Programme de 29 janv. à 2 févr. 1922



Livret de programme

Source: FelixArchief no. 1968#335

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Les objets de layette sont toujours bien reçus. Je ne suis pas en peine de l’accueil réservé à cette jolie bavette.

Ce bibelot ne manque jamais de ravir les jeunes mamans, et qui de nous hésiterait â entreprendre la confection de ce refvifssant bavoir, en pensant au plaisir qu’éprouvera la maman lorsque vous lui en ferez cadeau.

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S oint de Richelieu, anglaise brides ou au plumetis. Le centre des roses se fera au point sablé, ou mieux, ajouré à la grosse aiguille.

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1« Année. — AI» 44. — 1922.

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LE MERVEILLEUX AU CINEMA

LITERPRËTE/ DE LA/ULTACIE DE L’AMOUR;

genre du merveilleux enfin, le Fruit défendit et Cendrillon nous ont donné un avant goût de ce que ce genre pouvait donner à l’écran.

Or, il est, parmi les nombreuses vedettes de l’écran, quelques types qui semblent particulièrement appelés à plaire au public, dans des scènes de légendes, où le merveilleux et l’aventure jouent le premier rôle. Parmi ceux-ci, il sied de mentionner les charmantes interprètes qu’animent de leur jeu savant, les belles scènes de La Sultane de l’Amour: Miles Fr. Dheiia et Dourga.

La première remplit dans cette production le rôle délicat et tendre de la sultane Daoulah, en butte aux dures obligations paternelles, mais préférant la mort au triste sort de se voir unie au despote Malik.

Mas Dourga est une danseuse; elle n’a point

Glanant parmi la copie périmée de l’année dernière, quelques pages élogieuses écrites au retour de la vision de La Sultane de l’Amour ont retenu notre attention: nous étions alors sous l’impression de cette belle œuvre, reconstitution d’un conte des Milie-et une-Nuits, et qui, depuis, après avoir passé dans un des plus grands établissements de la capitale, continue sa tournée triomphale en province.

La mode est encore à la féérie, au roman historique et aux scènes de l’au-delà: parmi ces derniers, il y a La Charrette fantôme qui délie déjà toutes les langues avant même sa parution à l’écran; dans le roman historique. Le Pont des Soupirs, dont nous avons entretenu nos lecteurs .lors de sa première vision, éveille les curiosités; dans le


un rôle de premier pian, mais sa beauté, ses qualités photogéniques, et surtout la pureté de ses lignes quand elle évolue devant le public ravi, font converger vers elle tous les regards.

Le scénario de La Sultane de l'Amour fut tiré par MM. Louis Malfas et Franz Toussaint, d’un conte des « Mille-et-une-Nuits ». C’est une de ces histoires orientales, romanesques au possible, où les amants se sont connus l’espace de quelques heures et ne parviennent plus à se rencontrer.

languissent chacun de leur cêté; le film présente l’originalité d’être mouvementé d’une façon continue. /Les scènes successives, avec par moment des visions instantanées, des jeux de lumière, des contre-jour, des virages savants, sont toujours prises dans des décors somptueux avec une magnifique mise en scène et une photographie très fine, donnant parfaitement l’impression de la fine conteuse des « Mille-et-une-Nuits »

A quand le prochain conte féérique? Emka.

Les filma de Miss Mary Miles ont toujours remporte un très grand succès: « les sujets de ses comédies humoristiques, spirituelles et légèrement dramatiques sont de véritables petites leçons de moralité, toujours présen-

tées d’une façon des plus agréables ». Cette appréciation, d’ailleurs fort juste, est’de la Revue Suisse du Cinéma, qui nous fournit aussi de la délicieuse vedette qu’est Mary Miles l’intéressante particularité que voici:

Juliette Shelby tel est le véritable nom de Miss Mary Miles, est née en Louisiane, à Shreveport, le 1er avril 1902.

A l’âge de cinq ans, elle débuta au théâtre auprès de sa mère et de sa sœur aînée; puis dans les compagnies artistiques nous la voyons jouer, jusqu’à l’âge de 12 ans, les rôles enfantins qui abondent dans < les comédies anglaises et américaines. En 1914 la troupe dont elle faisait partie venait d’arriver à Chicago pour y donner des représentations de The Hittest Re-let. A la requête de la Société Protectrice de l’Enfance, les autorités de l’Illinois défendirent, au directeur de laisser jouer au public une fillette ayant moins de 16 ans révolus.

