Bron: FelixArchief nr. 1968#476
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Ciné-Revue
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Ciné-Revue est le plus lu des organes cinématographiques belges
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PAULINE
G ARON
e-lJr
Fine, blonde, haute de •cinq pieds ou peu s’en faut, voici Pauline Garon, le nouveau météore au ciel cinégraphique; car il lui fut donné de se tailler une belle part de célébrité, depuis que Cecil B. de Mille l'a chargée d’un des rôles de tout premier plan dans sa dernière création: La côte d'Adam.
Pauline Garon est moins une miss qu’une « demoiselle », étant Canadienne française; c’est au point qu’avant sa dixième année, la langue de Shakespeare et de M. Hardings resta pour elle lettre morte, et qu’aujourd'hui encore elle parle l’anglais avec l’amusant accent d’une Maria Chapdelaine. Née à Montréal, ses ascendants mêlèrent le sang d’Erin à celui de la doulce France: alliage dont le résultat fut la svelte jeune femme dont les photos ci-contre disent la sereine «t fière beauté.
Sa distinction de manière et d’attitudes, la gracieuse artiste la doit peut-être au long séjour de sept années au Couvent
du Sacré-Cœur de Montréal. Pourtant, elle n’a point perdu cette vivacité d’impressions, cet enthousiasme délirant qui en font. Dieu merci, une des girls les plus « full of pep (*) » qui se soit vues sous les cieux du nouveau monde.
Or, un jour, Pauline la jolie quittait le toit familial; sans raison apparente, du reste, avec le désir lancinant de voir ' une plus vaste portion de la vieille planète, — et ce sans se rendre compte des difficultés et des pièges qui pourraient entraver ses pas. Mais il est un dieu propice aux audacieux, puisque... mais nous ne voulons anticiper.
Débarquant à l’Hôtel Commodore, à New-York, elle paya 12 dollars pour son logement, conservant à peine 1 doll. 25 en poche. Puis elle télégraphia à ses parents: « Send me
50 dollars », et débuta dès le lendemain dans une troupe théâtrale.
Puis sa beauté trouva très vite un emploi judicieux dans Lovely Romeo; et deux années et demie ne s’étaient pas écoulées
(*) Dans ce " pep il y a de l’ambition, de l'activité, de l'enthousiasme, et même de l'hu-mour; oui, ce M pep „ est la pierre de touche au caractère américain moderne.
Pauline G ARON est toute attention, en recevant les directives de Cecil B, de Mille, en vw du prochain Mm . Adam 's Rib.
depuis son arrivée aux U. S. que déjà, eile faisait florès dans Buddies et Libris of the Field, deux fort belles productions très populaires à New-York.
La voie était tracée; il ne s'agissait plus que de perfectionner son art, d’assurer * sa manière », ce qui lui permettrait de jouer les grands rôles d’écran aux côtés des plus célèbres vedettes connues: d’abord Remodeling' a Husband, avec Dorothy Gish; puis The man from Glengarry, dans une Compagnie canadienne. Enfin, les films si remarquables: Repoterd Missing, avec Owen Moore, Who is She et Sonny, l’œuvre merveilleuse de Richard Barthelmess.
Ce fut cette « picture » qui attira sur la talentueuse actrice l’attention de Cecil B. de Mille; le travail a commencé déjà, la Côte d'Adam est en voie de construction, réalisateur et interprète sont — cinématographiquement parlant, — enchantés l’un de l’autrp...
Fine, blonde, haute de cinq pieds ou peu s’en faut, voici Pauline Garon, nouveau météore au ciel ciné-graphique, MARNIX.
L'Expression à l'écran
Dans le très intéressant article intitulé: « 1.’Expression » qu’il a fait paraître dernièrement dans « Comœdia », José Frappa préconise, surtout pour les comédiens d’écran, l’étude la physiognomonie et de la pathognomonique.
La physiognomonie, dit-il, est l'art de connaître les hommes et leurs facultés, d’après leurs traits, et la pathognomonique, l’interprétation des passions, ou la science qui traite des signes des passions.
