, 2e et 3e parties)
Avis pour les Représentations du Soir...Mousquetaires au Couvent, ouverture L. Varney
7. FANTOMAS
OU le Mort qui tue (4e, 5e et 6e parties)
8. Invocation à la Vierge Félix Fourdrain...belges extra
FANTOMAS ou le Mort qui tue
•Drame en 6 parties et 58 Tableaux
DISTRIBUTION:
Bréon
Melchior . . .
un mot.
Les vagues assourdissantes de musique, où le pianiste essaye d’arrêter le trombone, qui a pris le mors aux dents, cessent pendant quelques minutes de faire...gardées parfois jalousement par leurs inventeurs ou leurs initiés; ce qui est recherché, le plus souvent, outre d’améliorer ou de caractériser les traits que la nature a donnés aux acteurs...l’on peut enrichir et gouverner à son gré.
Le soir, après la journée de studio, le démaquillage est un moment plutôt déplaisant. Mais qui dira l’intérêt vif, la petite fièvre lucide, qui saisit l’acteur au moment matinal ou il se penche sur le miroir; pour parfaire ce que la nature l’a fait, pour se refondre . . .