Comment faire?... Mme Gertrude Shelby n'hé-

sita pas à présenter * l’acte de naissance d’une petite nièce morte quelques années auparavant et qui aurait eu l’âge acquis. Et le soir même, Juliette Shelby prit le nom de sa cousine et devint Mary Miles, nom qu’elle a gardé et qui est justement devenu Célèbre.

► Et puisque nous parlons de la délicieuse vedette, si goûtée de tous les publics d’outre Atlantique et de chez nouB, parlons de Ba vie d’après les détails que nous en donne V. G. D. dans Cinémagazine.

Quoique jeune, cette charmante ingénue a une carrière artistique des plus remplie.

Dès l’âge de cinq an», elle fut engagée à la Goldwin, pour interpréter un rôle de baby. En quelques comédies gaies, elle interprêta avec un incomparable brio, des rôles de fillettes turbulentes, bons cœurs, mais mauvaises têtes, et, fut vivement une petite étoile des plus aiméesdu public. En dehors de son travail, Miss Mary Miles mène une vie très retirée et très austère, avec sa famille, ses chiens et ses fleurs.


8 De plus, sa vie intellectuelle se partage entre l’étude approfondie des rôles qu’elle doit interpréter et la lecture des plus belles oeuvres de la littérature anglaise.

Sa distraction favorite, c’est la musique classique. On dit même qu’elle tient Bouvent l’harmonium au temple. De sa bourse qui fut si largement ouverte aux œuvres de'guerre, elle entretient une nursery modèle pour enfants orphelins.

Dans le privé comme à l’écran, Miss Mary Miles est la jeune fille idéale à donner comme modèle à toutes les jeunes filles qui, sans être des “ petites oies blanches », veulent être pour leur bonheur personnel et celui de leurs familles, des ingénues accomplies. X.

A Traders la Presse

Une invention.

O» 'annonce id/AiHemaigne 'qu’un opticien, qui ta travaillé depuis bientôt dix ans è un appajbèdil de projection, expose dans tes journaux Ile résultait de ses irecbercfae, aecom-paginé d’unie esquisse de son invention qu’il U (fa-it (breveter dans tous les pays. Le fiiilm n’y est plus éçjMré dlreeteiment, maie bien par te cnéfiexion icte la .luimièire, et la pellicule pass« devant Iles trayons sans que l’opérateur ait besoin de lui imprime dette espèce de boucle qui marque sou passage devant l'objectif. Jil en résulterait une sécurité absolue, une grande économie de lumière, une projection sans bruit, et surtout une beaucoup plus grande 'conservation de lia bande.

Chez les extrémistes allemands.

MM. fl.es extrémistes afliemands sont nettement dé favorables à, tout projet de sociiiailiisa-tion du 'fiiflm. Iis estiment, en effet, que cette eociafliteaitdon; ou mettrait en danger toute li'industrie du film e:1, réduiraiit au .chômage, sinon à la misère, un nombre énorme d’employés.

Toutefois, de congrès du parti sO'cdiaiUiste, qui doit se tenir prochainement à Görlitz, a insérât sur son ordre du jour un projet de propagation des idées sociallteémocratiques -par l’écran.

On reparle de HimmeL

.Nous demandions récemment des nouvelles d’ André Himmell. On, nous en donne: dil est toujours à .la prison' de ilia Santé, attendant sa dernière comparution devant M. le juge Ouzafl, dès que les commissions rogatoires expédiées par le juge instructeur aux .Etats-

Unis seront revenues et que l’expert aurai terminé son rapport.

L'expert aura conclu sous peu; il ne pa.-raiît pas die voir en être de même pour Ile questionnaire adressé à New-York:. Le juge vient de faire faire un appel! par voie diplomatique.

('« La iCinémiatographie française ».)

L’emploi des films Ininflammables obligatoire.