Cette étude certainement attractive en elle-même peut, en effet, servir de hase à l’expression cinématographique, en être, en quel-
Deux arandes et belles poupées.
que sorte le solfège. La gymnastique des muscles faciaux que l’on peut établir sur ces données, est utile pour obtenir la souplesse et la mobilité du masque; mais la connaissance la plus approfondie de cette méthode ne suffit pas à créer un artiste, car une expression obtenue scientifiquement, si elle peut être juste, ne sera jamais émouvante; elle manquera de simplicité, de spontanéité et de vie et semblera plutôt être une grimace.
L’appareil de -prise de vues enregistre les nuances les plus fugaces; il est donc indispensable, qu’à l’instant où il « tourne », l’artiste ne se préoccupe d’aucune autre chose que de la pensée de « son personnage ». il n’y a nulle place pour la sienne propre; à ce moment, il ne doit exercer-au cun contrôle sur le mouvement de ses muscles qui doivent agit' inconsciemment dans le sentiment voulu, et ne permettre & son esprit aucune critique.
Si quelque fait extérieur vient le distraire de cela, quand même il serait un virtuose do l’expression scientifique, son jeu figé ne donnera aucune émotion. Or,, le principe même d’un art, quel qu’il soit, est d'émouvoir!
Néanmoins, il serait souhaitable de voir d’aussi subtiles et complètes méthodes de travail, jointes à des exercices d'observation; devenir la base solide des études d’Art cinématographique. Christiane WAOllE.
UH AUTDE IBDjOII
Passez en revue la série de types présentés sur ces pages: ne semblent-ils pas cueillis dans. les milieux les plus divergents de la société, appartenir à des mondes complètement différents, et pourtant, tous ces hommes ne font qu’un; sous le masque patibulaire du matelot aviné, sous les traits pensifs du savant, sous la face atone du clubman, sous le regard inspiré de l’artiste, sous l’expression résignée du travailleur manuel, c’est le même physique qui servit de .base; un seul homme incarne ces divers rôles, l'acteur Rogge.
Cet « homme aux cent visages », d’une déconcertante habileté dans l’art du maquillage, est l’émule du célèbre Frégoli qui, en moins de quelques secondes, parvenait à incarner les personnages les plus différents; il est vrai que l’artiste cinégraphique a plus de temps pour soigner sa tenue, mais aussi que l'on songe au talent qu’il lui faut, non seulement pour rendre les marques extérieures des divers personnages, mais encore pour remplir tout le rôle dévolu à ceux-ci et camper chaque caractère.
C’est dans Le Docteur Mabuse que Rogge trouve l'emploi de ses extraordinaires facultés. Rappelons qvie ce film nous brosse un tableau frappant de certaines
mœurs modernes, dans l'avidité des passions déchaînées et la recherche constante de plaisirs et de jouissances.
Le docteur Mabuse est la personnification de tous ces instincts pervers. 11 est le type choisi dans lequel se trouvent concentrés tous les vices de l’heure présente. Tricheur au jeu, hypnotiseur, boni-menteur, fàux-monnayeur, mer-canti, spéculateur en bourse et empoisonneur, il évolue, jonglant — selon sa propre expression — avec les vies jiumaines et se servant des gens au hasard de ses besoins ou des coups à faire.
Les premiers plans du docteur Mabuse se livrant à ses exercices d’hypnose et tentant de paralyser le procureur général, atteignent au plus haut degré d’émotion, et le spectateur frissonne en voyant cette tête fascinatrice aux yeux dominateurs s'avançant vers lui et progressant sans cesse avec toute la persistance d’une obsession.
Mais puisque nous mettons en valeur le jeu savant de cet autre Frégoli qu’est l’acteur Rogge, remarquons qu’il fut particulièrement secondé par l’interprétation toute entière et par une mise en scène très bien comprise.
M. Bernard, entre autres, en procureur général, s’est montré persuasif et a obtenu de bons effets.
Une scène saisissante est jouée par ces deux acteurs, lorsqu’au club le Docteur Mabuse, reconnaissant son adversaire, tente de l'hypnotiser et concentre sur lui toute son énergie. Près de succomber cependant, le procureur général, fait un dernier effort et réussit à s'arracher à la. contrainte hypnotique.
Parmi les autres interprètes, Mlle de Nissen, qui tient le rôle de Cara Carozza, est digne d’éloges pour toute la sincérité dramatique qu’elle a su témoigner.
Il est aussi des scènes de masse comme celles d’une journée de hausse en Bourse par exemple, dont l’animation est impressionnante et des aperçus de cabarets de nuits et autres demeurant des peintures fidèles où plane le mystère et qu’illuminent des effets de lumière vraiment surprenants.
Les décors sont curieux et . constituent un fort beau travail.
Le découpage de Thea V. Har-bou accuse un écrivain expérimenté.
Grâce à ces facteurs combinés, l’action ne décroît pas un instant, et ceci tient surtout au découpage et à l’accumulation heureuse de faits et d’événements dans un espace de temps relativement mesuré. Tel qu’il est traité, le « Docteur Mabuse » est plein d’effets dramatiques
qui seront des plus puissants qu’il nous ait encore-été donné de voir.
L’émotion est intense au point de porter le spectateur à perdre haleine et ce jusqu’au moment où le Docteur Mabuse, superhomme à l’esprit magique et à l’énergie farouche, vient s’écrouler après avoir joué avec désinvolture et spéculé sur les choses et les gehs.
Nous ne savons si Rogge, le deus ex-machin» de cette attachante aventure, s’est complètement consacré au travail de studio; mais dans les rôles de personnages doubles comme M. Jekill et le Docteur Hyde, nous est avis qu'il est appelé à rendre de signalés services.
de nous, le mime des premières années du cinéma - enfant, imitant puérilement les gestes familiers du personnage dont il aurait dû faire comprendre le caractère, rendant par des gestes conventionnels — toujours les mêmes — le peu d’idées qu’il lui était donné d'exprimer. Rogge, l’homme aux cent visages, continuant à l’écran la manière de Fregoli, va peut-être perfectionner un genre, une spécialité; il sera peut-être un des premiers artistes aux multiples aspects, dont la possession sera précieuse pour la réalisation de certaines bandes.
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Malgré la bonne volonté évidente, de milliers de jeunes filles s'offrant chaque jour pour l’interprétation de films, il est souvent difficile aux metteurs en scène de trouver un élément réunissant toutes les qualités désirables pour faire une bonne artiste cinématographique.
Pour permettre aux femmes belges, qui se croient des dispositions pour la carrière des studios, de se faire connaître et s'assurer peut-être un avenir brillant, CINÉ-REVUE a décidé d'organiser le Concours de la femme la plus photogénique.
Cette compétition intéressera toutes les classes de la société, puisqu’elle donnera à toute candidate les mêmes chances de réussite, et que seront admises à concourir toutes celles qui suivront les données facilement exécutables de son règlement.
Ciné-Revue fera paraître les portraits de toutes les candidates; de plus, les photos originales des compétitrices seront réunies dans un album, mis à la disposition des metteurs en scène belges et étrangers, leur permettant de juger des trésors de beauté et de grâce dont dispose la Belgique.
Après un premier triage, un certain nombre de candidates seront représentées à l’écran, et parmi celles-ci le public sera chargé de désigner la femme la plus photogénique.
Il sera alloué pour ce Concours 10.000 francs de prix en espèces et de nombreux prix en nature. Enfin la jeune fille ou femme la plus photogénique qui aura réuni le plus de suffrages, sera proclamée: La femme belge la plus photogénique, et (si elle montre des dispositions pour le travail cinématographique) un engagement lui sera assuré pour tourner un grand film.
Règlement pour les Candidates
1“ Peuvent prendre part au Concours, toutes les femmes ou jeunes filles de nationalité belge, ayant atteint l’âge de 1& ans au 1er mars 1923, et qui se conformeront aux directives contenues dans le présent règlement.