La décision suivante vient d’être prise pair le maire de Lille:

,« L’arrêté die notre 'prédécesseur rendant obligatoire l’emploi de films cinématographiques ininflammables, est remis en vigueur. "Un délai est accordé j usqufau 1er juillet 1922 ( aux exploitants, d'établissements .cinématographiques pour se conformer à cette prescription. »

La 'Chambre syndicale de la Cinématographie française a décidé d’adresser aux maires qui ont reçu cette lettre, un exposé de la situation réelle et une mise au point 'comportant un nécessaire démenti aux .assertions de « iPa-thé-Onéma ».

Lu question en est là!...

Poésie moderne.

iQui prétendait donc qu’on ne pouvait, en respectant la poétique traditionnelle, rendre leis iviisiions les plus modernes? iVioicii qu’un poète, M. Ohaéles iDomder, va s’y essayer dans son prochain volume « iFeux et Chants dans la Nuit ». ill y chantera même le .cinéma.

Grand cadre blanc,

Fenêtre vide au fond ténébreux de la salle,

iMirodr pâlie, (

L’écran

'Semble longtemps guetter le -fugitif passage iDI’une lointaine limage.

Or, voici, que (furtive et glissante apparaît (La première.

Un instant elle hésite, en arrêt Au bord du champ cru de lumière Grésillante, que 'crible une fine poussière . iD"éclairs pareils Aux micas pétillants des sable au soleil.

i(« Le Journal ».)

Blscot.

(Nous apprenons que MM. Jean Petithugue-nin et Ludovic Massoulatol vont écrire en collaboration iFihistoire de ßi.sK»t, le syijMathique comique, cinématographique laiança!i&'

Cette histoire sera, publiée, avec une préface de M. Louis iFeuâMaide, en un joli ivollume, illustré de nombreuses photographies de la IMaison Gaumont, par les éditions J. Ferenczii,

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LES HORS-LA-LOi

Dans le quartier chinois de San-Francisco, — Chang-Low, disciple ardent de Confucius, prêche & l’honnêteté, la bonté, la simplicité. Dans son en- # lourage, nous voyons, Madden, et sa fille, Molly, personnages un peu énigmatiques, que Chang- Low tâche do convertir. Mais ceci ne ferait pas l’af- faire de Frisot, qui hait le père et la jeune fille. Il tend un piège à Madden, qui est injustement ac- cusé de complicité dans un assassinat. D'autre part il exécutera un plan infernal: au cours d'un cambriolage sensationnel, il s’arrange pour faire # tomber Molly entre les mains de la police. File se- •’& rait condamnée, envoyée en prison, et, une fois sa peine purgée, elle serait « hors-la-loi », comme le Frisot lui-même.

Toutefois, un comparse du Frisot, un jeune homme du nom de Willy, prévient Molly du corn- Q plot tramé pour la perdre, et voudrait l’empêcher de prendre part au cambriolage projeté; elle re- l'use: elle fera le coup.

Le plan du Frisot échoue; Willy et Molly ont # pu s’emparer des bijoux précieux au milieu d’une réception dans une superbe résidence, et se ca- chent dans un appartement, en attendant que l’en- quête policière soit moins serrée... ▼

Leur voisins ont un enfant, un petit garçon, qui vient voir Willy; et, bien que les deux hors-la- loi doivent éviter toutes relations avec le monde extérieur, Willy est à ce point séduit par l’ingé- nuïté candide du petit garçon qu’il se décide à se détourner du mal et à prendre la route vers l'hon- v* nêteté.

Il parvient à décider Molly, qui, elle aussi, est séduite par le sourire de l'enfant; et, comme les ‘-f jeunes gens se surprennent à s’aimer, ils décident de renvoyer les bijoux volés.

Mais le Frisot, supposant que Willy et Molly <$ détiennent les bijoux, vient les surprendre. Une lutte terrible, — s’engage entre le bandit, et les jeunes gens; par un stratagème, le Frisot décou- O vre la cachette des bijoux. Un policier survient, mais Willy et Molly parviennent à se sauver.

Madden est sorti de prison après huit mois, avec, au cœur, la haine de la société et de la jus- lice. Les bijoux ont disparu, et ce sera la perte des jeunes gens qui ne pourront donc pas les restituer.

Frisot, poursuivi, s’est échappé...