2° La candidate fera parvenir à l’adresse de Ciné-Revue:
a) Deux de ses portraits, l’un de face, l’autre de profil, format carte-postale, mais de telle sorte que le visage ait au moins deux centimètres de hauteur;
b) Le bon è détacher de Ciné-Revue, dûment rempli (voir page 13). L’enveloppe, contenant portraits et bon, devra porter à l’adresse suivante: CINÉ-REVUE, 10-12, rue Charles Decoster, Bruxelles, et l’indication: Concours de la femme belge la plus photogénique.
5 Les envois dont il est fait mention à l’article 2 seront reçus à partir du 1*" mars jusque et y compris le 15 mai 1923. — Passée cette date, nulle candidature ne sera prise en considération. Au fur et à mesure de leur réception, les portraits des candidates paraîtront dans Ciné-Revue.
4° Un jury composé de: Trois cinématographistes; trois artistes belges; trois écrivains ou journalistes belges, sera chargé de faire un premier triage dés milliers de candidatures, et de désigner 20 candidates parmi lesquelles le public belge sera, chargé d’élire la femme belge la plus photogénique.
Ces 20 candidates seront convoquées aux frais de Ciné-Revue, pour être filmées; elles seront, en effet, présentées à la fois à l’écran et dans les numéros de Ciné-Revue, de manière à faciliter le choix des votants.
Marquisette Bosky
Renée Sylvaire
QUELQUES CATMDATES POUR LE CO'ÎCOUPS
DE LA FEMME BELGE LA PLUS BELLE DT LA PLUS PEIOTOGÉniQ.UC
Voici les prémices de cette ample moisson, que Ciné-Revue s'est plu à faire parmi toute notre population féminine. Ce pays — le nôtre —grand dans les arts, ne le serait-il pas en cette expression synthétique de tous les arts, qu’est le cinéma,- ne formerait-il pas les interprètes dignes de traduire l’inspiration de nos écrivains et poètes, peintres des états d'âme et analystes des actions humaines?
Ciné-Revue, en commençant sa; compétition, savait que son projet trouverait un large écho dans toutes les classes de la société belge; savait qu’il parviendrait à prouver qu’il y a, dans nos villes fiévreuses, ou au fond des paisibles bourgs, tels types de femmes, dont la grâce, la mobilité d'expression, — la photogénie — pouvait se mesurer avec les qualités des vedettes les plus fêtées.
Et à partir de ce jo donc, comme -vous l’avons promis, se présentera uux yeux du 1 eur de.notre r un bouquet renouvelé sans cesse des fleurs les plus captivantes; puis quand elles auront toutes passé dans nos pages, le jui y de notre concours retiendra une vingtaine des plus intéressants types de femmes et jeunes filles, et les conviera à passer à l’écran, en vlie du classement final. Ce dernier sera, comme nous l’avons dit, asfjuré par les soins du grand public lui-même. Ce sera pour tous l’occasion de collaborer à l'éclosion du cinéma belge, en lui découvrant de bonnes interprètes; ce sera pour les candidates elles-mêmes le moyen d’acquérir succès et notoriété, et de se voir peut-être ouvrir toute grande la carrière du studio.
A celles qui nous ont fait déjà parvenir leur photo accompagnée du bon de participation, comme à celles qui, plus craintives, ne se décideront qu’en voyant apparaître aujourd'hui les premiers portraits des candidates, nos meilleurs vœux de réussite. LA DIRECTION.
Miss LUCY
Lily DONNER
Suzanne GOOSSEN
Jenny GOOSSEN
Germaine BIENVENU
Mary BURGMEYER
Marcelle GRÉGOIRE
Louise VAN EECKHOUT
J. V. ROMPAEY
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Quand Jim Rittenshaw eut la preuve cer* laine de la trahison de sa femme et de son vieil ami Dick, le compagnon des jours anciens à l’Université dp Harvard, il n’écouta que sa colère et bondit plutôt qu’il ne courut jusqu’au club, f Dick descendait l’escalier, en route vet's ie rendez-vous d’amour.