Nous retrouvons dans la scène finale tous nos personnages dans le grand magasin de Chang-Low, où nous assistons à une lutte formidable éb entre le Frisot et ses complices d’une part, Mad- den, Willy et Molly d’autre part. La police survient pour y mettre bon ordre; Chang-Low, lui-même, rapporte les bijoux volés.

Le disciple de Confucius a su obtenir l’impu- ni té de Willy et de Molly à condition de rendre les bijoux, — et c’est par suite de ses salutaires ▼ leçons que Madden, sa fille Molly et son fiancé Willy iront désormais sur la route de l'honnêteté, y

Piinjiiiiiiiiif iln 29 jiimiii an 2 (limer

Caumônt-Journal KINETO 2

Revue scientifique

L’ORPHELINE

9e épisode: SOIRS DE PARIS

Les Hor$-Ia-Loi

Grand drame en 8 parties interprété par la célèbre vedette Priscilla DEAN et Lon Chaney

Programma van 29 Jan. lol 2 ltai

DE BUITEN DE WET

KIXKTO 2

Wetenschappelijk

IDE WEES

9» episode: PARIJZER AVONDEN

De Buiten de Wet |

Groot, drama in 8 deelen vertolkt door de beroemde filmster Priscilla DEAN en Lon Chaney

Semaine prochaine le

fjim sensationnel

.seus LE CIEL, R0UGE.

Une histoire glorieuse d’amour et d’aventures en haute mer avec l’incomparable

>Ii*u» LINCOLN le fameux interprète de Tarzan dans le rôle principal

Prochainement la. charmante actrice

Cartel yers

dans

Ue C HfTjsde la B£te oïre

Grand drame en 5 parties

Imprimerie du Centre, 26,

In de chincesche wijk te San-Francisco, predikt Chang-Low, aanhanger van Confucius, de eerlijkheid, de goedheid en den eenvoud. In zijne omgeving vinden wij, Madden en zijne dochter Molly, raadselachtige personen, welke Chang-Low tracht te bekeeren. Maar dit maakt de rekening van Frisot niet, welke de vader en meisje haat. Hij lokt Madden in eenen strik, et deze wordt, als medeplichtigie aan moord, onschuldig veroordeelt. Van den anderen kant zal hij een duivels plan uitvoeren: tijdens eenen diefstal tracht hij van Molly in de handen der politie te doen vallen. Zij zou veroordeeld wurden, in het gevang gezet, en zou na hare straf gedaan te hebben, « Buiten de wet » zijn, zooals Frisot. Doch eenen jongen, met name Willy, medeplichtige van Frisot, verwittigt Molly van het komplot om haar in het verderf tu storten, en wil haar verhinderen aan den diefstal deel te nemen; doch zij weigert.

Het plan van Frisot slaat tegen; Willy en Molly hébben zich van de juweelen meester gemaakt, en verschuilen zich in eene kamer. Hurme geburen hebben een zoontje, welke Willy dikwijls komt zien, en niet tegenstaande de twee buiten de wet, alle genveenschap met de buitenwereld moeten vermijden, is Willy zóó door de openhartigheid van het kind aangedaan, dat hij beslist den goeden weg in te slaan. Het gelukt hem Molly in dezen weg mede te nemen, en daar zij voelen dat ze elkander beminnen, beslissen zij de juweelen terug te zenden. Maar Frisot verrast hen. Eene worsteling heeft plaats tusschen den bandiet en de jongelieden; door een list maakt Frisot zich van de juweelen meester. De politie komt, doch Molly en Willy ontvluchten.

Madden is uit het gevang gekomen, met den haat tegen de samenleving en het gerecht in het hart. De juweelen zijn verdwenen, en het zal dén val der jongelieden zijn, die ze niet kunnen teruggeven. Frisot, achtervolgt heeft kunnen vluchten...

In het laatste toonecl vinden wij allen terug in den winkel van Chang-Low; waar wij een vreese-lijk gevecht bijwonen, van den eenen kant tusschen Frisot en zijne medeplichtigen, en van den anderen kant tusschen Madden, Molly en Willy. De politie hersteld de orde, en Chang-Low brengt zelfs de juweelen terug.