Un colloque rapide.
Dick Desborough et sa fille Betty,
Des mots violents.
Un coup de feu.
Le cadavre de Dick roulait sur les marches.
— Vous avez tué votre meilleur ami, Jim, lui dit un camarade de club, l’écrivain Harvey.
Ce sont aussi les meilleurs amis qui vous trahissent, répliqua le banquier.
Mais voici que soudain, tandis que la police, accourue, s'emparait du meurtrier et que les gen« du club relevaient le cadavre, voici qu’au dessus du corps matériel de Dick Desbprough. une ombre lumineuse et transparente sortit du cadavre, image réelle et impondérable, d’une
ressemblance parfaite avec, le mort, corps impalpable, corps astral flottant, invisible généralement aux yeux des vivants et qui sem-
Les Deux amants.
Walt -s’étonner d’être là sur les marches de cet escalier troublé maintenant d’un grand tumulte.
Mystère profond des cjioses de l'aii-delà!
Qui nous révélera jamais les effets et les causes, les étapes des survies, les longs che-
Le double de Dick et Jim le meurtrier.
min des âmes en marche vers la paix définitive et la lumière invisible?
Jim avait-il perçu la présence de l'ombre de son ami, maintenant sa victime? Non, sans doute. Le frisson qui agitait tout son corps
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12 n’était que la réaction du meurtre. L'Ombre n’avait pas eu la puissance de faire sentir sa présence.
Il était trop tôt.
Et voici que l'Ombre s’en alla.
Là-bas. dans la chambre du rendez-vous d’amour, où Daisy Rittenshaw attendait, son amant, l’Ombre allait-elle pouvoir se matérialiser jusqu’à se montrer aux yeux de l’aimée?
Daisy attendit longtemps, dans une inquiétude, (grandissante.
Parfois, il lui semblait qu’une influence, amie pénétrait jusqu’au fond d'elle-même. Elle voulait crier: Dick! Dickt Mais tout se passait comme dans un rêve, quand on éprouve la sensation d’une chute dans l’abîme et que l’on veut appeler au secours et que la bouche ouverte, sche d’angoisse, est incapable de proférer un son.
Le catafalque fleuri
Ainsi, Daisy se tenait dans la chambre, attentive au moindre souffle, incapable pourtant de voir l’Ombre qui rôdait autour d’elle et ne parvenait pas à marquer sa présence par quelque chose de tangible.
Daisy s’émut, pourtant et tomba évanouie.
L’Ombre continua sa route.
Elle entra dans la maison qui était la sienne, la maison de Dick Desborough.
A son approche, sa fille Betty, fillette curieuse et précoce, aux sens affinés, à la sensibilité maladive, éprouva soudain comme une révélation.
— Père! s’écria-t-elle.
— Il est mort, ma pauvre enfant, dit Hélène Desborough, sa mère.
— Mais je le vois!
Pauvre petite, reprit Hélène en caressant la jolie tête effrayée, pauvre petite orpheline. Dick est mort. Harvey nous a dit le terrible drame. Mon pauvre Dick, tout de même, que j’ai tant aimé!
Hélène devant le crucifix.
Et l’Ombre se penchait, enveloppait de sés bras invisibles Hélène, pleurante et désolée.
Ah! quand nous éprouvons parfois de ces-envies de percer les ténèbres, d’enfermer dans nos bras le souffle de l’air, n’est-ce pas aussi une ombre des nôtres qui est penchée sur nous, pour nous avertir et nous guider?
Sombre mystère!
Et comme elle doit, être atroce la situation de ce Double qui échappe aux sens des corps et qui ne parvient pas à éveiller d’une f&çoh complète les facultés de l’âme emprisonnée!
L’ombre de Dick sortit de nouveau.
Où pourrait-elle donc faire sentir son influence?