De aanhanger van Confucius beeft kunnen bekomen, dat op voorwaarde van teruggaaf der juweelen, Molly en Willy niet gestraft zouden worden, en het is dank aan zijne goede lessen dat Molly en haren verloofde Willy, zich voortaan op den weg der eerlijkheid zullen begeven.

Rempart Kipdorp, Anvers.


Frans Van Eerckhoven

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dans Les Hars-la-Loi, un Universal Jewel qui fait salle comble dansmaintgrandéta- . blissement de ciné.

Priscilla Dean y déploie toutes les ressources de son merveilleux talent. Elle incarne, dans ce film, une jeune fille acoquinée avec des hors-la-loi, mais qui, sur la pente du cri-

Dans un de nos précédents numéros, nous avons présenté l'admirable artiste Priscilla Dean dans une de ses plus belles productions: La Vierge de Stamboul. Il faut constater que cette étoile de l’écran tient a se surpasser dans chacune de ses productions, car voici qu’elle nous apparaît.


me, est sauvée par la radieuse vision ae i innocence. Si la gracieuse étoile dépense, dans le rôle de « Molly aux yeux de velours » toute sa science scénique mise au service de son incomparable beauté, elle est dignement secondée par des artistes de premier ordre, comme Lon Chaney, effrayant de réalisme, de cynisme et de brutalité, comme le petit Stanley Goethals, un bambin qui, par son sourire candide, retient ceux malfaiteurs sur le bord dii précipice.

Il nous est un plaisir de raconter en quelques mots l’intrigue deis « Hors-la-loi »: Molly, la fille d’un croupier, est en butte aux sollicitations d’une bande de malfaiteurs qui voudraient bien l’associer à leurs exploits. Pour ce, il fajut lui inspirer la haine de la justice; et l’un des bandits, le Frisot, tend un piège au père de: Molly, lequel est injustement accusé de complicité dans un assassinat et condamné à huit mois de prison. D’autre part, il exécutera un plan infernar: au cours d’un > ambriolaga sensationnel, il s’arrange pour faire tomber Molly entre les mains de la police. Elle serait condamnée, envoyée en prison, et, une fois sa peine purgée, elle serait « hors la-loi », comme le Frisot lui-même.

Toutefois, un comparse du Frisot, un jeune homme du nom de Willy,, n’est pas entièrement acquis à la sinistre armée du crime. Il prévient Molly du complot tramé pour la perdre, et voudrait l’empêcher de prendre part au cambriolage projeté; elle refuse: elle feralecoup.

Le plan du Frisot échoue; Willy et Molly ont pu s’emparer des bijoux précieux au milieu d’une réception dans une superbe résidence et se cachent dans un appartement, en attendant que l’enquête' policière soit moins serrée...

Leur voisin de palier ont un enfant, un petit garçon, qui vient voir Willy; et, bien que les deux hors-la-loi doivent éviter toutes; relations avec le monde extérieur, Willy est à ce point sédtuit par l’ingénuité candide du petit garçon qu’il se décide à se détourner du mal et à prendre courageusement la route vers l’honnêteté.

Il parvient à. décider également Molly, qui, elle aussi, est séduite par le sourire de l’enfant; et, comme les jeunes gens se surprennent à s’aimer, il3 décident de renvoyer les bijoux volés, qu’ils tiennent cachés dans leur appartement.

Mais le Frisot, supposant que Willy et Molly détiennent les bijoux, vient les surprendre. Une lutte terrible, d’abord de ruse et d’astuce, ensuite de brutalité, s’engage entre le bandit et les jeunes gens; par un stratagème, le Frisot découvre la cachette des bijoux. Un policier survient, mais Willy et Molly parviennent à se sauver.

Lorsque le père de Molly sort de prison, avec au cœur, la haine de la justice, les bijoux ont disparu, ce qui sera la perte des jeunes gens, qui ne peuvent les restituer. Le Frisot, poursuivi, s’est échappé...

(Voir suite page 10.)


10

Celui qui, il y a quelques armées déjà, conquis le public par son inoubliable création de Tarzan, nous l’avons revu ces jours-ci sur l’écran. Il fait montre d’une audace, d’une intrépidité, d’une souplesse qui font l’admira > tion; avec cela bel homme, très photogénique, avec des gestes sobres et pourtant une mobilité d’expression remarquable”, il n’est aucun rôle .rempli par lui, où il n’excelle. Nous ne ferons pas l’énumération des films où il nous fut donné d’assister à ses prouesses. Une des dernières, cependant, a particulièrement plu: c’est « Sous le Ciel Rouge », une histoire d’amour et d’aventures en haute mer, et peut-être à ce jour la meilleure production du genre qui fut réalisée.-A la demande de nos lecteurs, nous n’avons pas hésité à reproduire deux aspects de Elma Lincoln, tirés de ce film; le spectateur qui vit maintes fois cet audacieux héros évoluer sur l’écran., reverra avec intérêt les traits expressifs de ce favori du public.

Nous nous proposons d’ailleurs de donner sous peu la photo d’Elma Lincoln en première page de « Ciné Revue », et de l’accompagner .d’un aperçu concernant la carrière, mouvementée et brillante de cette' vedette de< l’écran. X.

LES HORS-LA-LOI (suite).

Nous retrouvons dans la scène finale tous nos personnages dans le grand magasin de Chang-Low, un vieux Chinois, qui a toujours prêché l’honnêteté; nous y assistons à une lutte formidable entre le ' Frisot et ses complices d’une'part, le père' de Molly, Molly elle-même et Willy d’autre part. La police y met bon ordre; Chang-Low rapporte les bijoux volés, et Willy et Molly iront désormais sur la route de l’honnêteté.

Ce film, une exclusivité du Comptoir du Film, est une production intensément dramati-.que; la mise-en scène en est soignée, l’intrigue, pleine de mouvement. « Les Hors-la-loi » prennent superbement leur place dans la très longue série des productions de toute beauté sorties des maisons de production d’Amérique, et qui ont fait l’dmiraation des salles frémissantes.

OPINION D'AUTEUR,

à propos de l'illustration par le film, du roman de CLAUDE FARRÈRE:

ß 'Qlomme qui assassina

Aujourd’hui donc., l’un de mes plus vieux romans, « l’Homme qui assassina », va connaître une jeunesse nouvelle, de par son adaptation pour l’écran...

Et j’avoue tout droit que ce n’est pas sans curiosité que j’attends la présentation de ce film, dont je suis le grandpère, ou peu s’en faut. D’ores et déjà, l’ait cinégraphique est. sorti des tâtonnements; et j’ai vu des films qui étaient un beau spectacle d’axt. S’en suit-il qu’un bon roman doive donner, à l’écran, obligatoirement, une belle pellicule? Cela n’est pas prouvé du tout. J’ai même peur du contraire... Mais, sans conteste, s’il est des livres qui puissent être agréablement illustrés, ce somt principalement ceux qui empruntent à un décor exotique, et au pittoresque de leurs personnages, et au dramatique de leurs péripéties, la principale part du succès qu’ils ont remporté. Toutes choses qui me semblent assez bien réunies dans mon vieux roman... et j’estime même qu’il n’eût probablement pas connu ses gros tirages, si le Bosphore n’avait, pas mêlé ses écharpes blondes au meurtre d’un Anglais par un Français, meurtre commis

ms une robe ti.uque... Me trompé-je? c’est possible... Alors, au public des cinémas de me détromper?...

Quant à la collaboration prochaine des romanciers et des faiseurs de films, quiconque en douterait désormais retarderait sur son siècle. Et, les seuls réactionnaires, — ce mot pris dans son plus mauvais sens —, luttent contre le progrès au lieu de s’y adapter. En ce qui me concerne, j’écris mon prochain livre-, comme1 j'écrivis tous ses- devanciers; mais un ami, directeur et propriétaire- d’une marque cinématogrui . ique connue, en suit, ligne à ligne l'écriture par-dessus mon épaule, et découpe, au fur et à mesure, tout ce que je fais, pour que le film puisse, en même temps que le volume, voir le jour. Bien mieux: c’est au Maroc que se déroule, ma prochaine histoire; et, déjà deux fois, par sotici d’.exacte documentation, j’ai faü le voyage de Casablanca; eh bien! mon «metteur en scène», une fois sur deux, s’en vint étudier sur place notre terrain; et, tandis que j’avais choisi Marrakech pour théâtre d'un épisode, il n’hésita-pas, lui.