Or. Daisy et Hélène, chacune de son côté, se rendait au temple, portant des fleurs au catafalque de l’assassiné.
Là encore l’Ombre surgit soudain desvant les deux femmes. L’Ombre voudrait parler.
C’est Hélène qui parle.
Elle montre un grand Christ, pendu à la-muraille.
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— Le seul espoir, dit-elle à sa rivale, le seul moyen de nous consoler est en Lui.
Daisy secoue la tête.
Hélène va vers la croix où tous les inconsolés trouvent le repos, la paix, le calme dans la prière.
Elle s’avance.
Soudain elle se redresse. Elle a senti passer sur elle quelque chose comme un souffle froid. Mais elle ne voit rien. Elle ne voit pas le Double qui se précipite et voudrait l’écarter du Christ. Elle se prosterne.
Hélas! elle rie trouve pas de prière. Il lui semble qu’elle est abandonnée de Dieu et des hommes. Et une grande angoisse l’enveloppe comme le froid d’une sombre nuit sans étoiles.
Daisy est sortie du temple.
Elle non plus n’a pas deviné la présence de celui qu’elle aimait.
Elle sort, toute à sa douleur inconsolée.
Elle marche comme dans une sorte de sommeil hypnotique.
Elle écoute à peine Harvey qu’elle a rencontré et qui lui dit:
— Madame, n’ôubiiez pas que Jim, votre mari est en prison. Il va passer en jugement.
Vous seule pouvez le sauver d’une condamnation si vous dévoilez, en vous accusant, le mobile du meurtre.
— De quoi voulez-vous, cfue je m’accuse, Harvey? répond Daisy.
—Vous le savez, Madame, vous le savez très bien, reprend gravement l’écrivain. Vous seule pouvez le sauver.
(A suivre) Jean BLAISE.
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Lit et dépouille par jour 20,000 Journaux et Revues du Monde entier. /.’Argus .édite: L’Argus de l’Officiel, contenant tous les votes des hommes politiques; recherche articles et tous documents passés, présents, futurs. L’Argus se charge de toutes les PUBLICITÉS et de la publication dans les journaux de tous articles et informations.
BON B B PARTICIPATION
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Madame \
au Concours de la femme belge la plus ohotogénique.
A la Direction de Ciné-Revue, (Signature)
Remplir"le présent bon de façon très.intelligible et faire parvenir à Ci/té-kovuc, 10-12, rue Charles de Coster, Bruxelles
Armand du Plessy, entouré de quelques interprètes de La Garçonne
" La Garçonne " à l'écran
— Non! ce n'est pas possible!
— Il paraît que si. C'est non seulement possible, mais on tourne le trop fameux roman de Victor Margueritte au studio d’Epinay, et c’est un de nos compatriotes, M. Armand du Plessy, qui a été chargé par M. Moriaud de la difficile mission de mettre en scène cette oeuvre dont nous ne voulons rien dire d’autre sinon qu elle a déchaîné en France le scandale que l’on sait.
M. Armand du Plessy, qui a tourné déjà plusieurs films intéressants et dont la carrière cinématographique s’avère pleine de promesses, a-t-il tort ou raison dans le cas présent f
Sans être prude le moins du monde, on peut craindre que notre compatriote n’ait commis là une erreur fâcheuse.
Non que nous le soupçonnions de chercher, ce faisant, quelque succès de scandale. Il soulèverait, tant en France qu’en Belgique, un vaste toile de protestation. Et il causerait un tort énorme à l’art cinématographique.
Mais l’entreprise est grosse de dangers, et l’on sait assez comment les meilleures intentions sont dénaturées par la passion.
Tout eh regrettant l’initiative de notre compatriote, nous ne prendrons pas fait et cause dans le débat, réduisant pour le moment notre intervention à notre rôle d’information.