pour ce même épisode, à préférer Fez. — Cette H anecdote montre assez bien tout cei que les romanciers doivent attendre de l’écran: une diffusion plus grande: un surcroît de public et de renommée; — mais sous condition que films et romans gardent respectivement la pins large aisance, de leurs coudes. L’écran est un art nouveau. Qu’il profite de ses devanciers; que ses devanciers profitent de lui; mais qu’ils sachent ne pas se gêner les uns, les autres!

La présente adaptation de l'Homme qui assassina -s’est faite en dehors de toute collaboration qui fût mienne. C’est dire que je;ne l'ai point entravée du tout, non plus qu’aidéei. Et tout l’honneur en reviendra, par conséquent,à ceux qui l’ont faite.

J’en tirerai, moi, un peu de bonne publicité; un peu -de sympathie nouvelle. Jeunes écrivains, souvenez-vous-en! et n’accusez pas le cinéma de vous ôter des lecteurs: le cinéma peut, au contraire, vous en donner!

Claude FARRERE.


12

jße Tricentenaire de Tdolière

Portrait de J.-B. Pocquelin, dit Molière.

La vie et l'œuvre de Molière à l'écran

Pendant que dans les milieux littéraires de France et du monde, on s’apprêtait à célébrer le tricentenaire de Molière, Les cinématogra-phistes ont voulu associer l’art muet au triomphe de l’auteur de l'Avare.

Grâce à l’appui du ministre de l’instruction publique et des beaux-arts, la maison Aubert

pourra présenter cette année: la vie et l’œuvre de Molière, sur l’écran.

Notre confrère français « Ciné Journal» nous conte à ce propos que cette production ciné-graphique a été tournée avec les salles, salons, escaliers de la Comédie Française, avec les sociétaires et artistes de la grande compagnie, sous la, direction de M. Jacques de Féraudy. Elle a donc pour tous les amis de Molière le double avantage d’évoquer les chefs-d’œuvre de notre plus grand comique dans la maison

même qui porte son nom. L’invention n’est point banale. Ajoutez à cet intérêt d’ordre déjà rare, que les scènes du Misanthrope, du Bourgeois Gentilhomme, de L'Avare, de Don Juan, de Tartuffe, sont précisément interprétées par les artistes qui tiennent les rôles dans ces œuvres et que les amis du cinéma verront avec curiosité leurs aptitudes photogéniques.

La vie de Molière est sommairement retracée dans ce film qui, destiné à une heureuse propagande française, rappellera ou fera connaître les souvenirs qui nous restent du grand homme. La maison où il naquit, le cadre de ses études, de ses débuts, les principales éta- --'es de sa carrière glorieuse, depuis les tour-' ees de province jusqu’au théâtre de Monsieur, Frère du Roi, de Pézenas à la dernière du Médecin J&algrê Lui, pendant laquelle il expira — toute sa vie est évoquée à l’écran.

LE MOUVEMENT PERPÉTUEL

RÉSOLU PAR UN HUMORISTE

THEOREME. — Tout mouvement qui trouve sa force en IuLmôme est un mouvement perpétuel.

Soient A, projection d’un film policier sans fin. B, un spectateur totalement terrifié, etc, un appareil de projection cinématographique.

Etant donné A, B est suffisamment influencé pour dégager une certaine quantité d’électricité évaluée à x ampères Cette force électrique est recueillie par les pôles positif et négatif de l’électro-aimant actionnant C.

Donc, C projette A, qui agit sur B, lequel, à son tour, actionne C. Le mouvement est continu, sans interruption et par conséquent perpétuel. C. Q. F. I).

Dessin de O’ Galop. Le Rire.

EN FRANCE

L'flnasîasie cinématographique

Nous lisons dans Excelsior:

La seule survivance des Anastasies guerrières est la censure cinématographique. Cette vieille dame a plus de prétendants que Pénélope elle-même. Tous les ministères demandent sa main.