De ce point de vue, nous pouvons annoncer la distribution des rôles que voici:
Monique, France Dbelia; Mme Ambrât, Renée Car/-, Michelle, Suzanne Balco; Ginette. Marise Dorval; Mme Lerbier, Maggy De/val; Lady Spring-field, Stella Seager; Hélène Suze, Ninon Balzany Lucienne, Hélène Petit-, C\éo,Muzanne; etc.
Régis Boisselot, Toulout; Blanchet, Maupré-, Lucien, Jacquet-, M. Lerbier, Deneubqurg: Peer Rys, le danseur Gerlys; Max de Laume, Raucourt-, Vi-gnabos, Leclercq-, baron Plombln, Devers; le peintre, Raucourt; (on remarquera que notre compatriote tient deux rôles différents dans le film) le marquis d’Entragues, Mitchell; Pierre des Sou-zaies, Eric Moulton; M. Ambrât, De/monde; l’Inconnu, Del vigne; etc,
La photographie sera l’œuvre de M. Em. Repelin.
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UNE LEÇON DE ’’ONE STEP”
Théodore Burke, un des plus modestes rouages des « Aciéries Garton », s’est épris d’une jeune fille nommée Jeannette Muir.
leannette est orpheline, elle vit avec son grand-père, Augus Muir, un vieux mécanicien qui ne possède plus maintenant qu'un très petit atelier.
Augus Muir a voué à William Garton une haine terrible que les années n’ont fait qu’augmenter.
Un jour, Théodore Burke est gravement blessé en sauvant la vie de son patron. William Garton veut témoigner sa reconnaissance d’une façon éclatante à son sauveur. Sachant qu’il est sans famille, il le fait transporter dans son propre appartement et, lorsqu’il est enfin guéri grâce aux soins assidus dont il a été l'objet, il lui propose de l’adopter.
Le voilà, transmué en un élégant gentleman.
Sa première visite est pour Jeannette; il arrive chez elle dans une luxueuse automobile et lui offre un magnifique bracelet, puis se tournant vers le grand-père, il lui fait cadeau d’une superbe pipe d’écume.
Le vieillard s’étonn, e du changement énorme qui s’est produit dans la situation du jeune homme et lorsqu'il apprend qu’il est devenu le fils adoptif de l’homme qu’il liait de toutes ses forces, il lui rend ses cadeaux et le chasse de chez lui.
Burke, ne se sentant pas le courage de rester plus longtemps sans voir celle qu’il aime, va attendre leannette à la sortie de sa maison et l’emmène à l'insu de son grand-père, faire une promenade en automobile.
Jeannette entrera le lendemain aux « Aciéries Garton » en qualité de secrétaire de Théodore et racontera un petit mensonge à son grand-père.
Resté seul avec leannette, Théodore esquisse devant elle un nouveau pas de «One Step» qu’on lui a enseigné la veille, et voulant le lui apprendre, il l’enlace et se met à danser avec elle.
Tout à coup la porte s’ouvre et William Garton apparaît. Il venait justement parler à son fils adoplif d’une riche et jolie héritière qu’il veut lui faire épouser. 11 s’arrête, médusé par le spectacle qu’il voit, et très fâché il annonce à leannette qu’elle'ne fait plus partie.de la maison. Théodore prend la défense de celle qu’il aime et ne pouvant faire revenir Garton sur la mesure qu’il vient de prendre, il décide de quitter la maison de son bienfaiteur, préférant l’amour de leannette à la fortune.
Rentrée chez elle, la pauvre petite est obligée de raconter sa mésaventure à son grand-père et celui-ci furieux, prend son chapeau et sa canne et s’en va chez son ennemi.
Mais Théodore rencontre le vieillard et il va immédiatement rejoindre Jeannette. Tous deux partent alors en courant pour rattraper le vieil Augus Muir et l’empêcher de commettre quelque folie.