C’est l’Instruction publique, empressée à déclarer que l’écran fait partie des œuvres d’éducation. C’est le Commerce, qui prétend que cette industrie nationale est de son ressort. Ce sont les Beaux-Arts, qui affirment que le cinéma est son « septième » administré.C’est l’Intérieur, qui fait remarquer que la question intéresse l’ordre public. Ce sont les Finances, qui veulent contrôler cette mine abondante de ressources, budgétaires, etc. Vous verrez que la Justice va invoquer le point de vue criminologique et que l’Hygiène fera valoir ses droits d’examen pour la santé morale du pays!

La pauvre Pénélope ne sait plus où donner de la tête. Elle supplie ses bourreaux de se mettre d’accord une fois pour toutes. Elle obéira docilement à celui qui sera désigné, mais qu’on le choisisse! Et qu’on la délivre surtout des sous-prétendants de province. Songez qu’après avoir reçu le visa de la censure ministérielle la malheureuse n’est pas protégée contre la fantaisie des maires de toutes les communes de France qui ont pleins pouvoirs pour >la condamner à mort sur leuç territoire.

Les scénarios de film» sont médiocres, sans doute; mais songez à l’état d’esprit du spécialiste qui, en développant son sujet, s’entend dire par son éditeur

— Attention! Pas de mort violente, le maire de X... n’aime pas ça; pas de- crime passionne], le maire d’Y... les a en horreur; pas de suicide, le maire de Z... ne peut pas les souffrir; pas de scènes de jeux, pas de scènes d’amour, pas de vols, pas de danses, pas de drames financiers, pas de sujet» médicaux, pas de personnages politiques, pas d’accidents de chemins de fer, pas de traîtres choisis dans les milieux paysans, ouvriers, bourgeois, etc., car les maires- dont voici la liste ont des phobies particulières qui s’appliquent à tous ces cas!

Dans ces conditions, avouez qu’il est bien difficile d’écrire des chefs-d’œuvre!...

EMILE.


14 Haro! haro! Bravo! bravo!

C’est devenu de règle dans 'certains studios, Men « tfemmiés », om se demande, â ü’afbar-daige: « Où est Fiaf/ty? » Les oMnions sont, en effet, itrès (partagées sur cefit question.

iDiatns dé dédale des limformartioins ranitnadäc-toàres, a vouiez qiutan peut très Men perdre fe fil d’Ariane et mie plue savoir si iFatitiy est ien Miberté ou en prisons! Tantôt on. mous liam-momoe relâché sous .caution de 62,500 firamcs — île prix de idd>x Ibœufs gras —: aedlamé par um grand concours de peuple fanatisé, ihur-ilamit: « (Hurrah pour Fatty! 'Vive Fatty! Vive lui! »

Tantôt on mioiuis ifiaiid assavoir qui’on il’a ire-plomgé, tout ibouiillfliairut de graisse, sur lia pailile humide des çaiohots de te iRépuifalique sœur et Sèche, aux vociférations d'urne tourbe exigeant la mort sains plhraises de il’assassin, du criminell-ès-voiluptéis. .

Oui cfpoiiire, ibom iDdieu? A ce régime dé chaud et froid, vous aillez voir que le bon gros Fatty va hiipeir urne iboninie ifluxiiom de poitrine et que nous ne pourrons de sauver... qu’en île traitant è ITailcooL.. sam lampe.

(i« La Cinémiatogiraiihdie française ».)

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Entrez sans hésiter: vous êtes sûr de passer „ une bonne soirée


JÜa page

de la femme

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En cette fin de saison, l’hiver se fait plus rude: il importe de se prémunir contre ses dernières rigueurs, sans cependant engoncer sa silhouette de trop épaisses fourrures.

Voici une élégante, qui nous enseigne l’art de porter avec goût une confortable parure d’opossum.

Et voici une autre beauté qui, dans un sourire, nous dit sa joie d’avoir trouvé le toquet qui convient le mieux à sa gaie frimousette: c’est un gentil modèle de velours panne noir, sobrement garni d’une «autruche» défrisée.

Nos deux specimens de ce jour sont extraits à votre intention. Lectrice, de la riche collection servant à l’élaboration devos journaux de mode favoris:

L'Élégante et

Les Jolies Modes de Paris