Mais les deux hommes reviennent à de meilleurs sentiments, ils rejoignent les deux jeunes gens dans l’antichambre et. tandis qu'ils se réconcilient, Théodore et leannette se donnent leur premier baiser de fiançailles.
hiipiw il» I an 10 mai
Say it with Music
Fox-Trot
. I. Berlin
Revue scientifique
The Missouri Waltz . S. Chapelier
Fleur du Mal
Comédie dramatique interprétée par:
Mlle Robinne et Mr Alexandre
de la Comédie Française
Une leçon de ’’One Step”
Comédie gaie avec Ch. Ray dans le rôle principale
van 0 loi 10 ïci
1. Say it with Music . .
Fox-Trot
2. f ~ INËTÛ
Wetenschappelijk
3. The Missouri Waltz . S. Chapelier
4. Bloem der Ondeugd
Dramatisch tooneelspel vertolkt door:
Mej Robinne en Mr Alexandre
der Comédie Française
6 Eene les van “One Step”
Tooneelspel met Ch. Ray in den hoofdrol
SEMAINE PROCHAINE
Deux films à grand Succès
Herbert RAWLINSON et Virginia VALLI dans
LE SAC NOIR
Comédie dramatique
Lester CUNEO dans
TRAQUÉ DANS LES AIRS
Grand drame d’Aventures
EENE LES VAN ’’ONE STEP”
Augus Muir, die door William Garton’s grootkapitaal tea onder ging in zijn staalhandel, cn 3» daarvoor zijn rijke mededinger een onverzoenbaren ** haat toedraagt, bezit een verrukkelijke kleindochi ter, Jeannette, voor wie een van Garton’s wcrklie-
1 Berlin ** c'en — Theodoor Burke — een vurige liefde beeft opgevat.
V Op zekeren dag wordt deze Theodoor Eurke zwaar gekwetst met zijn patroon van een gewissen •3» dood te redden. William Garton, die in de ziel wel een goed mensch is, wil zijn dankbaarheid schitterend betuigen, en wetend dat Burke een wees is, stelt hij hem voor hom als zijn zoon aan te nemen, wat, na een zekere aarzeling, aangenomen wordt.
En nu wordt Burke in een gentleman omgetoo-verd en na een maand noeste studie tot dienst-overste benoemd.
Wanneer echter Augus Muir verneemt wat er met Theodoor gebeurde, jaagt hij hem uit zijn huis hem verbiedend nog ooit Jeannette weer te zien. Maar die scheiding, na eenigen tijd, wordt hem toch te zwaar, en hij gaat haar afwachten aan haar huis. Tijdens een autorit vertelt zij hem dat grootvader ziek en zij zonder werk is, en er wordt, besloten dat zij ’s anderdaags bij hem als secretaresse in dienst zal komen; een overeenkomst waarvan grootvader natuurlijk onkundig moet blijven.
Den volgenden dag, in het bureau, toont hij haar een nieuwe stap van de « One Step » dien hij den vooravond heeft aangeleerd. De verleiding wordt te sterk, hij krijgt als een voorlooper van den danswaanzin, grijpt haar vast en begint rond te zwieren.
Maar op dat oogenblik verschijnt plots William Garton, die juist zijn ...zoon spreken wou over een rijk en schoon « boontje in ’t zout » waarmee deze huwen kon... Jeannette wordt uit den dienst ontslagen, en daar Theodoor’s tusschenkomst ter verdediging van het meisje nutteloos blijkt, besluit hij het huis van zijn weldoener te verlaten. Grootvader verneemt intusschen do waarheid, en woedend trekt hij op zijn vijand af. Theodoor die den... razenden grijsaard heeft ontmoet, snelt met Jeannette naar Garton. Na de twee mannen, die zich reeds te lijf gingen, van elkaar gescheiden te hebben, vragen de twee verliefden om bij elkaar te komen... voor eeuwig. Het oogenblik is voorwaar slecht gekozen, en zij loopen dan ook een kordate weigering on. Maar even kordaat besluiten zij dan maar over die toestemming heen te stappen. want zij willen niet dal de gekke twist der ouders hun geluk vernietige.
De twee mannen komen tot betere gevoelens, en terwijl zij zich verzoenen, bezoenen de twee beminden. in een verlovingskus, hun overwinnende liefde.
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